Centre de documentation Jolimont
Vendredi 22/11 : 10h – 17h
HORAIRE du 25 au 29 novembre 2024
Lundi 25 10h - 16h20
Mardi 26 10h - 16h20
Mercredi 27 10h – 14h
Jeudi 28 10h - 15h30
Vendredi 29 10h – 17h
FERMETURE QUOTIDIENNE : 12h-12h30
Cdoc fermé ? Glissez les documents à rendre
dans la BOÎTE DE RETOUR, dans le local informatique.
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation HELHa - Santé Jolimont !
.||| TRUCS ET ASTUCES POUR LA RECHERCHE |||
* Utilisez 1 ou 2 mots-clés (PAS de longues phrases!)
* Utilisez de préférence le SINGULIER.
* Utilisez des GUILLEMETS pour chercher des termes exacts ou une expression (par ex. "Personne âgée").
* Si vous avez peu de résultats, utilisez des SYNONYMES.
Détail de l'auteur
Auteur Laura L. Danero |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
"On disait qu'on était des soignants..." : un petit jeu sans conséquences ? / Cédric Juliens in Perspective soignante, 60 (Décembre 2017)
[article]
Titre : "On disait qu'on était des soignants..." : un petit jeu sans conséquences ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Juliens, ; Laura L. Danero Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 7-22 Langues : Français (fre) Mots-clés : Élève infirmier Relations infirmier-patient Formation par simulation Enseignement infirmier:Stage pratique guidé Observation Perception toucher relationnel socialisation corporelle relation au corps formation corporelle écriture sensible soin relationnel Résumé : Les auteurs constatent que la simulation, au sens étroit de la pratique, ne prépare pas les étudiants à aller au contact du corps de l'autre. Par son caractère désincarné, elle délaisse la question de l'initiation, corporelle et psychologique, de l'étudiant, de même que les affects relationnels liés à l'intimité du corps à corps. Les auteurs plaident pour une définition plus large du mot 'simulation' comme dispositif expérientiel d'apprentissage, doublé d'une posture réflexive qui permet de travailler avec l'étudiant la notion de risque inhérent à la confrontation du corps réel.
Au moyen d'ateliers psychocorporels, ils proposent aux étudiants d'expérimenter des situations de soins, en portant l'attention sur les informations sensorielles, le langage non verbal et les contacts interpersonnels. Ensuite, ils identifient avec eux tout ce qui a été mobilisé dans le passage de la sensation à la perception, à travers des exercices d'écriture subjective.
Dans cet article, les auteurs développent la réflexion qui a présidé à l'élaboration de ces ateliers : (1) préparer l'étudiant à recevoir ce qui va surgir à la rencontre du premier patient "alpha", (2) développer les compétences perceptives des étudiants par une éducation sensorielle qui va nourrir leur démarche clinique (observation) et leur potentiel empathique et (3) outiller les étudiants pour pouvoir côtoyer la souffrance.
Il s'agit à leurs yeux de réinvestir l'abord psychocorporel des soins, et, de repenser l'accompagnement des étudiants au chevet, en nommant ce qui peut être appréhendé par la simulation et ce qui ne peut pas l'être.Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92212
in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 7-22[article] "On disait qu'on était des soignants..." : un petit jeu sans conséquences ? [texte imprimé] / Cédric Juliens, ; Laura L. Danero . - 2017 . - p. 7-22.
Langues : Français (fre)
in Perspective soignante > 60 (Décembre 2017) . - p. 7-22
Mots-clés : Élève infirmier Relations infirmier-patient Formation par simulation Enseignement infirmier:Stage pratique guidé Observation Perception toucher relationnel socialisation corporelle relation au corps formation corporelle écriture sensible soin relationnel Résumé : Les auteurs constatent que la simulation, au sens étroit de la pratique, ne prépare pas les étudiants à aller au contact du corps de l'autre. Par son caractère désincarné, elle délaisse la question de l'initiation, corporelle et psychologique, de l'étudiant, de même que les affects relationnels liés à l'intimité du corps à corps. Les auteurs plaident pour une définition plus large du mot 'simulation' comme dispositif expérientiel d'apprentissage, doublé d'une posture réflexive qui permet de travailler avec l'étudiant la notion de risque inhérent à la confrontation du corps réel.
Au moyen d'ateliers psychocorporels, ils proposent aux étudiants d'expérimenter des situations de soins, en portant l'attention sur les informations sensorielles, le langage non verbal et les contacts interpersonnels. Ensuite, ils identifient avec eux tout ce qui a été mobilisé dans le passage de la sensation à la perception, à travers des exercices d'écriture subjective.
Dans cet article, les auteurs développent la réflexion qui a présidé à l'élaboration de ces ateliers : (1) préparer l'étudiant à recevoir ce qui va surgir à la rencontre du premier patient "alpha", (2) développer les compétences perceptives des étudiants par une éducation sensorielle qui va nourrir leur démarche clinique (observation) et leur potentiel empathique et (3) outiller les étudiants pour pouvoir côtoyer la souffrance.
Il s'agit à leurs yeux de réinvestir l'abord psychocorporel des soins, et, de repenser l'accompagnement des étudiants au chevet, en nommant ce qui peut être appréhendé par la simulation et ce qui ne peut pas l'être.Note de contenu : Cet article est extrait de l'ouvrage coordonné par Michel Dupuis et Walter Hesbeen, Simulation et formations aux métiers de la santé, Seli Arslan, 2018. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=92212 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Section Disponibilité 08121 REV.62 Périodique Périodiques / Revues Disponible