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Auteur T. Carlier |
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Prédiction de la progression chez des patients atteints de myélome multiple avec des Random Survival Forest / Ludivine Morvan in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : Prédiction de la progression chez des patients atteints de myélome multiple avec des Random Survival Forest Type de document : texte imprimé Auteurs : Ludivine Morvan ; D. Mateus ; C. Bailly ; B. Jamet ; C. Bodet-Milin ; P. Moreau ; T. Carlier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 193 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.061 Langues : Français (fre) Mots-clés : ONCOLOGIE 18F-FDG Résumé :
Introduction
Le myélome multiple (MM) est un cancer de la moelle osseuse caractérisé par une survie à 5 ans de 54 %. Très peu d’études s’intéressent à la prédiction de la survie des patients atteints de MM et encore moins à partir de biomarqueurs par imagerie. Les méthodes de Cox et de Kaplan–Meier sont les plus utilisées dans le contexte de la survie. Cependant, les Random Survival Forest (RSF), une méthode d’ensemble d’arbres, peut fournir un procédé plus robuste pour l’analyse de la survie et n’est pour le moment pas étudié dans le cadre du MM et de l’imagerie TEP. Nous proposons une méthode pour la prédiction de la progression dans le contexte du MM en utilisant des RSF avec la méthode de sélection par « variable importance » (VIMP) (Ishwaran et al., Annals of Applied Statistics, 2008).
Méthodes
Cette étude est basée sur un essai clinique français multicentrique et prospectif, IMAJEM, visant l’évaluation du bénéfice potentiel de l’imagerie TEP/TDM dans le diagnostic du MM (Moreau et al. JCO, 2017). Cette étude inclut 134 patients et s’intéresse au temps relatif à la survie sans progression. Des caractéristiques cliniques et d’imagerie ont été considérées. La méthode proposée est la suivante : Tout d’abord, les meilleurs paramètres des forêts sont sélectionnés par « 10-fold cross validation. » Deuxièmement, 100 forêts sont entraînées afin d’obtenir une valeur d’importance moyenne pour chaque caractéristique. Ensuite, une nouvelle base de données est créée avec les meilleures caractéristiques trouvées. Enfin, cette base de donnée est utilisée pour construire des forêts dans le but d’évaluer le modèle par « 10-fold cross validation. » et de séparer en deux groupes (bon et mauvais pronostic).
Résultats et Conclusion
Notre méthode permet d’obtenir de meilleurs résultats que lorsque l’on considère RSF sans sélection préalable (0,32 d’erreur contre 0,41) avec une bonne séparation entre les groupes de bon et mauvais pronostic (p=0,07). De plus, cette technique fournit de meilleurs résultats que les méthodes du Gradient-boost Cox et Lasso Cox (0,52 et 0,42 d’erreur). Enfin, les caractéristiques trouvées comme les plus prédictives sont le sexe, le score de Deauville, des lésions focales et de l’envahissement ostéo-médullaire, la présence de maladie extra-médullaire, le nombre de lésions focales selon la TEP, le SUVmax ostéo-médullaire et le bras de traitement. Par la suite, plus de patients ainsi que des caractéristiques texturales et volumiques vont être inclus.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63309
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 193[article] Prédiction de la progression chez des patients atteints de myélome multiple avec des Random Survival Forest [texte imprimé] / Ludivine Morvan ; D. Mateus ; C. Bailly ; B. Jamet ; C. Bodet-Milin ; P. Moreau ; T. Carlier . - 2019 . - p. 193.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.061
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 193
Mots-clés : ONCOLOGIE 18F-FDG Résumé :
Introduction
Le myélome multiple (MM) est un cancer de la moelle osseuse caractérisé par une survie à 5 ans de 54 %. Très peu d’études s’intéressent à la prédiction de la survie des patients atteints de MM et encore moins à partir de biomarqueurs par imagerie. Les méthodes de Cox et de Kaplan–Meier sont les plus utilisées dans le contexte de la survie. Cependant, les Random Survival Forest (RSF), une méthode d’ensemble d’arbres, peut fournir un procédé plus robuste pour l’analyse de la survie et n’est pour le moment pas étudié dans le cadre du MM et de l’imagerie TEP. Nous proposons une méthode pour la prédiction de la progression dans le contexte du MM en utilisant des RSF avec la méthode de sélection par « variable importance » (VIMP) (Ishwaran et al., Annals of Applied Statistics, 2008).
Méthodes
Cette étude est basée sur un essai clinique français multicentrique et prospectif, IMAJEM, visant l’évaluation du bénéfice potentiel de l’imagerie TEP/TDM dans le diagnostic du MM (Moreau et al. JCO, 2017). Cette étude inclut 134 patients et s’intéresse au temps relatif à la survie sans progression. Des caractéristiques cliniques et d’imagerie ont été considérées. La méthode proposée est la suivante : Tout d’abord, les meilleurs paramètres des forêts sont sélectionnés par « 10-fold cross validation. » Deuxièmement, 100 forêts sont entraînées afin d’obtenir une valeur d’importance moyenne pour chaque caractéristique. Ensuite, une nouvelle base de données est créée avec les meilleures caractéristiques trouvées. Enfin, cette base de donnée est utilisée pour construire des forêts dans le but d’évaluer le modèle par « 10-fold cross validation. » et de séparer en deux groupes (bon et mauvais pronostic).
Résultats et Conclusion
Notre méthode permet d’obtenir de meilleurs résultats que lorsque l’on considère RSF sans sélection préalable (0,32 d’erreur contre 0,41) avec une bonne séparation entre les groupes de bon et mauvais pronostic (p=0,07). De plus, cette technique fournit de meilleurs résultats que les méthodes du Gradient-boost Cox et Lasso Cox (0,52 et 0,42 d’erreur). Enfin, les caractéristiques trouvées comme les plus prédictives sont le sexe, le score de Deauville, des lésions focales et de l’envahissement ostéo-médullaire, la présence de maladie extra-médullaire, le nombre de lésions focales selon la TEP, le SUVmax ostéo-médullaire et le bras de traitement. Par la suite, plus de patients ainsi que des caractéristiques texturales et volumiques vont être inclus.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La radiothérapie interne vectorisée par les analogues de la somatostatine, en pratique, en 2019 / C. Bournaud in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 3 (Mai/Juin 2019)
[article]
Titre : La radiothérapie interne vectorisée par les analogues de la somatostatine, en pratique, en 2019 Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Bournaud ; C. Lombard-Bohas ; V. Habouzit ; T. Carlier ; E. Hindié ; Catherine Ansquer Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 251-266 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.04.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE Somatostatine Lutétium EFFET SECONDAIRE REIN HÉMATOLOGIE Qualité de vie PANCRÉAS CANCER ESTOMAC CANCER Résumé : L’hyperexpression des récepteurs de la somatostatine, notamment le sous-type 2, est une caractéristique des tumeurs neuroendocrines gastro-entéropancréatiques (TNE-GEP) différenciées, mise à profit depuis de nombreuses années pour l’imagerie et plus récemment pour la radiothérapie interne vectorisée (RIV) dans une approche théranostique. L’accès à la RIV a longtemps été limité à quelques centres spécialisés européens malgré des résultats cliniques très prometteurs et un nombre important de patients porteurs de TNE traitées. Ces deux dernières années sont marquées par la validation, grâce à l’essai randomisé (NETTER-1), de l’intérêt de la RIV par 177Lu-DOTATATE pour le traitement des TNE de l’intestin moyen ayant abouti à l’autorisation de mise sur le marché du 177Lu-DOTATATE (LUTATHER®) par les autorités de santé américaine et européenne. L’accès à la RIV des TNE-GEP est devenu une réalité dans une vingtaine de centres français, avec une prise en charge financière de la RIV attendue dans les TNE intestinales en début 2019. La place de la RIV par rapport aux autres modalités thérapeutiques des TNE non intestinales reste à valider par les essais en cours, mais on anticipe déjà un développement important de cette nouvelle modalité thérapeutique. Les succès rapportés de la RIV et le développement de nouveaux radiopharmaceutiques devraient dépasser le champ des TNE et nécessitera une organisation des services de médecine nucléaire et une formation des équipes avec une orientation plus clinique du métier de médecin nucléaire. L’objectif de cet article est de faire le point sur la RIV par les analogues radiomarqués de la somatostatine en France en 2019, en précisant les indications et les modalités d’accès au traitement, et en abordant des aspects pratiques de sélection et de prise en charge des patients, en se basant sur les données de la littérature et des retours d’expériences des centres (incluant les résultats de l’enquête conduite par le groupe endocrinologie de la SFMN en 2017). Seront également abordés les aspects de radioprotection et les perspectives d’optimisation futures dans les TNE-GEP. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64318
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 3 (Mai/Juin 2019) . - p. 251-266[article] La radiothérapie interne vectorisée par les analogues de la somatostatine, en pratique, en 2019 [texte imprimé] / C. Bournaud ; C. Lombard-Bohas ; V. Habouzit ; T. Carlier ; E. Hindié ; Catherine Ansquer . - 2019 . - p. 251-266.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.04.001
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 3 (Mai/Juin 2019) . - p. 251-266
Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE Somatostatine Lutétium EFFET SECONDAIRE REIN HÉMATOLOGIE Qualité de vie PANCRÉAS CANCER ESTOMAC CANCER Résumé : L’hyperexpression des récepteurs de la somatostatine, notamment le sous-type 2, est une caractéristique des tumeurs neuroendocrines gastro-entéropancréatiques (TNE-GEP) différenciées, mise à profit depuis de nombreuses années pour l’imagerie et plus récemment pour la radiothérapie interne vectorisée (RIV) dans une approche théranostique. L’accès à la RIV a longtemps été limité à quelques centres spécialisés européens malgré des résultats cliniques très prometteurs et un nombre important de patients porteurs de TNE traitées. Ces deux dernières années sont marquées par la validation, grâce à l’essai randomisé (NETTER-1), de l’intérêt de la RIV par 177Lu-DOTATATE pour le traitement des TNE de l’intestin moyen ayant abouti à l’autorisation de mise sur le marché du 177Lu-DOTATATE (LUTATHER®) par les autorités de santé américaine et européenne. L’accès à la RIV des TNE-GEP est devenu une réalité dans une vingtaine de centres français, avec une prise en charge financière de la RIV attendue dans les TNE intestinales en début 2019. La place de la RIV par rapport aux autres modalités thérapeutiques des TNE non intestinales reste à valider par les essais en cours, mais on anticipe déjà un développement important de cette nouvelle modalité thérapeutique. Les succès rapportés de la RIV et le développement de nouveaux radiopharmaceutiques devraient dépasser le champ des TNE et nécessitera une organisation des services de médecine nucléaire et une formation des équipes avec une orientation plus clinique du métier de médecin nucléaire. L’objectif de cet article est de faire le point sur la RIV par les analogues radiomarqués de la somatostatine en France en 2019, en précisant les indications et les modalités d’accès au traitement, et en abordant des aspects pratiques de sélection et de prise en charge des patients, en se basant sur les données de la littérature et des retours d’expériences des centres (incluant les résultats de l’enquête conduite par le groupe endocrinologie de la SFMN en 2017). Seront également abordés les aspects de radioprotection et les perspectives d’optimisation futures dans les TNE-GEP. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=64318 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt