Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
La bibliothèque sera fermée le mardi 10 juin dès 11h30 et ainsi que le lundi 23 juin.
Les locaux 140 et 240 seront, comme toujours, mis à votre disposition pour l'étude.
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et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
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Auteur Clément Guineberteau
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[article]
Titre : |
Deux ans après l'autorisation de prescription du midazolam en ville : quelle évolution des pratiques de prescription des médecins généralistes de deux départements français ? |
Type de document : |
partition musicale imprimée |
Auteurs : |
Servane Bérenger ; Clément Guineberteau ; Anne-Déborah Bouhnik ; Aurélien Proux |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 47-59 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Médecin généraliste Soins palliatifs à domicile Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux Benzodiazépine Sédation |
Résumé : |
Dans le but de favoriser le maintien à domicile des patients en soins palliatifs (SP), la prescription de midazolam a été autorisée aux médecins généralistes (MGs) en ville pour la sédation en fin de vie depuis décembre 2021 en France. L’objectif principal était d’évaluer l’impact de l’autorisation de prescription du midazolam en ville sur son utilisation par les MGs de deux départements français.
Matériel et méthodes
Il s’agissait d’une étude observationnelle transversale par questionnaire. L’échantillon a été obtenu en récupérant les adresses mails de 362 MGs des Bouches-du-Rhône connus du réseau de soins palliatifs Resp13 et en Maine-et-Loire via un listing élaboré par tirage au sort parmi 527 MGs. Le questionnaire a été transmis par mail le 15/01/2024, suivi de 2 relances jusqu’au 20/02/2024.
Résultats
Quatre-vingt-deux pour cent des MGs étaient favorables à l’autorisation de prescription du midazolam en ville dans le cadre d’une prise en charge palliative et 55 % déclaraient être plus enclins à l’utiliser depuis cette loi. La plupart des MGs étaient prêts à le prescrire à domicile dans le cadre de l’anxiolyse, de la sédation proportionnée et en moindre mesure pour une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès (SPCMD). La loi avait significativement influencé la prescription (p=0,017) des MGs qui utilisaient déjà le midazolam et plus les MGs avaient pris en charge de patients au cours de l’année 2023, plus ils étaient enclins à modifier leurs prescriptions. Le principal frein à l’utilisation du midazolam en ville était le manque d’outil d’aide à la prescription. L’outil à privilégier serait un protocole accessible via une application.
Conclusion
Cinquante-cinq pour cent des médecins généralistes déclaraient être plus enclins à utiliser le midazolam en soins palliatifs à domicile depuis son autorisation de prescription en ville. Cette autorisation de prescription du midazolam en ville semblerait nécessaire pour inciter les MGs à prescrire une sédation à domicile mais aurait été donnée sans « mode d’emploi ». Cette étude souligne l’importance du soutien des structures d’appui et soulève un manque d’outil d’aide à la prescription. La première demande des MGs serait un protocole d’aide à la prescription et au suivi d’une sédation. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93207 |
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 24, n° 2 (Mars 2025) . - p. 47-59
[article] Deux ans après l'autorisation de prescription du midazolam en ville : quelle évolution des pratiques de prescription des médecins généralistes de deux départements français ? [partition musicale imprimée] / Servane Bérenger ; Clément Guineberteau ; Anne-Déborah Bouhnik ; Aurélien Proux . - 2025 . - p. 47-59. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 24, n° 2 (Mars 2025) . - p. 47-59
Mots-clés : |
Médecin généraliste Soins palliatifs à domicile Prescription de médicaments et/ou de dispositifs médicaux Benzodiazépine Sédation |
Résumé : |
Dans le but de favoriser le maintien à domicile des patients en soins palliatifs (SP), la prescription de midazolam a été autorisée aux médecins généralistes (MGs) en ville pour la sédation en fin de vie depuis décembre 2021 en France. L’objectif principal était d’évaluer l’impact de l’autorisation de prescription du midazolam en ville sur son utilisation par les MGs de deux départements français.
Matériel et méthodes
Il s’agissait d’une étude observationnelle transversale par questionnaire. L’échantillon a été obtenu en récupérant les adresses mails de 362 MGs des Bouches-du-Rhône connus du réseau de soins palliatifs Resp13 et en Maine-et-Loire via un listing élaboré par tirage au sort parmi 527 MGs. Le questionnaire a été transmis par mail le 15/01/2024, suivi de 2 relances jusqu’au 20/02/2024.
Résultats
Quatre-vingt-deux pour cent des MGs étaient favorables à l’autorisation de prescription du midazolam en ville dans le cadre d’une prise en charge palliative et 55 % déclaraient être plus enclins à l’utiliser depuis cette loi. La plupart des MGs étaient prêts à le prescrire à domicile dans le cadre de l’anxiolyse, de la sédation proportionnée et en moindre mesure pour une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès (SPCMD). La loi avait significativement influencé la prescription (p=0,017) des MGs qui utilisaient déjà le midazolam et plus les MGs avaient pris en charge de patients au cours de l’année 2023, plus ils étaient enclins à modifier leurs prescriptions. Le principal frein à l’utilisation du midazolam en ville était le manque d’outil d’aide à la prescription. L’outil à privilégier serait un protocole accessible via une application.
Conclusion
Cinquante-cinq pour cent des médecins généralistes déclaraient être plus enclins à utiliser le midazolam en soins palliatifs à domicile depuis son autorisation de prescription en ville. Cette autorisation de prescription du midazolam en ville semblerait nécessaire pour inciter les MGs à prescrire une sédation à domicile mais aurait été donnée sans « mode d’emploi ». Cette étude souligne l’importance du soutien des structures d’appui et soulève un manque d’outil d’aide à la prescription. La première demande des MGs serait un protocole d’aide à la prescription et au suivi d’une sédation. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93207 |
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Exemplaires (1)
|
REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
État des lieux des pratiques de suivi des patients par les Unités de Soins Palliatifs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Astrid Descolas ; Clément Guineberteau ; Camille Etesse ; Pierre Danneels ; Aude Pignon |
Année de publication : |
2023 |
Article en page(s) : |
p. 127-135 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Soins palliatifs Unités de soins palliatifs Continuité des soins |
Résumé : |
Objectifs
Le suivi par une équipe formée en Soins palliatifs (SP) est un facteur favorisant le maintien à domicile en fin de vie, qui est un souhait majoritaire des français. Les hospitalisations en Unités de soins palliatifs (USP) sont réservées aux situations les plus complexes afin de bénéficier de l’expertise d’une équipe pluri-professionnelle spécialisée. Cette étude visait à décrire au plan national les pratiques de suivi des patients réalisées par les USP au décours d’une hospitalisation.
Méthode
Un questionnaire sur les pratiques de suivi a été envoyé par mail aux 152 USP francophones en juin 2021 par la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). Les réponses ont été analysées par une méthode mixte quantitative et qualitative.
Résultats
Vingt USP ont répondu. Parmi elles, la moitié proposait un suivi par leurs soignants (médecins, psychologues, infirmiers et assistants sociaux) depuis en médiane 5 ans. Cinq prévoyaient d’en mettre en place dans les années à venir. Les USP n’assurant pas de suivi propre, donnaient le relais à des partenaires en SP : équipe mobile, hôpital de jour (HDJ), réseau de SP. Les propositions de suivi étaient diversifiées : réunions de coordination, appels, (télé)consultations, HDJ, propositions de ré-hospitalisations directes. L’objectif principalement cité était celui d’une collaboration avec les acteurs du domicile pour permettre les meilleures conditions de fin de vie possibles.
Conclusion
Les professionnels de l’USP se sentent concernés par le suivi de leurs patients, ce suivi peut prendre différents aspects adaptés aux ressources locales existantes. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78286 |
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 22, n° 3 (Mai 2023) . - p. 127-135
[article] État des lieux des pratiques de suivi des patients par les Unités de Soins Palliatifs [texte imprimé] / Astrid Descolas ; Clément Guineberteau ; Camille Etesse ; Pierre Danneels ; Aude Pignon . - 2023 . - p. 127-135. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 22, n° 3 (Mai 2023) . - p. 127-135
Mots-clés : |
Soins palliatifs Unités de soins palliatifs Continuité des soins |
Résumé : |
Objectifs
Le suivi par une équipe formée en Soins palliatifs (SP) est un facteur favorisant le maintien à domicile en fin de vie, qui est un souhait majoritaire des français. Les hospitalisations en Unités de soins palliatifs (USP) sont réservées aux situations les plus complexes afin de bénéficier de l’expertise d’une équipe pluri-professionnelle spécialisée. Cette étude visait à décrire au plan national les pratiques de suivi des patients réalisées par les USP au décours d’une hospitalisation.
Méthode
Un questionnaire sur les pratiques de suivi a été envoyé par mail aux 152 USP francophones en juin 2021 par la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (SFAP). Les réponses ont été analysées par une méthode mixte quantitative et qualitative.
Résultats
Vingt USP ont répondu. Parmi elles, la moitié proposait un suivi par leurs soignants (médecins, psychologues, infirmiers et assistants sociaux) depuis en médiane 5 ans. Cinq prévoyaient d’en mettre en place dans les années à venir. Les USP n’assurant pas de suivi propre, donnaient le relais à des partenaires en SP : équipe mobile, hôpital de jour (HDJ), réseau de SP. Les propositions de suivi étaient diversifiées : réunions de coordination, appels, (télé)consultations, HDJ, propositions de ré-hospitalisations directes. L’objectif principalement cité était celui d’une collaboration avec les acteurs du domicile pour permettre les meilleures conditions de fin de vie possibles.
Conclusion
Les professionnels de l’USP se sentent concernés par le suivi de leurs patients, ce suivi peut prendre différents aspects adaptés aux ressources locales existantes. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78286 |
|  |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Prescriptions anticipées personnalisées en soins palliatifs à domicile et médecine générale |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marie Faucon Millord ; Matthieu Peurois ; Matthieu Chopin ; Emilie Le Pape ; Clément Guineberteau |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 126-134 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Soins palliatifs Médecine générale Signes et symptômes Soins à domicile Accompagnement de la fin de vie |
Résumé : |
Introduction
En soins palliatifs (SP), une des solutions pour faciliter le maintien à domicile est la rédaction de prescriptions anticipées personnalisées (PAPs). L’objectif était de déterminer la proportion de patients en SP suivis à domicile pour laquelle les médecins généralistes (MGs) avaient rédigé des PAPs, ainsi que les circonstances et les modalités de ces PAPs.
Méthodes
Une étude observationnelle, descriptive, transversale, rétrospective, par questionnaires auprès des MGs du département 49, a été menée de juillet à août 2020. Au total, 350 MGs ont été tirés au sort. Le critère de jugement principal était calculé en établissant le rapport entre le nombre de patients ayant bénéficié de PAPs et le nombre de patients en SP. Les statistiques ont été réalisées à l’aide du logiciel biostaTGV.
Résultats
Le taux de réponses était de 15 %. La population des MG étudiée n’était pas significativement différente de la population de référence. La proportion de patients en SP pour lesquels des PAPs avaient été rédigées était de 77 %. Les MGs rédacteurs de PAPs semblaient en moyenne installés depuis plus longtemps et suivaient plus de patients en SP que les non-rédacteurs. Les symptômes les plus fréquemment à l’origine de PAPs étaient la douleur et l’anxiété. Les symptômes respiratoires étaient les symptômes les plus durs à gérer. Les PAPs rédigées avaient été utilisées dans 84,4 % des cas, réalisées le plus souvent par un(e) IDE.
Conclusion
Les PAPs sont souvent rédigées et utilisées dans les situations de SP à domicile. Une étude plus large permettrait de mieux en cerner les profils. |
Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.medpal.2021.10.002 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75077 |
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 3 (Mai 2022) . - p. 126-134
[article] Prescriptions anticipées personnalisées en soins palliatifs à domicile et médecine générale [texte imprimé] / Marie Faucon Millord ; Matthieu Peurois ; Matthieu Chopin ; Emilie Le Pape ; Clément Guineberteau . - 2022 . - p. 126-134. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 3 (Mai 2022) . - p. 126-134
Mots-clés : |
Soins palliatifs Médecine générale Signes et symptômes Soins à domicile Accompagnement de la fin de vie |
Résumé : |
Introduction
En soins palliatifs (SP), une des solutions pour faciliter le maintien à domicile est la rédaction de prescriptions anticipées personnalisées (PAPs). L’objectif était de déterminer la proportion de patients en SP suivis à domicile pour laquelle les médecins généralistes (MGs) avaient rédigé des PAPs, ainsi que les circonstances et les modalités de ces PAPs.
Méthodes
Une étude observationnelle, descriptive, transversale, rétrospective, par questionnaires auprès des MGs du département 49, a été menée de juillet à août 2020. Au total, 350 MGs ont été tirés au sort. Le critère de jugement principal était calculé en établissant le rapport entre le nombre de patients ayant bénéficié de PAPs et le nombre de patients en SP. Les statistiques ont été réalisées à l’aide du logiciel biostaTGV.
Résultats
Le taux de réponses était de 15 %. La population des MG étudiée n’était pas significativement différente de la population de référence. La proportion de patients en SP pour lesquels des PAPs avaient été rédigées était de 77 %. Les MGs rédacteurs de PAPs semblaient en moyenne installés depuis plus longtemps et suivaient plus de patients en SP que les non-rédacteurs. Les symptômes les plus fréquemment à l’origine de PAPs étaient la douleur et l’anxiété. Les symptômes respiratoires étaient les symptômes les plus durs à gérer. Les PAPs rédigées avaient été utilisées dans 84,4 % des cas, réalisées le plus souvent par un(e) IDE.
Conclusion
Les PAPs sont souvent rédigées et utilisées dans les situations de SP à domicile. Une étude plus large permettrait de mieux en cerner les profils. |
Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.medpal.2021.10.002 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75077 |
|  |
Exemplaires (1)
|
REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Représentations des équipes mobiles de soins palliatifs à propos de l’utilisation d’un guide sur les pratiques sédatives, étude qualitative en entretiens collectifs semi-dirigés |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Camille Etesse ; Clément Guineberteau ; Bastien Dupont ; Emilie Lepape ; Marie Petit |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 200-209 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Sédation profonde Unités sanitaires mobiles Soins palliatifs Protocoles cliniques Diffusion de l'information Formation en interne Attitude du personnel soignant Guides de bonnes pratiques cliniques comme sujet |
Résumé : |
INTRODUCTION
Plusieurs études ont montré qu’il existe une confusion entre les différents types de sédation et que l’appropriation des référentiels existants est inégale par les professionnels. Les équipes mobiles de soins palliatifs (EMSP), avec une activité intra- et extrahospitalière sont le premier recours en matière de pratiques sédatives. Cette étude explorait les représentations des EMSP concernant l’utilisation d’un guide sur les pratiques sédatives (GPS).
MATERIELS ET METHODES
Étude qualitative réalisée auprès des 5 EMSP d’un département français, par entretiens collectifs semi-dirigés, entre août 2020 et mai 2021.
RESULTATS
La première réaction était la peur des protocoles médicamenteux qui favoriserait les dérives euthanasiantes par perte de collégialité et d’analyse des situations. En disposant de protocoles, les professionnels auraient moins recours aux EMSP. Les EMSP envisageaient donc de maîtriser la diffusion d’un guide. Malgré leurs craintes, les EMSP considéraient les supports écrits comme des supports de formation rassurants, qui obligeraient à une clarification de la pensée. Un guide pourrait être un outil de médiation favorisant la collégialité. Ce guide venait questionner le rôle des EMSP dans les pratiques sédatives. Les EMSP se considéraient comme les garants des bonnes pratiques en soins palliatifs bien que leur champ d’action soit limité par leur disponibilité.
CONCLUSION
Cette étude suggérait qu’un GPS pourrait renforcer l’activité du réseau de soins palliatifs en améliorant la formation des professionnels de terrain et en donnant de la visibilité aux acteurs-ressources territoriaux. Un support informatique serait intéressant. |
Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.medpal.2021.12.001 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75595 |
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 4 (Août 2022) . - p. 200-209
[article] Représentations des équipes mobiles de soins palliatifs à propos de l’utilisation d’un guide sur les pratiques sédatives, étude qualitative en entretiens collectifs semi-dirigés [texte imprimé] / Camille Etesse ; Clément Guineberteau ; Bastien Dupont ; Emilie Lepape ; Marie Petit . - 2022 . - p. 200-209. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 4 (Août 2022) . - p. 200-209
Mots-clés : |
Sédation profonde Unités sanitaires mobiles Soins palliatifs Protocoles cliniques Diffusion de l'information Formation en interne Attitude du personnel soignant Guides de bonnes pratiques cliniques comme sujet |
Résumé : |
INTRODUCTION
Plusieurs études ont montré qu’il existe une confusion entre les différents types de sédation et que l’appropriation des référentiels existants est inégale par les professionnels. Les équipes mobiles de soins palliatifs (EMSP), avec une activité intra- et extrahospitalière sont le premier recours en matière de pratiques sédatives. Cette étude explorait les représentations des EMSP concernant l’utilisation d’un guide sur les pratiques sédatives (GPS).
MATERIELS ET METHODES
Étude qualitative réalisée auprès des 5 EMSP d’un département français, par entretiens collectifs semi-dirigés, entre août 2020 et mai 2021.
RESULTATS
La première réaction était la peur des protocoles médicamenteux qui favoriserait les dérives euthanasiantes par perte de collégialité et d’analyse des situations. En disposant de protocoles, les professionnels auraient moins recours aux EMSP. Les EMSP envisageaient donc de maîtriser la diffusion d’un guide. Malgré leurs craintes, les EMSP considéraient les supports écrits comme des supports de formation rassurants, qui obligeraient à une clarification de la pensée. Un guide pourrait être un outil de médiation favorisant la collégialité. Ce guide venait questionner le rôle des EMSP dans les pratiques sédatives. Les EMSP se considéraient comme les garants des bonnes pratiques en soins palliatifs bien que leur champ d’action soit limité par leur disponibilité.
CONCLUSION
Cette étude suggérait qu’un GPS pourrait renforcer l’activité du réseau de soins palliatifs en améliorant la formation des professionnels de terrain et en donnant de la visibilité aux acteurs-ressources territoriaux. Un support informatique serait intéressant. |
Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.medpal.2021.12.001 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75595 |
|  |
Exemplaires (1)
|
REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

[article]
Titre : |
Sédation profonde et continue jusqu’au décès et décision partagée |
Type de document : |
document graphique à deux dimensions |
Auteurs : |
Lucie Levet ; Clément Guineberteau ; Catherine Plotton ; Anne-Victoire Fayolle ; Xavier Gocko |
Année de publication : |
2022 |
Article en page(s) : |
p. 157-165 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Prise de décisions partagée Médecine générale Sédation profonde Soins palliatifs Revue de la littérature |
Résumé : |
Contexte
Dans de nombreux pays, les patients en fin de vie, sous certaines conditions ont la possibilité d’une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès (SPCMD). La SPCMD fait-elle l’objet d’un processus de décision partagée ? L’objectif de ce travail était de décrire la place des patients, de l’entourage et des soignants dans la décision de SPCMD.
Méthodes
Une revue systématique de la littérature a été réalisée sur la base de données Medline®. Pour être inclus, les articles en langue anglaise ou française, publiés entre 2014 et 2019 devaient aborder la SPCMD et la décision partagée. Les revues de la littérature et méta-analyses, essais cliniques randomisés, études observationnelles, cases report et études qualitatives ont été inclus.
Résultats
Huit études quantitatives observationnelles et quatre études qualitatives ont été sélectionnées et analysées. La participation des patients à la décision de SPCMD dans les études quantitatives variait de 33 % dans les études sur dossiers à 75 % dans les enquêtes déclaratives auprès des soignants. La participation de l’entourage variait de 30 % à plus de 90 % dans les études déclaratives auprès de l’entourage et des soignants. Dans les études qualitatives, la discussion semblait plus ouverte dans les pays où l’euthanasie et/ou le suicide médicalement assisté (SMA) étaient légaux.
Conclusion
Selon sa posture « paternaliste » à « informative et participative », le médecin peut décider ou accompagner le patient et son entourage et vérifier la conformité de la demande de SPCMD |
Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.medpal.2021.09.001 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75081 |
in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 3 (Mai 2022) . - p. 157-165
[article] Sédation profonde et continue jusqu’au décès et décision partagée [document graphique à deux dimensions] / Lucie Levet ; Clément Guineberteau ; Catherine Plotton ; Anne-Victoire Fayolle ; Xavier Gocko . - 2022 . - p. 157-165. Langues : Français ( fre) in Médecine palliative. Soins de support - Accompagnement - Ethique > Vol. 21, n° 3 (Mai 2022) . - p. 157-165
Mots-clés : |
Prise de décisions partagée Médecine générale Sédation profonde Soins palliatifs Revue de la littérature |
Résumé : |
Contexte
Dans de nombreux pays, les patients en fin de vie, sous certaines conditions ont la possibilité d’une sédation profonde et continue maintenue jusqu’au décès (SPCMD). La SPCMD fait-elle l’objet d’un processus de décision partagée ? L’objectif de ce travail était de décrire la place des patients, de l’entourage et des soignants dans la décision de SPCMD.
Méthodes
Une revue systématique de la littérature a été réalisée sur la base de données Medline®. Pour être inclus, les articles en langue anglaise ou française, publiés entre 2014 et 2019 devaient aborder la SPCMD et la décision partagée. Les revues de la littérature et méta-analyses, essais cliniques randomisés, études observationnelles, cases report et études qualitatives ont été inclus.
Résultats
Huit études quantitatives observationnelles et quatre études qualitatives ont été sélectionnées et analysées. La participation des patients à la décision de SPCMD dans les études quantitatives variait de 33 % dans les études sur dossiers à 75 % dans les enquêtes déclaratives auprès des soignants. La participation de l’entourage variait de 30 % à plus de 90 % dans les études déclaratives auprès de l’entourage et des soignants. Dans les études qualitatives, la discussion semblait plus ouverte dans les pays où l’euthanasie et/ou le suicide médicalement assisté (SMA) étaient légaux.
Conclusion
Selon sa posture « paternaliste » à « informative et participative », le médecin peut décider ou accompagner le patient et son entourage et vérifier la conformité de la demande de SPCMD |
Note de contenu : |
Doi : 10.1016/j.medpal.2021.09.001 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75081 |
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Exemplaires (1)
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |

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