Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Kyste osseux essentiel'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Kyste osseux essentiel / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, (Décembre 2010)
[article]
Titre : Kyste osseux essentiel Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier, Auteur ; Christian Delloye, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : 14-767 [Tome 6] Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion bénigne qui occupe une position centrale métaphysaire et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle finit par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Formes conventionnelles
Formes particulières
Étiologie et pathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Autres examens complémentaires
Diagnostic différentiel
Kyste osseux anévrismal
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Anatomie pathologique
Ponction
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Traitement
Curetage chirurgical
Injection de corticoïdes
Décompression
Méthodes biologiques
Stabilisation mécanique primaire
Autres traitements
Traitement des fractures
Complications du kyste osseux essentiel
Fracture
Épiphysiodèse
Transformation maligne
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44052
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-767 [Tome 6][article] Kyste osseux essentiel [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier, Auteur ; Christian Delloye, Auteur . - 2010 . - 14-767 [Tome 6].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Décembre 2010) . - 14-767 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion bénigne qui occupe une position centrale métaphysaire et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle finit par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Note de contenu : Introduction
Définition
Épidémiologie
Localisation
Formes conventionnelles
Formes particulières
Étiologie et pathogénie
Clinique
Examens complémentaires
Radiographie standard
Autres examens complémentaires
Diagnostic différentiel
Kyste osseux anévrismal
Granulome éosinophile
Fibrome non ossifiant
Dysplasie fibreuse
Anatomie pathologique
Ponction
Aspect macroscopique
Aspect microscopique
Histoire naturelle
Guérison spontanée
Risque fracturaire
Traitement
Curetage chirurgical
Injection de corticoïdes
Décompression
Méthodes biologiques
Stabilisation mécanique primaire
Autres traitements
Traitement des fractures
Complications du kyste osseux essentiel
Fracture
Épiphysiodèse
Transformation maligne
Facteurs de récidive après traitement
ConclusionPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=44052 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Kyste osseux essentiel / Pierre-Louis Docquier in EMC : Appareil locomoteur, Vol.36 N°1 (février 2022)
[article]
Titre : Kyste osseux essentiel Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre-Louis Docquier ; T. Schubert Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 14-767 [Tome 6] Note générale : https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44861-8 Langues : Français (fre) Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion osseuse bénigne qui débute en position centrale dans la métaphyse et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. Ce sont surtout les enfants qui sont touchés entre 5 et 15 ans. En grandissant, la lésion peut s'étendre à toute la largeur de la métaphyse et aussi s'étendre à la diaphyse. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle peut finir par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures pathologiques qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. Le signe du « fragment tombé » est pathognomonique. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101483
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-767 [Tome 6][article] Kyste osseux essentiel [texte imprimé] / Pierre-Louis Docquier ; T. Schubert . - 2022 . - p. 14-767 [Tome 6].
https://doi : 10.1016/S0246-0521(21)44861-8
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > Vol.36 N°1 (février 2022) . - p. 14-767 [Tome 6]
Mots-clés : Kyste osseux essentiel Fracture pathologique Tumeur bénigne Traitement mini-invasif Ostéosynthèse Résumé : Le kyste osseux essentiel est une lésion osseuse bénigne qui débute en position centrale dans la métaphyse et qui augmente de volume en fragilisant l'os par amincissement de la paroi corticale. Ce sont surtout les enfants qui sont touchés entre 5 et 15 ans. En grandissant, la lésion peut s'étendre à toute la largeur de la métaphyse et aussi s'étendre à la diaphyse. La lésion devient ensuite latente et se retrouve progressivement en position diaphysaire. Elle peut finir par régresser et enfin par guérir. Au cours de son évolution, elle peut générer une ou plusieurs fractures pathologiques qui sont souvent la circonstance de la découverte. La radiographie standard suffit le plus souvent à porter le diagnostic. Le signe du « fragment tombé » est pathognomonique. La lésion ne donne aucun symptôme en dehors des complications (fissuration, fracture) et peut guérir spontanément. Aussi le traitement ne doit en aucun cas être trop invasif. La localisation préférentielle est l'humérus proximal, puis le fémur proximal. À l'humérus, les fractures sont traitées orthopédiquement. Si le kyste n'a pas tendance à guérir après la fracture, un traitement mini-invasif par injection est recommandé (corticoïdes, moelle osseuse, matrice osseuse déminéralisée). Au fémur chez un patient âgé de plus de 6 ans, une fracture ou un risque trop important de fracture fait l'objet d'une ostéosynthèse. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101483 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire