Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Traitement mini-invasif'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Kyste osseux anévrismal / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Kyste osseux anévrismal Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-771 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Résumé : Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44053
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6][article] Kyste osseux anévrismal [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier, Auteur ; C. Glorion, Auteur ; Christian Delloye, Auteur . - 2010 . - 14-771 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-771 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux anévrismal Lésion primaire et lésion secondaire Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Résumé : Le kyste osseux anévrismal est une lésion bénigne qui naît souvent en position excentrée de la métaphyse des os longs et qui en grandissant, peut souffler l'os. Cette pseudotumeur peut également concerner le bassin et la colonne vertébrale. La lésion peut occasionner des douleurs d'intensité variable et provoquer une tuméfaction qui devient apparente si la tumeur est soufflante. Aux os longs, la fracture pathologique est rare sauf pour les kystes de localisation centrale, mais au niveau vertébral les tassements ne sont pas rares. Bien que la radiographie standard puisse parfois suffire à porter le diagnostic, l'imagerie par résonance magnétique (IRM) est plus performante pour le diagnostic différentiel. Une biopsie s'impose car le kyste anévrismal est parfois secondaire à une lésion maligne telle que l'ostéosarcome télangiectasique. La théorie étiopathogénique la plus répandue est celle d'un processus réactionnel à une malformation veineuse mais la théorie néoplasique est actuellement évoquée depuis la découverte de la translocation t(16;17)(q22;p13) qui est récurrente dans les kystes anévrismaux primaires. Des cas de guérison spontanée ou de guérison après biopsie ont été rapportés mais sont rares. Le plus souvent, un traitement est nécessaire. Étant donné que le kyste anévrismal est une tumeur bénigne, le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. De nombreuses techniques mini-invasives sont maintenant disponibles et ont montré leur efficacité. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Os longs
Colonne vertébrale
Pelvis
Sacrum
Étiopathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Angiographie
Tomodensitométrie
Imagerie par résonance magnétique
Scintigraphie osseuse au technétium
Diagnostic différentiel
Kyste osseux simple
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Fibrome chondromyxoïde
Tumeur à cellules géantes
Ostéosarcome télangiectasique
Anatomie pathologique
Aspects macroscopiques
Aspects microscopiques
Immunomarquage
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Transformation maligne
Trouble de croissance
Traitement
Radiothérapie
Embolisation sélective
Injection d'Ethibloc
Cryothérapie
Curetage chirurgical
Injections percutanées
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44053 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux essentiel / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Kyste osseux essentiel Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier, Auteur ; Christian Delloye, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-767 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion bénigne qui occupe une position centrale métaphysaire et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle finit par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Formes conventionnelles
Formes particulières
Étiologie et pathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Autres examens complémentaires
Diagnostic différentiel
Kyste osseux anévrismal
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Anatomie pathologique
Ponction
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Traitement
Curetage chirurgical
Injection de corticoïdes
Décompression
Méthodes biologiques
Stabilisation mécanique primaire
Autres traitements
Traitement des fractures
Complications du kyste osseux essentiel
Fracture
Épiphysiodèse
Transformation maligne
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44052
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-767 [Tome 6][article] Kyste osseux essentiel [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier, Auteur ; Christian Delloye, Auteur . - 2010 . - 14-767 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-767 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion bénigne qui occupe une position centrale métaphysaire et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle finit par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Formes conventionnelles
Formes particulières
Étiologie et pathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Autres examens complémentaires
Diagnostic différentiel
Kyste osseux anévrismal
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Anatomie pathologique
Ponction
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Traitement
Curetage chirurgical
Injection de corticoïdes
Décompression
Méthodes biologiques
Stabilisation mécanique primaire
Autres traitements
Traitement des fractures
Complications du kyste osseux essentiel
Fracture
Épiphysiodèse
Transformation maligne
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44052 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux essentiel / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Kyste osseux essentiel Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier ; T. Schubert Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-767 [Tome 6] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44861-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion osseuse bénigne qui débute en position centrale dans la métaphyse et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. Ce sont surtout les enfants qui sont touchés entre 5 et 15 ans. En grandissant, la lésion peut s'étendre à toute la largeur de la métaphyse et aussi s'étendre à la diaphyse. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle peut finir par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures pathologiques qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. Le signe du « fragment tombé » est pathognomonique. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101483
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-767 [Tome 6][article] Kyste osseux essentiel [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier ; T. Schubert . - 2022 . - p. 14-767 [Tome 6].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44861-8
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-767 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion osseuse bénigne qui débute en position centrale dans la métaphyse et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. Ce sont surtout les enfants qui sont touchés entre 5 et 15 ans. En grandissant, la lésion peut s'étendre à toute la largeur de la métaphyse et aussi s'étendre à la diaphyse. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle peut finir par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures pathologiques qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. Le signe du « fragment tombé » est pathognomonique. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101483 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire