Centre de Documentation Campus Montignies
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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Cognition spatiale'
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Apport de la réalité augmentée comme aide technologique pour le maintien de l’autonomie de personnes présentant une maladie neurologique : revue narrative de la littérature / Manon Perrier in Ergothérapies, 86 (Juillet 2022)
[article]
Titre : Apport de la réalité augmentée comme aide technologique pour le maintien de l’autonomie de personnes présentant une maladie neurologique : revue narrative de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Perrier ; Léa Pilette ; Jean-Marie Normand ; Anatole Lécuyer ; Guillaume Moreau ; Mélanie Cogné Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 7-18 Note générale : Cet article est issu du dossier "Les aides techniques et l'ergothérapie : enjeux et perspectives - Tome 1" Langues : Français (fre) Mots-clés : réalité augmentée aide technologique cognition spatiale charge cognitive ergothérapie Résumé : Les Accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les maladies neurodégénératives font partie des affections neurologiques les plus répandues en France. D’après la société française neuro-vasculaire citant l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’incidence mondiale des AVC augmentera progressivement au cours des prochaines années, passant de 16 millions en 2005 à 23 millions en 2030 (SFNV, 2021). À la phase aiguë (J0 à J14) de survenue d’un AVC, une personne sur deux présente des troubles cognitifs. Pour les deux tiers de ces personnes, il s’agit de troubles cognitifs légers et, pour le tiers restant, de troubles cognitifs majeurs (Godefroy et al., 2018). Concernant les pathologies neurodégénératives, la démence de type Alzheimer est la première cause de démence dans le monde et représente entre 60 et 70 % des cas. La démence, toute origine confondue, est la cause principale de handicap et de dépendance chez les personnes âgées (OMS, 2021). Le rapport mondial sur la démence de type Alzheimer estime qu’en 2015 près de 47 millions de personnes dans le monde étaient atteintes d’une forme de démence (Prince et al., 2015). Il est évalué que ce chiffre double environ tous les vingt ans, il pourrait donc atteindre près de 75 millions de malades en 2030 et plus de 131 millions en 2050. La maladie de Parkinson est la deuxième pathologie neurodégénérative la plus répandue avec une incidence mondiale estimée à plus de 6 millions de personnes en 2017. Les prévisions pour 2040 sont un doublement du nombre de cas (France Parkinson, 2020). Ces pathologies d’ordre neurologique ont pour similitude l’apparition de troubles cognitifs plus ou moins importants en fonction de la sévérité de l’atteinte ou de l’évolution de la pathologie. Ces troubles cognitifs peuvent limiter la personne dans la réalisation de ses activités instrumentales de vie quotidienne, et réduire son autonomie, notamment dans la réalisation des déplacements extérieurs, en présentant des troubles de la cognition spatiale. Pour rééduquer ou compenser ces troubles cognitifs, nous assistons au développement actuel d’outils de réalité augmentée. La réalité augmentée se définit par la « superposition d’éléments virtuels en 3D en temps réel dans l’environnement physique réel de la personne » (D’Cunha et al., 2019) à la différence de la réalité virtuelle qui est une « immersion dans un environnement virtuel comprenant la totalité du champ de vision » (Sutherland et al., 2019). Durant la session d’utilisation du dispositif de réalité augmentée, l’utilisateur conservera la conscience de son environnement (interaction avec des objets en 3D, par exemple). L’objectif est de donner à l’utilisateur la sensation que ce qu’il observe est parfaitement intégré dans son environnement. Les débuts de la réalité augmentée remontent à plus de cinquante ans, le premier système ayant été créé par un scientifique en informatique américain, Ivan Sutherland, en 1968. Depuis, nous assistons à une évolution continue de la réalité augmentée pour arriver à une utilisation par le grand public. Les interfaces utilisées peuvent être des smartphones, des tablettes, ou encore des casques de réalité augmentée comme le casque HoloLens® (voir figure 1) ainsi que des Head-Up Displays (HUD), que l’on pourrait traduire par « affichage tête haute », comme les Google Glass® (voir figure 2). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104902
in Ergothérapies > 86 (Juillet 2022) . - p. 7-18[article] Apport de la réalité augmentée comme aide technologique pour le maintien de l’autonomie de personnes présentant une maladie neurologique : revue narrative de la littérature [texte imprimé] / Manon Perrier ; Léa Pilette ; Jean-Marie Normand ; Anatole Lécuyer ; Guillaume Moreau ; Mélanie Cogné . - 2022 . - p. 7-18.
Cet article est issu du dossier "Les aides techniques et l'ergothérapie : enjeux et perspectives - Tome 1"
Langues : Français (fre)
in Ergothérapies > 86 (Juillet 2022) . - p. 7-18
Mots-clés : réalité augmentée aide technologique cognition spatiale charge cognitive ergothérapie Résumé : Les Accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les maladies neurodégénératives font partie des affections neurologiques les plus répandues en France. D’après la société française neuro-vasculaire citant l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’incidence mondiale des AVC augmentera progressivement au cours des prochaines années, passant de 16 millions en 2005 à 23 millions en 2030 (SFNV, 2021). À la phase aiguë (J0 à J14) de survenue d’un AVC, une personne sur deux présente des troubles cognitifs. Pour les deux tiers de ces personnes, il s’agit de troubles cognitifs légers et, pour le tiers restant, de troubles cognitifs majeurs (Godefroy et al., 2018). Concernant les pathologies neurodégénératives, la démence de type Alzheimer est la première cause de démence dans le monde et représente entre 60 et 70 % des cas. La démence, toute origine confondue, est la cause principale de handicap et de dépendance chez les personnes âgées (OMS, 2021). Le rapport mondial sur la démence de type Alzheimer estime qu’en 2015 près de 47 millions de personnes dans le monde étaient atteintes d’une forme de démence (Prince et al., 2015). Il est évalué que ce chiffre double environ tous les vingt ans, il pourrait donc atteindre près de 75 millions de malades en 2030 et plus de 131 millions en 2050. La maladie de Parkinson est la deuxième pathologie neurodégénérative la plus répandue avec une incidence mondiale estimée à plus de 6 millions de personnes en 2017. Les prévisions pour 2040 sont un doublement du nombre de cas (France Parkinson, 2020). Ces pathologies d’ordre neurologique ont pour similitude l’apparition de troubles cognitifs plus ou moins importants en fonction de la sévérité de l’atteinte ou de l’évolution de la pathologie. Ces troubles cognitifs peuvent limiter la personne dans la réalisation de ses activités instrumentales de vie quotidienne, et réduire son autonomie, notamment dans la réalisation des déplacements extérieurs, en présentant des troubles de la cognition spatiale. Pour rééduquer ou compenser ces troubles cognitifs, nous assistons au développement actuel d’outils de réalité augmentée. La réalité augmentée se définit par la « superposition d’éléments virtuels en 3D en temps réel dans l’environnement physique réel de la personne » (D’Cunha et al., 2019) à la différence de la réalité virtuelle qui est une « immersion dans un environnement virtuel comprenant la totalité du champ de vision » (Sutherland et al., 2019). Durant la session d’utilisation du dispositif de réalité augmentée, l’utilisateur conservera la conscience de son environnement (interaction avec des objets en 3D, par exemple). L’objectif est de donner à l’utilisateur la sensation que ce qu’il observe est parfaitement intégré dans son environnement. Les débuts de la réalité augmentée remontent à plus de cinquante ans, le premier système ayant été créé par un scientifique en informatique américain, Ivan Sutherland, en 1968. Depuis, nous assistons à une évolution continue de la réalité augmentée pour arriver à une utilisation par le grand public. Les interfaces utilisées peuvent être des smartphones, des tablettes, ou encore des casques de réalité augmentée comme le casque HoloLens® (voir figure 1) ainsi que des Head-Up Displays (HUD), que l’on pourrait traduire par « affichage tête haute », comme les Google Glass® (voir figure 2). Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104902 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes nouvelles technologies pour les apprentissages spatiaux chez les personnes déficientes visuelles / M. Macé in ANAE : Approche neuropsychologique des apprentissages chez l'enfant, vol. 31, 159 (Avril 2019)
[article]
Titre : Les nouvelles technologies pour les apprentissages spatiaux chez les personnes déficientes visuelles Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Macé ; Bardot Sébastien ; A. Brock ; et al., Auteur Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 167-178 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cognition spatiale non-voyant interaction multimodale Résumé : d’examiner le rôle des nouvelles technologies pour l’amélioration des apprentissages et le développement des compétences perceptives chez les enfants et adolescents. Macé, Jouffrais et leurs collègues montrent que les évolutions rapides des technologies de l'information et de la communication (smartphones, tablettes, imprimantes 3D, microcontrôleurs, données librement partagées, etc.) représentent une opportunité pour améliorer les conditions d’apprentissage des personnes déficientes visuelles. En s'appuyant sur ces innovations, les auteurs proposent des dispositifs adaptés qui permettent de répondre aux besoins des professionnels de la déficience visuelle et de leurs élèves déficients visuels. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98371
in ANAE : Approche neuropsychologique des apprentissages chez l'enfant > vol. 31, 159 (Avril 2019) . - p. 167-178[article] Les nouvelles technologies pour les apprentissages spatiaux chez les personnes déficientes visuelles [texte imprimé] / M. Macé ; Bardot Sébastien ; A. Brock ; et al., Auteur . - 2019 . - p. 167-178.
Langues : Français (fre)
in ANAE : Approche neuropsychologique des apprentissages chez l'enfant > vol. 31, 159 (Avril 2019) . - p. 167-178
Mots-clés : Cognition spatiale non-voyant interaction multimodale Résumé : d’examiner le rôle des nouvelles technologies pour l’amélioration des apprentissages et le développement des compétences perceptives chez les enfants et adolescents. Macé, Jouffrais et leurs collègues montrent que les évolutions rapides des technologies de l'information et de la communication (smartphones, tablettes, imprimantes 3D, microcontrôleurs, données librement partagées, etc.) représentent une opportunité pour améliorer les conditions d’apprentissage des personnes déficientes visuelles. En s'appuyant sur ces innovations, les auteurs proposent des dispositifs adaptés qui permettent de répondre aux besoins des professionnels de la déficience visuelle et de leurs élèves déficients visuels. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=98371 Réservation
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