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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Hydroxyapatite'
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Primary Total Hip Arthroplasty With Hydroxyapatite Coated Titanium Femoral Stems. Does Design Philosophy Influence Long Term Outcome ? : Results Of A Prospective Randomised Controlled Trial With Follow-Up Of 10-15 Years / N.A. SANDIFORD in Acta Orthopaedica Belgica, Vol 80/3 (Septembre 2014)
[article]
Titre : Primary Total Hip Arthroplasty With Hydroxyapatite Coated Titanium Femoral Stems. Does Design Philosophy Influence Long Term Outcome ? : Results Of A Prospective Randomised Controlled Trial With Follow-Up Of 10-15 Years Type de document : texte imprimé Auteurs : N.A. SANDIFORD, Auteur ; J.A. SKINNER, Auteur Année de publication : 2014 Article en page(s) : p.372-379 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : prospective randomised fully coated long term hydroxyapatite Résumé : We present results of a prospective randomised controlled trial examining two cohorts of patients treated with proximally (Group A) and fully coated (Group B) femoral components with long term follow up. Patients were reviewed preoperatively and 6, 12, 26 and 52 weeks post operatively then annually. The Merle d’Aubigne Postel (MDP) hip score was used to assess clinical outcome. A Visual Analog Score (VAS) was also recorded. Statistical calculation was performed using the student’s t- test and Kaplan Meier survival analysis. One hundred and four patients were included in group A and 103 patients in group B. Mean age was 60.4 years and 60.8 years respectively. Mean follow- up was 12.9 years. Mean pre-operative MDP scores were 8.8 and 9.5 in Groups A and B respectively. Mean pre-operative VAS score 7.8 and 7.4 respectively. At final follow up mean MDP and VAS were 16.9, 16.6 and 2.1, 2.4 respectively. Three femoral revisions occurred in Group A. Seven revisions occurred in Group B. Survival of the femoral component with revision for any reason as the end point was 96% in Group A and 94.8% in Group B. Both components produced symptomatic relief and similar revision rates. Thigh pain occurred only in Group A. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34652
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol 80/3 (Septembre 2014) . - p.372-379[article] Primary Total Hip Arthroplasty With Hydroxyapatite Coated Titanium Femoral Stems. Does Design Philosophy Influence Long Term Outcome ? : Results Of A Prospective Randomised Controlled Trial With Follow-Up Of 10-15 Years [texte imprimé] / N.A. SANDIFORD, Auteur ; J.A. SKINNER, Auteur . - 2014 . - p.372-379.
Langues : Anglais (eng)
in Acta Orthopaedica Belgica > Vol 80/3 (Septembre 2014) . - p.372-379
Mots-clés : prospective randomised fully coated long term hydroxyapatite Résumé : We present results of a prospective randomised controlled trial examining two cohorts of patients treated with proximally (Group A) and fully coated (Group B) femoral components with long term follow up. Patients were reviewed preoperatively and 6, 12, 26 and 52 weeks post operatively then annually. The Merle d’Aubigne Postel (MDP) hip score was used to assess clinical outcome. A Visual Analog Score (VAS) was also recorded. Statistical calculation was performed using the student’s t- test and Kaplan Meier survival analysis. One hundred and four patients were included in group A and 103 patients in group B. Mean age was 60.4 years and 60.8 years respectively. Mean follow- up was 12.9 years. Mean pre-operative MDP scores were 8.8 and 9.5 in Groups A and B respectively. Mean pre-operative VAS score 7.8 and 7.4 respectively. At final follow up mean MDP and VAS were 16.9, 16.6 and 2.1, 2.4 respectively. Three femoral revisions occurred in Group A. Seven revisions occurred in Group B. Survival of the femoral component with revision for any reason as the end point was 96% in Group A and 94.8% in Group B. Both components produced symptomatic relief and similar revision rates. Thigh pain occurred only in Group A. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=34652 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtRhumatisme à apatite / D. Baron in EMC : Appareil locomoteur, (Février 2012)
[article]
Titre : Rhumatisme à apatite Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Baron ; S. Alasanne Année de publication : 2012 Article en page(s) : 14-272-A-10 [Tome 5] Langues : Français (fre) Mots-clés : Hydroxyapatite Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le rhumatisme à apatite est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'hydroxyapatite, soit extra-articulaires, à l'origine de fréquentes pathologies périarticulaires sous forme de poussées très aiguës, soit intra-articulaires, moins fréquents et moins bien reconnus, pouvant se manifester par une arthrite aiguë ou une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités périarticulaire et articulaire de cette pathologie microcristalline affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent en être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale avec hémodialyse, un diabète, des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses. Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. Leur identification certaine repose sur des techniques chères de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X. D'autres techniques sont en voie de développement. Il n'existe pas de traitement étiologique du rhumatisme à apatite, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Note de contenu : Généralités
Historique
Pathogénie
Le RhAP est-il une entité propre ?
Origine génétique du RhAP
Fréquence. Facteurs favorisants
Les microcristaux de PCB sont-ils arthrogènes ?
Critères diagnostiques
Diagnostic différentiel
Formes cliniques
Épaule
Coude
Poignet et main
Hanche
Genou
Cheville, pied et orteils
Rachis
Sacrum et sacro-iliaques
Autres formes cliniques
Examens complémentaires
Radiologie conventionnelle
Autres examens
Pathologie apatitique dans les prothèses
Traitement
Traitement médical
Traitement local
Traitement chirurgical
Prise en charge particulière de formes localisées abarticulaires
Localisation intra-articulaire : arthropathie apatitique
Formes à localisations multiplesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43999
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-272-A-10 [Tome 5][article] Rhumatisme à apatite [texte imprimé] / D. Baron ; S. Alasanne . - 2012 . - 14-272-A-10 [Tome 5].
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Février 2012) . - 14-272-A-10 [Tome 5]
Mots-clés : Hydroxyapatite Apatite Rhumatisme microcristallin Calcification Résumé : Le rhumatisme à apatite est caractérisé par des dépôts de microcristaux d'hydroxyapatite, soit extra-articulaires, à l'origine de fréquentes pathologies périarticulaires sous forme de poussées très aiguës, soit intra-articulaires, moins fréquents et moins bien reconnus, pouvant se manifester par une arthrite aiguë ou une arthropathie dégénérative chronique. Les deux entités périarticulaire et articulaire de cette pathologie microcristalline affectent le plus souvent l'épaule, mais bien d'autres sites peuvent en être atteints. Les dépôts peuvent être idiopathiques ou apparaître dans des contextes particuliers, tels qu'une insuffisance rénale avec hémodialyse, un diabète, des désordres hormonaux. Des facteurs génétiques semblent être impliqués. Des problèmes pathologiques peuvent être engendrés par l'utilisation des apatites dans la pose des prothèses. Des signes radiologiques peuvent orienter le diagnostic, en particulier dans des sites inhabituels, en association à un test de dépistage rapide reposant sur la coloration au rouge d'alizarine, non spécifique. Leur identification certaine repose sur des techniques chères de microscopie électronique ou de diffraction aux rayons X. D'autres techniques sont en voie de développement. Il n'existe pas de traitement étiologique du rhumatisme à apatite, mais le traitement symptomatique des poussées aiguës périarticulaires associe à des degrés divers les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les antalgiques, les infiltrations de corticoïdes, la ponction-aspiration-lavage. Dans les formes à localisations multiples, le produit phosphocalcique doit être diminué. Les arthropathies sévères nécessitent le recours à la chirurgie, alors le plus souvent prothétique. Note de contenu : Généralités
Historique
Pathogénie
Le RhAP est-il une entité propre ?
Origine génétique du RhAP
Fréquence. Facteurs favorisants
Les microcristaux de PCB sont-ils arthrogènes ?
Critères diagnostiques
Diagnostic différentiel
Formes cliniques
Épaule
Coude
Poignet et main
Hanche
Genou
Cheville, pied et orteils
Rachis
Sacrum et sacro-iliaques
Autres formes cliniques
Examens complémentaires
Radiologie conventionnelle
Autres examens
Pathologie apatitique dans les prothèses
Traitement
Traitement médical
Traitement local
Traitement chirurgical
Prise en charge particulière de formes localisées abarticulaires
Localisation intra-articulaire : arthropathie apatitique
Formes à localisations multiplesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43999 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Substituts osseux / D. Mainard in EMC : Appareil locomoteur, (Mars 2013)
[article]
Titre : Substituts osseux Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Mainard Année de publication : 2013 Article en page(s) : 14-015-B-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : Céramiques de phosphate de calcium Hydroxyapatite Phosphate tricalcique Ciment phosphocalcique Nanocristaux d'hydroxyapatite Sulfate de calcium Allogreffe sécurisée Résumé : Les pertes de substance osseuse sont fréquentes en orthopédie et traumatologie et peuvent connaître de multiples étiologies. De nombreuses possibilités sont à la disposition du chirurgien pour combler ces pertes osseuses. Les substituts osseux font maintenant partie de l'arsenal du chirurgien pour faire face à une perte osseuse. Il en existe plusieurs familles, la plupart d'origine synthétique, certaines d'origine biologique. Le choix du mode de comblement se fait selon de nombreux critères parmi lesquels l'étiologie, l'état local, le volume à combler, l'âge du patient, etc. Il dépend également du choix personnel du chirurgien en fonction des avantages et inconvénients du substitut osseux. Les céramiques de phosphate de calcium représentent la principale famille de substitut osseux. Ils se présentent sous différentes formes et tailles (granulés, formes géométriques, etc.). Leur principale propriété est la bioactivité qui permet des échanges avec les cellules, tissus et fluides environnants. Ils possèdent une macroporosité qui permet l'envahissement cellulaire et osseux. Les ciments phosphocalciques ont l'avantage d'être injectés sous forme liquide, éventuellement en percutané. La prise et le durcissement se font in situ. Les substituts à base de nanocristaux d'hydroxyapatite comportent des nanocristaux identiques à ceux du tissu osseux et possèdent une bioactivité particulière. Ils se présentent sous forme injectable, mais ne durcissent pas in situ. Les allogreffes ayant fait l'objet d'une sécurisation microbiologique évitent tout risque infectieux, tout en conservant l'essentiel des propriétés de l'os spongieux. Elles sont maintenant plus utilisées que les allogreffes cryoconservées. Il appartient au chirurgien de bien connaître les propriétés, avantages et inconvénients de chacune de ces familles de substitut et de faire l'analyse de la perte osseuse avant de décider de son mode de comblement. Note de contenu : Introduction
Historique
Substituts d'origine osseuse
Allogreffes traitées pour sécurisation microbiologique
Matrices osseuses déminéralisées
Xénogreffes
Substituts osseux de synthèse
Céramiques de phosphate de calcium
Sulfates de calcium
Substituts osseux injectables
Nanocristaux de phosphates de calcium
Autres substituts
Carbonate de calcium
Phosphate ou sulfate de calcium associé à d'autres biomatériaux
Bioverres
Conclusion et perspectivesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43669
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 14-015-B-10[article] Substituts osseux [texte imprimé] / D. Mainard . - 2013 . - 14-015-B-10.
Langues : Français (fre)
in EMC : Appareil locomoteur > (Mars 2013) . - 14-015-B-10
Mots-clés : Céramiques de phosphate de calcium Hydroxyapatite Phosphate tricalcique Ciment phosphocalcique Nanocristaux d'hydroxyapatite Sulfate de calcium Allogreffe sécurisée Résumé : Les pertes de substance osseuse sont fréquentes en orthopédie et traumatologie et peuvent connaître de multiples étiologies. De nombreuses possibilités sont à la disposition du chirurgien pour combler ces pertes osseuses. Les substituts osseux font maintenant partie de l'arsenal du chirurgien pour faire face à une perte osseuse. Il en existe plusieurs familles, la plupart d'origine synthétique, certaines d'origine biologique. Le choix du mode de comblement se fait selon de nombreux critères parmi lesquels l'étiologie, l'état local, le volume à combler, l'âge du patient, etc. Il dépend également du choix personnel du chirurgien en fonction des avantages et inconvénients du substitut osseux. Les céramiques de phosphate de calcium représentent la principale famille de substitut osseux. Ils se présentent sous différentes formes et tailles (granulés, formes géométriques, etc.). Leur principale propriété est la bioactivité qui permet des échanges avec les cellules, tissus et fluides environnants. Ils possèdent une macroporosité qui permet l'envahissement cellulaire et osseux. Les ciments phosphocalciques ont l'avantage d'être injectés sous forme liquide, éventuellement en percutané. La prise et le durcissement se font in situ. Les substituts à base de nanocristaux d'hydroxyapatite comportent des nanocristaux identiques à ceux du tissu osseux et possèdent une bioactivité particulière. Ils se présentent sous forme injectable, mais ne durcissent pas in situ. Les allogreffes ayant fait l'objet d'une sécurisation microbiologique évitent tout risque infectieux, tout en conservant l'essentiel des propriétés de l'os spongieux. Elles sont maintenant plus utilisées que les allogreffes cryoconservées. Il appartient au chirurgien de bien connaître les propriétés, avantages et inconvénients de chacune de ces familles de substitut et de faire l'analyse de la perte osseuse avant de décider de son mode de comblement. Note de contenu : Introduction
Historique
Substituts d'origine osseuse
Allogreffes traitées pour sécurisation microbiologique
Matrices osseuses déminéralisées
Xénogreffes
Substituts osseux de synthèse
Céramiques de phosphate de calcium
Sulfates de calcium
Substituts osseux injectables
Nanocristaux de phosphates de calcium
Autres substituts
Carbonate de calcium
Phosphate ou sulfate de calcium associé à d'autres biomatériaux
Bioverres
Conclusion et perspectivesPermalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=43669 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire