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Auteur Y.M. Kirova |
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Anti-PD-1 immunotherapy in combination with sequential involved-site radiotherapy in heavily pretreated refractory Hodgkin lymphoma / L. Quéro in Cancer Radiothérapie, 23/2 (Avril 2019)
[article]
Titre : Anti-PD-1 immunotherapy in combination with sequential involved-site radiotherapy in heavily pretreated refractory Hodgkin lymphoma Titre original : Immunothérapie associée à une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Quéro ; L. Gilardin ; I. Fumagalli ; V. Martin ; S. Guillerm ; Y.M. Kirova ; P. Brice Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 132-137 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.canrad.2018.05.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : IMMUNOTHÉRAPIE RADIOTHÉRAPIE POUMON HODGKIN MALADIE Résumé : Le but de cette étude était d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’une immunothérapie en combinaison avec une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire. Nous avons étudié l’évolution après une immunothérapie Anti-Programmed Death (PD)-1 et une irradiation de type « involved-site » chez quatre patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin. Après en médiane 13 mois, tous les patients étaient en vie en situation de réponse métabolique complète. Après la radiothérapie, les quatre patients ont vu se développer une toxicité pulmonaire résolutive après antibiothérapie avec ou sans corticothérapie. Une immunothérapie anti-PD-1 suivie d’une radiothérapie est réalisable et a montré des résultats très encourageants chez des patients lourdement prétraités. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63874
in Cancer Radiothérapie > 23/2 (Avril 2019) . - p. 132-137[article] Anti-PD-1 immunotherapy in combination with sequential involved-site radiotherapy in heavily pretreated refractory Hodgkin lymphoma = Immunothérapie associée à une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire [texte imprimé] / L. Quéro ; L. Gilardin ; I. Fumagalli ; V. Martin ; S. Guillerm ; Y.M. Kirova ; P. Brice . - 2019 . - p. 132-137.
https://doi.org/10.1016/j.canrad.2018.05.002
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/2 (Avril 2019) . - p. 132-137
Mots-clés : IMMUNOTHÉRAPIE RADIOTHÉRAPIE POUMON HODGKIN MALADIE Résumé : Le but de cette étude était d’évaluer l’efficacité et la tolérance d’une immunothérapie en combinaison avec une radiothérapie de type « involved-site » chez des patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin réfractaire. Nous avons étudié l’évolution après une immunothérapie Anti-Programmed Death (PD)-1 et une irradiation de type « involved-site » chez quatre patients lourdement prétraités pour un lymphome de Hodgkin. Après en médiane 13 mois, tous les patients étaient en vie en situation de réponse métabolique complète. Après la radiothérapie, les quatre patients ont vu se développer une toxicité pulmonaire résolutive après antibiothérapie avec ou sans corticothérapie. Une immunothérapie anti-PD-1 suivie d’une radiothérapie est réalisable et a montré des résultats très encourageants chez des patients lourdement prétraités. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=63874 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Cancer du sein négligé et localement évolué : quelle réalité ? Réflexion à propos de deux cas sur l’optimisation de la prise en charge multidisciplinaire / L. Monnier in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Cancer du sein négligé et localement évolué : quelle réalité ? Réflexion à propos de deux cas sur l’optimisation de la prise en charge multidisciplinaire Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Monnier ; C. Even ; P.H. Cottu ; Y.M. Kirova Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 333-336 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE NEGLIGENCE Résumé : Le standard thérapeutique chez les patientes atteintes d’un cancer du sein localement évolué est un traitement médical, chimiothérapie ou hormonothérapie, suivi d’une chirurgie et/ou d’une radiothérapie locorégionale. La radiothérapie est souvent peu sollicitée et souvent trop tard car on ne propose le traitement locorégional qu’en cas de réponse ou de stabilité après traitement médical. Cette constatation est la même en cas de dissémination métastatique malgré l’importance du contrôle locorégional sur l’évolution de la maladie globale et de la qualité de vie. Deux cas d’un cancer du sein négligé non opérable lors du diagnostic sont rapportés avec une bonne réponse locorégionale après radiothérapie et chimiothérapie. L’objectif de ce travail était de rapporter objectivement les deux cas cliniques et d’engager une discussion sur la stratégie optimale de la prise en charge locorégionale de ces formes particulières. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41018
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 333-336[article] Cancer du sein négligé et localement évolué : quelle réalité ? Réflexion à propos de deux cas sur l’optimisation de la prise en charge multidisciplinaire [texte imprimé] / L. Monnier ; C. Even ; P.H. Cottu ; Y.M. Kirova . - 2009 . - p. 333-336.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 333-336
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE NEGLIGENCE Résumé : Le standard thérapeutique chez les patientes atteintes d’un cancer du sein localement évolué est un traitement médical, chimiothérapie ou hormonothérapie, suivi d’une chirurgie et/ou d’une radiothérapie locorégionale. La radiothérapie est souvent peu sollicitée et souvent trop tard car on ne propose le traitement locorégional qu’en cas de réponse ou de stabilité après traitement médical. Cette constatation est la même en cas de dissémination métastatique malgré l’importance du contrôle locorégional sur l’évolution de la maladie globale et de la qualité de vie. Deux cas d’un cancer du sein négligé non opérable lors du diagnostic sont rapportés avec une bonne réponse locorégionale après radiothérapie et chimiothérapie. L’objectif de ce travail était de rapporter objectivement les deux cas cliniques et d’engager une discussion sur la stratégie optimale de la prise en charge locorégionale de ces formes particulières. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41018 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie / Y.M. Kirova in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie Type de document : texte imprimé Auteurs : Y.M. Kirova ; Z. Bourhaleb ; S. Alran ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 291-297 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer rétrospectivement les résultats thérapeutiques obtenus chez des patientes atteintes d’un carcinome du col utérin classé selon les recommandations de la Fédération de gynécologie obstétrique (Figo) IB2, IIA ou IIB après chimioradiothérapie avec du cisplatine puis une curiethérapie et enfin une hystérectomie radicale élargie.
Patientes et méthodes :
Les 70 patientes, d’âge médian 46 ans, ont été traitées à l’institut Curie entre août 1995 et août 2005. La probabilité de survie a été estimée selon la méthode de Kaplan-Meier. Les comparaisons de survie ont été évaluées par le test de log-rank.
Résultats :
L’examen anatomopathologique a montré que la réponse locorégionale était complète dans 56 % des cas (n = 39). Une tumeur résiduelle microscopique centropelvienne a été retrouvée chez 28 patientes (40 %), sous la forme d’un carcinome in situ dans tous les cas, à l’exception d’un. Chez neuf patientes, il y avait aussi un résidu paramétrial. Le curage ganglionnaire a montré que les ganglions étaient atteints dans 20 % des cas (14/70), soit 11 % (8/55) si le cancer avait été classé N0, 40 % (6/15) si N1 (p = 0,03). Chez 11 patientes sur 14, l’atteinte ganglionnaire était associée à un résidu tumoral centro- et latéropelvien. Le suivi médian était de 40 mois (8–141). La probabilité de survie était à trois ans est de 77 % (intervalle de confiance à 95 % : 66–89 %), celles d’échec locorégional et de dissémination métastatique, respectivement, de 9,5 % (2–16 %) et 24 % (13–34 %).
Conclusion :
Le traitement du carcinome du col utérin localement évolué nécessite de nouvelles approches multidisciplinaires diagnostiques et thérapeutiques utilisant de nouvelles armes thérapeutiques afin d’améliorer la probabilité de survie et la tolérance au traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41011
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 291-297[article] Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie [texte imprimé] / Y.M. Kirova ; Z. Bourhaleb ; S. Alran ; et al. . - 2009 . - p. 291-297.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 291-297
Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer rétrospectivement les résultats thérapeutiques obtenus chez des patientes atteintes d’un carcinome du col utérin classé selon les recommandations de la Fédération de gynécologie obstétrique (Figo) IB2, IIA ou IIB après chimioradiothérapie avec du cisplatine puis une curiethérapie et enfin une hystérectomie radicale élargie.
Patientes et méthodes :
Les 70 patientes, d’âge médian 46 ans, ont été traitées à l’institut Curie entre août 1995 et août 2005. La probabilité de survie a été estimée selon la méthode de Kaplan-Meier. Les comparaisons de survie ont été évaluées par le test de log-rank.
Résultats :
L’examen anatomopathologique a montré que la réponse locorégionale était complète dans 56 % des cas (n = 39). Une tumeur résiduelle microscopique centropelvienne a été retrouvée chez 28 patientes (40 %), sous la forme d’un carcinome in situ dans tous les cas, à l’exception d’un. Chez neuf patientes, il y avait aussi un résidu paramétrial. Le curage ganglionnaire a montré que les ganglions étaient atteints dans 20 % des cas (14/70), soit 11 % (8/55) si le cancer avait été classé N0, 40 % (6/15) si N1 (p = 0,03). Chez 11 patientes sur 14, l’atteinte ganglionnaire était associée à un résidu tumoral centro- et latéropelvien. Le suivi médian était de 40 mois (8–141). La probabilité de survie était à trois ans est de 77 % (intervalle de confiance à 95 % : 66–89 %), celles d’échec locorégional et de dissémination métastatique, respectivement, de 9,5 % (2–16 %) et 24 % (13–34 %).
Conclusion :
Le traitement du carcinome du col utérin localement évolué nécessite de nouvelles approches multidisciplinaires diagnostiques et thérapeutiques utilisant de nouvelles armes thérapeutiques afin d’améliorer la probabilité de survie et la tolérance au traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41011 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Clinical and dosimetric impact of totally implantable venous access devices in radiotherapy of supra diaphragmatic Hodgkin Lymphoma / M. Laurans in Cancer Radiothérapie, 25/1 (Février 2021)
[article]
Titre : Clinical and dosimetric impact of totally implantable venous access devices in radiotherapy of supra diaphragmatic Hodgkin Lymphoma Titre original : Impact clinique et dosimétrique des dispositifs veineux implantable dans l'irradiation des lymphomes de Hodgkin sus-diaphragmatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Laurans ; K. Kirov ; E. Costa ; D. Lefebvre ; Y.M. Kirova Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 32-38 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.025 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Radiothérapie Tomothérapie Port-à-cath Dispositif veineux implantable Atténuation Photons Électrons Films dosimétriques Lymphome de Hodgkin Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer l’atténuation des Port-à-cath (PAC) et leur impact dosimétrique et clinique chez les patients traités pour des lymphomes.
Matériel et méthode
La première partie de cette étude consiste en une approche in vitro par l’irradiation de Port-à-cath par des faisceaux de photons et d’électrons de différentes énergies utilisées en clinique. Les données d’atténuation mesurées ont été comparées aux données calculées par le logiciel de planification de traitement utilisé en pratique quotidienne. Puis tous les patients irradiés pour un lymphome de Hodgkin de stade limité dont le Port-à-cath se projetait sur les zones irradiées ont été étudiés et leur devenir clinique ainsi que leur données dosimétriques ont été rapportées en utilisant différents marqueurs de qualité. Tous ont été pris en charge soit par radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (RTC3D) soit par tomothérapie.
Résultats
Dix-neuf patients traités pour des LH de stade I–III ont été étudiés. Sept ont été traités uniquement du côté du Port-à-cath et 12 bilatéralement. La dose de prescription médiane était de 30Gy. Aucune différence clinique ou dosimétrique n’a pu être mise en évidence entre le côté du Port-à-cath et le côté controlatéral chez les patients traités bilatéralement. La tomothérapie a montré un indice de conformité significativement supérieur (p<0,0022) et une irradiation des tissus sains (healthy tissue coverage) significativement plus faible (p=0,0008) que la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle. Les atténuations observées étaient, pour les faisceaux d’électron, de 79 % (6 MeV), 59 % (9 MeV), et 46 % (12 MeV) et pour les faisceaux de photons, 9 % (4 MV), 8 % (6 MV), 5 % (10 MV et 15 MV) et 3 % (20 MV).
Conclusion
Les Port-à-caths sont responsables d’une atténuation significative des faisceaux d’électrons. L’utilisation de faisceaux de photons de haute énergie ou de la tomothérapie par création d’une zone d’exclusion permet de contourner cette difficulté.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69252
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 32-38[article] Clinical and dosimetric impact of totally implantable venous access devices in radiotherapy of supra diaphragmatic Hodgkin Lymphoma = Impact clinique et dosimétrique des dispositifs veineux implantable dans l'irradiation des lymphomes de Hodgkin sus-diaphragmatiques [texte imprimé] / M. Laurans ; K. Kirov ; E. Costa ; D. Lefebvre ; Y.M. Kirova . - 2021 . - p. 32-38.
Doi : 10.1016/j.canrad.2020.05.025
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 25/1 (Février 2021) . - p. 32-38
Mots-clés : Radiothérapie Tomothérapie Port-à-cath Dispositif veineux implantable Atténuation Photons Électrons Films dosimétriques Lymphome de Hodgkin Résumé : Objectif de l’étude
Évaluer l’atténuation des Port-à-cath (PAC) et leur impact dosimétrique et clinique chez les patients traités pour des lymphomes.
Matériel et méthode
La première partie de cette étude consiste en une approche in vitro par l’irradiation de Port-à-cath par des faisceaux de photons et d’électrons de différentes énergies utilisées en clinique. Les données d’atténuation mesurées ont été comparées aux données calculées par le logiciel de planification de traitement utilisé en pratique quotidienne. Puis tous les patients irradiés pour un lymphome de Hodgkin de stade limité dont le Port-à-cath se projetait sur les zones irradiées ont été étudiés et leur devenir clinique ainsi que leur données dosimétriques ont été rapportées en utilisant différents marqueurs de qualité. Tous ont été pris en charge soit par radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle (RTC3D) soit par tomothérapie.
Résultats
Dix-neuf patients traités pour des LH de stade I–III ont été étudiés. Sept ont été traités uniquement du côté du Port-à-cath et 12 bilatéralement. La dose de prescription médiane était de 30Gy. Aucune différence clinique ou dosimétrique n’a pu être mise en évidence entre le côté du Port-à-cath et le côté controlatéral chez les patients traités bilatéralement. La tomothérapie a montré un indice de conformité significativement supérieur (p<0,0022) et une irradiation des tissus sains (healthy tissue coverage) significativement plus faible (p=0,0008) que la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle. Les atténuations observées étaient, pour les faisceaux d’électron, de 79 % (6 MeV), 59 % (9 MeV), et 46 % (12 MeV) et pour les faisceaux de photons, 9 % (4 MV), 8 % (6 MV), 5 % (10 MV et 15 MV) et 3 % (20 MV).
Conclusion
Les Port-à-caths sont responsables d’une atténuation significative des faisceaux d’électrons. L’utilisation de faisceaux de photons de haute énergie ou de la tomothérapie par création d’une zone d’exclusion permet de contourner cette difficulté.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69252 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Évaluation monocentrique de la tolérance de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie / Y.M. Kirova in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Évaluation monocentrique de la tolérance de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Y.M. Kirova ; L. Caussa ; B. Granger ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p.276-280 Langues : Français (fre) Mots-clés : RAFIOTHERAPIE SEIN CANCER TOXICITE Résumé : Objectif de l’étude :
Étude prospective monocentrique de la tolérance cutanée et cardiaque de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie pour le cancer du sein.
Patientes et méthodes :
De février 2004 à janvier 2007, 57 patientes ont reçu l’association concomitante de trastuzumab et d‘une radiothérapie normalement fractionnée du sein ou de la paroi, avec ou sans les aires ganglionnaires. La fraction d’éjection du ventricule gauche, mesurée avant l’administration de trastuzumab, avant celle de la radiothérapie, après la radiothérapie puis tous les quatre à six mois par échographie ou scintigraphie, était normale si d’au moins 50 % ou considérée comme telle par le cardiologue. Toute fraction d’éjection du ventricule gauche devait être normale avant l’administration de trastuzumab. La toxicité cutanée a été évaluée selon la Common Terminology Criteria for Adverse Events, version 3.0. L’âge médian était de 49 ans (25–80). La chimiothérapie comportait des anthracyclines dans 84 % des cas, pour une dose totale de 300 mg/m2. Toutes les patientes sauf une, irradiée une fois par semaine, ont reçu le trastuzumab toutes les trois semaines à la dose de 8 mg/kg puis 6 mg/kg, pour une durée médiane de 12 mois (2–33). La chaîne mammaire interne a été irradiée dans 88 % des cas.
Résultats :
La fraction d’éjection du ventricule gauche était normale avant la radiothérapie pour 54 patientes (100 %, trois données manquantes), après la radiothérapie pour 56 (98 %, aucune donnée manquante) et aux dernières nouvelles pour 53 (95 %, une donnée manquante). L’épidermite a été cotée de grade 0, 1 ou 2 pour respectivement deux, 44 et 11 patientes. Pour les 27 patientes vues après six mois, la toxicité cutanée a été cotée de grade 0, 1 et 2 chez respectivement 22, quatre et une.
Conclusion :
Avec une technique adaptée, la tolérance cutanée et cardiaque précoce de l’association de trastuzumab et de radiothérapie s’est avérée bonne. Le suivi plus long d’un plus grand nombre de patientes reste cependant indispensable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41009
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p.276-280[article] Évaluation monocentrique de la tolérance de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie [texte imprimé] / Y.M. Kirova ; L. Caussa ; B. Granger ; et al. . - 2009 . - p.276-280.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p.276-280
Mots-clés : RAFIOTHERAPIE SEIN CANCER TOXICITE Résumé : Objectif de l’étude :
Étude prospective monocentrique de la tolérance cutanée et cardiaque de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie pour le cancer du sein.
Patientes et méthodes :
De février 2004 à janvier 2007, 57 patientes ont reçu l’association concomitante de trastuzumab et d‘une radiothérapie normalement fractionnée du sein ou de la paroi, avec ou sans les aires ganglionnaires. La fraction d’éjection du ventricule gauche, mesurée avant l’administration de trastuzumab, avant celle de la radiothérapie, après la radiothérapie puis tous les quatre à six mois par échographie ou scintigraphie, était normale si d’au moins 50 % ou considérée comme telle par le cardiologue. Toute fraction d’éjection du ventricule gauche devait être normale avant l’administration de trastuzumab. La toxicité cutanée a été évaluée selon la Common Terminology Criteria for Adverse Events, version 3.0. L’âge médian était de 49 ans (25–80). La chimiothérapie comportait des anthracyclines dans 84 % des cas, pour une dose totale de 300 mg/m2. Toutes les patientes sauf une, irradiée une fois par semaine, ont reçu le trastuzumab toutes les trois semaines à la dose de 8 mg/kg puis 6 mg/kg, pour une durée médiane de 12 mois (2–33). La chaîne mammaire interne a été irradiée dans 88 % des cas.
Résultats :
La fraction d’éjection du ventricule gauche était normale avant la radiothérapie pour 54 patientes (100 %, trois données manquantes), après la radiothérapie pour 56 (98 %, aucune donnée manquante) et aux dernières nouvelles pour 53 (95 %, une donnée manquante). L’épidermite a été cotée de grade 0, 1 ou 2 pour respectivement deux, 44 et 11 patientes. Pour les 27 patientes vues après six mois, la toxicité cutanée a été cotée de grade 0, 1 et 2 chez respectivement 22, quatre et une.
Conclusion :
Avec une technique adaptée, la tolérance cutanée et cardiaque précoce de l’association de trastuzumab et de radiothérapie s’est avérée bonne. Le suivi plus long d’un plus grand nombre de patientes reste cependant indispensable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41009 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Intérêt des applications cutanées en cours de radiothérapie pour la prévention et le traitement des épithéliites radio-induites / C. Chargari in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
PermalinkPatterns of locoregional failure in women with early-stage breast cancer treated by whole breast irradiation in the lateral isocentric decubitus position: Large-scale single-centre experience / H.-P. Xu in Cancer Radiothérapie, 23/2 (Avril 2019)
PermalinkProtontherapy versus best photon for mediastinal Hodgkin lymphoma : dosimetry comparison and treatment using ILROG / L.M. Abbassi in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
PermalinkLa radiothérapie mammaire hypofractionnée en 13 séances, parfaite tolérance ou réaction cutanée décalée ? Étude prospective de l’institut Curie / M. Botti in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
PermalinkToxicité et efficacité de la radiothérapie adjuvante chez les patientes traitées pour un cancer du sein et porteuses d’une mutation hétérozygote du gène de l’ataxie-télangiectasie / C. Chargari in Cancer Radiothérapie, 13/3 (Juin 2009)
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