Centre de Documentation Campus Montignies
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Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-18h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h-16h30
Attention, votre centre de documentation sera fermé du 27/04 au 12/05 inclus.
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Auteur ROGER B |
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PUBALGIE DU SPORTIF : INTERET DE L'IRM DANS LE DEMEMBREMENT DES LESIONS / GHEBONTNI L. in Journal de traumatologie du sport, vol. 13/2 (juin 1996)
[article]
Titre : PUBALGIE DU SPORTIF : INTERET DE L'IRM DANS LE DEMEMBREMENT DES LESIONS Type de document : texte imprimé Auteurs : GHEBONTNI L. ; GRENIER P. ; Jacques Rodineau ; ROGER B ; P. Christel Année de publication : 1996 Article en page(s) : p. 86 - 93 Résumé : But. La guérison d'une pubalgie ne peut être obtenue qu'en traitant son étiologie. Le but de ce travail est d'évaluer les performances de l'IRM dans le démembrement des lésions de la pubalgie, et de préciser sa place dans le diagnostic étiologique chez le sportif. Méthodes. Vingt-deux sportifs souffrant de pubalgies, ont été explorés par IRM de la région pubienne. Les examens ont été réalisés avec un appareil de 0,5 Tesla, à l'aide d'une antenne corps. La région pubienne a été étudiée en coupes axiales et frontales EGT2 et EST1, sans et avec injection intra-veineuse de produit de contraste paramagnétique. Résultats. Dans 12 cas, l'IRM a montré une lésion d'une ou des deux branches pubiennes, sous forme d'un hypersignal en T2, hyposignal en T1, et rehaussement du signal après injection de produit de contraste paramagnétique. Dans 6 de ces 12 cas, le signal de l'interligne articulaire de la symphyse pubienne s'est rehaussé après injection de produit de contraste paramagnétique. Ces anomalies IRM correspondent à une ostéo-arthropathie pubienne par hyper-sollicitation. Dans 5 cas, l'IRM a montré une pathologie des muscles de la paroi antéro-inférieure de l'abdomen: rupture partielle d'un muscle grand droit (1 cas), amyotrophie unilatérale d'un muscle grand droit (1 cas) et tendinopathie d'insertion des muscles larges de l'abdomen sur la symphyse pubienne (3 cas). Dans les 8 derniers cas, l'IRM a mis en évidence une tendinopathie uni- ou bilatérale des muscles adducteurs de la cuisse: tendinopathie d'insertion sur le pubis par hyper-sollicitation (7 cas) et en plein corps tendineux (1 cas). Conclusion. L'IRM s'avère performante pour le diagnostic étiologique de la pubalgie du sportif.
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14655
in Journal de traumatologie du sport > vol. 13/2 (juin 1996) . - p. 86 - 93[article] PUBALGIE DU SPORTIF : INTERET DE L'IRM DANS LE DEMEMBREMENT DES LESIONS [texte imprimé] / GHEBONTNI L. ; GRENIER P. ; Jacques Rodineau ; ROGER B ; P. Christel . - 1996 . - p. 86 - 93.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 13/2 (juin 1996) . - p. 86 - 93
Résumé : But. La guérison d'une pubalgie ne peut être obtenue qu'en traitant son étiologie. Le but de ce travail est d'évaluer les performances de l'IRM dans le démembrement des lésions de la pubalgie, et de préciser sa place dans le diagnostic étiologique chez le sportif. Méthodes. Vingt-deux sportifs souffrant de pubalgies, ont été explorés par IRM de la région pubienne. Les examens ont été réalisés avec un appareil de 0,5 Tesla, à l'aide d'une antenne corps. La région pubienne a été étudiée en coupes axiales et frontales EGT2 et EST1, sans et avec injection intra-veineuse de produit de contraste paramagnétique. Résultats. Dans 12 cas, l'IRM a montré une lésion d'une ou des deux branches pubiennes, sous forme d'un hypersignal en T2, hyposignal en T1, et rehaussement du signal après injection de produit de contraste paramagnétique. Dans 6 de ces 12 cas, le signal de l'interligne articulaire de la symphyse pubienne s'est rehaussé après injection de produit de contraste paramagnétique. Ces anomalies IRM correspondent à une ostéo-arthropathie pubienne par hyper-sollicitation. Dans 5 cas, l'IRM a montré une pathologie des muscles de la paroi antéro-inférieure de l'abdomen: rupture partielle d'un muscle grand droit (1 cas), amyotrophie unilatérale d'un muscle grand droit (1 cas) et tendinopathie d'insertion des muscles larges de l'abdomen sur la symphyse pubienne (3 cas). Dans les 8 derniers cas, l'IRM a mis en évidence une tendinopathie uni- ou bilatérale des muscles adducteurs de la cuisse: tendinopathie d'insertion sur le pubis par hyper-sollicitation (7 cas) et en plein corps tendineux (1 cas). Conclusion. L'IRM s'avère performante pour le diagnostic étiologique de la pubalgie du sportif.
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Exclu du prêtRécidive d’entorse après reconstruction du LCA. Diagnostic et facteurs de risque / SCHLATTERER B. in Journal de traumatologie du sport, vol. 26/1 (mars 2009)
[article]
Titre : Récidive d’entorse après reconstruction du LCA. Diagnostic et facteurs de risque Type de document : texte imprimé Auteurs : SCHLATTERER B. ; FRANCESCHI J.-P. ; ROGER B ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 54-67 Langues : Français (fre) Mots-clés : Réimplantation Ligament croisé antérieur Entorse Résumé : Les récidives d’entorse après ligamentoplastie du ligament croisé antérieur (LCA) posent le difficile problème de leur diagnostic étiologique. Les genoux dont le LCA a été reconstruit présentent fréquemment une laxité antérieure résiduelle ou contrôlent parfois insuffisamment la stabilité rotatoire. L’examen ligamentaire des genoux sain et lésé juste avant le nouveau traumatisme constitue une double référence à laquelle doit se référer le praticien pour définir les différentes entités anatomocliniques. Le seuil de la laxité antérieure comparative attestant l’incompétence du transplant se situe à 5mm selon les critères du groupe examen ligamentaire de la fiche IKDC. Une ré-rupture traumatique se différencie en fonction du contexte clinique, d’un échec anatomique précoce ou d’une distension progressive. Un transplant continu et perçu en hyposignal à l’IRM doit être confronté à l’examen clinique, aux mesures instrumentales (KT1000™) et radiographiques de la laxité avant d’affirmer son intégrité. Le macrotraumatisme n’est que révélateur de l’échec en cas d’erreurs techniques liées à un mauvais positionnement des tunnels osseux. Les hypersignaux intra-osseux ou méniscaux persistants après le premier traumatisme peuvent simuler une lésion récente. Certains facteurs prédisposant aux récidives d’entorse ont été analysés en tenant compte de l’expérience des auteurs et des données récentes de la littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17504
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/1 (mars 2009) . - p. 54-67[article] Récidive d’entorse après reconstruction du LCA. Diagnostic et facteurs de risque [texte imprimé] / SCHLATTERER B. ; FRANCESCHI J.-P. ; ROGER B ; et al. . - 2009 . - p. 54-67.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 26/1 (mars 2009) . - p. 54-67
Mots-clés : Réimplantation Ligament croisé antérieur Entorse Résumé : Les récidives d’entorse après ligamentoplastie du ligament croisé antérieur (LCA) posent le difficile problème de leur diagnostic étiologique. Les genoux dont le LCA a été reconstruit présentent fréquemment une laxité antérieure résiduelle ou contrôlent parfois insuffisamment la stabilité rotatoire. L’examen ligamentaire des genoux sain et lésé juste avant le nouveau traumatisme constitue une double référence à laquelle doit se référer le praticien pour définir les différentes entités anatomocliniques. Le seuil de la laxité antérieure comparative attestant l’incompétence du transplant se situe à 5mm selon les critères du groupe examen ligamentaire de la fiche IKDC. Une ré-rupture traumatique se différencie en fonction du contexte clinique, d’un échec anatomique précoce ou d’une distension progressive. Un transplant continu et perçu en hyposignal à l’IRM doit être confronté à l’examen clinique, aux mesures instrumentales (KT1000™) et radiographiques de la laxité avant d’affirmer son intégrité. Le macrotraumatisme n’est que révélateur de l’échec en cas d’erreurs techniques liées à un mauvais positionnement des tunnels osseux. Les hypersignaux intra-osseux ou méniscaux persistants après le premier traumatisme peuvent simuler une lésion récente. Certains facteurs prédisposant aux récidives d’entorse ont été analysés en tenant compte de l’expérience des auteurs et des données récentes de la littérature. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=17504 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtLes ruptures isolées du tendon du muscle sous-scapulaire chez le sportif / P. Christel in Journal de traumatologie du sport, vol. 9/1 (1992)
[article]
Titre : Les ruptures isolées du tendon du muscle sous-scapulaire chez le sportif Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Christel ; P. Djian ; Jacques Parier ; ROGER B ; Y. Demarais Année de publication : 1992 Article en page(s) : p. 3 - 9 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14572
in Journal de traumatologie du sport > vol. 9/1 (1992) . - p. 3 - 9[article] Les ruptures isolées du tendon du muscle sous-scapulaire chez le sportif [texte imprimé] / P. Christel ; P. Djian ; Jacques Parier ; ROGER B ; Y. Demarais . - 1992 . - p. 3 - 9.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 9/1 (1992) . - p. 3 - 9
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14572 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtSciatalgies d'origine articulaire postérieure / BRASSEUR J. L. in Journal de traumatologie du sport, vol. 9/1 (1992)
[article]
Titre : Sciatalgies d'origine articulaire postérieure Type de document : texte imprimé Auteurs : BRASSEUR J. L. ; ROGER B ; MARIE L. Année de publication : 1992 Article en page(s) : p. 29 - 34 Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14684
in Journal de traumatologie du sport > vol. 9/1 (1992) . - p. 29 - 34[article] Sciatalgies d'origine articulaire postérieure [texte imprimé] / BRASSEUR J. L. ; ROGER B ; MARIE L. . - 1992 . - p. 29 - 34.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 9/1 (1992) . - p. 29 - 34
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14684 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtTRAITEMENT CHIRURGICAL DES INSTABILITES POSTERIEURES D'EPAULE PAR OSTEOTOMIE D'ANTEVERSION DU COL DE L'OMOPLATE ASSOCIEE A UNE CAPSULORRAPHIE POSTERIEURE / P. Djian in Journal de traumatologie du sport, vol. 14/3 (septembre 1997)
[article]
Titre : TRAITEMENT CHIRURGICAL DES INSTABILITES POSTERIEURES D'EPAULE PAR OSTEOTOMIE D'ANTEVERSION DU COL DE L'OMOPLATE ASSOCIEE A UNE CAPSULORRAPHIE POSTERIEURE Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Djian ; Y. Demarais ; HERMAN S. ; ROGER B ; P. Christel Année de publication : 1997 Article en page(s) : p. 137 - 146 Résumé : L'instabilité postérieure d'épaule est beaucoup moins connue que l'instabilité antérieure. Nous avons choisi d'étudier un de ces aspects représenté par l'instabilité postérieure post-traumatique d'épaule chez le sportif. Le diagnostic est souvent difficile; l'interrogatoire ainsi que la présence de signes cliniques tels qu'une faiblesse musculaire ou une appréhension lors de certains gestes sont à retenir. Le bilan radiographique prend ici toute son importance pour établir le diagnostic et guider l'attitude thérapeutique. De 1987 à 1996, nous avons opéré 10 patients dont l'âge moyen au moment de l'intervention était de 25 ans. Six patients avaient eu un traumatisme indirect de l'épaule au cours de leurs activités sportives. Il s'agissait de 7 compétiteurs dont 2 pratiquaient le judo, 2 le rugby, 2 gymnastes sportives de loisir et d'un boxeur. Le traumatisme est le plus souvent en rotation interne et rétropulsion. Les principaux signes amenant les patients à consulter ont été une sensation de ressaut douloureux, une appréhension lors de certains gestes notamment en antépulsion et rotation interne. Tous ces signes ont imposé progressivement l'arrêt du sport. A l'examen clinique, on constate une mobilité et une force musculaire normales. Le signe le plus important est l'appréhension en rotation interne associée à une poussée antéro-postérieure sur le coude. Parmi les examens complémentaires, l'arthroscanner de l'épaule apparaît fiable en montrant la distension de la capsule articulaire postérieure et des éventuels dégâts osseux. Il permet de mesurer comparativement la version de la glène. En moyenne, il existait une rétroversion de la glène en pré-opératoire de 13° (6-20°). L'intervention menée par voie postérieure permet de réaliser une ostéomie d'ouverture postérieure du col de l'omoplate avec une greffe prise aux dépens de l'épine de l'omoplate, associée à une capsulorraphie postérieure; l'épaule est ensuite immobilisée en rotation externe pendant 21 jours, puis la rééducation est entreprise permettant une reprise sportive au plutôt au 6 mois post-opératoire. Tous les patients ont été revus cliniquement. Des radiographies standard ainsi qu'un scanner post-opératoire ont été demandés pour apprécier les corrections obtenues. Nous avons utilisé comme méthode d'étude des résultats la classification proposée par Constant. Le recul moyen est de 33 mois avec 6 excellents, 3 bons et 1 mauvais résultat. L'imagerie post-opératoire (scanner) a montré une consolidation de l'ostéotomie avec une correction de l'antéversion de la glène de l'omoplate et une antéversion de 5° (0-8°). La poche de décollement postérieure a disparu. Les résultats antalgiques obtenus sur ces épaules primitivement instables sont bons. Il n'y a aucune instabilité post-opératoire. Sept épaules sont indolores ou presque. Seules 3 épaules restent symptomatiques. Au dernier recul, les mobilités actives en abduction et en antépulsion sont normales. Un patient présente un déficit en rotation externe active de 10°. Quant à la force de l'épaule en élévation latérale, elle reste le plus souvent bonne avec maintien de 17 livres en moyenne. Le traitement de l'instabilité postérieure d'épaule par ostéotomie glénoïdienne a montré de bons résultats dans l'ensemble sur cette courte série. Ces résultats sont rapidement obtenus et il faut noter que : - dans cette série, l'ostéotomie de la glène de l'omoplate n'a pas induit de conflit antéro-interne avec la coracoïde, - une seule voie d'abord est utilisée pour réaliser la réorientation de la glène et pour la prise de greffe osseuse, - la capsulorraphie est un geste adjuvant qui peut être aisément réalisé par la voie d'abord. Cette technique permet de reprendre le sport rapidement à
Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=14716
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 137 - 146[article] TRAITEMENT CHIRURGICAL DES INSTABILITES POSTERIEURES D'EPAULE PAR OSTEOTOMIE D'ANTEVERSION DU COL DE L'OMOPLATE ASSOCIEE A UNE CAPSULORRAPHIE POSTERIEURE [texte imprimé] / P. Djian ; Y. Demarais ; HERMAN S. ; ROGER B ; P. Christel . - 1997 . - p. 137 - 146.
in Journal de traumatologie du sport > vol. 14/3 (septembre 1997) . - p. 137 - 146
Résumé : L'instabilité postérieure d'épaule est beaucoup moins connue que l'instabilité antérieure. Nous avons choisi d'étudier un de ces aspects représenté par l'instabilité postérieure post-traumatique d'épaule chez le sportif. Le diagnostic est souvent difficile; l'interrogatoire ainsi que la présence de signes cliniques tels qu'une faiblesse musculaire ou une appréhension lors de certains gestes sont à retenir. Le bilan radiographique prend ici toute son importance pour établir le diagnostic et guider l'attitude thérapeutique. De 1987 à 1996, nous avons opéré 10 patients dont l'âge moyen au moment de l'intervention était de 25 ans. Six patients avaient eu un traumatisme indirect de l'épaule au cours de leurs activités sportives. Il s'agissait de 7 compétiteurs dont 2 pratiquaient le judo, 2 le rugby, 2 gymnastes sportives de loisir et d'un boxeur. Le traumatisme est le plus souvent en rotation interne et rétropulsion. Les principaux signes amenant les patients à consulter ont été une sensation de ressaut douloureux, une appréhension lors de certains gestes notamment en antépulsion et rotation interne. Tous ces signes ont imposé progressivement l'arrêt du sport. A l'examen clinique, on constate une mobilité et une force musculaire normales. Le signe le plus important est l'appréhension en rotation interne associée à une poussée antéro-postérieure sur le coude. Parmi les examens complémentaires, l'arthroscanner de l'épaule apparaît fiable en montrant la distension de la capsule articulaire postérieure et des éventuels dégâts osseux. Il permet de mesurer comparativement la version de la glène. En moyenne, il existait une rétroversion de la glène en pré-opératoire de 13° (6-20°). L'intervention menée par voie postérieure permet de réaliser une ostéomie d'ouverture postérieure du col de l'omoplate avec une greffe prise aux dépens de l'épine de l'omoplate, associée à une capsulorraphie postérieure; l'épaule est ensuite immobilisée en rotation externe pendant 21 jours, puis la rééducation est entreprise permettant une reprise sportive au plutôt au 6 mois post-opératoire. Tous les patients ont été revus cliniquement. Des radiographies standard ainsi qu'un scanner post-opératoire ont été demandés pour apprécier les corrections obtenues. Nous avons utilisé comme méthode d'étude des résultats la classification proposée par Constant. Le recul moyen est de 33 mois avec 6 excellents, 3 bons et 1 mauvais résultat. L'imagerie post-opératoire (scanner) a montré une consolidation de l'ostéotomie avec une correction de l'antéversion de la glène de l'omoplate et une antéversion de 5° (0-8°). La poche de décollement postérieure a disparu. Les résultats antalgiques obtenus sur ces épaules primitivement instables sont bons. Il n'y a aucune instabilité post-opératoire. Sept épaules sont indolores ou presque. Seules 3 épaules restent symptomatiques. Au dernier recul, les mobilités actives en abduction et en antépulsion sont normales. Un patient présente un déficit en rotation externe active de 10°. Quant à la force de l'épaule en élévation latérale, elle reste le plus souvent bonne avec maintien de 17 livres en moyenne. Le traitement de l'instabilité postérieure d'épaule par ostéotomie glénoïdienne a montré de bons résultats dans l'ensemble sur cette courte série. Ces résultats sont rapidement obtenus et il faut noter que : - dans cette série, l'ostéotomie de la glène de l'omoplate n'a pas induit de conflit antéro-interne avec la coracoïde, - une seule voie d'abord est utilisée pour réaliser la réorientation de la glène et pour la prise de greffe osseuse, - la capsulorraphie est un geste adjuvant qui peut être aisément réalisé par la voie d'abord. Cette technique permet de reprendre le sport rapidement à
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLe traitement des paralysies post-traumatiques du plexus brachial / Vincent Travers in Kinésithérapie scientifique, 322 (1993)
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