Centre de Documentation Gilly
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Auteur Marc-André Raetzo |
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Dosage de la vitamine D : vraiment utile pour tous ? / Amir Makni in Revue médicale suisse, 635 (Janvier 2019)
[article]
Titre : Dosage de la vitamine D : vraiment utile pour tous ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Amir Makni ; Sanaz Lolachi ; Marc-André Raetzo Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 194-197 Langues : Français (fre) Mots-clés : VITAMINE D MÉDICAMENT VITAMINE D SUBSTANCE Résumé : Ces dernières années, le thème de la vitamine D a nourri de très nombreuses publications couvrant des domaines très variés avec comme effet corollaire une surutilisation de son dosage de routine. Toutefois, la substitution ne bénéficie qu’à une petite partie de la population et le dosage systématique de la vitamine D en dehors de situation à risque n’est pas recommandé. Ce dosage de la vitamine D n’a d’intérêt que s’il débouche sur un traitement efficace en cas de déficit. Le but de cet article est de proposer une synthèse des connaissances actuelles sur la vitamine D, en particulier au sujet des indications retenues pour son dosage en pratique clinique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62185
in Revue médicale suisse > 635 (Janvier 2019) . - p. 194-197[article] Dosage de la vitamine D : vraiment utile pour tous ? [texte imprimé] / Amir Makni ; Sanaz Lolachi ; Marc-André Raetzo . - 2019 . - p. 194-197.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 635 (Janvier 2019) . - p. 194-197
Mots-clés : VITAMINE D MÉDICAMENT VITAMINE D SUBSTANCE Résumé : Ces dernières années, le thème de la vitamine D a nourri de très nombreuses publications couvrant des domaines très variés avec comme effet corollaire une surutilisation de son dosage de routine. Toutefois, la substitution ne bénéficie qu’à une petite partie de la population et le dosage systématique de la vitamine D en dehors de situation à risque n’est pas recommandé. Ce dosage de la vitamine D n’a d’intérêt que s’il débouche sur un traitement efficace en cas de déficit. Le but de cet article est de proposer une synthèse des connaissances actuelles sur la vitamine D, en particulier au sujet des indications retenues pour son dosage en pratique clinique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62185 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Informatique et médecine / Marc-André Raetzo in Revue médicale suisse, 546 (Janvier 2017)
[article]
Titre : Informatique et médecine Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc-André Raetzo Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 168 Langues : Français (fre) Mots-clés : MÉDECINE TECHNOLOGIE INFORMATIQUE Résumé : Les spécialistes prédisent la fin des médecins, remplacés par des machines. Ces affirmations sont accueillies avec ironie et scepticisme par les médecins, mais ceci n’empêche pas les acteurs du système de santé d’investir de manière massive dans ce domaine. Si un ordinateur peut conduire une voiture, il doit pouvoir prendre en charge un patient. Il paraît que les voitures Google analysent des milliards d’informations à la seconde, comment donc lutter avec notre pauvre cerveau ?Les assurances-maladie ont déjà commencé à utiliser ces technologies dans tous les domaines du système de soins.Elles s’attaquent ainsi à la prévention, avec des capteurs d’activité connectés à leurs bases de données. Pour la CSS, par exemple la personne qui effectue plus de 10 000 pas en une journée recevra 40 centimes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50339
in Revue médicale suisse > 546 (Janvier 2017) . - p. 168[article] Informatique et médecine [texte imprimé] / Marc-André Raetzo . - 2017 . - p. 168.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 546 (Janvier 2017) . - p. 168
Mots-clés : MÉDECINE TECHNOLOGIE INFORMATIQUE Résumé : Les spécialistes prédisent la fin des médecins, remplacés par des machines. Ces affirmations sont accueillies avec ironie et scepticisme par les médecins, mais ceci n’empêche pas les acteurs du système de santé d’investir de manière massive dans ce domaine. Si un ordinateur peut conduire une voiture, il doit pouvoir prendre en charge un patient. Il paraît que les voitures Google analysent des milliards d’informations à la seconde, comment donc lutter avec notre pauvre cerveau ?Les assurances-maladie ont déjà commencé à utiliser ces technologies dans tous les domaines du système de soins.Elles s’attaquent ainsi à la prévention, avec des capteurs d’activité connectés à leurs bases de données. Pour la CSS, par exemple la personne qui effectue plus de 10 000 pas en une journée recevra 40 centimes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50339 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le médecin (homme) et l’infirmière (femme) ? / Marc-André Raetzo in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
Titre : Le médecin (homme) et l’infirmière (femme) ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc-André Raetzo Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1732 Langues : Français (fre) Résumé :
Les infirmières de pratique avancée (IPA) existent depuis les années 60 en Amérique du Nord. En France, les premières formations ont commencé en 2018, et dès 2000 à Bâle. La différence avec les infirmières spécialisées, c’est la possibilité de leur confier des tâches habituellement réservées aux médecins.1 Sans grande surprise, la chose est plus ou moins bien accueillie par le corps médical.
Traditionnellement, le médecin est un homme (qui commande) et l’infirmière une femme (qui obéit). Les choses changent… On l’a vu avec la grande manifestation des femmes en juin dernier, mais aussi sur les bancs de la faculté de médecine, avec déjà aujourd’hui une majorité de femmes.
Les médecins ont l’obligation de décider en prenant des risques
Mais alors quelle est la différence entre les IPA et les médecins ?
La durée de formation n’est pas très différente (5 ans pour les IPA, 6 pour les médecins/3 ans de stage pour les IPA et 5 pour les médecins). Les deux professions appliquent des guides de pratique et suivent des clinical pathways qui sont bien définis dans la littérature, et qui permettent de formaliser la prise en charge d’un diagnostic précis.
Pas de différence donc ? Pour répondre à cette question, il est intéressant de mieux comprendre comment fonctionne un médecin. La plupart des experts considèrent qu’ils basent leur décisions sur des scripts qu’ils ont construits au cours de leur pratique clinique.2 Ces scripts représentent une série d’informations plus ou moins bien identifiées qui leur permettent d’évaluer de manière intuitive la probabilité d’un diagnostic. On peut déconstruire cette intuition, par exemple avec les scores de Genève pour l’évaluation de la probabilité d’une embolie pulmonaire, mais dans la réalité clinique, il existe encore peu de situations de ce genre. Il est frappant de voir les médecins qui commencent leurs stages en médecine ambulatoire s’inquiéter de laisser partir un patient à la fin d’une consultation, alors qu’ils n’ont pas de diagnostic de certitude, et qu’ils doivent accepter un certain degré d’incertitude. Une petite étude a montré qu’un contexte de probabilité et d’incertitude se rencontre dans plus de 70 % des consultations ambulatoires.3 Les médecins ont ainsi l’obligation de décider en prenant des risques. C’est par la répétition de l’exposition à ces situations que les médecins construisent leurs scripts. La même étude montre cependant que 48 % des consultations utilisent des clinical pathways ou des protocoles, ce qui permettrait aux deux professions d’en prendre la responsabilité. C’est d’ailleurs dans ce champ d’activité que travaillent actuellement les IPA, l’éducation thérapeutique, le suivi des hypertendus, des diabétiques ou des cancéreux par exemple.
On voit donc que la grande différence, c’est la gestion des probabilités et la capacité de prendre des décisions dans l’incertitude. La recherche sur le raisonnement clinique et l’analyse décisionnelle permettront peut-être un jour de formaliser de manière stricte la prise en charge des patients dans toutes les situations et d’éliminer ces incertitudes, mais on en est loin. Les IPA pourraient aussi se former à cette compétence, mais alors, à mon avis, on pourrait dire que ce sont des médecins, et il n’y aurait plus de différence…Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65755
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1732[article] Le médecin (homme) et l’infirmière (femme) ? [texte imprimé] / Marc-André Raetzo . - 2019 . - p. 1732.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1732
Résumé :
Les infirmières de pratique avancée (IPA) existent depuis les années 60 en Amérique du Nord. En France, les premières formations ont commencé en 2018, et dès 2000 à Bâle. La différence avec les infirmières spécialisées, c’est la possibilité de leur confier des tâches habituellement réservées aux médecins.1 Sans grande surprise, la chose est plus ou moins bien accueillie par le corps médical.
Traditionnellement, le médecin est un homme (qui commande) et l’infirmière une femme (qui obéit). Les choses changent… On l’a vu avec la grande manifestation des femmes en juin dernier, mais aussi sur les bancs de la faculté de médecine, avec déjà aujourd’hui une majorité de femmes.
Les médecins ont l’obligation de décider en prenant des risques
Mais alors quelle est la différence entre les IPA et les médecins ?
La durée de formation n’est pas très différente (5 ans pour les IPA, 6 pour les médecins/3 ans de stage pour les IPA et 5 pour les médecins). Les deux professions appliquent des guides de pratique et suivent des clinical pathways qui sont bien définis dans la littérature, et qui permettent de formaliser la prise en charge d’un diagnostic précis.
Pas de différence donc ? Pour répondre à cette question, il est intéressant de mieux comprendre comment fonctionne un médecin. La plupart des experts considèrent qu’ils basent leur décisions sur des scripts qu’ils ont construits au cours de leur pratique clinique.2 Ces scripts représentent une série d’informations plus ou moins bien identifiées qui leur permettent d’évaluer de manière intuitive la probabilité d’un diagnostic. On peut déconstruire cette intuition, par exemple avec les scores de Genève pour l’évaluation de la probabilité d’une embolie pulmonaire, mais dans la réalité clinique, il existe encore peu de situations de ce genre. Il est frappant de voir les médecins qui commencent leurs stages en médecine ambulatoire s’inquiéter de laisser partir un patient à la fin d’une consultation, alors qu’ils n’ont pas de diagnostic de certitude, et qu’ils doivent accepter un certain degré d’incertitude. Une petite étude a montré qu’un contexte de probabilité et d’incertitude se rencontre dans plus de 70 % des consultations ambulatoires.3 Les médecins ont ainsi l’obligation de décider en prenant des risques. C’est par la répétition de l’exposition à ces situations que les médecins construisent leurs scripts. La même étude montre cependant que 48 % des consultations utilisent des clinical pathways ou des protocoles, ce qui permettrait aux deux professions d’en prendre la responsabilité. C’est d’ailleurs dans ce champ d’activité que travaillent actuellement les IPA, l’éducation thérapeutique, le suivi des hypertendus, des diabétiques ou des cancéreux par exemple.
On voit donc que la grande différence, c’est la gestion des probabilités et la capacité de prendre des décisions dans l’incertitude. La recherche sur le raisonnement clinique et l’analyse décisionnelle permettront peut-être un jour de formaliser de manière stricte la prise en charge des patients dans toutes les situations et d’éliminer ces incertitudes, mais on en est loin. Les IPA pourraient aussi se former à cette compétence, mais alors, à mon avis, on pourrait dire que ce sont des médecins, et il n’y aurait plus de différence…Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65755 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Patients complexes / Marc-André Raetzo in Revue médicale suisse, 586 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Patients complexes Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc-André Raetzo Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 2145 Langues : Français (fre) Mots-clés : MALADIE CHRONIQUE PROBLEME TRAITE EN COLLABORATION Résumé : Nous savons que 20 % des patients consomment 80 % des ressources du système de santé. Ce sont pour la plupart des patients souffrant de maladies chroniques. Les maladies chroniques sont donc clairement le défi de notre système de santé pour les années à venir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55938
in Revue médicale suisse > 586 (Décembre 2017) . - p. 2145[article] Patients complexes [texte imprimé] / Marc-André Raetzo . - 2017 . - p. 2145.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 586 (Décembre 2017) . - p. 2145
Mots-clés : MALADIE CHRONIQUE PROBLEME TRAITE EN COLLABORATION Résumé : Nous savons que 20 % des patients consomment 80 % des ressources du système de santé. Ce sont pour la plupart des patients souffrant de maladies chroniques. Les maladies chroniques sont donc clairement le défi de notre système de santé pour les années à venir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=55938 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt À propos du bloc-notes "statines, la médecine immobile", (suite) / Arnaud Janin in Revue médicale suisse, 683 (26 février 2020)
[article]
Titre : À propos du bloc-notes "statines, la médecine immobile", (suite) Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud Janin ; François Pilet ; Marc-André Raetzo Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 420-421 Note générale : Le 30 octobre 2019, dans son bloc-notes intitulé "Statines, la médecine immobile", Bertrand Kiefer relaie les controverses qui existent quant aux indications et à l’(in)utilité des statines.Avec condescendance, le Professeur François Mach lui répond dans le numéro 678 de la RMS du 22 janvier 2020. Langues : Français (fre) Mots-clés : STATINE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67329
in Revue médicale suisse > 683 (26 février 2020) . - p. 420-421[article] À propos du bloc-notes "statines, la médecine immobile", (suite) [texte imprimé] / Arnaud Janin ; François Pilet ; Marc-André Raetzo . - 2020 . - p. 420-421.
Le 30 octobre 2019, dans son bloc-notes intitulé "Statines, la médecine immobile", Bertrand Kiefer relaie les controverses qui existent quant aux indications et à l’(in)utilité des statines.Avec condescendance, le Professeur François Mach lui répond dans le numéro 678 de la RMS du 22 janvier 2020.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 683 (26 février 2020) . - p. 420-421
Mots-clés : STATINE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67329 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Soins intégrés : la solution pour notre système de santé ? / Marc-André Raetzo in Revue médicale suisse, 806 (30 novembre 2022)
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