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Schopenhauer et l’amour in Philosophie magazine, 71 ([01/08/2013])
[article]
Titre : Schopenhauer et l’amour Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 78-83 + livret (16 p.) Langues : Français (fre) Mots-clés : 929 Schopenhauer, Arthur (1788-1860) 159.942 Emotions / Sentiments / Sensations Résumé : Schopenhauer et l’amour
Il est à l’origine de nos joies les plus intenses, de nos tourments les plus aigus aussi. On le chante, on le célèbre, on le cherche, (parfois) on le trouve – en été, par exemple, saison reine de son épanchement. Ah, l’amour… Accès de romantisme ? Voici un philosophe qui ne s’en laisse pas compter. Pessimiste devant l’éternel, considérant la vie comme une suite de souffrances et de tracas, Schopenhauer déboulonne l’idole. Ne lui parlez pas de beaux sentiments, d’élans éthérés : pour lui, l’amour est essentiellement affaire de libido, avec le désir de reproduction dans le viseur. Tel est l’enseignement de sa « Métaphysique de l’amour », présentée dans le cahier central par l’un de ses plus grands admirateurs, Frédéric Schiffter. Désenchanteur, déprimant, Schopenhauer ? Pas forcément, répond le philosophe Alain de Botton, qui voit dans le sombre penseur allemand un grand consolateur… parce qu’il nous libère de nos illusions et de nos prétentions inconsidérées au bonheur. Dès lors, avant une séance de relaxation, voire de séduction, sur une plage, oserez-vous la cure Schopenhauer ?
Note de contenu : Articles :
* Métaphysique de l’amour Par Martin Duru, Myriam Dennehy
Voilà l’été, les oiseaux chantent, vous venez juste de tomber amoureux. Quel miracle ! Quel mystère ! Vous ne cessez de vous demander, émerveillé : “Pourquoi elle ?” ; “pourquoi lui ?” Je ne voudrais pas refroidir vos ardeurs, mais sachez qu’en général, les philosophes ne s’embarrassent guère de ces broutilles.
* « Femmes, je vous hais » Par Martin Duru
« Les femmes sont le sexus sequior, le sexe second à tous égards, fait pour se tenir à l’écart et au second plan » ; elles sont « puériles, futiles et à courte vue ; en un mot, elles demeurent toute leur vie de grands enfants » (« Sur les femmes », Parerga et Paralipomena). Au firmament des philosophes misogynes, Schopenhauer. Pourquoi tant de sarcasmes ?
* Les notions et les penseurs de l'amour Par Martin Duru
* Schopenhauer et l’amour dans la «Métaphysique de l’amour» Par Frédéric Schiffter
Selon Auguste Comte, les philosophes matérialistes auraient la spécialité de rappeler l’origine terre à terre des idéaux – d’«expliquer le supérieur par l’inférieur». Schopenhauer avait surtout la manie de saccager les rêves – pour reprendre un mot de Maupassant. Or à quoi rêvent les humains si ce n’est à l’amour, cette passion que romanciers et poètes exaltent, magnifient, sacralisent, comme si elle haussait la vie au-dessus du prosaïsme des jours rythmés par la douleur et l’ennui ?
* Arthur Schopenhauer. L’œuvre Par Martin Duru
« Le Monde comme volonté et comme représentation » est le chef-d’œuvre de Schopenhauer. Après la première édition de 1818, il en fait paraître une seconde en 1844 (avec un deuxième tome constitué d’importants suppléments aux quatre livres du texte initial), puis une troisième en 1859, un an avant sa mort.
* Arthur Schopenhauer. Biographie Par Martin Duru
* Arthur Schopenhauer. Extraits Par Martin Duru
+ livret n° 71, Schopenhauer et l’amour dans la « Métaphysique de l’amour », préface de Frédéric Schiffter
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=101731
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 78-83 + livret (16 p.)[article] Schopenhauer et l’amour [texte imprimé] . - 2013 . - p. 78-83 + livret (16 p.).
Langues : Français (fre)
in Philosophie magazine > 71 [01/08/2013] . - p. 78-83 + livret (16 p.)
Mots-clés : 929 Schopenhauer, Arthur (1788-1860) 159.942 Emotions / Sentiments / Sensations Résumé : Schopenhauer et l’amour
Il est à l’origine de nos joies les plus intenses, de nos tourments les plus aigus aussi. On le chante, on le célèbre, on le cherche, (parfois) on le trouve – en été, par exemple, saison reine de son épanchement. Ah, l’amour… Accès de romantisme ? Voici un philosophe qui ne s’en laisse pas compter. Pessimiste devant l’éternel, considérant la vie comme une suite de souffrances et de tracas, Schopenhauer déboulonne l’idole. Ne lui parlez pas de beaux sentiments, d’élans éthérés : pour lui, l’amour est essentiellement affaire de libido, avec le désir de reproduction dans le viseur. Tel est l’enseignement de sa « Métaphysique de l’amour », présentée dans le cahier central par l’un de ses plus grands admirateurs, Frédéric Schiffter. Désenchanteur, déprimant, Schopenhauer ? Pas forcément, répond le philosophe Alain de Botton, qui voit dans le sombre penseur allemand un grand consolateur… parce qu’il nous libère de nos illusions et de nos prétentions inconsidérées au bonheur. Dès lors, avant une séance de relaxation, voire de séduction, sur une plage, oserez-vous la cure Schopenhauer ?
Note de contenu : Articles :
* Métaphysique de l’amour Par Martin Duru, Myriam Dennehy
Voilà l’été, les oiseaux chantent, vous venez juste de tomber amoureux. Quel miracle ! Quel mystère ! Vous ne cessez de vous demander, émerveillé : “Pourquoi elle ?” ; “pourquoi lui ?” Je ne voudrais pas refroidir vos ardeurs, mais sachez qu’en général, les philosophes ne s’embarrassent guère de ces broutilles.
* « Femmes, je vous hais » Par Martin Duru
« Les femmes sont le sexus sequior, le sexe second à tous égards, fait pour se tenir à l’écart et au second plan » ; elles sont « puériles, futiles et à courte vue ; en un mot, elles demeurent toute leur vie de grands enfants » (« Sur les femmes », Parerga et Paralipomena). Au firmament des philosophes misogynes, Schopenhauer. Pourquoi tant de sarcasmes ?
* Les notions et les penseurs de l'amour Par Martin Duru
* Schopenhauer et l’amour dans la «Métaphysique de l’amour» Par Frédéric Schiffter
Selon Auguste Comte, les philosophes matérialistes auraient la spécialité de rappeler l’origine terre à terre des idéaux – d’«expliquer le supérieur par l’inférieur». Schopenhauer avait surtout la manie de saccager les rêves – pour reprendre un mot de Maupassant. Or à quoi rêvent les humains si ce n’est à l’amour, cette passion que romanciers et poètes exaltent, magnifient, sacralisent, comme si elle haussait la vie au-dessus du prosaïsme des jours rythmés par la douleur et l’ennui ?
* Arthur Schopenhauer. L’œuvre Par Martin Duru
« Le Monde comme volonté et comme représentation » est le chef-d’œuvre de Schopenhauer. Après la première édition de 1818, il en fait paraître une seconde en 1844 (avec un deuxième tome constitué d’importants suppléments aux quatre livres du texte initial), puis une troisième en 1859, un an avant sa mort.
* Arthur Schopenhauer. Biographie Par Martin Duru
* Arthur Schopenhauer. Extraits Par Martin Duru
+ livret n° 71, Schopenhauer et l’amour dans la « Métaphysique de l’amour », préface de Frédéric Schiffter
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