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Auteur M. Srour |
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Crises fébriles : conduites à tenir / M. Srour in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 36, n° 1 (Février 2023)
[article]
Titre : Crises fébriles : conduites à tenir Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Srour ; M. Périvier Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 8-16 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2022.11.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : Crise fébrile Neurodéveloppement Nourrisson Enfant Epilepsie Facteurs de risque Résumé : Les crises fébriles, entité syndromique définie par une crise épileptique survenant en contexte fébrile, imposent pour leur diagnostic l’élimination d’une infection du système nerveux central et d’une épilepsie préexistante. Du fait de leur physiopathologie complexe (facteurs génétiques, environnementaux et structurel hippocampique) et de leur fréquence (2 à 5 % des enfants entre 6 mois et 5 ans), elles suscitent souvent une réelle inquiétude de prise en charge chez les professionnels de santé. L’objectif de cet article est de proposer une démarche diagnostique et thérapeutique précise et simple, auquel tout médecin confronté à une crise fébrile pourra facilement se référer. À la phase aiguë, le traitement d’urgence (midazolam intrabuccal/diazépam intrarectal) est nécessaire en cas de crise prolongée supérieure à 5minutes, afin d’éviter l’état de mal fébrile, au-delà de 30minutes (risque de lésions cérébrales). En cas de crises fébriles simples, l’EEG, la neuro-imagerie et le traitement de fond prophylactique ne sont pas indiqués. Le traitement d’urgence pourrait être prescrit en cas de facteur de risque de récidive de crise prolongée. Le caractère complexe d’une crise fébrile, ainsi que les antécédents familiaux d’épilepsie sont des facteurs de risque d’épilepsie et de trouble du neurodéveloppement ultérieur, imposant un avis neuropédiatrique, le plus souvent sans urgence. En revanche, l’avis devra être rapide en cas de crise fébrile prolongée/focale précoce avant 12 mois, dans le cadre d’un possible syndrome de Dravet. Enfin, quel que soit le type de crise, l’information, l’éducation thérapeutique et le suivi de la famille dans le cadre d’une consultation post urgence avec le médecin traitant sont essentiels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78851
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 36, n° 1 (Février 2023) . - p. 8-16[article] Crises fébriles : conduites à tenir [texte imprimé] / M. Srour ; M. Périvier . - 2023 . - p. 8-16.
Doi : 10.1016/j.jpp.2022.11.003
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 36, n° 1 (Février 2023) . - p. 8-16
Mots-clés : Crise fébrile Neurodéveloppement Nourrisson Enfant Epilepsie Facteurs de risque Résumé : Les crises fébriles, entité syndromique définie par une crise épileptique survenant en contexte fébrile, imposent pour leur diagnostic l’élimination d’une infection du système nerveux central et d’une épilepsie préexistante. Du fait de leur physiopathologie complexe (facteurs génétiques, environnementaux et structurel hippocampique) et de leur fréquence (2 à 5 % des enfants entre 6 mois et 5 ans), elles suscitent souvent une réelle inquiétude de prise en charge chez les professionnels de santé. L’objectif de cet article est de proposer une démarche diagnostique et thérapeutique précise et simple, auquel tout médecin confronté à une crise fébrile pourra facilement se référer. À la phase aiguë, le traitement d’urgence (midazolam intrabuccal/diazépam intrarectal) est nécessaire en cas de crise prolongée supérieure à 5minutes, afin d’éviter l’état de mal fébrile, au-delà de 30minutes (risque de lésions cérébrales). En cas de crises fébriles simples, l’EEG, la neuro-imagerie et le traitement de fond prophylactique ne sont pas indiqués. Le traitement d’urgence pourrait être prescrit en cas de facteur de risque de récidive de crise prolongée. Le caractère complexe d’une crise fébrile, ainsi que les antécédents familiaux d’épilepsie sont des facteurs de risque d’épilepsie et de trouble du neurodéveloppement ultérieur, imposant un avis neuropédiatrique, le plus souvent sans urgence. En revanche, l’avis devra être rapide en cas de crise fébrile prolongée/focale précoce avant 12 mois, dans le cadre d’un possible syndrome de Dravet. Enfin, quel que soit le type de crise, l’information, l’éducation thérapeutique et le suivi de la famille dans le cadre d’une consultation post urgence avec le médecin traitant sont essentiels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78851 Exemplaires (1)
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