[article] 
inL'observatoire > 82 (Février 2015) . - p. 5-9

Titre :	L'évaluation des services sociaux : une pratique empreinte de tensions
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	David Laloy, Auteur
Année de publication :	2015
Article en page(s) :	p. 5-9
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	évaluation  pouvoirs subsidiants  Nouvelle Gestion Publique  indicateurs
Résumé :	L’évaluation des pratiques et services sociaux peut être très bénéfique pour les professionnels comme pour les usagers (professionnalisation, reconnaissance et valorisation de l’utilité des actions accomplies, perfectionnement des pratiques,…). Cependant, l’évaluation « imposée d’en haut » telle qu’elle est pratiquée actuellement, fortement calquée sur le modèle de la « Nouvelle Gestion publique », est loin de faire l’unanimité parmi les professionnels. Cet article se propose d’expliquer pourquoi, à travers un inventaire des critiques les plus souvent émises à son encontre.
Table des matières :	Elle consacre la part belle aux indicateurs quantitatifs - Elle ne tient pas compte du caractère flou des finalités de l'action sociale - Elle ne prend suffisamment en compte le caractère multidimensionnel/multifactoriel des situations sociales - Elle est imposée d'en haut et non participative - Elle s'inscrit dans une temporalité courte, inadaptée à la temporalité sociale - Elle est désincarnée
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2319

[article] L'évaluation des services sociaux : une pratique empreinte de tensions [texte imprimé] / David Laloy, Auteur . - 2015 . - p. 5-9.
Langues : Français (fre)
in L'observatoire > 82 (Février 2015) . - p. 5-9

Mots-clés :	évaluation  pouvoirs subsidiants  Nouvelle Gestion Publique  indicateurs
Résumé :	L’évaluation des pratiques et services sociaux peut être très bénéfique pour les professionnels comme pour les usagers (professionnalisation, reconnaissance et valorisation de l’utilité des actions accomplies, perfectionnement des pratiques,…). Cependant, l’évaluation « imposée d’en haut » telle qu’elle est pratiquée actuellement, fortement calquée sur le modèle de la « Nouvelle Gestion publique », est loin de faire l’unanimité parmi les professionnels. Cet article se propose d’expliquer pourquoi, à travers un inventaire des critiques les plus souvent émises à son encontre.
Table des matières :	Elle consacre la part belle aux indicateurs quantitatifs - Elle ne tient pas compte du caractère flou des finalités de l'action sociale - Elle ne prend suffisamment en compte le caractère multidimensionnel/multifactoriel des situations sociales - Elle est imposée d'en haut et non participative - Elle s'inscrit dans une temporalité courte, inadaptée à la temporalité sociale - Elle est désincarnée
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=2319