Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Pierre Charazac |
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Le dialogue entre clinique médicale et psychanalyse : quels enjeux pour la liberté des patients en fin d'existence ? / Clotilde Leguil in JALMALV - Jusqu'à la mort accompagner la vie, 149 (Juin 2022)
[article]
Titre : Le dialogue entre clinique médicale et psychanalyse : quels enjeux pour la liberté des patients en fin d'existence ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Clotilde Leguil ; Pierre Charazac ; Bruno Rochas ; Michel Sans Jofre ; Julie Pouget Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 99-107 Note générale : https://doi.org/10.3917/jalmalv.149.0099 Langues : Français (fre) Mots-clés : Fin de vie Psychanalyse Clinique médicale Liberté Soins palliatifs Ethique Résumé : L’expérience de l’analyse conduit à accorder une certaine valeur à la parole et à s’intéresser à ce à quoi on ne s’intéresserait pas habituellement au quotidien. Le fait d’avoir fait sur soi-même l’expérience des effets de la parole permet ensuite d’avoir un autre rapport à la parole et de pouvoir écouter l’autre sans s’identifier, sans avoir besoin de se reconnaître nécessairement pour s’intéresser, finalement, à ce que l’autre dit. C’est-à-dire de pouvoir aborder l’altérité de l’autre sans en être angoissé. En ligne : https://www.cairn.info/revue-jusqu-a-la-mort-accompagner-la-vie-2022-2-page-99.h [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75306
in JALMALV - Jusqu'à la mort accompagner la vie > 149 (Juin 2022) . - p. 99-107[article] Le dialogue entre clinique médicale et psychanalyse : quels enjeux pour la liberté des patients en fin d'existence ? [texte imprimé] / Clotilde Leguil ; Pierre Charazac ; Bruno Rochas ; Michel Sans Jofre ; Julie Pouget . - 2022 . - p. 99-107.
https://doi.org/10.3917/jalmalv.149.0099
Langues : Français (fre)
in JALMALV - Jusqu'à la mort accompagner la vie > 149 (Juin 2022) . - p. 99-107
Mots-clés : Fin de vie Psychanalyse Clinique médicale Liberté Soins palliatifs Ethique Résumé : L’expérience de l’analyse conduit à accorder une certaine valeur à la parole et à s’intéresser à ce à quoi on ne s’intéresserait pas habituellement au quotidien. Le fait d’avoir fait sur soi-même l’expérience des effets de la parole permet ensuite d’avoir un autre rapport à la parole et de pouvoir écouter l’autre sans s’identifier, sans avoir besoin de se reconnaître nécessairement pour s’intéresser, finalement, à ce que l’autre dit. C’est-à-dire de pouvoir aborder l’altérité de l’autre sans en être angoissé. En ligne : https://www.cairn.info/revue-jusqu-a-la-mort-accompagner-la-vie-2022-2-page-99.h [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75306 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Liberté et grande vulnérabilité / Pierre Charazac in JALMALV - Jusqu'à la mort accompagner la vie, 149 (Juin 2022)
[article]
Titre : Liberté et grande vulnérabilité Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Charazac Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 77-87 Note générale : https://doi.org/10.3917/jalmalv.149.0077 Langues : Français (fre) Mots-clés : Liberté Vulnérabilité Syndrome de fragilité Gériatrie Syndrome du glissement Personnel soignant Protection juridique Fin de vie Maison de repos et de soins Résumé : Du point de vue psychique aussi bien que physique, il est difficile de conjuguer liberté et grande vulnérabilité. La vulnérabilité des patients âgés mais aussi celle des soignants réduisent la liberté de pensée et d’agir. Elle impose des contraintes matérielles qui limitent la liberté d’action et placent les soignants devant des injonctions contradictoires, pour ne pas dire paradoxales. Cette liberté s’acquiert, se perd et se regagne sans cesse. En ligne : https://www.cairn.info/revue-jusqu-a-la-mort-accompagner-la-vie-2022-2-page-77.h [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75304
in JALMALV - Jusqu'à la mort accompagner la vie > 149 (Juin 2022) . - p. 77-87[article] Liberté et grande vulnérabilité [texte imprimé] / Pierre Charazac . - 2022 . - p. 77-87.
https://doi.org/10.3917/jalmalv.149.0077
Langues : Français (fre)
in JALMALV - Jusqu'à la mort accompagner la vie > 149 (Juin 2022) . - p. 77-87
Mots-clés : Liberté Vulnérabilité Syndrome de fragilité Gériatrie Syndrome du glissement Personnel soignant Protection juridique Fin de vie Maison de repos et de soins Résumé : Du point de vue psychique aussi bien que physique, il est difficile de conjuguer liberté et grande vulnérabilité. La vulnérabilité des patients âgés mais aussi celle des soignants réduisent la liberté de pensée et d’agir. Elle impose des contraintes matérielles qui limitent la liberté d’action et placent les soignants devant des injonctions contradictoires, pour ne pas dire paradoxales. Cette liberté s’acquiert, se perd et se regagne sans cesse. En ligne : https://www.cairn.info/revue-jusqu-a-la-mort-accompagner-la-vie-2022-2-page-77.h [...] Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75304 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Pertes et dépression au grand âge / Pierre Charazac in Santé mentale, 283 (Décembre 2023)
[article]
Titre : Pertes et dépression au grand âge Auteurs : Pierre Charazac Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 32-37 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Les épreuves du vieillissement ".
Langues : Français (fre) Résumé : Le grand âge confronte à de multiples pertes, qui revêtent deux formes cliniques majeures, l'angoisse et la dépression. Lorsqu'une perte sévère atteint la pensée symbolique, la relance par l'affect reste possible, impliquant alors l'entourage sur le mode de la suppléance.
De même qu’on ne saurait douter du lien existant entre deuil et dépression, on s’attend à ce que les pertes de tous ordres accompagnant l’avancée en âge soient à l’origine d’un état dépressif. Or la clinique remet en question cette évidence car la dépression est loin d’accompagner systématiquement la sénescence (voir aussi l’article de C. de Jaeger, p. 26) et l’on constate même que certaines personnes la surmontent, non seulement en conservant leurs investissements extérieurs mais encore en faisant preuve de créativité. Ces variations et, de manière plus générale, la singularité de chaque vieillesse tiennent à la personnalité du sujet, aux traumatismes qui ont jalonné son histoire et son environnement. Rappelons aussi en introduction que le terme dépression recouvre un large spectre clinique allant de la réaction normale et passagère à un événement jusqu’à l’insupportable douleur morale de la mélancolie à laquelle le sujet ne voit pas d’autre issue que la mort. Il désigne aussi, du point de vue théorique, la « position dépressive », qui constitue une étape essentielle de la construction de soi et de l’objet, selon M. Klein et D.W. Winnicott. Ce concept, sur lequel nous reviendrons, se caractérise par le fait que la réparation et la sublimation ouvrent à la culpabilité, celle-ci faisant toujours partie des affects dépressifs, y compris chez les sujets qui n’ont a priori aucune raison de s’adresser des reproches pour les pertes qu’ils subissent du fait de leur avancée en âge. Ici encore, au moment où ces épreuves réactivent la position dépressive de la petite enfance, interviennent à la fois l’histoire individuelle et la nature de l’environnement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81220
in Santé mentale > 283 (Décembre 2023) . - p. 32-37[article] Pertes et dépression au grand âge [] / Pierre Charazac . - 2023 . - p. 32-37.
Cet article fait partie du dossier " Les épreuves du vieillissement ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 283 (Décembre 2023) . - p. 32-37
Résumé : Le grand âge confronte à de multiples pertes, qui revêtent deux formes cliniques majeures, l'angoisse et la dépression. Lorsqu'une perte sévère atteint la pensée symbolique, la relance par l'affect reste possible, impliquant alors l'entourage sur le mode de la suppléance.
De même qu’on ne saurait douter du lien existant entre deuil et dépression, on s’attend à ce que les pertes de tous ordres accompagnant l’avancée en âge soient à l’origine d’un état dépressif. Or la clinique remet en question cette évidence car la dépression est loin d’accompagner systématiquement la sénescence (voir aussi l’article de C. de Jaeger, p. 26) et l’on constate même que certaines personnes la surmontent, non seulement en conservant leurs investissements extérieurs mais encore en faisant preuve de créativité. Ces variations et, de manière plus générale, la singularité de chaque vieillesse tiennent à la personnalité du sujet, aux traumatismes qui ont jalonné son histoire et son environnement. Rappelons aussi en introduction que le terme dépression recouvre un large spectre clinique allant de la réaction normale et passagère à un événement jusqu’à l’insupportable douleur morale de la mélancolie à laquelle le sujet ne voit pas d’autre issue que la mort. Il désigne aussi, du point de vue théorique, la « position dépressive », qui constitue une étape essentielle de la construction de soi et de l’objet, selon M. Klein et D.W. Winnicott. Ce concept, sur lequel nous reviendrons, se caractérise par le fait que la réparation et la sublimation ouvrent à la culpabilité, celle-ci faisant toujours partie des affects dépressifs, y compris chez les sujets qui n’ont a priori aucune raison de s’adresser des reproches pour les pertes qu’ils subissent du fait de leur avancée en âge. Ici encore, au moment où ces épreuves réactivent la position dépressive de la petite enfance, interviennent à la fois l’histoire individuelle et la nature de l’environnement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81220 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Le placement en institution, acte de soin / Pierre Charazac in La revue de gériatrie, Vol. 26, n° 3 (Mars 2001)
[article]
Titre : Le placement en institution, acte de soin Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Charazac, Auteur Année de publication : 2001 Article en page(s) : pp. 217-224 Langues : Français (fre) Mots-clés : Personne âgée Structure d'accueil Institution Placement Psychologie Traumatisme Note de contenu : 2001 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81349
in La revue de gériatrie > Vol. 26, n° 3 (Mars 2001) . - pp. 217-224[article] Le placement en institution, acte de soin [texte imprimé] / Pierre Charazac, Auteur . - 2001 . - pp. 217-224.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Vol. 26, n° 3 (Mars 2001) . - pp. 217-224
Mots-clés : Personne âgée Structure d'accueil Institution Placement Psychologie Traumatisme Note de contenu : 2001 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81349 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quand la culpabilité se juge au tribunal / Pierre Charazac in Santé mentale, 287 (Avril 2024)
[article]
Titre : Quand la culpabilité se juge au tribunal Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Charazac Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 62-65 Note générale : Cet article fait partie du dossier " La culpabilité ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Attitude du personnel soignant Culpabilité Crime Expertise psychiatrique Justice Passage à l'acte Surmoi Responsabilité pénale Psychanalyse Pulsion Dépression Résumé : Si, pour le juriste comme pour le psychanalyste, la culpabilité résulte d'un processus, le principe de sa contruction diffère sensiblement. Complexe, la situation d’expertise fait interagir deux inconscients mais aussi deux expériences du sentiment de culpabilité.
La justice pénale doit se prononcer sur la culpabilité d’une personne à partir de faits établis. Par ailleurs, l’appréciation de sa responsabilité sous-entend que l’on ne juge pas quelqu’un sur le seul critère de son acte. Il en va tout autrement du sentiment de culpabilité qui, pour Freud (1), ne tire pas son origine d’un acte mais d’une intention interdite qui demeure inconsciente, tout comme le besoin de punition à travers lequel celle-ci se manifeste.
Par conséquent, il est d’autant plus difficile à l’expert, psychologue ou psychiatre, d’estimer si une personne qui n’a pas su (ou pas pu) renoncer à ses pulsions agressives et les a suivies jusqu’au passage à l’acte, a ou non conscience de sa culpabilité. Nous allons tenter de cerner les principaux facteurs qui concourent à cette difficulté lorsque cette question est posée à l’expert au moment de sa déposition aux Assises ou en Cour criminelle (2). Car s’il ne lui appartient pas de se prononcer sur la culpabilité de l’accusé proprement dite, il n’est pas rare qu’il lui soit demandé si, au cours de l’examen, l’accusé lui a confié ce qu’il éprouvait l’égard de la victime.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=83755
in Santé mentale > 287 (Avril 2024) . - p. 62-65[article] Quand la culpabilité se juge au tribunal [texte imprimé] / Pierre Charazac . - 2024 . - p. 62-65.
Cet article fait partie du dossier " La culpabilité ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 287 (Avril 2024) . - p. 62-65
Mots-clés : Attitude du personnel soignant Culpabilité Crime Expertise psychiatrique Justice Passage à l'acte Surmoi Responsabilité pénale Psychanalyse Pulsion Dépression Résumé : Si, pour le juriste comme pour le psychanalyste, la culpabilité résulte d'un processus, le principe de sa contruction diffère sensiblement. Complexe, la situation d’expertise fait interagir deux inconscients mais aussi deux expériences du sentiment de culpabilité.
La justice pénale doit se prononcer sur la culpabilité d’une personne à partir de faits établis. Par ailleurs, l’appréciation de sa responsabilité sous-entend que l’on ne juge pas quelqu’un sur le seul critère de son acte. Il en va tout autrement du sentiment de culpabilité qui, pour Freud (1), ne tire pas son origine d’un acte mais d’une intention interdite qui demeure inconsciente, tout comme le besoin de punition à travers lequel celle-ci se manifeste.
Par conséquent, il est d’autant plus difficile à l’expert, psychologue ou psychiatre, d’estimer si une personne qui n’a pas su (ou pas pu) renoncer à ses pulsions agressives et les a suivies jusqu’au passage à l’acte, a ou non conscience de sa culpabilité. Nous allons tenter de cerner les principaux facteurs qui concourent à cette difficulté lorsque cette question est posée à l’expert au moment de sa déposition aux Assises ou en Cour criminelle (2). Car s’il ne lui appartient pas de se prononcer sur la culpabilité de l’accusé proprement dite, il n’est pas rare qu’il lui soit demandé si, au cours de l’examen, l’accusé lui a confié ce qu’il éprouvait l’égard de la victime.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=83755 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt