Centre de Documentation Gilly
HORAIRE
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation de Gilly
HELHa - Paramédical.
HELHa - Paramédical.
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Puberté précoce'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Que faire en cas de développement prématuré des seins ou de la pilosité pubienne chez une petite fille : est-ce dû à une anomalie et cela conduit-il à un traitement ? / Raja Brauner in La revue du praticien, vol. 67, 4 (Avril 2017)
[article]
Titre : Que faire en cas de développement prématuré des seins ou de la pilosité pubienne chez une petite fille : est-ce dû à une anomalie et cela conduit-il à un traitement ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Raja Brauner Année de publication : 2017 Article en page(s) : p.386-391 Langues : Français (fre) Mots-clés : Puberté précoce Région mammaire / croissance et développement pré-puberté pilosité pubienne Résumé : La puberté précoce est définie chez la fille par le développement des caractères sexuels avant l'âge de 8 ans. Cette situation conduit à se poser successivement les deux questions suivantes : le développement précoce est-il dû à une anomalie, et conduit-il à un traitement ? Chacun des deux développements précoces (seins ou pilosité pubienne et/ou axillaire) pose des questions différentes lorsqu'il est isolé. Chez la fille, le développement des seins entre les âges de 2 et 8 ans est le plus souvent le signe d'une puberté précoce centrale idiopathique. L'indication d'un traitement freinateur est à discuter au cas par cas. La difficulté est essentiellement de distinguer une puberté précoce pathologique, c'est-à-dire nécessitant une évaluation, d'une variante de la puberté normale. Cette distinction est fondée sur la clinique, des examens complémentaires bien ciblés et fiables, et sur le suivi. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier « gynécologie de la petite fille » Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52383
in La revue du praticien > vol. 67, 4 (Avril 2017) . - p.386-391[article] Que faire en cas de développement prématuré des seins ou de la pilosité pubienne chez une petite fille : est-ce dû à une anomalie et cela conduit-il à un traitement ? [texte imprimé] / Raja Brauner . - 2017 . - p.386-391.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > vol. 67, 4 (Avril 2017) . - p.386-391
Mots-clés : Puberté précoce Région mammaire / croissance et développement pré-puberté pilosité pubienne Résumé : La puberté précoce est définie chez la fille par le développement des caractères sexuels avant l'âge de 8 ans. Cette situation conduit à se poser successivement les deux questions suivantes : le développement précoce est-il dû à une anomalie, et conduit-il à un traitement ? Chacun des deux développements précoces (seins ou pilosité pubienne et/ou axillaire) pose des questions différentes lorsqu'il est isolé. Chez la fille, le développement des seins entre les âges de 2 et 8 ans est le plus souvent le signe d'une puberté précoce centrale idiopathique. L'indication d'un traitement freinateur est à discuter au cas par cas. La difficulté est essentiellement de distinguer une puberté précoce pathologique, c'est-à-dire nécessitant une évaluation, d'une variante de la puberté normale. Cette distinction est fondée sur la clinique, des examens complémentaires bien ciblés et fiables, et sur le suivi. Note de contenu : Cet article fait partie du dossier « gynécologie de la petite fille » Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=52383 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Puberté normale et pathologique / S. Moniez in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 36, n°3 (Juin 2023)
[article]
Titre : Puberté normale et pathologique Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Moniez ; C. Pienkowski ; Audrey Cartault Année de publication : 0023 Article en page(s) : p. 94-106 Note générale : https://doi.org/10.1016/j.jpp.2023.03.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : Puberté Puberté précoce Âge osseux Stade de Tanner Puberté retardée Hypogonadisme Résumé : L’évaluation du développement pubertaire fait partie intégrante du suivi du développement de l’enfant. À l’examen clinique, il est évalué par le stade de Tanner. Le développement pubertaire se fait par activation de l’axe hypothalamo-hypophysogonadique. La finalité du développement pubertaire est l’acquisition de la fonction de reproduction. On parle de puberté précoce lorsque la poussée mammaire débute avant l’âge de 8 ans chez la fille et lorsque le volume testiculaire devient supérieur à 4 ml avant l’âge de 9ans et demi chez le garçon. Il faut distinguer les causes centrales des causes périphériques. Chez la fille, elle est dans 80 % des cas d’origine centrale idiopathique alors que chez le garçon, elle est dans 70 % des cas pathologique et secondaire à une lésion du système nerveux central. Un traitement freinateur de la puberté par analogue de luteinizing hormone releasing hormone (LHRH) est indiqué dans la puberté précoce centrale. Le retard pubertaire est défini par l’absence de développement des caractères sexuels après 13 ans chez la fille et après 14ans chez le garçon. Il peut s’agir d’un retard pubertaire simple ou bien d’une cause centrale (hypogonadisme hypogonadotrope) ou périphérique (hypogonadisme hypergonadotrope). Chez le garçon, le retard pubertaire simple est plus fréquent que chez la fille et un traitement substitutif peut être envisagé en cas de retentissement psychologique. Les causes les plus fréquentes d’hypogonadisme hypergonadotrope sont les anomalies chromosomiques 45X correspondant au syndrome de Turner chez la fille et 46XXY correspondant au syndrome de Klinefelter chez le garçon. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78884
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 36, n°3 (Juin 2023) . - p. 94-106[article] Puberté normale et pathologique [texte imprimé] / S. Moniez ; C. Pienkowski ; Audrey Cartault . - 0023 . - p. 94-106.
https://doi.org/10.1016/j.jpp.2023.03.001
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 36, n°3 (Juin 2023) . - p. 94-106
Mots-clés : Puberté Puberté précoce Âge osseux Stade de Tanner Puberté retardée Hypogonadisme Résumé : L’évaluation du développement pubertaire fait partie intégrante du suivi du développement de l’enfant. À l’examen clinique, il est évalué par le stade de Tanner. Le développement pubertaire se fait par activation de l’axe hypothalamo-hypophysogonadique. La finalité du développement pubertaire est l’acquisition de la fonction de reproduction. On parle de puberté précoce lorsque la poussée mammaire débute avant l’âge de 8 ans chez la fille et lorsque le volume testiculaire devient supérieur à 4 ml avant l’âge de 9ans et demi chez le garçon. Il faut distinguer les causes centrales des causes périphériques. Chez la fille, elle est dans 80 % des cas d’origine centrale idiopathique alors que chez le garçon, elle est dans 70 % des cas pathologique et secondaire à une lésion du système nerveux central. Un traitement freinateur de la puberté par analogue de luteinizing hormone releasing hormone (LHRH) est indiqué dans la puberté précoce centrale. Le retard pubertaire est défini par l’absence de développement des caractères sexuels après 13 ans chez la fille et après 14ans chez le garçon. Il peut s’agir d’un retard pubertaire simple ou bien d’une cause centrale (hypogonadisme hypogonadotrope) ou périphérique (hypogonadisme hypergonadotrope). Chez le garçon, le retard pubertaire simple est plus fréquent que chez la fille et un traitement substitutif peut être envisagé en cas de retentissement psychologique. Les causes les plus fréquentes d’hypogonadisme hypergonadotrope sont les anomalies chromosomiques 45X correspondant au syndrome de Turner chez la fille et 46XXY correspondant au syndrome de Klinefelter chez le garçon. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78884 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt