Centre de documentation HELHa Gosselies
Mise à jour du 12/11/2024
HORAIRE D'OUVERTURE jusqu'au 8 novembre :
Lundi : 8h00-18h00
Mardi : 8h00-18h00
Mercredi : 8h00-18h00
Jeudi : 8h00-18h00
Vendredi : 8h00-16h00
ATTENTION ! Le centre de documentation est fermé durant les congés et vacances scolaires
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation du domaine Education de la HELHa - Gosselies
Certains documents sont accompagnés de compléments numériques, Vous devez être authentifié avec vos identifiants HELHa pour y avoir accès
Rappel : Prêt de 5 documents par catégorie maximum (hors étiquettes jaunes et TFE), pour 15 jours (prolongation possible sur demande).
Prêt strictement personnel
Amendes : 20c/jour ouvrable/livre.
Attention : pas plus de 3 outils par catégorie sur la même thématique (ex : Saint Nicolas, les fractions, les animaux de la ferme, ...)
Un conjoint violent est-il un mauvais parent ? Mention de date : Octobre 2013
Paru le : 01/10/2013
|
[n° ou bulletin]
Titre : |
68 - Octobre 2013 - Un conjoint violent est-il un mauvais parent ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
Benoît Bastard |
Année de publication : |
2013 |
Importance : |
59 p. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
fonction parentale violence conjugale maltraitance enfant prise en charge séparation parentale divorce parentalité relation parent enfant |
Résumé : |
"Les intervenants sociaux sont aujourd’hui confrontés à des impératifs contradictoires dans les situations de violence conjugale. A la norme qui pousse au maintien des relations enfants-parents s’oppose le souci de protection des victimes, femmes et enfants. Le premier impératif s’est imposé dans la pratique des professionnels : l’intérêt du développement des enfants commande qu’ils conservent certaines relations avec le parent dont ils sont séparés, quoi qu’il ait fait, pour éviter qu’ils ne s’en fassent une représentation fausse - idéalisation ou diabolisation. A cette posture répond l’idée inverse que les conjoints violents sont de mauvais parents, ce qui exige qu’ils soient écartés de la vie de leurs enfants. Peut-on dépasser cette opposition qui divise les interventions et nuit à leur lisibilité ? Comment faire pour que la protection des victimes n’empêche pas de ménager une place pour le conjoint violent, dans l’intérêt de ses enfants, sans cependant conduire au déni de la violence ?" |
Note de contenu : |
Tables des matières:
- L’impératif du maintien des liens
- La « révolution » du divorce
- Les juges convaincus de la nécessité du maintien des relations enfants-parents
- D’où vient le paradigme du maintien des relations enfants-parents ?
- Médiation et espaces de rencontre –des vecteurs du maintien des liens
- D’autres dispositifs qui ont aussi pour projet le maintien des relations enfants-parents
- Un modèle de travail qui prend en compte les situations de violence conjugale
- L’impératif de la protection
- La dénonciation des violences conjugales
- Éloigner les auteurs de violences conjugales de leurs enfants ?
- Dépasser la contradiction ?
- Deux visions des risques encourus par l’enfant dans son devenir
- Différentes représentations des rapports entre les sexes
- Changer le regard sur ces questions, sortir du tout ou rien
|
En ligne : |
http://www.yapaka.be/livre/livre-un-conjoint-violent-est-il-un-mauvais-parent |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=13 |
[n° ou bulletin]
68 - Octobre 2013 - Un conjoint violent est-il un mauvais parent ? [document électronique] / Benoît Bastard . - 2013 . - 59 p. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
fonction parentale violence conjugale maltraitance enfant prise en charge séparation parentale divorce parentalité relation parent enfant |
Résumé : |
"Les intervenants sociaux sont aujourd’hui confrontés à des impératifs contradictoires dans les situations de violence conjugale. A la norme qui pousse au maintien des relations enfants-parents s’oppose le souci de protection des victimes, femmes et enfants. Le premier impératif s’est imposé dans la pratique des professionnels : l’intérêt du développement des enfants commande qu’ils conservent certaines relations avec le parent dont ils sont séparés, quoi qu’il ait fait, pour éviter qu’ils ne s’en fassent une représentation fausse - idéalisation ou diabolisation. A cette posture répond l’idée inverse que les conjoints violents sont de mauvais parents, ce qui exige qu’ils soient écartés de la vie de leurs enfants. Peut-on dépasser cette opposition qui divise les interventions et nuit à leur lisibilité ? Comment faire pour que la protection des victimes n’empêche pas de ménager une place pour le conjoint violent, dans l’intérêt de ses enfants, sans cependant conduire au déni de la violence ?" |
Note de contenu : |
Tables des matières:
- L’impératif du maintien des liens
- La « révolution » du divorce
- Les juges convaincus de la nécessité du maintien des relations enfants-parents
- D’où vient le paradigme du maintien des relations enfants-parents ?
- Médiation et espaces de rencontre –des vecteurs du maintien des liens
- D’autres dispositifs qui ont aussi pour projet le maintien des relations enfants-parents
- Un modèle de travail qui prend en compte les situations de violence conjugale
- L’impératif de la protection
- La dénonciation des violences conjugales
- Éloigner les auteurs de violences conjugales de leurs enfants ?
- Dépasser la contradiction ?
- Deux visions des risques encourus par l’enfant dans son devenir
- Différentes représentations des rapports entre les sexes
- Changer le regard sur ces questions, sortir du tout ou rien
|
En ligne : |
http://www.yapaka.be/livre/livre-un-conjoint-violent-est-il-un-mauvais-parent |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgosselies/opac_css/index.php?lvl=bulletin_display&id=13 |
| |
Réservation
Réserver ce document
Exemplaires (1)
|
20086 | TEM 68 | Périodique | Centre de documentation HELHa - Gosselies | REVUES | Inventaire 2023 Disponible |
Aucun dépouillement pour ce bulletin.