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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Chirurgie mini-invasive'
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Sinus pilonidal infecté : la révolution de la chirurgie mini-invasive : simplifier les suites opératoires et limiter le risque de récidive / Lucas Spindler in La revue du praticien, Vol. 73, n° 3 (Mars 2023)
[article]
Titre : Sinus pilonidal infecté : la révolution de la chirurgie mini-invasive : simplifier les suites opératoires et limiter le risque de récidive Type de document : texte imprimé Auteurs : Lucas Spindler ; Nadia Fathallah ; Mélanie Draulette ; Vincent de Parades Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 283-288 Note générale : Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie" Langues : Français (fre) Mots-clés : Sinus pilonidal Chirurgie mini-invasive Résumé : Le sinus pilonidal infecté est une pathologie fréquente qui affecterait 0,7 % de la population. Son traitement est chirurgical. En France, la technique de référence est l’exérèse, avec une plaie laissée ouverte, puis une cicatrisation dirigée. Elle a l’avantage de réduire le risque de récidive, au prix cependant de soins infirmiers quotidiens, d’une
durée de cicatrisation longue impliquant un arrêt d’activité prolongé. Les techniques chirurgicales de fermeture ou de plastie visant à réduire la durée des soins sont moins
contraignantes pour les patients, mais elles exposent à davantage de récidives que la technique ouverte. L’objectif des techniques mini-invasives est de simplifier les suites
opératoires tout en limitant le risque de récidive. Les techniques mini-invasives anciennes comme la phénolisation ou le «?pit picking?» exposent à un taux de récidive élevé malgré des suites simples. Aujourd’hui, de nouvelles techniques se développent, faisant appel, entre autres, à l’endoscopie ou encore au laser également utilisés pour le traitement des fistules anales. Les premiers résultats sont prometteurs, avec un taux d’échec globalement inférieur à 10 % à un an. Les complications sont rares, le plus souvent mineures, et les suites postopératoires sont simples sans nécessité de soins infirmiers. Cependant, ces résultats intéressants nécessitent d’être confirmés par des études de meilleure qualité avec un suivi prolongé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77723
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 283-288[article] Sinus pilonidal infecté : la révolution de la chirurgie mini-invasive : simplifier les suites opératoires et limiter le risque de récidive [texte imprimé] / Lucas Spindler ; Nadia Fathallah ; Mélanie Draulette ; Vincent de Parades . - 2023 . - p. 283-288.
Fait partie du dossier : "Nouveautés en proctologie"
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 73, n° 3 (Mars 2023) . - p. 283-288
Mots-clés : Sinus pilonidal Chirurgie mini-invasive Résumé : Le sinus pilonidal infecté est une pathologie fréquente qui affecterait 0,7 % de la population. Son traitement est chirurgical. En France, la technique de référence est l’exérèse, avec une plaie laissée ouverte, puis une cicatrisation dirigée. Elle a l’avantage de réduire le risque de récidive, au prix cependant de soins infirmiers quotidiens, d’une
durée de cicatrisation longue impliquant un arrêt d’activité prolongé. Les techniques chirurgicales de fermeture ou de plastie visant à réduire la durée des soins sont moins
contraignantes pour les patients, mais elles exposent à davantage de récidives que la technique ouverte. L’objectif des techniques mini-invasives est de simplifier les suites
opératoires tout en limitant le risque de récidive. Les techniques mini-invasives anciennes comme la phénolisation ou le «?pit picking?» exposent à un taux de récidive élevé malgré des suites simples. Aujourd’hui, de nouvelles techniques se développent, faisant appel, entre autres, à l’endoscopie ou encore au laser également utilisés pour le traitement des fistules anales. Les premiers résultats sont prometteurs, avec un taux d’échec globalement inférieur à 10 % à un an. Les complications sont rares, le plus souvent mineures, et les suites postopératoires sont simples sans nécessité de soins infirmiers. Cependant, ces résultats intéressants nécessitent d’être confirmés par des études de meilleure qualité avec un suivi prolongé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=77723 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La vertébroplastie, alternative thérapeutique mini-invasive à la chirurgie ouverte [Techniques alternatives à la chirurgie en cancérologie] / Etienne Mireau in interbloc, Vol. 37, n° 4 (Octobre-Décembre 2018)
[article]
Titre : La vertébroplastie, alternative thérapeutique mini-invasive à la chirurgie ouverte [Techniques alternatives à la chirurgie en cancérologie] Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne Mireau Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 227-232 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgie mini-invasive Cimentoplastie fracture vertébrale métastase vertébrale Tassement vertébral Voie percutanée Résumé : La vertébroplastie consiste en une injection de ciment dans le corps d'une vertèbre fragilisée par une tumeur ou l'ostéoporose, ou encore fracturée. Cette technique percutanée, sous contrôle scopique, est utilisée pour traiter les tassements ostéoporotiques, les fractures traumatiques non instables, mais aussi les métastases osseuses lytiques non compressives. La fuite du ciment vers les structures neurologiques ou vasculaires constitue le risque principal. Une bonne préparation et une exécution maîtrisée de cette intervention permettent de diminuer ces complications. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=61441
in interbloc > Vol. 37, n° 4 (Octobre-Décembre 2018) . - p. 227-232[article] La vertébroplastie, alternative thérapeutique mini-invasive à la chirurgie ouverte [Techniques alternatives à la chirurgie en cancérologie] [texte imprimé] / Etienne Mireau . - 2018 . - p. 227-232.
Langues : Français (fre)
in interbloc > Vol. 37, n° 4 (Octobre-Décembre 2018) . - p. 227-232
Mots-clés : Chirurgie mini-invasive Cimentoplastie fracture vertébrale métastase vertébrale Tassement vertébral Voie percutanée Résumé : La vertébroplastie consiste en une injection de ciment dans le corps d'une vertèbre fragilisée par une tumeur ou l'ostéoporose, ou encore fracturée. Cette technique percutanée, sous contrôle scopique, est utilisée pour traiter les tassements ostéoporotiques, les fractures traumatiques non instables, mais aussi les métastases osseuses lytiques non compressives. La fuite du ciment vers les structures neurologiques ou vasculaires constitue le risque principal. Une bonne préparation et une exécution maîtrisée de cette intervention permettent de diminuer ces complications. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=61441 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt