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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'traitement néoadjuvant'
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Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature / E. Blais in Cancer Radiothérapie, 23/1 (Février 2019)
[article]
Titre : Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Blais ; V. Vendrely ; P. Sargos ; et al. Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 62-72 Langues : Français (fre) Mots-clés : Cancer de l’œsophage Traitement néoadjuvant Radiothérapie Chimioradiothérapie Radiochimiothérapie Chimiothérapie Résumé : Les cancers de l’œsophage localement évolués relèvent d’une prise en charge pluridisciplinaire où la chimioradiothérapie occupe une place essentielle. La chimioradiothérapie néoadjuvante permet d’améliorer les taux de contrôle locorégional et de survie globale des cancers de l’œsophage localement évolués opérés. La chimioradiothérapie exclusive a également une place pour les lésions non résécables et/ou pour les patients non opérables et est considérée comme une alternative à la chirurgie dans la prise en charge initiale des carcinomes épidermoïdes de l’œsophage localement évolués. La chimiothérapie associée consiste en une combinaison de sels de platine (cisplatine ou oxaliplatine) et de 5-fluoro-uracile le plus souvent, ou de carboplatine et de paclitaxel hebdomadaire selon le protocole CROSS en situation néoadjuvante. Les doses varient de 41,4Gy (protocole CROSS) à 45Gy en situation néoadjuvante. En traitement exclusif, une dose de 50 à 50,4Gy est préconisée selon les recommandations françaises et américaines. Les volumes cibles tiennent compte des particularités anatomiques de l’œsophage et de son drainage lymphatique. Ainsi, une irradiation ganglionnaire prophylactique intéresse classiquement les aires ganglionnaires présentant un risque d’envahissement de plus de 15 % à 20 %. L’utilisation de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité représente une approche prometteuse susceptible de diminuer la toxicité dans les organes à risque adjacents. Cet article décrit, à partir d’une revue critique de la littérature, la place de la chimioradiothérapie dans la stratégie thérapeutique, les volumes anatomiques d’intérêt, les doses de prescription, les contraintes de doses dans les organes à risque et les techniques de radiothérapie adaptées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62929
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 62-72[article] Chimioradiothérapie des cancers de l’œsophage : revue critique de la littérature [texte imprimé] / E. Blais ; V. Vendrely ; P. Sargos ; et al. . - 2019 . - p. 62-72.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/1 (Février 2019) . - p. 62-72
Mots-clés : Cancer de l’œsophage Traitement néoadjuvant Radiothérapie Chimioradiothérapie Radiochimiothérapie Chimiothérapie Résumé : Les cancers de l’œsophage localement évolués relèvent d’une prise en charge pluridisciplinaire où la chimioradiothérapie occupe une place essentielle. La chimioradiothérapie néoadjuvante permet d’améliorer les taux de contrôle locorégional et de survie globale des cancers de l’œsophage localement évolués opérés. La chimioradiothérapie exclusive a également une place pour les lésions non résécables et/ou pour les patients non opérables et est considérée comme une alternative à la chirurgie dans la prise en charge initiale des carcinomes épidermoïdes de l’œsophage localement évolués. La chimiothérapie associée consiste en une combinaison de sels de platine (cisplatine ou oxaliplatine) et de 5-fluoro-uracile le plus souvent, ou de carboplatine et de paclitaxel hebdomadaire selon le protocole CROSS en situation néoadjuvante. Les doses varient de 41,4Gy (protocole CROSS) à 45Gy en situation néoadjuvante. En traitement exclusif, une dose de 50 à 50,4Gy est préconisée selon les recommandations françaises et américaines. Les volumes cibles tiennent compte des particularités anatomiques de l’œsophage et de son drainage lymphatique. Ainsi, une irradiation ganglionnaire prophylactique intéresse classiquement les aires ganglionnaires présentant un risque d’envahissement de plus de 15 % à 20 %. L’utilisation de la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité représente une approche prometteuse susceptible de diminuer la toxicité dans les organes à risque adjacents. Cet article décrit, à partir d’une revue critique de la littérature, la place de la chimioradiothérapie dans la stratégie thérapeutique, les volumes anatomiques d’intérêt, les doses de prescription, les contraintes de doses dans les organes à risque et les techniques de radiothérapie adaptées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=62929 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt TEP/TDM au 18FDG dans le bilan initial et l’évaluation précoce de la chimiothérapie néoadjuvante du cancer du sein / D. Groheux in MÉDECINE NUCLÉAIRE, 39, n° 3 (2015)
[article]
Titre : TEP/TDM au 18FDG dans le bilan initial et l’évaluation précoce de la chimiothérapie néoadjuvante du cancer du sein Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Groheux, Auteur ; E. Hindié, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 315-326 Langues : Français (fre) Mots-clés : tep tdm Tomographie par émission de positons Fluorodésoxyglucose F18 Tumeurs du sein Pronostic Chimiothérapie traitement néoadjuvant Résumé : Le travail de plusieurs équipes a permis au cours de ces dernières années d’asseoir le rôle de la TEP au 18FDG dans le bilan initial du cancer du sein chez des patientes risque élevé d’extension ganglionnaire extra-axillaire ou d’atteinte métastatique occulte. Dans cet article de revue, nous discuterons du stade clinique à partir duquel il est licite de demander cet examen. Dans le cadre d’essais cliniques, cet examen de stadification pourra également servir comme point de départ à l’évaluation de la réponse au traitement néoadjuvant avec pour objectif d’identifier précocement les patientes avec mauvaise réponse thérapeutique. Après l’ère de l’intérim-PET dans les lymphomes, les années futures pourraient être celles de l’intérim-PET dans le cancer du sein. Là encore, le rôle pilote d’équipes françaises a été déterminant. Nous soulignerons comment l’évaluation précoce du cancer du sein doit considérer les trois grands sous-types (cancer triple-négatif, cancer ER+/HER2− et cancer HER2+) de manière séparée avec des critères de réponse spécifiques. Un premier essai multicentrique de changement thérapeutique guidé par la réponse précoce au traitement néoadjuvant, piloté par l’équipe de Dijon, vient d’être publié, avec des résultats encourageants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33745
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 315-326[article] TEP/TDM au 18FDG dans le bilan initial et l’évaluation précoce de la chimiothérapie néoadjuvante du cancer du sein [texte imprimé] / D. Groheux, Auteur ; E. Hindié, Auteur . - 2015 . - 315-326.
Langues : Français (fre)
in MÉDECINE NUCLÉAIRE > 39, n° 3 (2015) . - 315-326
Mots-clés : tep tdm Tomographie par émission de positons Fluorodésoxyglucose F18 Tumeurs du sein Pronostic Chimiothérapie traitement néoadjuvant Résumé : Le travail de plusieurs équipes a permis au cours de ces dernières années d’asseoir le rôle de la TEP au 18FDG dans le bilan initial du cancer du sein chez des patientes risque élevé d’extension ganglionnaire extra-axillaire ou d’atteinte métastatique occulte. Dans cet article de revue, nous discuterons du stade clinique à partir duquel il est licite de demander cet examen. Dans le cadre d’essais cliniques, cet examen de stadification pourra également servir comme point de départ à l’évaluation de la réponse au traitement néoadjuvant avec pour objectif d’identifier précocement les patientes avec mauvaise réponse thérapeutique. Après l’ère de l’intérim-PET dans les lymphomes, les années futures pourraient être celles de l’intérim-PET dans le cancer du sein. Là encore, le rôle pilote d’équipes françaises a été déterminant. Nous soulignerons comment l’évaluation précoce du cancer du sein doit considérer les trois grands sous-types (cancer triple-négatif, cancer ER+/HER2− et cancer HER2+) de manière séparée avec des critères de réponse spécifiques. Un premier essai multicentrique de changement thérapeutique guidé par la réponse précoce au traitement néoadjuvant, piloté par l’équipe de Dijon, vient d’être publié, avec des résultats encourageants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=33745 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt