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Quelle déontologie pour les psychologues ? : Dossier / Delphine Goetgheluck in Le journal des psychologues, 337 (Mai 2016)
[article]
Titre : Quelle déontologie pour les psychologues ? : Dossier Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Goetgheluck, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 16-45 Langues : Français (fre) Mots-clés : déontologie psychologue code de déontologie Résumé : La profession de psychologue, dont l’un des objectifs est de mettre du sens sur les conduites, comportements et ressentis, se prévaut d’un exercice respectueux de sa déontologie. Mais quand les psychologues parlent de déontologie, de quoi et de laquelle parlent-ils ? Pourquoi cet attachement à ce qui est censé servir d’étayage pour l’élaboration de nos postures professionnelles ?
C’est de l’identité d’une profession dont il est question derrière cette interrogation sur la déontologie. Et l’on peut se demander en quoi ce rapport à la fois revendicateur et conflictuel à la réglementation est révélateur de ce qui semble être au cœur de cette profession : le sens critique.
Lors de la recherche d’un consensus sur la définition des prérequis au titre de psychologue, en 1985, et pour l’écriture de la loi, obligation a été faite d’abandonner l’idée d’une réglementation d’une déontologie commune pour l’ensemble de notre profession sous peine de ne pas voir aboutir le projet de loi. Néanmoins, et quand bien même cela ait pris du temps, un texte commun a vu le jour en 1996. Depuis, son actualisation de 2012 n’a pas été signée par tous, le Snp a proposé un autre type d’écriture fondé sur le référentiel juridique en la matière et, entre-temps, le Spel a également édité son projet, tout comme l’association Psp…
De fait, des psychologues voient leur contrat adossé à un code, d’autres se voient refuser les conditions propices à la simple confidentialité des échanges ; il est demandé de rendre des comptes sur certains contenus de nos pratiques, posant alors le problème du respect de la vie privée des personnes que nous rencontrons ; certains d’entre nous expérimentent de nouvelles modalités d’intervention au cœur desquelles le respect de l’éthique et des règles déontologiques est mis en danger, etc.
Alors que voulons-nous pour nous-même et pour nos interlocuteurs ? Il y va autant du sens de notre profession que de sa crédibilité auprès du public. Car il serait bien qu’à la question : « Qui puis-je aller consulter ? », la réponse soit : « Un psychologue. » Avec pour seul corollaire le choix de son orientation de travail. Que notre fiabilité, notre sens de la protection et du respect des personnes, que les fondements de notre démarche soient une garantie pour chacun de ne pas se mettre en danger psychiquement dans notre rencontre.
Le débat n’est pas nouveau, mais il est réactivé aujourd’hui, et l’idée de trouver un dénominateur commun à toutes les attentes et exigences en la matière semble se dessiner suffisamment pour espérer. Les deux dernières grandes consultations lancées sur Internet, respectivement en août par le Snp et en ce début d’année par le GIRéDeP, en témoignent.
Ce dossier livre des éléments de compréhension de l’histoire de notre profession au regard de sa déontologie, sur les écrits et structures qui existent actuellement, et sur des réflexions en cours au sein d’instances organisationnelles de notre profession.Table des matières : 30 ans après le titre : le code et la profession
- L'unité par la déontologie
- La CNCDP : 20 ans pour la déontologie des psychologues
- Quelles évolutions pour la déontologie des psychologues en France : propositions du GIRéDép
- La Coreli : une voie vers une déontologie responsabilisée
- Pourquoi un Haut conseil des psychologues est indispensable
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2541
in Le journal des psychologues > 337 (Mai 2016) . - p. 16-45[article] Quelle déontologie pour les psychologues ? : Dossier [texte imprimé] / Delphine Goetgheluck, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Patrick Conrath, Directeur de publication, rédacteur en chef . - 2016 . - p. 16-45.
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 337 (Mai 2016) . - p. 16-45
Mots-clés : déontologie psychologue code de déontologie Résumé : La profession de psychologue, dont l’un des objectifs est de mettre du sens sur les conduites, comportements et ressentis, se prévaut d’un exercice respectueux de sa déontologie. Mais quand les psychologues parlent de déontologie, de quoi et de laquelle parlent-ils ? Pourquoi cet attachement à ce qui est censé servir d’étayage pour l’élaboration de nos postures professionnelles ?
C’est de l’identité d’une profession dont il est question derrière cette interrogation sur la déontologie. Et l’on peut se demander en quoi ce rapport à la fois revendicateur et conflictuel à la réglementation est révélateur de ce qui semble être au cœur de cette profession : le sens critique.
Lors de la recherche d’un consensus sur la définition des prérequis au titre de psychologue, en 1985, et pour l’écriture de la loi, obligation a été faite d’abandonner l’idée d’une réglementation d’une déontologie commune pour l’ensemble de notre profession sous peine de ne pas voir aboutir le projet de loi. Néanmoins, et quand bien même cela ait pris du temps, un texte commun a vu le jour en 1996. Depuis, son actualisation de 2012 n’a pas été signée par tous, le Snp a proposé un autre type d’écriture fondé sur le référentiel juridique en la matière et, entre-temps, le Spel a également édité son projet, tout comme l’association Psp…
De fait, des psychologues voient leur contrat adossé à un code, d’autres se voient refuser les conditions propices à la simple confidentialité des échanges ; il est demandé de rendre des comptes sur certains contenus de nos pratiques, posant alors le problème du respect de la vie privée des personnes que nous rencontrons ; certains d’entre nous expérimentent de nouvelles modalités d’intervention au cœur desquelles le respect de l’éthique et des règles déontologiques est mis en danger, etc.
Alors que voulons-nous pour nous-même et pour nos interlocuteurs ? Il y va autant du sens de notre profession que de sa crédibilité auprès du public. Car il serait bien qu’à la question : « Qui puis-je aller consulter ? », la réponse soit : « Un psychologue. » Avec pour seul corollaire le choix de son orientation de travail. Que notre fiabilité, notre sens de la protection et du respect des personnes, que les fondements de notre démarche soient une garantie pour chacun de ne pas se mettre en danger psychiquement dans notre rencontre.
Le débat n’est pas nouveau, mais il est réactivé aujourd’hui, et l’idée de trouver un dénominateur commun à toutes les attentes et exigences en la matière semble se dessiner suffisamment pour espérer. Les deux dernières grandes consultations lancées sur Internet, respectivement en août par le Snp et en ce début d’année par le GIRéDeP, en témoignent.
Ce dossier livre des éléments de compréhension de l’histoire de notre profession au regard de sa déontologie, sur les écrits et structures qui existent actuellement, et sur des réflexions en cours au sein d’instances organisationnelles de notre profession.Table des matières : 30 ans après le titre : le code et la profession
- L'unité par la déontologie
- La CNCDP : 20 ans pour la déontologie des psychologues
- Quelles évolutions pour la déontologie des psychologues en France : propositions du GIRéDép
- La Coreli : une voie vers une déontologie responsabilisée
- Pourquoi un Haut conseil des psychologues est indispensable
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