Centre de Documentation Campus Montignies
Horaires :
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera fermé du 28 octobre au 3 novembre
Lundi : 8h-18h30
Mardi : 8h-17h30
Mercredi 9h-16h30
Jeudi : 8h-18h30
Vendredi : 8h30-12h30 et 13h-14h30
Votre centre de documentation sera fermé du 28 octobre au 3 novembre
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du campus de Montignies.
Détail de l'auteur
Auteur Hélène ROSSIGNOL-DALAT |
Documents disponibles écrits par cet auteur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la recherche
15/15 Diagnostic d’une tumeur pancréatique neuro-endocrine chez une patiente de 84 ans / Hélène ROSSIGNOL-DALAT in Soins gérontologie, 113 (Mai/juin 2015)
[article]
Titre : 15/15 Diagnostic d’une tumeur pancréatique neuro-endocrine chez une patiente de 84 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène ROSSIGNOL-DALAT, Auteur ; Annabelle Ricanet-Delannoy, Auteur ; Brigitte Comte, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.43-44 Langues : Français (fre) Mots-clés : Tumeur pancréatique neuro-endocrine Résumé : L’insulinome représente la principale tumeur neuro-endocrine. Une patiente de 84 ans, hospitalisée pour bilan d’altération de l’état général dans un contexte de démence évoluée, présentait des hypoglycémies biologiques sans traitement hypoglycémiant. Les examens complémentaires évoquaient un insulinome. Après concertation pluridisciplinaire, la chirurgie était récusée et un traitement palliatif décidée. L’insulinome est une des étiologies d’hypoglycémie organique, définie par une baisse du glucose sanguin inférieure à 2,8 mmol/L, la première cause tumorale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35780
in Soins gérontologie > 113 (Mai/juin 2015) . - p.43-44[article] 15/15 Diagnostic d’une tumeur pancréatique neuro-endocrine chez une patiente de 84 ans [texte imprimé] / Hélène ROSSIGNOL-DALAT, Auteur ; Annabelle Ricanet-Delannoy, Auteur ; Brigitte Comte, Auteur . - 2015 . - p.43-44.
Langues : Français (fre)
in Soins gérontologie > 113 (Mai/juin 2015) . - p.43-44
Mots-clés : Tumeur pancréatique neuro-endocrine Résumé : L’insulinome représente la principale tumeur neuro-endocrine. Une patiente de 84 ans, hospitalisée pour bilan d’altération de l’état général dans un contexte de démence évoluée, présentait des hypoglycémies biologiques sans traitement hypoglycémiant. Les examens complémentaires évoquaient un insulinome. Après concertation pluridisciplinaire, la chirurgie était récusée et un traitement palliatif décidée. L’insulinome est une des étiologies d’hypoglycémie organique, définie par une baisse du glucose sanguin inférieure à 2,8 mmol/L, la première cause tumorale. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=35780 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtDépistage de la dénutrition des personnes âgées de plus de 70 ans en ambulatoire. Etude auprès des médecins généralistes en Rhône-Alpes / Hélène ROSSIGNOL-DALAT in La revue de gériatrie, Tome 38 - N°8 (01/10/2013)
[article]
Titre : Dépistage de la dénutrition des personnes âgées de plus de 70 ans en ambulatoire. Etude auprès des médecins généralistes en Rhône-Alpes Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène ROSSIGNOL-DALAT, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p.593-600 Langues : Français (fre) Mots-clés : DENUTRITION PERSONNE AGEE Résumé : Contexte : La dénutrition protéinoénergétique chez la personne âgée (PA) est un problème de
santé publique : 4% des personnes âgées vivant à domicile sont dénutries, 10% des personnes de
plus de 80 ans. Un sujet âgé dénutri est plus fragile donc plus susceptible de présenter des pathologies en cascade. Le statut nutritionnel est un facteur prépondérant de morbi-mortalité.
Objectif de l’étude : Réaliser une enquête de pratique des médecins généralistes de la région
Rhône-Alpes devant le bilan nutritionnel spécifique d’une personne âgée, évaluer leurs connaissances théoriques ainsi que les modalités de prise en charge, en nous appuyant sur les dernières recommandations de la HAS (Haute Autorité de Santé).
Méthode : Etude quantitative descriptive, par questionnaire anonyme auprès des médecins généralistes de la région Rhône-Alpes, de novembre 2010 à mars 2011.
Résultats : 718 questionnaires envoyés, 186 réponses obtenues (26%). La majorité des médecins
interrogés suit les recommandations pour le poids et l’IMC, mais 59% ne connaissent pas le MNA
(Mini Nutritional Assessment). Soixante quatre ipour cent des médecins interrogés réalisent un
bilan nutritionnel dans l’année, 84% éduquent les patients et leur entourage, 86% prescrivent des
compléments nutritionnels oraux, 88% jugent l’état nutritionnel important pour assurer un bon
état de santé.
Discussion : Notre travail met en évidence que la majorité des médecins utilise les recommandations de la HAS, même si les connaissances théoriques sont insuffisantes. Le poids reste un marqueur clinique important, à associer avec le calcul de l’IMC et la mesure de l’albuminémie. Les mesures anthropométriques sont très peu utilisées, mais semblent fiables pour déterminer une amyotrophie. Le MNA est très peu connu, non utilisé en ambulatoire, pourtant les données de la littérature sont en faveur de son utilisation comme outil de dépistage simple et fiable.
Conclusion : Le médecin généraliste apparaît un acteur important du dépistage de la dénutrition. La
majorité des médecins interrogés suit les recommandations de la HAS pour le dépistage, réalisant
au moins un fois par an un bilan nutritionnel. Néanmoins, le dépistage pourrait être amélioré par
une meilleure connaissance de la dénutrition et par l’utilisation d’outil simple comme le MNA.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15338
in La revue de gériatrie > Tome 38 - N°8 (01/10/2013) . - p.593-600[article] Dépistage de la dénutrition des personnes âgées de plus de 70 ans en ambulatoire. Etude auprès des médecins généralistes en Rhône-Alpes [texte imprimé] / Hélène ROSSIGNOL-DALAT, Auteur . - 2013 . - p.593-600.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38 - N°8 (01/10/2013) . - p.593-600
Mots-clés : DENUTRITION PERSONNE AGEE Résumé : Contexte : La dénutrition protéinoénergétique chez la personne âgée (PA) est un problème de
santé publique : 4% des personnes âgées vivant à domicile sont dénutries, 10% des personnes de
plus de 80 ans. Un sujet âgé dénutri est plus fragile donc plus susceptible de présenter des pathologies en cascade. Le statut nutritionnel est un facteur prépondérant de morbi-mortalité.
Objectif de l’étude : Réaliser une enquête de pratique des médecins généralistes de la région
Rhône-Alpes devant le bilan nutritionnel spécifique d’une personne âgée, évaluer leurs connaissances théoriques ainsi que les modalités de prise en charge, en nous appuyant sur les dernières recommandations de la HAS (Haute Autorité de Santé).
Méthode : Etude quantitative descriptive, par questionnaire anonyme auprès des médecins généralistes de la région Rhône-Alpes, de novembre 2010 à mars 2011.
Résultats : 718 questionnaires envoyés, 186 réponses obtenues (26%). La majorité des médecins
interrogés suit les recommandations pour le poids et l’IMC, mais 59% ne connaissent pas le MNA
(Mini Nutritional Assessment). Soixante quatre ipour cent des médecins interrogés réalisent un
bilan nutritionnel dans l’année, 84% éduquent les patients et leur entourage, 86% prescrivent des
compléments nutritionnels oraux, 88% jugent l’état nutritionnel important pour assurer un bon
état de santé.
Discussion : Notre travail met en évidence que la majorité des médecins utilise les recommandations de la HAS, même si les connaissances théoriques sont insuffisantes. Le poids reste un marqueur clinique important, à associer avec le calcul de l’IMC et la mesure de l’albuminémie. Les mesures anthropométriques sont très peu utilisées, mais semblent fiables pour déterminer une amyotrophie. Le MNA est très peu connu, non utilisé en ambulatoire, pourtant les données de la littérature sont en faveur de son utilisation comme outil de dépistage simple et fiable.
Conclusion : Le médecin généraliste apparaît un acteur important du dépistage de la dénutrition. La
majorité des médecins interrogés suit les recommandations de la HAS pour le dépistage, réalisant
au moins un fois par an un bilan nutritionnel. Néanmoins, le dépistage pourrait être amélioré par
une meilleure connaissance de la dénutrition et par l’utilisation d’outil simple comme le MNA.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=15338 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Réserve Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêt