Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Détail de l'auteur
Auteur K. Gnep |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
Analyses visuelles et quantitatives de la TEP au 18-FDG double temps pour différencier progression et radionécrose après radiothérapie des métastases cérébrales / Julien Farce in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : Analyses visuelles et quantitatives de la TEP au 18-FDG double temps pour différencier progression et radionécrose après radiothérapie des métastases cérébrales Type de document : texte imprimé Auteurs : Julien Farce ; X. Palard-Novello ; B. Carsin Nicol ; I. Lecouillard ; E. Vauléon ; P.J. Le Reste ; K. Gnep ; A. Girard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 193-194 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.062 Langues : Français (fre) Mots-clés : 18F-FDG MÉTASTASE NEUROLOGIE ONCOLOGIE Résumé :
Introduction
La radionécrose est une complication fréquente de la radiothérapie stéréotaxique des métastases cérébrales. Lors de la surveillance par IRM, l’apparition d’une prise de contraste en zone irradiée ne permet pas toujours de distinguer une radionécrose d’une progression tumorale. L’objectif de cette étude est d’évaluer les performances diagnostiques de la TEP au 18-FDG avec seconde acquisition tardive pour différencier la progression tumorale et radionécrose, en comparant les analyses visuelles et quantitatives.
Méthodes
Pour cette étude monocentrique, ont été inclus rétrospectivement les patients ayant été traités par radiothérapie stéréotaxique pour des métastases cérébrales et présentant une prise de contraste douteuse à l’imagerie morphologique lors de la surveillance. La TEP au 18-FDG comportait deux temps d’acquisition, respectivement à 1h et 4h30 après injection du traceur. Une lésion était considérée comme évocatrice de progression en analyse visuelle si son métabolisme était supérieur à celui du cortex sain sur les images acquises tardivement (6 sur une échelle validée de 1 à 6) ; en analyse quantitative en cas d’index [(L2/SG2)–(L1/SG1)]/(L1/SG1)>0,25, (où L1 et L2 sont les SUVmax de la lésion, et SG1 et SG2 les SUVmax de la substance grise saine, respectivement aux temps précoces et tardives, comme publié en 2011). Ces résultats étaient comparés aux analyses anatomopathologiques des lésions lorsqu’elles étaient disponibles, à un suivi IRM d’au moins 6 mois sinon. Les exactitudes diagnostiques et les AUC des analyses visuelles et quantitatives ont été comparées.
Résultats
Dix-huit lésions ont été analysées, chez 16 patients (10 cancers primitifs pulmonaires, 4 mammaires, 2 colorectaux, 1 mélanome et 1 UCNT). Sept lésions étaient des progressions (dont 6 prouvées histologiquement). Les sensibilités, spécificités et exactitudes diagnostiques étaient respectivement de 71 %, 82 % et 78 % pour l’analyse visuelle au temps tardif et 71 %, 91 % et 83 % pour l’analyse quantitative. Il n’a pas été mis en évidence de différence significative ni entre les exactitudes diagnostiques (p=1,0), ni les AUC des analyses visuelles (AUC=0,86) et quantitatives (AUC=0,87) (p=0,81).
Conclusion
La TEP au 18-FDG avec seconde acquisition tardive permet de distinguer la progression tumorale et radionécrose cérébrale en cas de doute à l’imagerie morphologique, avec une exactitude diagnostique de 83 % en analyse quantitative, sans différence significative avec l’analyse visuelle.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63310
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 193-194[article] Analyses visuelles et quantitatives de la TEP au 18-FDG double temps pour différencier progression et radionécrose après radiothérapie des métastases cérébrales [texte imprimé] / Julien Farce ; X. Palard-Novello ; B. Carsin Nicol ; I. Lecouillard ; E. Vauléon ; P.J. Le Reste ; K. Gnep ; A. Girard . - 2019 . - p. 193-194.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.062
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 193-194
Mots-clés : 18F-FDG MÉTASTASE NEUROLOGIE ONCOLOGIE Résumé :
Introduction
La radionécrose est une complication fréquente de la radiothérapie stéréotaxique des métastases cérébrales. Lors de la surveillance par IRM, l’apparition d’une prise de contraste en zone irradiée ne permet pas toujours de distinguer une radionécrose d’une progression tumorale. L’objectif de cette étude est d’évaluer les performances diagnostiques de la TEP au 18-FDG avec seconde acquisition tardive pour différencier la progression tumorale et radionécrose, en comparant les analyses visuelles et quantitatives.
Méthodes
Pour cette étude monocentrique, ont été inclus rétrospectivement les patients ayant été traités par radiothérapie stéréotaxique pour des métastases cérébrales et présentant une prise de contraste douteuse à l’imagerie morphologique lors de la surveillance. La TEP au 18-FDG comportait deux temps d’acquisition, respectivement à 1h et 4h30 après injection du traceur. Une lésion était considérée comme évocatrice de progression en analyse visuelle si son métabolisme était supérieur à celui du cortex sain sur les images acquises tardivement (6 sur une échelle validée de 1 à 6) ; en analyse quantitative en cas d’index [(L2/SG2)–(L1/SG1)]/(L1/SG1)>0,25, (où L1 et L2 sont les SUVmax de la lésion, et SG1 et SG2 les SUVmax de la substance grise saine, respectivement aux temps précoces et tardives, comme publié en 2011). Ces résultats étaient comparés aux analyses anatomopathologiques des lésions lorsqu’elles étaient disponibles, à un suivi IRM d’au moins 6 mois sinon. Les exactitudes diagnostiques et les AUC des analyses visuelles et quantitatives ont été comparées.
Résultats
Dix-huit lésions ont été analysées, chez 16 patients (10 cancers primitifs pulmonaires, 4 mammaires, 2 colorectaux, 1 mélanome et 1 UCNT). Sept lésions étaient des progressions (dont 6 prouvées histologiquement). Les sensibilités, spécificités et exactitudes diagnostiques étaient respectivement de 71 %, 82 % et 78 % pour l’analyse visuelle au temps tardif et 71 %, 91 % et 83 % pour l’analyse quantitative. Il n’a pas été mis en évidence de différence significative ni entre les exactitudes diagnostiques (p=1,0), ni les AUC des analyses visuelles (AUC=0,86) et quantitatives (AUC=0,87) (p=0,81).
Conclusion
La TEP au 18-FDG avec seconde acquisition tardive permet de distinguer la progression tumorale et radionécrose cérébrale en cas de doute à l’imagerie morphologique, avec une exactitude diagnostique de 83 % en analyse quantitative, sans différence significative avec l’analyse visuelle.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63310 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiothérapie adaptative : stratégies et bénéfices selon les localisations tumorales / A. Briens in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Radiothérapie adaptative : stratégies et bénéfices selon les localisations tumorales Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Briens ; J. Castelli ; A. Barateau ; N. Jaksic ; K. Gnep ; A. Simon ; R. De Crevoisier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 592-608 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.135 Langues : Français (fre) Résumé : La radiothérapie adaptative est une modalité de radiothérapie guidée par l’image avancée intégrant plusieurs planifications pour prendre en compte les variations anatomiques survenant en cours d’irradiation. Schématiquement, deux stratégies de radiothérapie adaptative peuvent être distinguées et combinées selon les localisations tumorales. Une ou plusieurs nouvelles planifications peuvent être proposées pour corriger les variations systématiques telles qu‘une fonte tumorale. Une librairie de plans de traitement avec sélection du plan du jour à partir d’une imagerie d’avant le traitement peut par ailleurs être proposée pour corriger les variations aléatoires telles que les bascules de l’utérus ou les variations de volumes de vessie et/ou de rectum. Du fait de fortes variations anatomiques en cours d’irradiation, la radiothérapie adaptative apparaît ainsi particulièrement justifiée pour les tumeurs de la sphère ORL, bronchiques, de la vessie, du col utérin, du rectum, du pancréas, et dans une moindre mesure pour les tumeurs de la prostate et d’autres tumeurs digestives. Pour ces localisations, la radiothérapie adaptative apporte un bénéfice dosimétrique clairement quantifié mais un bénéfice clinique non encore formellement démontré. De ce fait, la radiothérapie adaptative ne peut être proposée dans une pratique de routine clinique mais doit être évaluée sur le plan médicoéconomique dans le cadre d’essais prospectifs. Un contrôle qualité rigoureux doit y être associé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66130
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 592-608[article] Radiothérapie adaptative : stratégies et bénéfices selon les localisations tumorales [texte imprimé] / A. Briens ; J. Castelli ; A. Barateau ; N. Jaksic ; K. Gnep ; A. Simon ; R. De Crevoisier . - 2019 . - p. 592-608.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.135
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 592-608
Résumé : La radiothérapie adaptative est une modalité de radiothérapie guidée par l’image avancée intégrant plusieurs planifications pour prendre en compte les variations anatomiques survenant en cours d’irradiation. Schématiquement, deux stratégies de radiothérapie adaptative peuvent être distinguées et combinées selon les localisations tumorales. Une ou plusieurs nouvelles planifications peuvent être proposées pour corriger les variations systématiques telles qu‘une fonte tumorale. Une librairie de plans de traitement avec sélection du plan du jour à partir d’une imagerie d’avant le traitement peut par ailleurs être proposée pour corriger les variations aléatoires telles que les bascules de l’utérus ou les variations de volumes de vessie et/ou de rectum. Du fait de fortes variations anatomiques en cours d’irradiation, la radiothérapie adaptative apparaît ainsi particulièrement justifiée pour les tumeurs de la sphère ORL, bronchiques, de la vessie, du col utérin, du rectum, du pancréas, et dans une moindre mesure pour les tumeurs de la prostate et d’autres tumeurs digestives. Pour ces localisations, la radiothérapie adaptative apporte un bénéfice dosimétrique clairement quantifié mais un bénéfice clinique non encore formellement démontré. De ce fait, la radiothérapie adaptative ne peut être proposée dans une pratique de routine clinique mais doit être évaluée sur le plan médicoéconomique dans le cadre d’essais prospectifs. Un contrôle qualité rigoureux doit y être associé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66130 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Salvage reirradiation for local prostate cancer recurrence after radiation therapy. For who? When? How? / M. Baty in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Salvage reirradiation for local prostate cancer recurrence after radiation therapy. For who? When? How? Titre original : Réirradiation de rattrapage pour les cancers de prostate après irradiation première. Pour qui ? Quand ? Comment ? Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Baty ; G. Créhange ; D. Pasquier ; X. Palard ; A. Deleuze ; K. Gnep ; S. Key ; R. De Crevoisier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 541-558 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.125 Langues : Anglais (eng) Résumé :
Objectif de l’étude
Il s’agit d’une revue de la littérature rapportant les résultats de la curiethérapie et de la réirradiation en conditions stéréotaxiques dans le cadre de récidive prostatique exclusive après radiothérapie de cancer de prostate.
Matériels et méthodes
Trente-huit études ont été analysées (incluant au moins 15 patients par étude) : 19 utilisant une curiethérapie de bas débit de dose, neuf une curiethérapie de haut débit de dose et dix une radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Cinq études étaient prospectives. Le nombre médian de patients était de 30 pour la curiethérapie de bas débit de dose, 34 pour la curiethérapie de haut débit de dose et 30 pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Le suivi médian des études était respectivement de 47, 36 et 21 mois.
Résultats
Les taux de toxicité tardive urinaire de grade 2 variaient de 4 à 42 % pour la curiethérapie de bas débit de dose, de 7 à 54 % pour la curiethérapie de haut débit de dose, et de 3 à 20 % pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques ; de grade 3 respectivement de 0 à 24 %, de 0 à 13 % et de 0 à 3 % (sauf 12 % dans une étude). Les taux de toxicité tardive digestive de grade 2 variaient respectivement de 0 à 6 %, de 0 à 14 %, et de 0 à 11 % ; ceux de grade 3 de 0 à 6 % pour la curiethérapie de bas débit de dose, et de 0 à 1 % pour la curiethérapie de haut débit de dose et la radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Les taux de survie sans progression biochimique à 5 ans étaient de 20 à 77 % pour la curiethérapie de bas débit de dose et de 51 à 68 % pour la curiethérapie de haut débit de dose. À 2 et 3 ans, ils variaient de 40 à 82 % pour radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Des facteurs pronostiques de rechute biochimique ont été identifiés.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66124
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 541-558[article] Salvage reirradiation for local prostate cancer recurrence after radiation therapy. For who? When? How? = Réirradiation de rattrapage pour les cancers de prostate après irradiation première. Pour qui ? Quand ? Comment ? [texte imprimé] / M. Baty ; G. Créhange ; D. Pasquier ; X. Palard ; A. Deleuze ; K. Gnep ; S. Key ; R. De Crevoisier . - 2019 . - p. 541-558.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.125
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 541-558
Résumé :
Objectif de l’étude
Il s’agit d’une revue de la littérature rapportant les résultats de la curiethérapie et de la réirradiation en conditions stéréotaxiques dans le cadre de récidive prostatique exclusive après radiothérapie de cancer de prostate.
Matériels et méthodes
Trente-huit études ont été analysées (incluant au moins 15 patients par étude) : 19 utilisant une curiethérapie de bas débit de dose, neuf une curiethérapie de haut débit de dose et dix une radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Cinq études étaient prospectives. Le nombre médian de patients était de 30 pour la curiethérapie de bas débit de dose, 34 pour la curiethérapie de haut débit de dose et 30 pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Le suivi médian des études était respectivement de 47, 36 et 21 mois.
Résultats
Les taux de toxicité tardive urinaire de grade 2 variaient de 4 à 42 % pour la curiethérapie de bas débit de dose, de 7 à 54 % pour la curiethérapie de haut débit de dose, et de 3 à 20 % pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques ; de grade 3 respectivement de 0 à 24 %, de 0 à 13 % et de 0 à 3 % (sauf 12 % dans une étude). Les taux de toxicité tardive digestive de grade 2 variaient respectivement de 0 à 6 %, de 0 à 14 %, et de 0 à 11 % ; ceux de grade 3 de 0 à 6 % pour la curiethérapie de bas débit de dose, et de 0 à 1 % pour la curiethérapie de haut débit de dose et la radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Les taux de survie sans progression biochimique à 5 ans étaient de 20 à 77 % pour la curiethérapie de bas débit de dose et de 51 à 68 % pour la curiethérapie de haut débit de dose. À 2 et 3 ans, ils variaient de 40 à 82 % pour radiothérapie en conditions stéréotaxiques. Des facteurs pronostiques de rechute biochimique ont été identifiés.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66124 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt