Centre de documentation Jolimont
Vendredi 22/11 : 10h – 17h
HORAIRE du 25 au 29 novembre 2024
Lundi 25 10h - 16h20
Mardi 26 10h - 16h20
Mercredi 27 10h – 14h
Jeudi 28 10h - 15h30
Vendredi 29 10h – 17h
FERMETURE QUOTIDIENNE : 12h-12h30
Cdoc fermé ? Glissez les documents à rendre
dans la BOÎTE DE RETOUR, dans le local informatique.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation HELHa - Santé Jolimont !
.||| TRUCS ET ASTUCES POUR LA RECHERCHE |||
* Utilisez 1 ou 2 mots-clés (PAS de longues phrases!)
* Utilisez de préférence le SINGULIER.
* Utilisez des GUILLEMETS pour chercher des termes exacts ou une expression (par ex. "Personne âgée").
* Si vous avez peu de résultats, utilisez des SYNONYMES.
Détail de l'auteur
Auteur Sami Bardaa |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Aspects médicolégaux de la maladie d’Alzheimer en Tunisie / Sami Bardaa in La revue de gériatrie, 45/4 (avril 2020)
[article]
Titre : Aspects médicolégaux de la maladie d’Alzheimer en Tunisie Type de document : texte imprimé Auteurs : Sami Bardaa ; Hassen Ennouri ; Zouhir Hammami ; Samir Maatoug Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 207-210 Langues : Français (fre) Mots-clés : Alzheimer (maladie) Fin de vie Advocacy Maltraitance Législation Résumé : La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des affections cérébrales dégénératives démentielles. Actuellement, elle est encore incurable et suit une évolution irréversible vers la dépendance et la grabatisation. Elle nous met face à de véritables problèmes de santé publique, socioéconomiques et légaux. Dans cet article, nous abordons les aspectsmédicolégaux de la maladie d’Alzheimer et leurs particularités en Tunisie. Cette maladie fragilise les capacités de jugement et de discernement des malades. Ces patients peuvent ainsi bénéficier d’une protection légale par la mise sous tutelle. À un stade avancé de la maladie, d’autres patients déments ont été reconnus incompétents et irresponsables de leurs actes sur le plan pénal. Concernant l’expérimentation médicale, les personnes particulièrement vulnérables atteintes de cette maladie peuvent participer à des essais cliniques à finalité thérapeutique, spécifiques à leur déficience mentale. Dans ce cas, le consentement libre, éclairé et écrit du tuteur est obligatoirement requis dans la loi tunisienne. Quant aux problèmes de maltraitance très fréquents en Tunisie, la déclaration de la violence à l’encontre de ces patients et l’aggravation des peines contre les auteurs s’avèrent nécessaires. Enfin, il n’existe pas de législation tunisienne propre aux problèmes de gestion de fin de vie contrairement à plusieurs pays occidentaux notamment la France avec la loi de Léonetti. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10031
in La revue de gériatrie > 45/4 (avril 2020) . - p. 207-210[article] Aspects médicolégaux de la maladie d’Alzheimer en Tunisie [texte imprimé] / Sami Bardaa ; Hassen Ennouri ; Zouhir Hammami ; Samir Maatoug . - 2020 . - p. 207-210.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 45/4 (avril 2020) . - p. 207-210
Mots-clés : Alzheimer (maladie) Fin de vie Advocacy Maltraitance Législation Résumé : La maladie d’Alzheimer est la plus fréquente des affections cérébrales dégénératives démentielles. Actuellement, elle est encore incurable et suit une évolution irréversible vers la dépendance et la grabatisation. Elle nous met face à de véritables problèmes de santé publique, socioéconomiques et légaux. Dans cet article, nous abordons les aspectsmédicolégaux de la maladie d’Alzheimer et leurs particularités en Tunisie. Cette maladie fragilise les capacités de jugement et de discernement des malades. Ces patients peuvent ainsi bénéficier d’une protection légale par la mise sous tutelle. À un stade avancé de la maladie, d’autres patients déments ont été reconnus incompétents et irresponsables de leurs actes sur le plan pénal. Concernant l’expérimentation médicale, les personnes particulièrement vulnérables atteintes de cette maladie peuvent participer à des essais cliniques à finalité thérapeutique, spécifiques à leur déficience mentale. Dans ce cas, le consentement libre, éclairé et écrit du tuteur est obligatoirement requis dans la loi tunisienne. Quant aux problèmes de maltraitance très fréquents en Tunisie, la déclaration de la violence à l’encontre de ces patients et l’aggravation des peines contre les auteurs s’avèrent nécessaires. Enfin, il n’existe pas de législation tunisienne propre aux problèmes de gestion de fin de vie contrairement à plusieurs pays occidentaux notamment la France avec la loi de Léonetti. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10031 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 09605 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible