Centre de Documentation Campus Montignies
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10 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'TOXINE BOTULIQUE'
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Aspects thérapeutiques actuels de la toxine botulique en neurologie / S. Sangla in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Février 2007)
[article]
Titre : Aspects thérapeutiques actuels de la toxine botulique en neurologie Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Sangla, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : 26-455-E-05 Langues : Français (fre) Mots-clés : Toxine botulique Dystonie Blépharospasme Spasme hémifacial Torticolis spasmodique Résumé : La toxine botulique développée initialement à des fins guerrières est devenue une arme thérapeutique importante en neurologie et ses indications se sont considérablement développées en 25 ans. Le mérite de la découverte de cette utilisation thérapeutique revient à Alan Scott, ophtalmologiste, qui en 1977 ouvrait la voie en traitant le strabisme de l'enfant avec des injections de toxine botulique dans les muscles oculomoteurs. Depuis, les indications de la toxine botulique se sont notablement étendues, avec une utilisation dans de nombreuses spécialités médicales. Dans le cadre de l'autorisation de mise sur le marché (AMM), c'est la neurologie qui a le plus grand nombre d'indications. La toxine botulique a un effet symptomatique ; en bloquant la transmission neuromusculaire, elle entraîne une paralysie plus ou moins importante. Elle peut donc être utilisée lorsqu'une contraction anormale doit être levée, quelle qu'en soit la cause. La toxine est le traitement de première intention de la dystonie focale de l'adulte, elle est essentielle dans le traitement médical du spasme hémifacial et de la spasticité, mais ses effets dépassent largement le cadre de l'AMM. Note de contenu : Introduction
Historique
Botulisme
Développement de la neurotoxine de type A pour l'usage thérapeutique
Toxines
Structure
Mécanisme d'action
Action clinique
Caractéristiques, modalités d'emploi des toxines actuellement disponibles en France
Contre-indications
Indications des injections de toxine
Dystonies
Blépharospasme
Torticolis spasmodique
Crampe de l'écrivain
Dystonie oromandibulaire
Dystonie de la langue
Dysphonie spasmodique
Autres indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43595
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Février 2007) . - 26-455-E-05[article] Aspects thérapeutiques actuels de la toxine botulique en neurologie [texte imprimé] / S. Sangla, Auteur . - 2007 . - 26-455-E-05.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Février 2007) . - 26-455-E-05
Mots-clés : Toxine botulique Dystonie Blépharospasme Spasme hémifacial Torticolis spasmodique Résumé : La toxine botulique développée initialement à des fins guerrières est devenue une arme thérapeutique importante en neurologie et ses indications se sont considérablement développées en 25 ans. Le mérite de la découverte de cette utilisation thérapeutique revient à Alan Scott, ophtalmologiste, qui en 1977 ouvrait la voie en traitant le strabisme de l'enfant avec des injections de toxine botulique dans les muscles oculomoteurs. Depuis, les indications de la toxine botulique se sont notablement étendues, avec une utilisation dans de nombreuses spécialités médicales. Dans le cadre de l'autorisation de mise sur le marché (AMM), c'est la neurologie qui a le plus grand nombre d'indications. La toxine botulique a un effet symptomatique ; en bloquant la transmission neuromusculaire, elle entraîne une paralysie plus ou moins importante. Elle peut donc être utilisée lorsqu'une contraction anormale doit être levée, quelle qu'en soit la cause. La toxine est le traitement de première intention de la dystonie focale de l'adulte, elle est essentielle dans le traitement médical du spasme hémifacial et de la spasticité, mais ses effets dépassent largement le cadre de l'AMM. Note de contenu : Introduction
Historique
Botulisme
Développement de la neurotoxine de type A pour l'usage thérapeutique
Toxines
Structure
Mécanisme d'action
Action clinique
Caractéristiques, modalités d'emploi des toxines actuellement disponibles en France
Contre-indications
Indications des injections de toxine
Dystonies
Blépharospasme
Torticolis spasmodique
Crampe de l'écrivain
Dystonie oromandibulaire
Dystonie de la langue
Dysphonie spasmodique
Autres indications
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43595 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Pain during injections of botulinum toxin in children: Influence of the localization technique / M. BAYON-MOTTU in Annals of physical and rehabilitation medicine, Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Pain during injections of botulinum toxin in children: Influence of the localization technique Titre original : Douleur lors des injections de toxine botulique chez l’enfant : influence de la technique de repérage Type de document : texte imprimé Auteurs : M. BAYON-MOTTU, Auteur ; G. GAMBART, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.578-586 Langues : Français (fre) Mots-clés : Botulinum toxin Pain Children Localization technique Ultrasound Toxine botulique Douleur Enfants Repérage Échographie Résumé : Objective
In this study, we consider two localization techniques used in injections of botulinium toxin in children: electrical stimulation and ultrasound. The hypothesis of this work was that injections performed without stimulation would be less painful.
Patients and methods
Monocentric prospective study, with 107 sessions of lower limb injections. Two groups of children were compared: localization by ultrasound only (60 children), detection by stimulation only or by stimulation combined with ultrasound (47 children). Pain assessment was performed by the child or an accompanying party using the Visual Analog Scale (VAS) and by a health care team using the Face, Legs, Activity, Cry, Consolability (FLACC).
Results
A significant difference between the two groups was found in both self-report and by means of the behavioral observational pain scale. Indeed, VAS average and FLACC average were significantly higher with detection by stimulation than with ultrasound alone: 4.5cm±2.54 versus 2.7cm±2.27; P<0.001 for VAS scale and 3.7±2.1 versus 2.7±2.3; P<0.05 for FLACC scale.
Conclusion
When compared to ultrasound detection, localization by electrostimulation appears to increase the overall pain caused during injections of botulinum toxin in children.
Introduction
L’objectif de cette étude était d’évaluer la douleur lors des injections de toxine botulique chez l’enfant en fonction de la technique de repérage utilisée. L’hypothèse était qu’en l’absence d’électrostimulation, le geste était moins douloureux.
Patients et méthodes
Étude prospective monocentrique, portant sur 107 séances d’injections des membres inférieurs. Deux groupes de patients ont été comparés : repérage par échographie seule (60 enfants) et repérage par stimulation seule ou stimulation associée à l’échographie (47 enfants). L’évaluation de la douleur a été effectuée avec l’échelle visuelle analogique (EVA) par l’enfant ou son entourage et avec la Face, Legs, Activity, Cry, Consolability (FLACC) par l’équipe soignante.
Résultats
Il existait une différence significative entre les groupes que ce soit pour l’échelle d’auto- ou d’hétéro-évaluation. En effet, l’EVA moyenne et la FLACC moyenne étaient significativement plus élevées dans le groupe électrostimulation que dans le groupe échographie seule : 4,5cm±2,54 versus 2,7cm±2,27 ; p<0,001 pour l’EVA et 3,7±2,1 versus 2,7±2,3 ; p<0,05 pour la FLACC.
Conclusion
Le repérage par électrostimulation semble augmenter la douleur globale du geste par rapport à l’utilisation de l’échographie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34541
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014) . - p.578-586[article] Pain during injections of botulinum toxin in children: Influence of the localization technique = Douleur lors des injections de toxine botulique chez l’enfant : influence de la technique de repérage [texte imprimé] / M. BAYON-MOTTU, Auteur ; G. GAMBART, Auteur . - 2014 . - p.578-586.
Langues : Français (fre)
in Annals of physical and rehabilitation medicine > Vol. 57, n°9-10 (Décembre 2014) . - p.578-586
Mots-clés : Botulinum toxin Pain Children Localization technique Ultrasound Toxine botulique Douleur Enfants Repérage Échographie Résumé : Objective
In this study, we consider two localization techniques used in injections of botulinium toxin in children: electrical stimulation and ultrasound. The hypothesis of this work was that injections performed without stimulation would be less painful.
Patients and methods
Monocentric prospective study, with 107 sessions of lower limb injections. Two groups of children were compared: localization by ultrasound only (60 children), detection by stimulation only or by stimulation combined with ultrasound (47 children). Pain assessment was performed by the child or an accompanying party using the Visual Analog Scale (VAS) and by a health care team using the Face, Legs, Activity, Cry, Consolability (FLACC).
Results
A significant difference between the two groups was found in both self-report and by means of the behavioral observational pain scale. Indeed, VAS average and FLACC average were significantly higher with detection by stimulation than with ultrasound alone: 4.5cm±2.54 versus 2.7cm±2.27; P<0.001 for VAS scale and 3.7±2.1 versus 2.7±2.3; P<0.05 for FLACC scale.
Conclusion
When compared to ultrasound detection, localization by electrostimulation appears to increase the overall pain caused during injections of botulinum toxin in children.
Introduction
L’objectif de cette étude était d’évaluer la douleur lors des injections de toxine botulique chez l’enfant en fonction de la technique de repérage utilisée. L’hypothèse était qu’en l’absence d’électrostimulation, le geste était moins douloureux.
Patients et méthodes
Étude prospective monocentrique, portant sur 107 séances d’injections des membres inférieurs. Deux groupes de patients ont été comparés : repérage par échographie seule (60 enfants) et repérage par stimulation seule ou stimulation associée à l’échographie (47 enfants). L’évaluation de la douleur a été effectuée avec l’échelle visuelle analogique (EVA) par l’enfant ou son entourage et avec la Face, Legs, Activity, Cry, Consolability (FLACC) par l’équipe soignante.
Résultats
Il existait une différence significative entre les groupes que ce soit pour l’échelle d’auto- ou d’hétéro-évaluation. En effet, l’EVA moyenne et la FLACC moyenne étaient significativement plus élevées dans le groupe électrostimulation que dans le groupe échographie seule : 4,5cm±2,54 versus 2,7cm±2,27 ; p<0,001 pour l’EVA et 3,7±2,1 versus 2,7±2,3 ; p<0,05 pour la FLACC.
Conclusion
Le repérage par électrostimulation semble augmenter la douleur globale du geste par rapport à l’utilisation de l’échographie.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34541 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLa prévention de la douleur liée aux injections de toxine botulique chez l'enfant / B GOSSET in Soins, 764 (avril 2012)
[article]
Titre : La prévention de la douleur liée aux injections de toxine botulique chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : B GOSSET, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp. 21-24 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENFANT DOULEUR PREVENTION TOXINE BOTULIQUE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=9517
in Soins > 764 (avril 2012) . - pp. 21-24[article] La prévention de la douleur liée aux injections de toxine botulique chez l'enfant [texte imprimé] / B GOSSET, Auteur ; et al., Auteur . - 2012 . - pp. 21-24.
Langues : Français (fre)
in Soins > 764 (avril 2012) . - pp. 21-24
Mots-clés : ENFANT DOULEUR PREVENTION TOXINE BOTULIQUE Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=9517 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtUtilisation de la toxine botulique pour le traitement de la spasticité du membre inférieur chez l’enfant : revue de la littérature / Anne Presedo in Motricité cérébrale, Vol.42, n°3 (Juillet/septembre 2021)
[article]
Titre : Utilisation de la toxine botulique pour le traitement de la spasticité du membre inférieur chez l’enfant : revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Presedo Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 75-82 Note générale : http://doi : 10.1016/j.motcer.2021.04.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : Toxine botulique Paralysie cérébrale Diplégie spastique Résumé : La toxine botulique de type A est utilisée depuis les années 90 pour le traitement de la spasticité chez les enfants atteints de paralysie cérébrale. L’efficacité et sécurité de ce médicament ont été démontrées par des nombreuses études publiées dans la littérature scientifique. La présence d’une spasticité importante peut causer des limitations de la mobilité, entraînant des difficultés pour les activités de la vie quotidienne. Chez l’enfant en croissance, le développement de rétractions musculaires et de déformations squelettiques représentent des problèmes secondaires liés à la lésion neurologique. Le traitement de la spasticité a pour objet la prévention de ces troubles orthopédiques et l’amélioration de la qualité de vie. Une revue exhaustive de la littérature a été réalisée, afin de mettre à jour les connaissances actuelles et d’alerter sur les aspects à prendre en compte lors d’une indication de traitement par toxine botulinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96376
in Motricité cérébrale > Vol.42, n°3 (Juillet/septembre 2021) . - p. 75-82[article] Utilisation de la toxine botulique pour le traitement de la spasticité du membre inférieur chez l’enfant : revue de la littérature [texte imprimé] / Anne Presedo . - 2021 . - p. 75-82.
http://doi : 10.1016/j.motcer.2021.04.003
Langues : Français (fre)
in Motricité cérébrale > Vol.42, n°3 (Juillet/septembre 2021) . - p. 75-82
Mots-clés : Toxine botulique Paralysie cérébrale Diplégie spastique Résumé : La toxine botulique de type A est utilisée depuis les années 90 pour le traitement de la spasticité chez les enfants atteints de paralysie cérébrale. L’efficacité et sécurité de ce médicament ont été démontrées par des nombreuses études publiées dans la littérature scientifique. La présence d’une spasticité importante peut causer des limitations de la mobilité, entraînant des difficultés pour les activités de la vie quotidienne. Chez l’enfant en croissance, le développement de rétractions musculaires et de déformations squelettiques représentent des problèmes secondaires liés à la lésion neurologique. Le traitement de la spasticité a pour objet la prévention de ces troubles orthopédiques et l’amélioration de la qualité de vie. Une revue exhaustive de la littérature a été réalisée, afin de mettre à jour les connaissances actuelles et d’alerter sur les aspects à prendre en compte lors d’une indication de traitement par toxine botulinique. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=96376 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRééducation des dystonies / Jean-Pierre Bleton in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation, (Mars 2013)
[article]
Titre : Rééducation des dystonies Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Bleton, Auteur ; S. Sangla, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 26-452-B-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dystonie Toxine botulique Dystonie cervicale Crampe de l'écrivain Rééducation Résumé : Les dystonies se manifestent par des contractions musculaires involontaires soutenues responsables le plus souvent de mouvements répétitifs de torsion ou de postures anormales. Parmi les différentes formes de dystonies primaires généralisées, la dystonie DYT1 est la plus fréquente. La stimulation cérébrale profonde en a notablement modifié le pronostic. Les programmes de rééducation cherchent à répondre aux besoins physiques, sociaux et éducatifs du patient. Les dystonies cervicales sont les plus fréquentes des dystonies focales de l'adulte. Elles se présentent sous la forme tonique ou mobile. Le traitement de première intention est la toxine botulique à laquelle est associée la rééducation. Chaque dystonie cervicale a ses propres caractéristiques exigeant un traitement de rééducation spécifique. Dans la forme mobile, l'accent est mis sur la recherche de l'immobilité de la tête, dans la forme tonique sur la revalidation des muscles correcteurs. La crampe de l'écrivain est une dystonie de fonction survenant au cours d'une activité spécifique à savoir l'écriture. Elle se caractérise par des contractions anormales des muscles du membre scripteur, responsables de difficultés graphomotrices. La rééducation tient une place importante. Elle permet au patient de comprendre ses difficultés, de récupérer des sensations qu'il avait perdues et de corriger la façon de tenir son stylo ainsi que le positionnement du membre inscripteur. La rééducation des dystonies étant rarement prescrite isolément, les meilleurs résultats sont obtenus en associant les injections de toxine botulique. Le contenu, le rythme des séances, la durée des programmes et le temps nécessaire d'autorééducation restent à définir. Toutes les formes de dystonie focale ne tirent pas le même bénéfice de la rééducation ; les formes toniques obtiennent en général de meilleurs résultats que les formes mobiles ou tremblantes. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Pourquoi la rééducation
Rappels
Diagnostic : dystonies, leur place dans les mouvements anormaux
Classification des dystonies
Anatomopathologie
Physiopathologie des dystonies
Traitements
Traitements médicaux
Toxine botulique
Techniques fréquemment utilisées pour la rééducation des dystonies
Dystonies généralisées
Différentes formes de dystonie généralisée
Traitement
Rééducation des dystonies généralisées
Dystonies symptomatiques ou secondaires
Rééducation des dystonies cervicales
Définition
Examen clinique
Traitements des dystonies cervicales
Rééducation des dystonies de fonction : crampe de l'écrivain
Définition
Clinique
Physiopathologie
Étiologie et évolution
Diagnostic différentiel
Traitement médical
Rééducation
Autres dystonies
Dystonies des membres
Dystonies faciales
Dysphonies spasmodiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43591
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Mars 2013) . - 26-452-B-10[article] Rééducation des dystonies [texte imprimé] / Jean-Pierre Bleton, Auteur ; S. Sangla, Auteur . - 2013 . - 26-452-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Kinésithérapie Médecine physique-Réadaptation > (Mars 2013) . - 26-452-B-10
Mots-clés : Dystonie Toxine botulique Dystonie cervicale Crampe de l'écrivain Rééducation Résumé : Les dystonies se manifestent par des contractions musculaires involontaires soutenues responsables le plus souvent de mouvements répétitifs de torsion ou de postures anormales. Parmi les différentes formes de dystonies primaires généralisées, la dystonie DYT1 est la plus fréquente. La stimulation cérébrale profonde en a notablement modifié le pronostic. Les programmes de rééducation cherchent à répondre aux besoins physiques, sociaux et éducatifs du patient. Les dystonies cervicales sont les plus fréquentes des dystonies focales de l'adulte. Elles se présentent sous la forme tonique ou mobile. Le traitement de première intention est la toxine botulique à laquelle est associée la rééducation. Chaque dystonie cervicale a ses propres caractéristiques exigeant un traitement de rééducation spécifique. Dans la forme mobile, l'accent est mis sur la recherche de l'immobilité de la tête, dans la forme tonique sur la revalidation des muscles correcteurs. La crampe de l'écrivain est une dystonie de fonction survenant au cours d'une activité spécifique à savoir l'écriture. Elle se caractérise par des contractions anormales des muscles du membre scripteur, responsables de difficultés graphomotrices. La rééducation tient une place importante. Elle permet au patient de comprendre ses difficultés, de récupérer des sensations qu'il avait perdues et de corriger la façon de tenir son stylo ainsi que le positionnement du membre inscripteur. La rééducation des dystonies étant rarement prescrite isolément, les meilleurs résultats sont obtenus en associant les injections de toxine botulique. Le contenu, le rythme des séances, la durée des programmes et le temps nécessaire d'autorééducation restent à définir. Toutes les formes de dystonie focale ne tirent pas le même bénéfice de la rééducation ; les formes toniques obtiennent en général de meilleurs résultats que les formes mobiles ou tremblantes. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Pourquoi la rééducation
Rappels
Diagnostic : dystonies, leur place dans les mouvements anormaux
Classification des dystonies
Anatomopathologie
Physiopathologie des dystonies
Traitements
Traitements médicaux
Toxine botulique
Techniques fréquemment utilisées pour la rééducation des dystonies
Dystonies généralisées
Différentes formes de dystonie généralisée
Traitement
Rééducation des dystonies généralisées
Dystonies symptomatiques ou secondaires
Rééducation des dystonies cervicales
Définition
Examen clinique
Traitements des dystonies cervicales
Rééducation des dystonies de fonction : crampe de l'écrivain
Définition
Clinique
Physiopathologie
Étiologie et évolution
Diagnostic différentiel
Traitement médical
Rééducation
Autres dystonies
Dystonies des membres
Dystonies faciales
Dysphonies spasmodiques
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43591 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Approche neurorééducative des tremblements : Épidémiologie, physiopathologie et classification des tremblements (1ère partie) / Valentina Mardale in Kinésithérapie scientifique, 589 (Juillet 2017)
PermalinkBioterrorisme : de l'analyse aux solutions Biodéfense : la France en retard in Biofutur, 250 (2004)
PermalinkMembre inférieur paralytique / P. Lebarbier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
PermalinkMenace terroriste, approche médicale / Thierry De Revel
PermalinkLes toxines utiles : Conversion d'un poison redoutable en médicament aux multiples indications in Biofutur, 276 (2007)
Permalink