Centre de documentation Jolimont
Jeudi 14/11 : Fermeture de 15h à 16h30
HORAIRE (en période scolaire)
Lundi 10h – 16h20Mardi 10h – 17h
Mercredi 10h – 17h
Jeudi 10h – 17h
Vendredi 10h – 17h
FERMETURE QUOTIDIENNE : 12h-12h30
Cdoc fermé ? Glissez les documents à rendre
dans la BOÎTE DE RETOUR, dans le local informatique.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation HELHa - Santé Jolimont !
.||| TRUCS ET ASTUCES POUR LA RECHERCHE |||
* Utilisez 1 ou 2 mots-clés (PAS de longues phrases!)
* Utilisez de préférence le SINGULIER.
* Utilisez des GUILLEMETS pour chercher des termes exacts ou une expression (par ex. "Personne âgée").
* Si vous avez peu de résultats, utilisez des SYNONYMES.
Détail de l'auteur
Auteur Marc Lamande |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Rupture bilatérale spontanée des tendons quadricipitaux chez une patiente de 85 ans sous hydrocortisone au long cours / H. Ripault in La revue de gériatrie, 44/3 (Mars 2019)
[article]
Titre : Rupture bilatérale spontanée des tendons quadricipitaux chez une patiente de 85 ans sous hydrocortisone au long cours Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Ripault ; Camille Debacq ; Fanny Hennekine ; Marc Lamande ; Céline Lengelle ; Irène Léger Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 181-184 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cortisone Personne âgée Tendon Résumé : RÉSUMÉ
Nous rapportons le cas de Mme D., 85 ans, hospitalisée dans les suites de deux chutes de sa hauteur à quinze jours d’intervalle, par dérobement des genoux. Cette patiente totalement autonome a comme principal antécédent un syndrome de Sheehan depuis plus de 40 ans.
Son traitement habituel associe lévothyroxine (50
#956;g/j), fludrocortisone (25 μg/j), hydrocortisone (20 mg/j), calcium
et vitamine D. À son arrivée aux urgences, le diagnostic de rupture bilatérale des tendons quadricipitaux est posé. La patiente bénéficie d’une prise en charge chirurgicale avec réinsertion bilatérale du tendon quadricipital.
Elle est immobilisée 3 mois, a pu reprendre une marche autonome au décours et regagner son domicile.
Les lésions du tendon quadricipital sont des affections rares du système extenseur du genou. Elles peuvent être
traumatiques, le plus souvent unilatérales, liées à la pratique de certains sports chez des sujets jeunes. Elles sont
parfois spontanées et bilatérales et surviennent généralement chez des patients plus âgés dans un contexte de
pathologies associées (diabète, obésité, polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé, hyperparathyroïdie,
insuffisance rénale chronique, goutte, ostéomalacie) ou de iatrogénie (corticothérapie au long cours, infiltrations répétées de corticoïdes, quinolones, statines).
De façon exceptionnelle, aucune cause favorisante n’est authentifiée.
Le diagnostic est essentiellement clinique à la phase initiale, mais peut nécessiter le recours à l’échographie ou à l’Imagerie par résonnance magnétique (IRM) dans des cas plus complexes.
Le traitement est exclusivement chirurgical et peut donner d’excellents résultats fonctionnels, y compris chez la
personne âgée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=98911
in La revue de gériatrie > 44/3 (Mars 2019) . - p. 181-184[article] Rupture bilatérale spontanée des tendons quadricipitaux chez une patiente de 85 ans sous hydrocortisone au long cours [texte imprimé] / H. Ripault ; Camille Debacq ; Fanny Hennekine ; Marc Lamande ; Céline Lengelle ; Irène Léger . - 2019 . - p. 181-184.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > 44/3 (Mars 2019) . - p. 181-184
Mots-clés : Cortisone Personne âgée Tendon Résumé : RÉSUMÉ
Nous rapportons le cas de Mme D., 85 ans, hospitalisée dans les suites de deux chutes de sa hauteur à quinze jours d’intervalle, par dérobement des genoux. Cette patiente totalement autonome a comme principal antécédent un syndrome de Sheehan depuis plus de 40 ans.
Son traitement habituel associe lévothyroxine (50
#956;g/j), fludrocortisone (25 μg/j), hydrocortisone (20 mg/j), calcium
et vitamine D. À son arrivée aux urgences, le diagnostic de rupture bilatérale des tendons quadricipitaux est posé. La patiente bénéficie d’une prise en charge chirurgicale avec réinsertion bilatérale du tendon quadricipital.
Elle est immobilisée 3 mois, a pu reprendre une marche autonome au décours et regagner son domicile.
Les lésions du tendon quadricipital sont des affections rares du système extenseur du genou. Elles peuvent être
traumatiques, le plus souvent unilatérales, liées à la pratique de certains sports chez des sujets jeunes. Elles sont
parfois spontanées et bilatérales et surviennent généralement chez des patients plus âgés dans un contexte de
pathologies associées (diabète, obésité, polyarthrite rhumatoïde, lupus érythémateux disséminé, hyperparathyroïdie,
insuffisance rénale chronique, goutte, ostéomalacie) ou de iatrogénie (corticothérapie au long cours, infiltrations répétées de corticoïdes, quinolones, statines).
De façon exceptionnelle, aucune cause favorisante n’est authentifiée.
Le diagnostic est essentiellement clinique à la phase initiale, mais peut nécessiter le recours à l’échographie ou à l’Imagerie par résonnance magnétique (IRM) dans des cas plus complexes.
Le traitement est exclusivement chirurgical et peut donner d’excellents résultats fonctionnels, y compris chez la
personne âgée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=98911 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 09332 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible BCGite après traitement endovésical d’un cancer de la vessie : une complication plus grave en gériatrie / Héliette Ripault-Cesbron in La revue de gériatrie, Vol. 48, n°1 (Janvier 2023)
[article]
Titre : BCGite après traitement endovésical d’un cancer de la vessie : une complication plus grave en gériatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Héliette Ripault-Cesbron ; Calyssa Trezy ; Yann Venel ; Philippe Lanotte ; Marc Lamande ; Julie Biogeau ; Véronique Dardaine-Giraud Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 47-52 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur de la vessie urinaire Résumé : Nous rapportons le cas d’un patient de 81 ans, hospitalisé pour altération de l’état général et fièvre. Dans ses antécédents, on note un carcinome urothélial de vessie non infiltrant la musculeuse, traité dix mois auparavant par résection transurétrale suivie de neuf instillations endovésicales de BCG. Une hémoculture et l’étude bactériologique des crachats sur milieu spécifique étaient positives à Mycobacterium bovis-BCG. La tomographie par émission de positons couplée à un scanner (TEP-scanner) a montré des foyers hypermétaboliques pulmonaire droit, ganglionnaires médiastinaux et abdomino-pelviens. Un traitement antituberculeux avait été mis en place, associé à une corticothérapie par voie orale devant une fièvre persistante. L’évolution a été favorable, avec récupération de l’autonomie antérieure. La BCGite est une complication rare, mais grave de la thérapie par le bacille de Calmette et Guérin (BCG). Elle doit être systématiquement recherchée devant une altération de l’état général, même tardive après la dernière instillation. Elle peut être localisée, le plus souvent à l’appareil urogénital, aux os ou aux vaisseaux, ou bien disséminée, fréquemment aux niveaux hépatique et pulmonaire. Les facteurs favorisants sont une infection urinaire et un cathétérisme traumatique lors du geste endoscopique. Le diagnostic repose sur la mise en évidence de la mycobactérie sur les principaux prélèvements bactériologiques ou sur l’existence d’un granulome sur un tissu atteint. Le traite ment comprend une trithérapie antituberculeuse pouvant être associée à une corticothérapie en cas de symptomatologie bruyante initiale. La chirurgie est parfois indiquée dans des formes localisées vasculaires ou osseuses. Le pronostic de l’infection est bon dans la majorité des cas, mais l’âge avancé, le caractère disséminé de l’infection et l’existence de localisations vasculaires sont des éléments péjoratifs. L’arrêt de la BCG-thérapie que la BCGite implique peut également être un élément pronostique défavorable en favorisant la progression tumorale vésicale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10690
in La revue de gériatrie > Vol. 48, n°1 (Janvier 2023) . - p. 47-52[article] BCGite après traitement endovésical d’un cancer de la vessie : une complication plus grave en gériatrie [texte imprimé] / Héliette Ripault-Cesbron ; Calyssa Trezy ; Yann Venel ; Philippe Lanotte ; Marc Lamande ; Julie Biogeau ; Véronique Dardaine-Giraud . - 2023 . - p. 47-52.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol. 48, n°1 (Janvier 2023) . - p. 47-52
Mots-clés : Tumeur de la vessie urinaire Résumé : Nous rapportons le cas d’un patient de 81 ans, hospitalisé pour altération de l’état général et fièvre. Dans ses antécédents, on note un carcinome urothélial de vessie non infiltrant la musculeuse, traité dix mois auparavant par résection transurétrale suivie de neuf instillations endovésicales de BCG. Une hémoculture et l’étude bactériologique des crachats sur milieu spécifique étaient positives à Mycobacterium bovis-BCG. La tomographie par émission de positons couplée à un scanner (TEP-scanner) a montré des foyers hypermétaboliques pulmonaire droit, ganglionnaires médiastinaux et abdomino-pelviens. Un traitement antituberculeux avait été mis en place, associé à une corticothérapie par voie orale devant une fièvre persistante. L’évolution a été favorable, avec récupération de l’autonomie antérieure. La BCGite est une complication rare, mais grave de la thérapie par le bacille de Calmette et Guérin (BCG). Elle doit être systématiquement recherchée devant une altération de l’état général, même tardive après la dernière instillation. Elle peut être localisée, le plus souvent à l’appareil urogénital, aux os ou aux vaisseaux, ou bien disséminée, fréquemment aux niveaux hépatique et pulmonaire. Les facteurs favorisants sont une infection urinaire et un cathétérisme traumatique lors du geste endoscopique. Le diagnostic repose sur la mise en évidence de la mycobactérie sur les principaux prélèvements bactériologiques ou sur l’existence d’un granulome sur un tissu atteint. Le traite ment comprend une trithérapie antituberculeuse pouvant être associée à une corticothérapie en cas de symptomatologie bruyante initiale. La chirurgie est parfois indiquée dans des formes localisées vasculaires ou osseuses. Le pronostic de l’infection est bon dans la majorité des cas, mais l’âge avancé, le caractère disséminé de l’infection et l’existence de localisations vasculaires sont des éléments péjoratifs. L’arrêt de la BCG-thérapie que la BCGite implique peut également être un élément pronostique défavorable en favorisant la progression tumorale vésicale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10690 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 10712 REV.39 Périodique Périodiques / Revues Disponible