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Anesthésie & Réanimation . Vol. 10, n° 4Anesthésie Réanimation pendant les Jeux OlympiquesMention de date : Juillet 2024 Paru le : 01/07/2024 |
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierAnalgésie morphinique de secours contrôlée par le patient par voie orale versus voie intraveineuse en chirurgie orthopédique : deux ans d’expérience dans un centre français / Thibault Rouvier in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Analgésie morphinique de secours contrôlée par le patient par voie orale versus voie intraveineuse en chirurgie orthopédique : deux ans d’expérience dans un centre français Type de document : texte imprimé Auteurs : Thibault Rouvier ; Quentin Brand ; Quentin Le Cornu ; Harold Common ; Philippe Carré ; Hélène Beloeil Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 347-355 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.04.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : Analgésie contrôlée par le patient - ACP Oxycodone Gestion de la douleur Résumé : Contexte
L’objectif de cette étude était de valider l’efficacité et la sécurité de l’analgésie morphinique de secours contrôlée par le patient par voie orale (ACP).
Méthodes
Cette étude rétrospective monocentrique comparative a analysé 655 patients de chirurgie orthopédique programmée sous anesthésie générale entre 2017 et 2019 (orale, n=140 ; IV, n=515). Le critère de jugement principal était la consommation morphinique sur les premières vingt-quatre heures postopératoires. Les critères de jugement secondaires concernaient l’efficacité et la sécurité.
Résultats
Les patients du groupe ACP IV présentaient plus de cardiopathies, consommaient plus d’opiacés en préopératoire, bénéficiaient moins fréquemment d’une infiltration ou d’une ALR et nécessitaient une titration morphinique plus importante. La consommation morphinique sur les premières vingt-quatre heures postopératoires était réduite de 5,07mg [−8,3 ; −1,8] en faveur du groupe ACP orale ; cette différence n’était pas retrouvée après ajustement selon les groupes chirurgicaux. L’intensité de la douleur était similaire dans les deux groupes. La durée de séjour était plus courte dans le groupe ACP orale (5,1jours±2,8 vs. 6,3jours±3,8, p<0,0001). L’oxygénorequérance était plus importante dans le groupe ACP IV (56 % vs. 29 %, p<0,0001). La consommation morphinique réduite de l’ACP orale persistait dans le sous-groupe recevant une anesthésie régionale avec ou sans infiltration, au contraire du sous-groupe infiltration seule.
Conclusion
L’ACP orale remplissait les critères d’efficacité en assurant une analgésie équivalente avec une durée de séjour plus courte et les critères de sécurité en présentant une oxygénorequérance plus faible que l’ACP IV.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87124
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 347-355[article] Analgésie morphinique de secours contrôlée par le patient par voie orale versus voie intraveineuse en chirurgie orthopédique : deux ans d’expérience dans un centre français [texte imprimé] / Thibault Rouvier ; Quentin Brand ; Quentin Le Cornu ; Harold Common ; Philippe Carré ; Hélène Beloeil . - 2024 . - p. 347-355.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.04.002
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 347-355
Mots-clés : Analgésie contrôlée par le patient - ACP Oxycodone Gestion de la douleur Résumé : Contexte
L’objectif de cette étude était de valider l’efficacité et la sécurité de l’analgésie morphinique de secours contrôlée par le patient par voie orale (ACP).
Méthodes
Cette étude rétrospective monocentrique comparative a analysé 655 patients de chirurgie orthopédique programmée sous anesthésie générale entre 2017 et 2019 (orale, n=140 ; IV, n=515). Le critère de jugement principal était la consommation morphinique sur les premières vingt-quatre heures postopératoires. Les critères de jugement secondaires concernaient l’efficacité et la sécurité.
Résultats
Les patients du groupe ACP IV présentaient plus de cardiopathies, consommaient plus d’opiacés en préopératoire, bénéficiaient moins fréquemment d’une infiltration ou d’une ALR et nécessitaient une titration morphinique plus importante. La consommation morphinique sur les premières vingt-quatre heures postopératoires était réduite de 5,07mg [−8,3 ; −1,8] en faveur du groupe ACP orale ; cette différence n’était pas retrouvée après ajustement selon les groupes chirurgicaux. L’intensité de la douleur était similaire dans les deux groupes. La durée de séjour était plus courte dans le groupe ACP orale (5,1jours±2,8 vs. 6,3jours±3,8, p<0,0001). L’oxygénorequérance était plus importante dans le groupe ACP IV (56 % vs. 29 %, p<0,0001). La consommation morphinique réduite de l’ACP orale persistait dans le sous-groupe recevant une anesthésie régionale avec ou sans infiltration, au contraire du sous-groupe infiltration seule.
Conclusion
L’ACP orale remplissait les critères d’efficacité en assurant une analgésie équivalente avec une durée de séjour plus courte et les critères de sécurité en présentant une oxygénorequérance plus faible que l’ACP IV.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87124 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Terminologie et dose de noradrénaline : parlons-nous le même langage ? / Nicolas Mongardon in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Terminologie et dose de noradrénaline : parlons-nous le même langage ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Nicolas Mongardon ; Isabelle Goyer ; Fanny Bounes ; Philippe Guerci ; Marc Leone Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 356-359 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.04.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Noradrénaline Réanimation Soins critiques Anesthésie Tartrate Base Résumé : La noradrénaline est la catécholamine utilisée le plus largement en situation d’insuffisance cardiocirculatoire en réanimation, au bloc opératoire et en médecine d’urgence. Elle corrige une chute de pression artérielle via une vasoconstriction et une amélioration du débit cardiaque. Des scores de gravité, des estimations de charges en vasopresseurs et des recommandations d’intensification thérapeutiques reposent sur la dose de noradrénaline reçue par le patient. Selon les fabricants et les pays, les concentrations de noradrénaline varient du simple au double. L’expression d’une même dose résulte sur une quantité de noradrénaline différente selon le pays et le fabricant. Un appel a été lancé par des sociétés savantes pour mettre à jour ce dysfonctionnement et proposer des clarifications, afin de réhomogénéiser les prises en charge. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87125
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 356-359[article] Terminologie et dose de noradrénaline : parlons-nous le même langage ? [texte imprimé] / Nicolas Mongardon ; Isabelle Goyer ; Fanny Bounes ; Philippe Guerci ; Marc Leone . - 2024 . - p. 356-359.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.04.001
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 356-359
Mots-clés : Noradrénaline Réanimation Soins critiques Anesthésie Tartrate Base Résumé : La noradrénaline est la catécholamine utilisée le plus largement en situation d’insuffisance cardiocirculatoire en réanimation, au bloc opératoire et en médecine d’urgence. Elle corrige une chute de pression artérielle via une vasoconstriction et une amélioration du débit cardiaque. Des scores de gravité, des estimations de charges en vasopresseurs et des recommandations d’intensification thérapeutiques reposent sur la dose de noradrénaline reçue par le patient. Selon les fabricants et les pays, les concentrations de noradrénaline varient du simple au double. L’expression d’une même dose résulte sur une quantité de noradrénaline différente selon le pays et le fabricant. Un appel a été lancé par des sociétés savantes pour mettre à jour ce dysfonctionnement et proposer des clarifications, afin de réhomogénéiser les prises en charge. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87125 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Paris 2024 : vos MARques, prêts, partez ! / Frédéric Le Saché in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Paris 2024 : vos MARques, prêts, partez ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Le Saché ; Sébastien Bloc Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 360-361 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.04.009 Langues : Français (fre) Mots-clés : Performance sportive Parcours peropératoire Gestion des risques Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87126
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 360-361[article] Paris 2024 : vos MARques, prêts, partez ! [texte imprimé] / Frédéric Le Saché ; Sébastien Bloc . - 2024 . - p. 360-361.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.04.009
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 360-361
Mots-clés : Performance sportive Parcours peropératoire Gestion des risques Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87126 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt De la raquette à la Réa : un parcours en quête d'excellence / Aurore Ughetto in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : De la raquette à la Réa : un parcours en quête d'excellence Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurore Ughetto Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 362-363 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.05.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Témoignage Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87127
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 362-363[article] De la raquette à la Réa : un parcours en quête d'excellence [texte imprimé] / Aurore Ughetto . - 2024 . - p. 362-363.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.05.001
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 362-363
Mots-clés : Témoignage Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87127 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Construire un parcours chirurgical pour le sportif de haut niveau / Frédéric Le Saché in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Construire un parcours chirurgical pour le sportif de haut niveau Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Le Saché ; Philippe Izard ; Sébastien Bloc ; Olivier Rontes ; Julien Cabaton ; Julien Chamoux ; Bertrand Sonnery-Cottet Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 364-369 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatisme sportif Chirurgie Anesthésie Réhabilitation Anesthésie locorégionale Prise en charge de la douleur Postopératoire Complication Thrombose Infection Résumé : L’incidence élevée des blessures chez les athlètes et les risques qu’elles engendrent sur la performance sportive nécessite une prise en charge optimisée. Dans le cadre de son parcours chirurgical, la prise en charge du sportif de haut niveau relève de certaines spécificités liées à son environnement où la collaboration entre les chirurgiens, les anesthésistes, et l’ensemble du staff médico-technique (médecins du sport, médecins de club, préparateur physique, entraîneurs, entourage) est primordiale. La pré-habilitation (limitée par un délai préopératoire raccourci) et la réhabilitation postopératoire reposent essentiellement sur les médecins du sport et les équipes de rééducateurs dédiés qui accompagnent la réparation physique mais également psychique. La technique chirurgicale n’est pas modifiée par le statut de sportif de haut niveau. L’anesthésiste-réanimateur sera confronté au choix optimum des techniques anesthésiques et analgésiques qui devront à la fois prévenir le risque de douleur aiguë postopératoire et de chronicisation mais également permettre une reprise rapide de la compétition. Le risque infectieux est augmenté chez le sportif de haut niveau. Le risque thromboembolique n’est pas influencé pas la pratique du sport. La mobilisation précoce pourrait limiter le recours à une thromboprophylaxie systématique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87128
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 364-369[article] Construire un parcours chirurgical pour le sportif de haut niveau [texte imprimé] / Frédéric Le Saché ; Philippe Izard ; Sébastien Bloc ; Olivier Rontes ; Julien Cabaton ; Julien Chamoux ; Bertrand Sonnery-Cottet . - 2024 . - p. 364-369.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.001
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 364-369
Mots-clés : Traumatisme sportif Chirurgie Anesthésie Réhabilitation Anesthésie locorégionale Prise en charge de la douleur Postopératoire Complication Thrombose Infection Résumé : L’incidence élevée des blessures chez les athlètes et les risques qu’elles engendrent sur la performance sportive nécessite une prise en charge optimisée. Dans le cadre de son parcours chirurgical, la prise en charge du sportif de haut niveau relève de certaines spécificités liées à son environnement où la collaboration entre les chirurgiens, les anesthésistes, et l’ensemble du staff médico-technique (médecins du sport, médecins de club, préparateur physique, entraîneurs, entourage) est primordiale. La pré-habilitation (limitée par un délai préopératoire raccourci) et la réhabilitation postopératoire reposent essentiellement sur les médecins du sport et les équipes de rééducateurs dédiés qui accompagnent la réparation physique mais également psychique. La technique chirurgicale n’est pas modifiée par le statut de sportif de haut niveau. L’anesthésiste-réanimateur sera confronté au choix optimum des techniques anesthésiques et analgésiques qui devront à la fois prévenir le risque de douleur aiguë postopératoire et de chronicisation mais également permettre une reprise rapide de la compétition. Le risque infectieux est augmenté chez le sportif de haut niveau. Le risque thromboembolique n’est pas influencé pas la pratique du sport. La mobilisation précoce pourrait limiter le recours à une thromboprophylaxie systématique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87128 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Anesthésie du sportif : une approche de physiologie appliquée / Olivier Desebbe in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Anesthésie du sportif : une approche de physiologie appliquée Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Desebbe Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 370-373 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.007 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgie Anesthésie Sportif Physiologie Rééducation Postopératoire Résumé : Un acte chirurgical chez un sportif de haut niveau peut être un vrai défi, et plus précisément si l’intervention concerne sa pratique fonctionnelle. L’entourage psychologique est notamment un point crucial à long terme. À court terme, le rôle de l’anesthésiste est de minimiser le temps de récupération postopératoire afin de retrouver un niveau physique (rééducation) permettant au sportif de revenir le plus rapidement en compétition (réathlétisation). En peropératoire, l’anesthésiste limitera la perturbation de l’homéostasie propre du sportif (respect d’une bradycardie sinusale, considérer le poids réel du malade et non celui théorique en raison d’un pourcentage de masse grasse faible). La prise en charge n’est donc pas particulièrement différente du patient lambda. L’analgésie postopératoire sera en adéquation avec la minimisation de la charge morphinique grâce à l’association d’une analgésie multimodale, d’une anesthésie locorégionale validée par l’équipe du sportif, et l’utilisation large des moyens analgésiques non médicamenteux. L’utilisation postopératoire de produits potentiellement interdits par l’Agence mondiale antidopage doit être connue de l’anesthésiste. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87129
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 370-373[article] Anesthésie du sportif : une approche de physiologie appliquée [texte imprimé] / Olivier Desebbe . - 2024 . - p. 370-373.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.007
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 370-373
Mots-clés : Chirurgie Anesthésie Sportif Physiologie Rééducation Postopératoire Résumé : Un acte chirurgical chez un sportif de haut niveau peut être un vrai défi, et plus précisément si l’intervention concerne sa pratique fonctionnelle. L’entourage psychologique est notamment un point crucial à long terme. À court terme, le rôle de l’anesthésiste est de minimiser le temps de récupération postopératoire afin de retrouver un niveau physique (rééducation) permettant au sportif de revenir le plus rapidement en compétition (réathlétisation). En peropératoire, l’anesthésiste limitera la perturbation de l’homéostasie propre du sportif (respect d’une bradycardie sinusale, considérer le poids réel du malade et non celui théorique en raison d’un pourcentage de masse grasse faible). La prise en charge n’est donc pas particulièrement différente du patient lambda. L’analgésie postopératoire sera en adéquation avec la minimisation de la charge morphinique grâce à l’association d’une analgésie multimodale, d’une anesthésie locorégionale validée par l’équipe du sportif, et l’utilisation large des moyens analgésiques non médicamenteux. L’utilisation postopératoire de produits potentiellement interdits par l’Agence mondiale antidopage doit être connue de l’anesthésiste. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87129 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Pré-habilitation avant chirurgie du cancer du poumon en soins médicaux et de réadaptation respiratoire : un exemple de prise en charge réussi / Matthieu Josse in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Pré-habilitation avant chirurgie du cancer du poumon en soins médicaux et de réadaptation respiratoire : un exemple de prise en charge réussi Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Josse ; Julien Monconduit ; Pierre-Marie Leprêtre Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 374-380 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.05.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgie Poumon Réentrainement préopératoire Respiration Exercice intermittent Contraction excentrique Activité sportive adaptée Résumé : Il est admis que le pic de consommation d’oxygène (VO2pic) est une valeur prédictive des risques postopératoires et de la mortalité chez le patient en attente de résection chirurgicale pour cancer du poumon. Le réentraînement à l’effort préopératoire, encore appelé pré-habilitation par l’exercice, est une approche recommandée et proactive pour les patients les plus fragiles afin d’améliorer leur VO2pic et leur capacité musculaire. La pré-habilitation par l’exercice atténue également les effets indésirables et les risques de complications postopératoires liés à l’intervention. Ainsi, il est admis que le réentraînement à l’effort préopératoire participe à la réduction de la durée d’hospitalisation et de la mortalité à court terme. La pré-habilitation par l’exercice pourrait également influencer positivement la gestion anesthésique, favorisant une meilleure stabilité hémodynamique du patient et un réveil plus agréable. Toutefois, le niveau de preuve sur l’efficacité de cette prise en charge reste faible du fait de l’hétérogénéité des protocoles de réentraînement à l’effort préopératoire. Des méthodes innovantes comme le réentraînement par intervalles à haute intensité (HIIT) et le renforcement musculaire excentrique sont proposées pour optimiser les effets de la pré-habilitation par l’exercice. Ces exercices permettraient d’augmenter la valeur du VO2pic et la capacité fonctionnelle du patient dans un temps plus court et les patients répondraient mieux au stress chirurgical et anesthésique. Ces méthodes semblent intéressantes pour les patients présentant un risque important de complications postopératoires. Elles méritent d’être discutées afin d’optimiser la prise en charge individualisée du patient par l’équipe transdisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87130
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 374-380[article] Pré-habilitation avant chirurgie du cancer du poumon en soins médicaux et de réadaptation respiratoire : un exemple de prise en charge réussi [texte imprimé] / Matthieu Josse ; Julien Monconduit ; Pierre-Marie Leprêtre . - 2024 . - p. 374-380.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.05.003
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 374-380
Mots-clés : Chirurgie Poumon Réentrainement préopératoire Respiration Exercice intermittent Contraction excentrique Activité sportive adaptée Résumé : Il est admis que le pic de consommation d’oxygène (VO2pic) est une valeur prédictive des risques postopératoires et de la mortalité chez le patient en attente de résection chirurgicale pour cancer du poumon. Le réentraînement à l’effort préopératoire, encore appelé pré-habilitation par l’exercice, est une approche recommandée et proactive pour les patients les plus fragiles afin d’améliorer leur VO2pic et leur capacité musculaire. La pré-habilitation par l’exercice atténue également les effets indésirables et les risques de complications postopératoires liés à l’intervention. Ainsi, il est admis que le réentraînement à l’effort préopératoire participe à la réduction de la durée d’hospitalisation et de la mortalité à court terme. La pré-habilitation par l’exercice pourrait également influencer positivement la gestion anesthésique, favorisant une meilleure stabilité hémodynamique du patient et un réveil plus agréable. Toutefois, le niveau de preuve sur l’efficacité de cette prise en charge reste faible du fait de l’hétérogénéité des protocoles de réentraînement à l’effort préopératoire. Des méthodes innovantes comme le réentraînement par intervalles à haute intensité (HIIT) et le renforcement musculaire excentrique sont proposées pour optimiser les effets de la pré-habilitation par l’exercice. Ces exercices permettraient d’augmenter la valeur du VO2pic et la capacité fonctionnelle du patient dans un temps plus court et les patients répondraient mieux au stress chirurgical et anesthésique. Ces méthodes semblent intéressantes pour les patients présentant un risque important de complications postopératoires. Elles méritent d’être discutées afin d’optimiser la prise en charge individualisée du patient par l’équipe transdisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87130 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Prise en charge de la douleur chez le sportif : généralités et apport des nouvelles techniques / Cyril Quemeneur in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Prise en charge de la douleur chez le sportif : généralités et apport des nouvelles techniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Cyril Quemeneur ; Victoria Tchaikovski Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 381-387 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prise en charge de la douleur Sportif Gestion Biopsychosocial Médicament Thérapeutique non médicamenteuse Dépistage Facteur de risque Blood flow restriction - BFR Cryothérapie Thérapie par ondes de choc Tecarthérapie Injection Plasma riche en plaquettes - PRP Acide hyaluronique Corticoïde Cellule souche Acupuncture sèche Dry needling Mentalisation Résumé : La douleur chez les sportifs, souvent liée à des blessures traumatiques ou à une surutilisation, requiert une prise en charge rapide et pluridisciplinaire pour éviter la chronicisation et maintenir les performances. Bien que les athlètes présentent des seuils nociceptifs potentiellement plus élevés et une tolérance accrue à la douleur aiguë, certaines douleurs demeurent mal expliquées par des lésions tissulaires, nécessitant une compréhension plus approfondie dans le contexte sportif. La gestion de la douleur chez les athlètes doit tenir compte des facteurs biopsychosociaux, dépassant les aspects purement physiques. Des défis persistent dans la prise en charge de la douleur chez les sportifs, notamment la divergence entre la pratique clinique et la recherche, ainsi que la nécessité d’encourager la collaboration interdisciplinaire. Les facteurs de risque de douleur chez les sportifs incluent les volumes d’entraînement élevés, les antécédents de blessures et des facteurs psychosociaux tels que le catastrophisme et l’anxiété. La gestion de la douleur chez les sportifs implique des approches médicamenteuses et non médicamenteuses, mais l’usage de médicaments doit être prudent en raison de leur impact sur la perception des signaux d’alarme du corps et du risque de mésusage. De nouvelles techniques thérapeutiques, détaillées dans l’article, offrent également des perspectives prometteuses pour les athlètes. La gestion de la douleur chez les sportifs représente donc un défi complexe qui requiert une approche intégrée tenant compte de nombreux facteurs. Il est essentiel d’intégrer les dimensions biopsychosociales de la douleur et de favoriser la collaboration interdisciplinaire pour optimiser la prise en charge. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87131
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 381-387[article] Prise en charge de la douleur chez le sportif : généralités et apport des nouvelles techniques [texte imprimé] / Cyril Quemeneur ; Victoria Tchaikovski . - 2024 . - p. 381-387.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.003
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 381-387
Mots-clés : Prise en charge de la douleur Sportif Gestion Biopsychosocial Médicament Thérapeutique non médicamenteuse Dépistage Facteur de risque Blood flow restriction - BFR Cryothérapie Thérapie par ondes de choc Tecarthérapie Injection Plasma riche en plaquettes - PRP Acide hyaluronique Corticoïde Cellule souche Acupuncture sèche Dry needling Mentalisation Résumé : La douleur chez les sportifs, souvent liée à des blessures traumatiques ou à une surutilisation, requiert une prise en charge rapide et pluridisciplinaire pour éviter la chronicisation et maintenir les performances. Bien que les athlètes présentent des seuils nociceptifs potentiellement plus élevés et une tolérance accrue à la douleur aiguë, certaines douleurs demeurent mal expliquées par des lésions tissulaires, nécessitant une compréhension plus approfondie dans le contexte sportif. La gestion de la douleur chez les athlètes doit tenir compte des facteurs biopsychosociaux, dépassant les aspects purement physiques. Des défis persistent dans la prise en charge de la douleur chez les sportifs, notamment la divergence entre la pratique clinique et la recherche, ainsi que la nécessité d’encourager la collaboration interdisciplinaire. Les facteurs de risque de douleur chez les sportifs incluent les volumes d’entraînement élevés, les antécédents de blessures et des facteurs psychosociaux tels que le catastrophisme et l’anxiété. La gestion de la douleur chez les sportifs implique des approches médicamenteuses et non médicamenteuses, mais l’usage de médicaments doit être prudent en raison de leur impact sur la perception des signaux d’alarme du corps et du risque de mésusage. De nouvelles techniques thérapeutiques, détaillées dans l’article, offrent également des perspectives prometteuses pour les athlètes. La gestion de la douleur chez les sportifs représente donc un défi complexe qui requiert une approche intégrée tenant compte de nombreux facteurs. Il est essentiel d’intégrer les dimensions biopsychosociales de la douleur et de favoriser la collaboration interdisciplinaire pour optimiser la prise en charge. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87131 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Coup de chaleur d'exercice, il y a urgence à refroidir / Camille Chaffard in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
[article]
Titre : Coup de chaleur d'exercice, il y a urgence à refroidir Type de document : texte imprimé Auteurs : Camille Chaffard ; Marie-Charlotte Delignette ; Céline Guichon ; Alice Blet Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 388-398 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : Coup de chaleur Sport Activité physique Transplantation hépatique Défaillance multiviscérale Refroidissement Hypothermie Défaillance neurologique Epuisement hyperthermique Accident hyperthermique Prise en charge Résumé : Le coup de chaleur d’exercice se caractérise par une température centrale>40°C, accompagnée de symptômes neurologiques consécutifs à un effort physique. Observé lors d’exercices sportifs intenses ou dans des conditions environnementales difficiles, son incidence est difficile à évaluer en raison de sa faible incidence. Sa physiopathologie complexe repose principalement sur une dysrégulation thermique, avec une production de chaleur excessive due à l’exercice, mal régulée par l’organisme. Cette hyperthermie peut déclencher une réaction inflammatoire systémique pouvant évoluer vers une défaillance multiviscérale, engageant le pronostic vital du patient. Le diagnostic doit être envisagé en présence de troubles neurologiques pendant l’effort et il est confirmé par la mesure de la température centrale. La prise en charge initiale repose sur l’arrêt de l’effort et un refroidissement rapide, idéalement par immersion dans de l’eau froide. En cas d’évolution vers un état de défaillance multiviscérale, les premières heures peuvent être marquées par une instabilité hémodynamique, une rhabdomyolyse, une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD), une insuffisance rénale ainsi qu’une insuffisance hépatique. La nécessité d’une transplantation hépatique peut être difficile à établir, notamment car l’évaluation de la défaillance hépatique peut être biaisée par la CIVD et les troubles neurologiques liés au coup de chaleur d’exercice. Cette revue de littérature aborde l’épidémiologie et les principaux mécanismes physiopathologiques du coup de chaleur d’exercice. Elle détaille les aspects diagnostiques, la prise en charge initiale puis en soins critiques, tout en mettant en lumière les défis de la transplantation hépatique et les critères décisionnels pertinents. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87132
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 388-398[article] Coup de chaleur d'exercice, il y a urgence à refroidir [texte imprimé] / Camille Chaffard ; Marie-Charlotte Delignette ; Céline Guichon ; Alice Blet . - 2024 . - p. 388-398.
https://doi.org/10.1016/j.anrea.2024.06.002
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024) . - p. 388-398
Mots-clés : Coup de chaleur Sport Activité physique Transplantation hépatique Défaillance multiviscérale Refroidissement Hypothermie Défaillance neurologique Epuisement hyperthermique Accident hyperthermique Prise en charge Résumé : Le coup de chaleur d’exercice se caractérise par une température centrale>40°C, accompagnée de symptômes neurologiques consécutifs à un effort physique. Observé lors d’exercices sportifs intenses ou dans des conditions environnementales difficiles, son incidence est difficile à évaluer en raison de sa faible incidence. Sa physiopathologie complexe repose principalement sur une dysrégulation thermique, avec une production de chaleur excessive due à l’exercice, mal régulée par l’organisme. Cette hyperthermie peut déclencher une réaction inflammatoire systémique pouvant évoluer vers une défaillance multiviscérale, engageant le pronostic vital du patient. Le diagnostic doit être envisagé en présence de troubles neurologiques pendant l’effort et il est confirmé par la mesure de la température centrale. La prise en charge initiale repose sur l’arrêt de l’effort et un refroidissement rapide, idéalement par immersion dans de l’eau froide. En cas d’évolution vers un état de défaillance multiviscérale, les premières heures peuvent être marquées par une instabilité hémodynamique, une rhabdomyolyse, une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD), une insuffisance rénale ainsi qu’une insuffisance hépatique. La nécessité d’une transplantation hépatique peut être difficile à établir, notamment car l’évaluation de la défaillance hépatique peut être biaisée par la CIVD et les troubles neurologiques liés au coup de chaleur d’exercice. Cette revue de littérature aborde l’épidémiologie et les principaux mécanismes physiopathologiques du coup de chaleur d’exercice. Elle détaille les aspects diagnostiques, la prise en charge initiale puis en soins critiques, tout en mettant en lumière les défis de la transplantation hépatique et les critères décisionnels pertinents. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87132 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Le sport pour apaiser les maux / Périne Vidal in Anesthésie & Réanimation, Vol. 10, n° 4 (Juillet 2024)
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt