Centre de Documentation Gilly
HORAIRE
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation de Gilly
HELHa - Paramédical.
HELHa - Paramédical.
Résultat de la recherche
4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Néostigmine'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Curariation résiduelle et complications respiratoires postopératoires / Claude Meistelman in Oxymag, 189 (mars/avril 2023)
[article]
Titre : Curariation résiduelle et complications respiratoires postopératoires Type de document : texte imprimé Auteurs : Claude Meistelman Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 19-22 Note générale : Article du dossier "La curarisation"
Doi : 10.1016/j.oxy.2023.02.013Langues : Français (fre) Mots-clés : Complication respiratoire postopératoire Curarisation résiduelle Monitorage de la curarisation Néostigmine Sugammadex Résumé : La curarisation résiduelle est une des principales causes de complications respiratoires postopératoires. Les muscles impliqués dans la protection des voies aériennes supérieures et la déglutition sont les plus sensibles aux curares de l’organisme et les derniers à être totalement décurarisés. Le premier axe de prévention de ces complications respiratoires repose sur le monitorage systématique de la curarisation. Seul un rapport T4/T1 supérieur à 90 % garantit l’absence de curarisation résiduelle. La néostigmine et le sugammadex permettent l’antagonisation des curarisations résiduelles et la diminution du risque de survenue de complications respiratoires postopératoires. Note de contenu : Effets des curares sur les muscles impliqués dans la ventilation et incidence de la curarisation résiduelle
Quelle incidence de la curarisation résiduelle ?
Rôle de la curarisation résiduelle dans la survenue de complications respiratoires postopératoires
Prévention des complications respiratoires liées à une curarisation résiduelle
ConclusionPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78376
in Oxymag > 189 (mars/avril 2023) . - p. 19-22[article] Curariation résiduelle et complications respiratoires postopératoires [texte imprimé] / Claude Meistelman . - 2023 . - p. 19-22.
Article du dossier "La curarisation"
Doi : 10.1016/j.oxy.2023.02.013
Langues : Français (fre)
in Oxymag > 189 (mars/avril 2023) . - p. 19-22
Mots-clés : Complication respiratoire postopératoire Curarisation résiduelle Monitorage de la curarisation Néostigmine Sugammadex Résumé : La curarisation résiduelle est une des principales causes de complications respiratoires postopératoires. Les muscles impliqués dans la protection des voies aériennes supérieures et la déglutition sont les plus sensibles aux curares de l’organisme et les derniers à être totalement décurarisés. Le premier axe de prévention de ces complications respiratoires repose sur le monitorage systématique de la curarisation. Seul un rapport T4/T1 supérieur à 90 % garantit l’absence de curarisation résiduelle. La néostigmine et le sugammadex permettent l’antagonisation des curarisations résiduelles et la diminution du risque de survenue de complications respiratoires postopératoires. Note de contenu : Effets des curares sur les muscles impliqués dans la ventilation et incidence de la curarisation résiduelle
Quelle incidence de la curarisation résiduelle ?
Rôle de la curarisation résiduelle dans la survenue de complications respiratoires postopératoires
Prévention des complications respiratoires liées à une curarisation résiduelle
ConclusionPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78376 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Quelle curariation en chirurgie opératoire / Pierre Majou in Oxymag, 189 (mars/avril 2023)
[article]
Titre : Quelle curariation en chirurgie opératoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Majou Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 23-25 Note générale : Article du dossier "La curarisation"
Doi : 10.1016/j.oxy.2023.02.016Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgie ambulatoire Curarisation Curarisation résiduelle Monitorage de la curarisation Néostigmine Sugammadex Résumé : Une curarisation résiduelle peut être source d’allongement de la durée de passage en salle de surveillance postinterventionnelle et de retard d’obtention des critères d’aptitude à la rue lors d’une prise en charge chirurgicale en ambulatoireLe recours systématique au monitorage de la curarisation s’accompagne d’une diminution significative du nombre de patients présentant ce risque en salle de réveil.L’emploi de néostigmine ou de sugammadex quand le rapport T4/T1 est inférieur à 90 % à l’adducteur du pouce doit être systématique chez les patients ambulatoires. Note de contenu : Curarisation pour ventilation au masque et intubation orotrachéale
Quelle profondeur de la curarisation ?
Monitorage de la curarisation
Détection de la paralysie résiduelle
ConclusionPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78377
in Oxymag > 189 (mars/avril 2023) . - p. 23-25[article] Quelle curariation en chirurgie opératoire [texte imprimé] / Pierre Majou . - 2023 . - p. 23-25.
Article du dossier "La curarisation"
Doi : 10.1016/j.oxy.2023.02.016
Langues : Français (fre)
in Oxymag > 189 (mars/avril 2023) . - p. 23-25
Mots-clés : Chirurgie ambulatoire Curarisation Curarisation résiduelle Monitorage de la curarisation Néostigmine Sugammadex Résumé : Une curarisation résiduelle peut être source d’allongement de la durée de passage en salle de surveillance postinterventionnelle et de retard d’obtention des critères d’aptitude à la rue lors d’une prise en charge chirurgicale en ambulatoireLe recours systématique au monitorage de la curarisation s’accompagne d’une diminution significative du nombre de patients présentant ce risque en salle de réveil.L’emploi de néostigmine ou de sugammadex quand le rapport T4/T1 est inférieur à 90 % à l’adducteur du pouce doit être systématique chez les patients ambulatoires. Note de contenu : Curarisation pour ventilation au masque et intubation orotrachéale
Quelle profondeur de la curarisation ?
Monitorage de la curarisation
Détection de la paralysie résiduelle
ConclusionPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=78377 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Résistance à l'atracurium et bloc neuromusculaire paradoxal à la néostigmine : description d'un cas clinique / Jérémy Allary in Anesthésie & Réanimation, vol. 3, n° 2 (Mars 2017)
[article]
Titre : Résistance à l'atracurium et bloc neuromusculaire paradoxal à la néostigmine : description d'un cas clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérémy Allary ; Didier Fressard ; Guy Malgras ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 189-192 Langues : Français (fre) Mots-clés : CURARISATION MONITORAGE Néostigmine Résumé : Nous rapportons le cas d’un patient, aux antécédents de maladie inflammatoire chronique de l’intestin et d’accident vasculaire cérébral, admis au bloc opératoire pour une chirurgie abdominale en urgence pour syndrome occlusif, et ayant présenté un défaut de curarisation par atracurium. Le monitorage instrumental de la curarisation a par ailleurs montré un bloc neuromusculaire transitoire après antagonisation du curare par néostigmine. Une revue de la littérature nous a permis d’émettre plusieurs hypothèses sur l’origine d’une telle résistance à la curarisation par l’atracurium : majoration du nombre de récepteurs à l’acétylcholine, majoration du volume de distribution, augmentation de la fraction d’atracurium liée aux protéines plasmatiques. Des cas de blocs neuromusculaires suite à l’injection de néostigmine ont été déjà décrits. Notre rapport illustre la nécessité de monitorer la curarisation en prenant garde à la calibration des kinémyographes et à la poursuite de la surveillance après administration des antidotes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51448
in Anesthésie & Réanimation > vol. 3, n° 2 (Mars 2017) . - p. 189-192[article] Résistance à l'atracurium et bloc neuromusculaire paradoxal à la néostigmine : description d'un cas clinique [texte imprimé] / Jérémy Allary ; Didier Fressard ; Guy Malgras ; et al. . - 2017 . - p. 189-192.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > vol. 3, n° 2 (Mars 2017) . - p. 189-192
Mots-clés : CURARISATION MONITORAGE Néostigmine Résumé : Nous rapportons le cas d’un patient, aux antécédents de maladie inflammatoire chronique de l’intestin et d’accident vasculaire cérébral, admis au bloc opératoire pour une chirurgie abdominale en urgence pour syndrome occlusif, et ayant présenté un défaut de curarisation par atracurium. Le monitorage instrumental de la curarisation a par ailleurs montré un bloc neuromusculaire transitoire après antagonisation du curare par néostigmine. Une revue de la littérature nous a permis d’émettre plusieurs hypothèses sur l’origine d’une telle résistance à la curarisation par l’atracurium : majoration du nombre de récepteurs à l’acétylcholine, majoration du volume de distribution, augmentation de la fraction d’atracurium liée aux protéines plasmatiques. Des cas de blocs neuromusculaires suite à l’injection de néostigmine ont été déjà décrits. Notre rapport illustre la nécessité de monitorer la curarisation en prenant garde à la calibration des kinémyographes et à la poursuite de la surveillance après administration des antidotes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=51448 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Réversion des curares par le néostigmine : cohorte prospective française évaluant l'utilisation de l'atropine / Amandine Gruel in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 1 (Janvier 2022)
[article]
Titre : Réversion des curares par le néostigmine : cohorte prospective française évaluant l'utilisation de l'atropine Type de document : texte imprimé Auteurs : Amandine Gruel ; Margot Smirdec ; Sébastien Cambier Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 27-34 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2021.10.010 Langues : Français (fre) Mots-clés : Décurarisation Recommandations Néostigmine Atropine Résumé : Introduction
La curarisation résiduelle reste une cause évitable de morbidité au bloc opératoire. Cette étude évaluait les modalités d’administration de la néostigmine et de l’atropine et leurs répercussions sur les variables hémodynamiques classiquement monitorées lors de l’anesthésie générale.
Méthodes
De janvier 2019 à octobre 2020, un questionnaire a été mis en ligne et diffusé aux 6395 médecins et 1898 internes d’anesthésie-réanimation. Il s’intéressait au mode d’administration de la néostigmine, à l’utilisation systématique ou non de l’atropine et aux effets hémodynamiques observés.
Résultats
Sur 1172 réponses recueillies, 860 réponses ont pu être analysées (73 %). La néostigmine a été utilisée avec l’atropine dans 768 cas (91 %) et sans atropine dans 74 cas (9 %). L’incidence des effets indésirables était différente selon le mode et la vitesse d’administration de la néostigmine (261 (43 %) en intraveineux direct, 98 (50 %) en intraveineux lent à la seringue, 11 (27 %) dans une poche de cristalloïdes). En présence d’atropine, 348 réponses (45 %) retrouvaient des effets indésirables contre 22 (29 %) en l’absence d’atropine. Une tachycardie était retrouvée dans 321 cas (42 %) des décurarisations avec atropine. Une bradycardie était retrouvée dans 37 réponses (4 %).
Conclusion
Malgré les recommandations en vigueur, l’atropine n’était pas toujours utilisée de façon systématique après l’administration de néostigmine. Lorsque l’atropine était utilisée, elle était associée à un nombre d’effets indésirables plus important.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74230
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 1 (Janvier 2022) . - p. 27-34[article] Réversion des curares par le néostigmine : cohorte prospective française évaluant l'utilisation de l'atropine [texte imprimé] / Amandine Gruel ; Margot Smirdec ; Sébastien Cambier . - 2022 . - p. 27-34.
Doi : 10.1016/j.anrea.2021.10.010
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 1 (Janvier 2022) . - p. 27-34
Mots-clés : Décurarisation Recommandations Néostigmine Atropine Résumé : Introduction
La curarisation résiduelle reste une cause évitable de morbidité au bloc opératoire. Cette étude évaluait les modalités d’administration de la néostigmine et de l’atropine et leurs répercussions sur les variables hémodynamiques classiquement monitorées lors de l’anesthésie générale.
Méthodes
De janvier 2019 à octobre 2020, un questionnaire a été mis en ligne et diffusé aux 6395 médecins et 1898 internes d’anesthésie-réanimation. Il s’intéressait au mode d’administration de la néostigmine, à l’utilisation systématique ou non de l’atropine et aux effets hémodynamiques observés.
Résultats
Sur 1172 réponses recueillies, 860 réponses ont pu être analysées (73 %). La néostigmine a été utilisée avec l’atropine dans 768 cas (91 %) et sans atropine dans 74 cas (9 %). L’incidence des effets indésirables était différente selon le mode et la vitesse d’administration de la néostigmine (261 (43 %) en intraveineux direct, 98 (50 %) en intraveineux lent à la seringue, 11 (27 %) dans une poche de cristalloïdes). En présence d’atropine, 348 réponses (45 %) retrouvaient des effets indésirables contre 22 (29 %) en l’absence d’atropine. Une tachycardie était retrouvée dans 321 cas (42 %) des décurarisations avec atropine. Une bradycardie était retrouvée dans 37 réponses (4 %).
Conclusion
Malgré les recommandations en vigueur, l’atropine n’était pas toujours utilisée de façon systématique après l’administration de néostigmine. Lorsque l’atropine était utilisée, elle était associée à un nombre d’effets indésirables plus important.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=74230 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt