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9 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Premier épisode psychotique'
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L'annonce pronostique en intervention précoce / Valentine Morin in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
[article]
Titre : L'annonce pronostique en intervention précoce Type de document : texte imprimé Auteurs : Valentine Morin Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 42-45 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Intervention précoce Premier épisode psychotique Psychose émergente Annonce du diagnostic Cas clinique Conduite à tenir Premier entretien Pronostic Protocole Résumé : Comme pour d’autres pathologies sévères, en psychiatrie, l’annonce diagnostique devrait être protocolisée, tant elle génère de la sidération. Dans le cadre de l’intervention précoce, il s’agit davantage d’une annonce pronostique. Illustration avec l’histoire d’Alexis
De façon générale, l’annonce diagnostique en psychiatrie est insuffisamment réalisée. Diverses raisons sont évoquées : le risque de poser « une étiquette » (qui « figerait » et stigmatiserait), la présence de troubles cognitifs, la vision négative des diagnostics psychiatriques, la crainte de passage à l’acte suicidaire, l’absence de demande du patient, « l’inutilité » de cette annonce dans la prise en charge, la crainte d’une erreur diagnostique. Depuis plusieurs années, grâce à l’évolution de certains paradigmes (place de l’intervention précoce et des neurosciences), les pratiques changent et l’annonce d’un diagnostic en psychiatrie se systématise petit à petit. Cependant, cette annonce reste peu protocolisée alors que cela semble nécessaire tant elle génère de la sidération.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78535
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 42-45[article] L'annonce pronostique en intervention précoce [texte imprimé] / Valentine Morin . - 2023 . - p. 42-45.
Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 42-45
Mots-clés : Intervention précoce Premier épisode psychotique Psychose émergente Annonce du diagnostic Cas clinique Conduite à tenir Premier entretien Pronostic Protocole Résumé : Comme pour d’autres pathologies sévères, en psychiatrie, l’annonce diagnostique devrait être protocolisée, tant elle génère de la sidération. Dans le cadre de l’intervention précoce, il s’agit davantage d’une annonce pronostique. Illustration avec l’histoire d’Alexis
De façon générale, l’annonce diagnostique en psychiatrie est insuffisamment réalisée. Diverses raisons sont évoquées : le risque de poser « une étiquette » (qui « figerait » et stigmatiserait), la présence de troubles cognitifs, la vision négative des diagnostics psychiatriques, la crainte de passage à l’acte suicidaire, l’absence de demande du patient, « l’inutilité » de cette annonce dans la prise en charge, la crainte d’une erreur diagnostique. Depuis plusieurs années, grâce à l’évolution de certains paradigmes (place de l’intervention précoce et des neurosciences), les pratiques changent et l’annonce d’un diagnostic en psychiatrie se systématise petit à petit. Cependant, cette annonce reste peu protocolisée alors que cela semble nécessaire tant elle génère de la sidération.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78535 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Réussir le pari de l'intervention précoce / Laurent Lecardeur in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
[article]
Titre : Réussir le pari de l'intervention précoce Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Lecardeur Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 46-50 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Intervention précoce Premier épisode psychotique Psychose émergente Réhabilitation psychosociale Accès aux soins Continuité des soins Coordination de parcours Diagnostic précoce Etude critique Jeune adulte Offre de soins Organisation des soins psychiatriques Partenariat Rétablissement Résumé : Encore peu nombreux en France, les dispositifs de détection et d’intervention précoce peinent à s’installer. Quels constats et quels freins à ce déploiement ? Quels leviers pour combler le retard ?...
« Mon fils de 18 ans est enfermé dans sa chambre depuis 2 mois : il ne sort plus, ne voit plus ses amis, ne va pas au lycée. A table, il dit des choses bizarres et refuse de parler à sa petite sœur. Qui peut-on aller voir ? Il n’y a pas de spécialiste dans notre ville… ». Voilà comment m’interpellait une maman désemparée, après une conférence sur la détection et l’intervention précoces dans les troubles psychotiques.
Son témoignage, comme tant d’autres, décrit le vécu de « monsieur et madame Tout-le-monde » quand il s’agit de trouver un professionnel pour un jeune adulte qui semble présenter des signes évocateurs de transition psychotique. Doit-on y voir une difficulté du grand public à trouver les bons interlocuteurs ou une trop faible offre de soins spécialisés ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78536
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 46-50[article] Réussir le pari de l'intervention précoce [texte imprimé] / Laurent Lecardeur . - 2023 . - p. 46-50.
Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 46-50
Mots-clés : Intervention précoce Premier épisode psychotique Psychose émergente Réhabilitation psychosociale Accès aux soins Continuité des soins Coordination de parcours Diagnostic précoce Etude critique Jeune adulte Offre de soins Organisation des soins psychiatriques Partenariat Rétablissement Résumé : Encore peu nombreux en France, les dispositifs de détection et d’intervention précoce peinent à s’installer. Quels constats et quels freins à ce déploiement ? Quels leviers pour combler le retard ?...
« Mon fils de 18 ans est enfermé dans sa chambre depuis 2 mois : il ne sort plus, ne voit plus ses amis, ne va pas au lycée. A table, il dit des choses bizarres et refuse de parler à sa petite sœur. Qui peut-on aller voir ? Il n’y a pas de spécialiste dans notre ville… ». Voilà comment m’interpellait une maman désemparée, après une conférence sur la détection et l’intervention précoces dans les troubles psychotiques.
Son témoignage, comme tant d’autres, décrit le vécu de « monsieur et madame Tout-le-monde » quand il s’agit de trouver un professionnel pour un jeune adulte qui semble présenter des signes évocateurs de transition psychotique. Doit-on y voir une difficulté du grand public à trouver les bons interlocuteurs ou une trop faible offre de soins spécialisés ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78536 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Intervenir précocement : quels enjeux ? / Marie-Odile Krebs in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
[article]
Titre : Intervenir précocement : quels enjeux ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Odile Krebs Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 26-30 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Intervention précoce Premier épisode psychotique Concept Coordination de parcours Formation France Information Offre de soins Psychose émergente Prévention Résumé : Malgré l’essor non négligeable de l’intervention précoce depuis quelques années, la France a pris du retard par rapport à la plupart des pays européens. Les enjeux sont pourtant considérables : diminuer le retard d’accès aux soins des 15-25 ans présentant un trouble psychique et améliorer le pronostic.
Les troubles psychiques commencent dans 75 % des cas avant 25 ans et particulièrement entre 15 et 25 ans. La phase débutante (avant et après le 1er épisode psychotique) est une période d’opportunité, au cours de laquelle les interventions améliorent le pronostic. Or, le retard d’accès aux soins est souvent de plusieurs années, qu’il s’agisse de schizophrénie ou de troubles bipolaires. L’intervention précoce permet de répondre aux besoins spécifiques des jeunes présentant un trouble psychique débutant, avec un objectif principal : diminuer le retard d’accès aux soins pour améliorer le pronostic. Cela implique avant tout de faciliter le repérage des troubles, même à la phase de symptômes atténués, et l’adressage vers des dispositifs permettant une évaluation et des soins adaptés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78532
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 26-30[article] Intervenir précocement : quels enjeux ? [texte imprimé] / Marie-Odile Krebs . - 2023 . - p. 26-30.
Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 26-30
Mots-clés : Intervention précoce Premier épisode psychotique Concept Coordination de parcours Formation France Information Offre de soins Psychose émergente Prévention Résumé : Malgré l’essor non négligeable de l’intervention précoce depuis quelques années, la France a pris du retard par rapport à la plupart des pays européens. Les enjeux sont pourtant considérables : diminuer le retard d’accès aux soins des 15-25 ans présentant un trouble psychique et améliorer le pronostic.
Les troubles psychiques commencent dans 75 % des cas avant 25 ans et particulièrement entre 15 et 25 ans. La phase débutante (avant et après le 1er épisode psychotique) est une période d’opportunité, au cours de laquelle les interventions améliorent le pronostic. Or, le retard d’accès aux soins est souvent de plusieurs années, qu’il s’agisse de schizophrénie ou de troubles bipolaires. L’intervention précoce permet de répondre aux besoins spécifiques des jeunes présentant un trouble psychique débutant, avec un objectif principal : diminuer le retard d’accès aux soins pour améliorer le pronostic. Cela implique avant tout de faciliter le repérage des troubles, même à la phase de symptômes atténués, et l’adressage vers des dispositifs permettant une évaluation et des soins adaptés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78532 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Coups de tonnerre dans un ciel couvert... / Juliette Martin in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
[article]
Titre : Coups de tonnerre dans un ciel couvert... Type de document : texte imprimé Auteurs : Juliette Martin Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 32-37 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Durée de psychose non traitée Premier épisode psychotique Clinique Diagnostic précoce Prise en charge Pronostic Risque suicidaire SYmptomatologie psychotique Traumatisme psychique Trouble cognitif Résumé : En France, chaque année, on estime à 15 000 les nouveaux cas de premiers épisodes psychotiques (PEP). Comment repérer le plus tôt possible ces jeunes qui « dysfonctionnent » et enclencher des soins ? Clinique de l’intervention précoce.
L’émergence d’un trouble psychique, et les expériences qui y sont associées, constitue une véritable rupture dans la vie du sujet générant la plupart du temps une détresse importante, ce qui constitue un risque majeur de handicap fonctionnel à long terme si la prise en soin n’est pas optimale.
L’intervention précoce a pour but d’offrir une prise en charge adaptée aux jeunes patients présentant notamment un premier épisode psychotique, un premier épisode thymique ou un risque de transition vers un trouble psychique, dans une perspective de rétablissement, c’est-à- dire positive et pro active. Elle se traduit par la volonté de proposer rapidement des soins appropriés pour prévenir une évolution défavorable au long cours. Un des aspects qui justifie cette démarche est la période au cours de laquelle sur- viennent ces troubles. Le début de l’âge adulte est en effet une phase critique de développement, de fragilité narcissique, et les changements psychologiques et sociaux qui y sont liés doivent être pris en compte dans les soins proposés et la manière de les délivrer. Les projets de vie sont d’autant bouleversés que la maladie débute tôt. Le pronostic est par ailleurs fortement corrélé au retard de détection et à la durée de pathologie non traitée. Les recherches cliniques suggèrent par exemple qu’un diagnostic précoce de la maladie psychotique associé à la mise en route rapide d’un traitement antipsychotique optimal et à des soins spécifiques de réhabilitation permettrait une meilleure évolution du trouble. Les unités dédiées à la prise en charge des pathologies psychotiques émergentes tendent actuellement à généraliser les prises en soins proposées à toutes les pathologies émergentes du jeune adulte. Il y a donc un véritable enjeu à les développer.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78533
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 32-37[article] Coups de tonnerre dans un ciel couvert... [texte imprimé] / Juliette Martin . - 2023 . - p. 32-37.
Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 32-37
Mots-clés : Durée de psychose non traitée Premier épisode psychotique Clinique Diagnostic précoce Prise en charge Pronostic Risque suicidaire SYmptomatologie psychotique Traumatisme psychique Trouble cognitif Résumé : En France, chaque année, on estime à 15 000 les nouveaux cas de premiers épisodes psychotiques (PEP). Comment repérer le plus tôt possible ces jeunes qui « dysfonctionnent » et enclencher des soins ? Clinique de l’intervention précoce.
L’émergence d’un trouble psychique, et les expériences qui y sont associées, constitue une véritable rupture dans la vie du sujet générant la plupart du temps une détresse importante, ce qui constitue un risque majeur de handicap fonctionnel à long terme si la prise en soin n’est pas optimale.
L’intervention précoce a pour but d’offrir une prise en charge adaptée aux jeunes patients présentant notamment un premier épisode psychotique, un premier épisode thymique ou un risque de transition vers un trouble psychique, dans une perspective de rétablissement, c’est-à- dire positive et pro active. Elle se traduit par la volonté de proposer rapidement des soins appropriés pour prévenir une évolution défavorable au long cours. Un des aspects qui justifie cette démarche est la période au cours de laquelle sur- viennent ces troubles. Le début de l’âge adulte est en effet une phase critique de développement, de fragilité narcissique, et les changements psychologiques et sociaux qui y sont liés doivent être pris en compte dans les soins proposés et la manière de les délivrer. Les projets de vie sont d’autant bouleversés que la maladie débute tôt. Le pronostic est par ailleurs fortement corrélé au retard de détection et à la durée de pathologie non traitée. Les recherches cliniques suggèrent par exemple qu’un diagnostic précoce de la maladie psychotique associé à la mise en route rapide d’un traitement antipsychotique optimal et à des soins spécifiques de réhabilitation permettrait une meilleure évolution du trouble. Les unités dédiées à la prise en charge des pathologies psychotiques émergentes tendent actuellement à généraliser les prises en soins proposées à toutes les pathologies émergentes du jeune adulte. Il y a donc un véritable enjeu à les développer.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78533 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Léa, un parcours intensif dans le milieu / Lucie Serrano in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
[article]
Titre : Léa, un parcours intensif dans le milieu Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucie Serrano ; Fadèla Zerroug Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 64-69 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Intervention Premier épisode psychotique Accompagnement Cas clinique Coordination de parcours Equipe mobile Intervention précoce Logement Relation familiale Soin ambulatoire Soin intensif Structure d'hébergement Toxicomanie Résumé : Léa, 18 ans, aux prises avec une situation familiale tendue, traverse un premier épisode psychotique qui la conduit aux Urgences. Prise en charge par l’équipe mobile Psyprem’s, son parcours illustre la ténacité et la souplesse de l’accompagnement de ces professionnels.
Léa est une jeune lycéenne de 18 ans, « en pause » dans son année de terminale. Elle consomme régulièrement du cannabis depuis l’âge de 14 ans et de l’alcool depuis un an. Ses parents se sont séparés il y a 3 mois, mais des tensions importantes subsistent. Léa vit chez son père car sa mère a souhaité « prendre de la distance avec elle ».
Léa a été adoptée à 4 ans, mais le couple parental a été « déçu » d’accueillir une petite fille de cet âge. Ils souhaitaient et s’étaient projetés dans la fondation de leur famille avec un nourrisson. Le désir d’adoption était porté principalement par la mère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78539
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 64-69[article] Léa, un parcours intensif dans le milieu [texte imprimé] / Lucie Serrano ; Fadèla Zerroug . - 2023 . - p. 64-69.
Cet article fait partie du dossier " Intervention précoce : de quoi parle-t-on ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 279 (Juin 2023) . - p. 64-69
Mots-clés : Intervention Premier épisode psychotique Accompagnement Cas clinique Coordination de parcours Equipe mobile Intervention précoce Logement Relation familiale Soin ambulatoire Soin intensif Structure d'hébergement Toxicomanie Résumé : Léa, 18 ans, aux prises avec une situation familiale tendue, traverse un premier épisode psychotique qui la conduit aux Urgences. Prise en charge par l’équipe mobile Psyprem’s, son parcours illustre la ténacité et la souplesse de l’accompagnement de ces professionnels.
Léa est une jeune lycéenne de 18 ans, « en pause » dans son année de terminale. Elle consomme régulièrement du cannabis depuis l’âge de 14 ans et de l’alcool depuis un an. Ses parents se sont séparés il y a 3 mois, mais des tensions importantes subsistent. Léa vit chez son père car sa mère a souhaité « prendre de la distance avec elle ».
Léa a été adoptée à 4 ans, mais le couple parental a été « déçu » d’accueillir une petite fille de cet âge. Ils souhaitaient et s’étaient projetés dans la fondation de leur famille avec un nourrisson. Le désir d’adoption était porté principalement par la mère.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78539 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Un maillage se tisse autour d'Antoine / Ingrid Arnaud in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
PermalinkL'Open dialogue : une écoute polyphonique / G. Marchand in Santé mentale, 281 (Octobre 2023)
PermalinkS'embarquer dans l'aventure de l'intervention précoce / Frédéric Haesebaert in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
PermalinkSoigner tôt pour soigner mieux ! / Philippe Raynaud de Prigny in Santé mentale, 279 (Juin 2023)
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