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Dépouillements

Activité physique, comportements sédentaires et grossesse : connaissances, conseils et sentiment de compétence des sages-femmes / Laurine Perry in Les dossiers de l'obstétrique, vol. 48, 520 (Février 2022)

Public ISBD [article]  inLes dossiers de l'obstétrique > vol. 48, 520 (Février 2022) . - p. 5-35 Titre : Activité physique, comportements sédentaires et grossesse : connaissances, conseils et sentiment de compétence des sages-femmes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurine Perry Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 5-35 Langues : Français (fre) Mots-clés : Exercice physique  Grossesse  Mode de vie sain  Sage-femme  Sédentarité  Attitude du personnel soignant  Connaissances,Recherche qualitative Résumé : INTRODUCTION : Une recrudescence du temps passé à adopter des comportements sédentaires est observée au 21ème. siècle. La maternité apparaît comme un frein auprès des femmes dans la poursuite ou le commencement d'une activité physique. Or, de nombreux bienfaits ne sont plus à prouver et les sages-femmes, par leurs rôles de prévention et d'informations auprès des femmes, sont au coeur de la promotion de l'activité physique pendant la grossesse. OBJECTIFS : Evaluer le sentiment de compétence des sages-femmes concernant le sujet de l'activité physique et des comportements sédentaires durant la grossesse : étudier leurs connaissances, les conseils délivrés et l'adaptation de leurs discours; mettre en évidence les freins et les besoins ressentis pour promouvoir l'activité physique pendant la grossesse. METHODE : Une étude qualitative descriptive et interprétative a été menée à partir d'entretiens semi-dirigés qui ont permis de recueillir les témoignages de 11 sages-femmes de la région Auvergne-Rhône-Alpes. RESULTATS ET DISCUSSION : Les sages-femmes de l'étude sont conscientes des bénéfices liés à la pratique d'une activité physique pendant la grossesse. Elles se sentent compétentes dans la délivrance de conseils et d'informations quand il s'agit de prévention. Toutefois, nombreuses sont celles qui ressentent des difficultés dans l'accompagnement de certains profils de patientes. L'étude a mis en évidence de nombreux freins et besoins chez ces professionnels de la périnatalité pour promouvoir l'activité physique pendant la grossesse. CONCLUSION : Bien qu'une évolution positive de l'abord de la thématique soit à souligner, la sensibilisation des professionnels sur le sujet semble toujours insuffisante. Il est donc primordial de persévérer à former les professionnels de la périnatalité ainsi que de répondre à leurs besoins, afin de leur donner les clés pour promouvoir l'activité physique pendant la grossesse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10673 [article] Activité physique, comportements sédentaires et grossesse : connaissances, conseils et sentiment de compétence des sages-femmes [texte imprimé] / Laurine Perry . - 2022 . - p. 5-35. Langues : Français (fre) in Les dossiers de l'obstétrique > vol. 48, 520 (Février 2022) . - p. 5-35 Mots-clés : Exercice physique  Grossesse  Mode de vie sain  Sage-femme  Sédentarité  Attitude du personnel soignant  Connaissances,Recherche qualitative Résumé : INTRODUCTION : Une recrudescence du temps passé à adopter des comportements sédentaires est observée au 21ème. siècle. La maternité apparaît comme un frein auprès des femmes dans la poursuite ou le commencement d'une activité physique. Or, de nombreux bienfaits ne sont plus à prouver et les sages-femmes, par leurs rôles de prévention et d'informations auprès des femmes, sont au coeur de la promotion de l'activité physique pendant la grossesse. OBJECTIFS : Evaluer le sentiment de compétence des sages-femmes concernant le sujet de l'activité physique et des comportements sédentaires durant la grossesse : étudier leurs connaissances, les conseils délivrés et l'adaptation de leurs discours; mettre en évidence les freins et les besoins ressentis pour promouvoir l'activité physique pendant la grossesse. METHODE : Une étude qualitative descriptive et interprétative a été menée à partir d'entretiens semi-dirigés qui ont permis de recueillir les témoignages de 11 sages-femmes de la région Auvergne-Rhône-Alpes. RESULTATS ET DISCUSSION : Les sages-femmes de l'étude sont conscientes des bénéfices liés à la pratique d'une activité physique pendant la grossesse. Elles se sentent compétentes dans la délivrance de conseils et d'informations quand il s'agit de prévention. Toutefois, nombreuses sont celles qui ressentent des difficultés dans l'accompagnement de certains profils de patientes. L'étude a mis en évidence de nombreux freins et besoins chez ces professionnels de la périnatalité pour promouvoir l'activité physique pendant la grossesse. CONCLUSION : Bien qu'une évolution positive de l'abord de la thématique soit à souligner, la sensibilisation des professionnels sur le sujet semble toujours insuffisante. Il est donc primordial de persévérer à former les professionnels de la périnatalité ainsi que de répondre à leurs besoins, afin de leur donner les clés pour promouvoir l'activité physique pendant la grossesse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10673

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Intérêt de la mesure de la hauteur utérine dans le dépistage des macrosomes durant le dernier trimestre de grossesse : étude rétrospective bicentrique sur deux ans qui comparait 172 cas de macrosomies à 172 témoins eutrophes in Les dossiers de l'obstétrique, vol. 48, 520 (Février 2022)

Public ISBD [article]  inLes dossiers de l'obstétrique > vol. 48, 520 (Février 2022) . - p. 37-53 Titre : Intérêt de la mesure de la hauteur utérine dans le dépistage des macrosomes durant le dernier trimestre de grossesse : étude rétrospective bicentrique sur deux ans qui comparait 172 cas de macrosomies à 172 témoins eutrophes Type de document : texte imprimé Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 37-53 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anthropométrie  Macrosomie fœtale  Troisième trimestre de grossesse  Dépistage de masse  Poids fœtal Résumé : OBJECTIFS : Premier temps : Analyser la performance de la mesure de la hauteur utérine dans le dépistage des foetus macrosomes. Deuxième temps : Comparer le dépistage de la clinique à celui de l'estimation du poids foetal à l'échographie du troisième trimestre. METHODE : Etude en cas/témoins rétrospective bi-centrique entre Septembre 2018 et Septembre 2020. Premier temps : Les patientes ayant accouchées de nouveau-né présentant un poids supérieur au 90ème percentile selon les courbes AUDIPOG ont été sélectionnées pour constituer le groupe "cas". Une cohorte équivalente de patientes ayant accouchées de nouveau-né présentant un poids compris entre le 10ème et le 90ème percentile composait le groupe "témoins". Deuxième temps : Après étude des dossiers médicaux et pour analyser une population à bas risques, les patientes ont été triées selon des critères de non-inclusion. RESULTATS : Au total 344 patientes ont été incluses dont un effectif équivalent de 172 patientes dans chaque groupe. L'absence de nombreuses mesures de HU, une VPP de 84% et une VPN de 70,9%. aux septième et huitième mois dans les dossiers n'a pas permis de mettre en évidence une corrélation entre ces mesures et les poids de naissance des macrosomes. A terme, cette corrélation était de r=0,27. La HU supérieure ou égale à 34 cm à terme dépistait 64% des macrosomes avec une sensibilité de 63,9%, une spécificité de 87,8%, une VPP de 84 % et une VPN de 70,9 %. En comparaison, l'EPF supérieur au 90ème percentile dépistait 39% des macrosomes avec une sensibilité de 43,3 %, une spécificité de 87,8%, une VPP de 84 % et une VPN de 70,9%. Les deux examens de dépistage prouvent donc leur utilité, en effet, à eux deux seulement 25% des macrosomes restent non dépistés. CONCLUSION : La hauteur utérine a prouvé sa fiabilité dans le dépistage de la macrosomie. La faible sensibilité de l'échographie du troisième trimestre et la mesure de la HU non significative au septième mois pourrait s'expliquer par le faible effectif et la révélation de la macrosomie qu'après 32SA. Il semblerait judicieux de sensibiliser les professionnels de santé sur la mesure de la HU et son intérêt dans le dépistage et d'analyser les échographies effectuées au-delà de 32 SA. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10674 [article] Intérêt de la mesure de la hauteur utérine dans le dépistage des macrosomes durant le dernier trimestre de grossesse : étude rétrospective bicentrique sur deux ans qui comparait 172 cas de macrosomies à 172 témoins eutrophes [texte imprimé] . - 2022 . - p. 37-53. Langues : Français (fre) in Les dossiers de l'obstétrique > vol. 48, 520 (Février 2022) . - p. 37-53 Mots-clés : Anthropométrie  Macrosomie fœtale  Troisième trimestre de grossesse  Dépistage de masse  Poids fœtal Résumé : OBJECTIFS : Premier temps : Analyser la performance de la mesure de la hauteur utérine dans le dépistage des foetus macrosomes. Deuxième temps : Comparer le dépistage de la clinique à celui de l'estimation du poids foetal à l'échographie du troisième trimestre. METHODE : Etude en cas/témoins rétrospective bi-centrique entre Septembre 2018 et Septembre 2020. Premier temps : Les patientes ayant accouchées de nouveau-né présentant un poids supérieur au 90ème percentile selon les courbes AUDIPOG ont été sélectionnées pour constituer le groupe "cas". Une cohorte équivalente de patientes ayant accouchées de nouveau-né présentant un poids compris entre le 10ème et le 90ème percentile composait le groupe "témoins". Deuxième temps : Après étude des dossiers médicaux et pour analyser une population à bas risques, les patientes ont été triées selon des critères de non-inclusion. RESULTATS : Au total 344 patientes ont été incluses dont un effectif équivalent de 172 patientes dans chaque groupe. L'absence de nombreuses mesures de HU, une VPP de 84% et une VPN de 70,9%. aux septième et huitième mois dans les dossiers n'a pas permis de mettre en évidence une corrélation entre ces mesures et les poids de naissance des macrosomes. A terme, cette corrélation était de r=0,27. La HU supérieure ou égale à 34 cm à terme dépistait 64% des macrosomes avec une sensibilité de 63,9%, une spécificité de 87,8%, une VPP de 84 % et une VPN de 70,9 %. En comparaison, l'EPF supérieur au 90ème percentile dépistait 39% des macrosomes avec une sensibilité de 43,3 %, une spécificité de 87,8%, une VPP de 84 % et une VPN de 70,9%. Les deux examens de dépistage prouvent donc leur utilité, en effet, à eux deux seulement 25% des macrosomes restent non dépistés. CONCLUSION : La hauteur utérine a prouvé sa fiabilité dans le dépistage de la macrosomie. La faible sensibilité de l'échographie du troisième trimestre et la mesure de la HU non significative au septième mois pourrait s'expliquer par le faible effectif et la révélation de la macrosomie qu'après 32SA. Il semblerait judicieux de sensibiliser les professionnels de santé sur la mesure de la HU et son intérêt dans le dépistage et d'analyser les échographies effectuées au-delà de 32 SA. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10674

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Produits cosmétiques et grossesse : évaluation des connaissances des sages-femmes d'Alsace / Laure Murat in Les dossiers de l'obstétrique, vol. 48, 520 (Février 2022)

Public ISBD [article]  inLes dossiers de l'obstétrique > vol. 48, 520 (Février 2022) . - p. 55-73 Titre : Produits cosmétiques et grossesse : évaluation des connaissances des sages-femmes d'Alsace Type de document : texte imprimé Auteurs : Laure Murat Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 55-73 Langues : Français (fre) Mots-clés : Grossesse  Cosmétiques  Exposition maternelle  Perturbateurs endocriniens  Sage-femme  Connaissances, attitudes et pratiques en santé Résumé : INTRODUCTION : La sage-femme est un interlocuteur privilégié de la périnatalité, chargée de promotion et de prévention de la santé des femmes et des enfants. Devant la consommation grandissante de cosmétiques, en dehors et durant la grossesse, des études dénoncent les effets perturbateurs endocriniens sur la femme enceinte et son enfant à naître. Du fait de l'impact de l'exposition prénatale à de telles substances, la sage-femme se doit alors d'informer ses patientes et de tenir un discours préventif. Mais disposent-elles de connaissances suffisantes pour le faire ? Les objectifs de cette étude étaient de recueillir les connaissances des sages-femmes d'Alsace sur les produits cosmétiques, ainsi que d'évaluer si ces connaissances sont suffisantes pour prodiguer des conseils adaptés aux femmes enceintes. METHODOLOGIE : Une étude quantitative de type observationnelle descriptive transversale a été réalisée grâce à un questionnaire, auquel 129 sages-femmes on répondu. Celui-ci a été diffusé par e-mail grâce aux CDOSF du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, ainsi que l'Association des Sages-Femmes Libérales d'Alsace. RESULTATS : L'étude a mis en évidence que 75% des sages-femmes disposaient de connaissances convenables et 9% d'entre elles possédaient des connaissance approfondies. Seule la formation professionnelle augmentait significativement le niveau de connaissances. Pourtant, la majorité des sages-femmes (66%) ne semblaient pas être sensibilisées à cette thématique pour répondre aisément aux demandes des femmes enceintes relatives aux cosmétiques. CONCLUSION : Les connaissances des sages-femmes relatives aux produits cosmétiques et leurs risques durant la grossesse semblent satisfaisantes. Toutefois, elles ne se sentent pas confortables devant les interrogations de leurs patientes, révélant alors un besoin de formation à ce sujet. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10674 [article] Produits cosmétiques et grossesse : évaluation des connaissances des sages-femmes d'Alsace [texte imprimé] / Laure Murat . - 2022 . - p. 55-73. Langues : Français (fre) in Les dossiers de l'obstétrique > vol. 48, 520 (Février 2022) . - p. 55-73 Mots-clés : Grossesse  Cosmétiques  Exposition maternelle  Perturbateurs endocriniens  Sage-femme  Connaissances, attitudes et pratiques en santé Résumé : INTRODUCTION : La sage-femme est un interlocuteur privilégié de la périnatalité, chargée de promotion et de prévention de la santé des femmes et des enfants. Devant la consommation grandissante de cosmétiques, en dehors et durant la grossesse, des études dénoncent les effets perturbateurs endocriniens sur la femme enceinte et son enfant à naître. Du fait de l'impact de l'exposition prénatale à de telles substances, la sage-femme se doit alors d'informer ses patientes et de tenir un discours préventif. Mais disposent-elles de connaissances suffisantes pour le faire ? Les objectifs de cette étude étaient de recueillir les connaissances des sages-femmes d'Alsace sur les produits cosmétiques, ainsi que d'évaluer si ces connaissances sont suffisantes pour prodiguer des conseils adaptés aux femmes enceintes. METHODOLOGIE : Une étude quantitative de type observationnelle descriptive transversale a été réalisée grâce à un questionnaire, auquel 129 sages-femmes on répondu. Celui-ci a été diffusé par e-mail grâce aux CDOSF du Haut-Rhin et du Bas-Rhin, ainsi que l'Association des Sages-Femmes Libérales d'Alsace. RESULTATS : L'étude a mis en évidence que 75% des sages-femmes disposaient de connaissances convenables et 9% d'entre elles possédaient des connaissance approfondies. Seule la formation professionnelle augmentait significativement le niveau de connaissances. Pourtant, la majorité des sages-femmes (66%) ne semblaient pas être sensibilisées à cette thématique pour répondre aisément aux demandes des femmes enceintes relatives aux cosmétiques. CONCLUSION : Les connaissances des sages-femmes relatives aux produits cosmétiques et leurs risques durant la grossesse semblent satisfaisantes. Toutefois, elles ne se sentent pas confortables devant les interrogations de leurs patientes, révélant alors un besoin de formation à ce sujet. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbjolimont/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10674

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