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Auteur A. Botticella |
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Cancer du poumon et irradiation ganglionnaire prophylactique : un débat clos ? / M. Laurans in Cancer Radiothérapie, 23/6-7 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Cancer du poumon et irradiation ganglionnaire prophylactique : un débat clos ? Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Laurans ; A. Botticella ; Y. Moukasse ; A. Lévy ; C. Le Péchoux Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 701-707 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.008 Langues : Français (fre) Résumé : Au cours des vingt dernières années, plusieurs évolutions ont révolutionné la prise en charge des cancers du poumon, composés à plus de 85 % de carcinomes bronchiques non à petites cellules et de près de 15 % de carcinomes bronchiques à petites cellules. La question des volumes cibles ganglionnaires s’est posée lorsqu’est apparue la possibilité d’une plus grande précision des traitements avec la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle. S’appuyant initialement sur des séries chirurgicales, de nombreuses études rétrospectives et prospectives ont évalué le risque de récidive ganglionnaire isolée des traitements où seules les aires envahies étaient ciblées (involved-field radiotherapy, IFRT) par rapport aux traitements standards de l’époque, irradiant systématiquement les aires ganglionnaires envahies mais également d’autres aires ganglionnaires à risque de récidive, de façon prophylactique (elective nodal irradiation, ENI). Pour ce qui concerne les carcinomes bronchiques non à petites cellules localement évolués, pris en charge par association de chimiothérapie et de radiothérapie ou en situation postopératoire et pour les carcinomes bronchiques à petites cellules, la grande majorité des publications a retrouvé des taux de récidive ganglionnaire isolée inférieurs à 5 % à 2 ans, à condition que le stade préthérapeutique ait été établi avec les techniques modernes d’investigations (tomographie par émission de positrons-tomodensitométrie, endoscopie, etc.). L’abandon de l’irradiation prophylactique ganglionnaire est donc devenu un standard, et a permis le développement des approches avec escalade de dose tout en diminuant la toxicité œsophagienne, cardiaque et pulmonaire de la radiothérapie. En conséquence, les grands essais cliniques développés à partir des années 2000 impliquant la radiothérapie et les recommandations des différentes sociétés savantes ont fait le choix d’abandonner les techniques d’irradiation prophylactique ganglionnaire au profit de la radiothérapie limitée aux aires ganglionnaires envahies. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66145
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 701-707[article] Cancer du poumon et irradiation ganglionnaire prophylactique : un débat clos ? [texte imprimé] / M. Laurans ; A. Botticella ; Y. Moukasse ; A. Lévy ; C. Le Péchoux . - 2019 . - p. 701-707.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.008
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/6-7 (Octobre 2019) . - p. 701-707
Résumé : Au cours des vingt dernières années, plusieurs évolutions ont révolutionné la prise en charge des cancers du poumon, composés à plus de 85 % de carcinomes bronchiques non à petites cellules et de près de 15 % de carcinomes bronchiques à petites cellules. La question des volumes cibles ganglionnaires s’est posée lorsqu’est apparue la possibilité d’une plus grande précision des traitements avec la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle. S’appuyant initialement sur des séries chirurgicales, de nombreuses études rétrospectives et prospectives ont évalué le risque de récidive ganglionnaire isolée des traitements où seules les aires envahies étaient ciblées (involved-field radiotherapy, IFRT) par rapport aux traitements standards de l’époque, irradiant systématiquement les aires ganglionnaires envahies mais également d’autres aires ganglionnaires à risque de récidive, de façon prophylactique (elective nodal irradiation, ENI). Pour ce qui concerne les carcinomes bronchiques non à petites cellules localement évolués, pris en charge par association de chimiothérapie et de radiothérapie ou en situation postopératoire et pour les carcinomes bronchiques à petites cellules, la grande majorité des publications a retrouvé des taux de récidive ganglionnaire isolée inférieurs à 5 % à 2 ans, à condition que le stade préthérapeutique ait été établi avec les techniques modernes d’investigations (tomographie par émission de positrons-tomodensitométrie, endoscopie, etc.). L’abandon de l’irradiation prophylactique ganglionnaire est donc devenu un standard, et a permis le développement des approches avec escalade de dose tout en diminuant la toxicité œsophagienne, cardiaque et pulmonaire de la radiothérapie. En conséquence, les grands essais cliniques développés à partir des années 2000 impliquant la radiothérapie et les recommandations des différentes sociétés savantes ont fait le choix d’abandonner les techniques d’irradiation prophylactique ganglionnaire au profit de la radiothérapie limitée aux aires ganglionnaires envahies. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66145 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Lien entre l’activité métabolique en TEP–FDG et l’expression de PD-L1 chez les patients avec cancer bronchique avant immunothérapie anti-PD1/PD-L1 / Romain Seban in MÉDECINE NUCLÉAIRE, Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019)
[article]
Titre : Lien entre l’activité métabolique en TEP–FDG et l’expression de PD-L1 chez les patients avec cancer bronchique avant immunothérapie anti-PD1/PD-L1 Type de document : texte imprimé Auteurs : Romain Seban ; A. Berenbaum ; A. Botticella ; C. Le Péchoux ; S. Grimaldi ; L. Mabille ; L. Dercle ; L. Mezquita Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 190 Note générale : Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.054 Langues : Français (fre) Mots-clés : POUMON CANCER 18F-FDG SUVmax Résumé :
Introduction
L’expression de programmed cell death ligand 1 (PD-L1) est utilisée pour sélectionner les candidats susceptibles de bénéficier de l’immunothérapie anti-PD1/PD-L1 parmi les patients avec carcinomes bronchiques non à petites cellules (CBNPC) avancés et préalablement traités. Dans des lignées cellulaires de CBNPC, il semble exister une corrélation positive entre l’expression de PD-L1 et le métabolisme glucidique tumoral. L’objectif était de déterminer s’il existe un lien entre le statut PD-L1 et les biomarqueurs extraits de l’examen TEP-FDG chez ces patients avant immunothérapie anti-PD1/PD-L1.
Méthodes
Un total de 41 patients avec CBNPC avancé, préalablement traités et ayant eu un examen TEP-FDG et une biopsie avant l’immunothérapie entre janvier 2012 et mars 2018, ont été rétrospectivement analysés. En TEP-FDG, les paramètres de glycolyse (SUVmax), de charge tumorale (total metabolic tumor volume/TMTV, total lesion glycolysis/TLG) et d’hétérogénéité (heterogenity index SUV-based/HISUV) ont été calculés. Une expression de PD-L1 de 1 % ou plus en immunohistochimie était considérée comme positive (PD-L1+). Les patients ont été classés selon leur statut PD-L1 (+versus−) et la médiane des valeurs de chaque biomarqueur TEP a été calculée dans chacun des groupes. La corrélation entre biomarqueurs et expression de PD-L1 a été évaluée par le coefficient de Spearman. L’association entre la positivité de PD-L1 et d’autres caractéristiques, notamment cliniques, biologiques, histologiques et du TEP-FDG a été mesurée par régression logistique.
Résultats
PD-L1 était exprimé chez 24 patients (59 %). Le SUVmax tumoral était significativement plus élevé chez les patients PD-L1+comparativement à ceux PD-L1−(médiane 13,7 versus 10,9 ; p=0,02). Il n’y avait pas de différence significative pour les autres biomarqueurs (TMTV, p=0,18 ; TLG, p=0,08 et HISUV, p=0,22). Le SUVmax tumoral était significativement corrélé au niveau d’expression de PD-L1 (rho=0,32 ; p=0,04), contrairement au TMTV (rho=0,13), TLG (rho=0,24) et HISUV (rho=0,12) (p>0,05). Après régression logistique, un SUVmax tumoral élevé (>12) était un prédicateur de l’expression de PD-L1 (OR 4,0 [1,1–15,1], p=0,04).
Conclusion
Les patients avec CBNPC présentant une fixation tumorale accrue sur l’examen TEP–FDG pré-immunothérapie semblent avoir une expression de PD-L1 plus élevée, suggérant une relation entre l’immunosuppression et le métabolisme glucidique des cellules tumorales et/ou immunitaires infiltrant la tumeur.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63193
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 190[article] Lien entre l’activité métabolique en TEP–FDG et l’expression de PD-L1 chez les patients avec cancer bronchique avant immunothérapie anti-PD1/PD-L1 [texte imprimé] / Romain Seban ; A. Berenbaum ; A. Botticella ; C. Le Péchoux ; S. Grimaldi ; L. Mabille ; L. Dercle ; L. Mezquita . - 2019 . - p. 190.
Doi : 10.1016/j.mednuc.2019.01.054
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > Vol. 43, n° 2 (Mars/Avril 2019) . - p. 190
Mots-clés : POUMON CANCER 18F-FDG SUVmax Résumé :
Introduction
L’expression de programmed cell death ligand 1 (PD-L1) est utilisée pour sélectionner les candidats susceptibles de bénéficier de l’immunothérapie anti-PD1/PD-L1 parmi les patients avec carcinomes bronchiques non à petites cellules (CBNPC) avancés et préalablement traités. Dans des lignées cellulaires de CBNPC, il semble exister une corrélation positive entre l’expression de PD-L1 et le métabolisme glucidique tumoral. L’objectif était de déterminer s’il existe un lien entre le statut PD-L1 et les biomarqueurs extraits de l’examen TEP-FDG chez ces patients avant immunothérapie anti-PD1/PD-L1.
Méthodes
Un total de 41 patients avec CBNPC avancé, préalablement traités et ayant eu un examen TEP-FDG et une biopsie avant l’immunothérapie entre janvier 2012 et mars 2018, ont été rétrospectivement analysés. En TEP-FDG, les paramètres de glycolyse (SUVmax), de charge tumorale (total metabolic tumor volume/TMTV, total lesion glycolysis/TLG) et d’hétérogénéité (heterogenity index SUV-based/HISUV) ont été calculés. Une expression de PD-L1 de 1 % ou plus en immunohistochimie était considérée comme positive (PD-L1+). Les patients ont été classés selon leur statut PD-L1 (+versus−) et la médiane des valeurs de chaque biomarqueur TEP a été calculée dans chacun des groupes. La corrélation entre biomarqueurs et expression de PD-L1 a été évaluée par le coefficient de Spearman. L’association entre la positivité de PD-L1 et d’autres caractéristiques, notamment cliniques, biologiques, histologiques et du TEP-FDG a été mesurée par régression logistique.
Résultats
PD-L1 était exprimé chez 24 patients (59 %). Le SUVmax tumoral était significativement plus élevé chez les patients PD-L1+comparativement à ceux PD-L1−(médiane 13,7 versus 10,9 ; p=0,02). Il n’y avait pas de différence significative pour les autres biomarqueurs (TMTV, p=0,18 ; TLG, p=0,08 et HISUV, p=0,22). Le SUVmax tumoral était significativement corrélé au niveau d’expression de PD-L1 (rho=0,32 ; p=0,04), contrairement au TMTV (rho=0,13), TLG (rho=0,24) et HISUV (rho=0,12) (p>0,05). Après régression logistique, un SUVmax tumoral élevé (>12) était un prédicateur de l’expression de PD-L1 (OR 4,0 [1,1–15,1], p=0,04).
Conclusion
Les patients avec CBNPC présentant une fixation tumorale accrue sur l’examen TEP–FDG pré-immunothérapie semblent avoir une expression de PD-L1 plus élevée, suggérant une relation entre l’immunosuppression et le métabolisme glucidique des cellules tumorales et/ou immunitaires infiltrant la tumeur.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63193 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt