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4 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Capacité fonctionnelle'
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Antibiothérapie prolongée pour des symptômes persistants d’une maladie de Lyme ? / P. Chevalier in minerva, Vol. 16, n°5 (Juin 2017)
[article]
Titre : Antibiothérapie prolongée pour des symptômes persistants d’une maladie de Lyme ? Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 111-114 Langues : Français (fre) Mots-clés : Activités de la vie quotidienne Antibiotique Effets secondaires indésirables des médicaments Fatigue Maladie de Lyme Placebo Qualité de vie Capacité fonctionnelle Clarithromycine Doxycycline Hydroxychloroquine Perception de la santé Résumé : La maladie de Lyme est une borréliose causée, en Europe, par différents types de Borrelia transmis à l’homme par des tiques. Ses manifestations typiques sont cutanées (érythème migrant au stade précoce de l’infection), neurologiques ou cardiaques, articulaires (arthrite pauci-articulaire) à un stade plus tardif voire à long terme (1). Les termes de maladie de Lyme chronique ou de syndrome post Lyme sont utilisés par certains experts dans le domaine pour décrire des patients présentant des symptômes persistants attribués à une maladie de Lyme : douleurs musculosquelettiques, symptômes neurocognitifs, fatigue, association de ces symptômes (1). Si une antibiothérapie adaptée s’est montrée efficace au stade précoce de l’infection, l’intérêt d’une antibiothérapie prolongée pour faire disparaitre des symptômes persistants reste controversé (2). En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2111 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58020
in minerva > Vol. 16, n°5 (Juin 2017) . - p. 111-114[article] Antibiothérapie prolongée pour des symptômes persistants d’une maladie de Lyme ? [document électronique] / P. Chevalier . - 2017 . - p. 111-114.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 16, n°5 (Juin 2017) . - p. 111-114
Mots-clés : Activités de la vie quotidienne Antibiotique Effets secondaires indésirables des médicaments Fatigue Maladie de Lyme Placebo Qualité de vie Capacité fonctionnelle Clarithromycine Doxycycline Hydroxychloroquine Perception de la santé Résumé : La maladie de Lyme est une borréliose causée, en Europe, par différents types de Borrelia transmis à l’homme par des tiques. Ses manifestations typiques sont cutanées (érythème migrant au stade précoce de l’infection), neurologiques ou cardiaques, articulaires (arthrite pauci-articulaire) à un stade plus tardif voire à long terme (1). Les termes de maladie de Lyme chronique ou de syndrome post Lyme sont utilisés par certains experts dans le domaine pour décrire des patients présentant des symptômes persistants attribués à une maladie de Lyme : douleurs musculosquelettiques, symptômes neurocognitifs, fatigue, association de ces symptômes (1). Si une antibiothérapie adaptée s’est montrée efficace au stade précoce de l’infection, l’intérêt d’une antibiothérapie prolongée pour faire disparaitre des symptômes persistants reste controversé (2). En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2111 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58020 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Comment traiter une tendinopathie rotulienne ? / J.-R. De Caluwé in minerva, Vol. 16, n°10 (Décembre 2017)
[article]
Titre : Comment traiter une tendinopathie rotulienne ? Type de document : document électronique Auteurs : J.-R. De Caluwé ; D. Vandeput ; T. Poelman Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 241-244 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chirurgie Transfusion sanguine Capacité fonctionnelle Infiltration de corticostéroïde Ondes de choc de haute énergie Sclérothérapie Tendinopathie rotulienne Thérapie par ultrasons Transfusion de plaquettes Résumé : La tendinopathie rotulienne, appelée également tendinite patellaire ou genou du sauteur, est une cause fréquente de douleur antérieure du genou chez les sportifs (1,2). Il s’agirait d’un processus dégénératif chronique du tendon patellaire dû à des mouvements répétitifs, comme les sauts, les accélérations soudaines et les changements brusques de direction dans les sports tels que le basket-ball, le volley et le football (1-3). Le traitement recommandé actuellement est la kinésithérapie mettant l’accent sur un travail excentrique du quadriceps (4). On a aussi recours à d’autres traitements non invasifs comme l’infiltration de corticostéroïdes, de substances sclérosantes ou de plasma riche en plaquettes, les ultrasons pulsés de faible intensité et le traitement par ondes de choc. Dans les cas réfractaires, on réalise souvent un débridement des zones dégénératives du tendon, à ciel ouvert ou par arthroscopie. Actuellement, on ne sait pas bien quel effet on peut attendre de ces différents traitements invasifs et non invasifs. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2146 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58045
in minerva > Vol. 16, n°10 (Décembre 2017) . - p. 241-244[article] Comment traiter une tendinopathie rotulienne ? [document électronique] / J.-R. De Caluwé ; D. Vandeput ; T. Poelman . - 2017 . - p. 241-244.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 16, n°10 (Décembre 2017) . - p. 241-244
Mots-clés : Chirurgie Transfusion sanguine Capacité fonctionnelle Infiltration de corticostéroïde Ondes de choc de haute énergie Sclérothérapie Tendinopathie rotulienne Thérapie par ultrasons Transfusion de plaquettes Résumé : La tendinopathie rotulienne, appelée également tendinite patellaire ou genou du sauteur, est une cause fréquente de douleur antérieure du genou chez les sportifs (1,2). Il s’agirait d’un processus dégénératif chronique du tendon patellaire dû à des mouvements répétitifs, comme les sauts, les accélérations soudaines et les changements brusques de direction dans les sports tels que le basket-ball, le volley et le football (1-3). Le traitement recommandé actuellement est la kinésithérapie mettant l’accent sur un travail excentrique du quadriceps (4). On a aussi recours à d’autres traitements non invasifs comme l’infiltration de corticostéroïdes, de substances sclérosantes ou de plasma riche en plaquettes, les ultrasons pulsés de faible intensité et le traitement par ondes de choc. Dans les cas réfractaires, on réalise souvent un débridement des zones dégénératives du tendon, à ciel ouvert ou par arthroscopie. Actuellement, on ne sait pas bien quel effet on peut attendre de ces différents traitements invasifs et non invasifs. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2146 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58045 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire La dénervation par radiofréquence comme traitement des lombalgies chroniques / Rédaction Minerva in minerva, Vol. 17, n°4 (Mai 2018)
[article]
Titre : La dénervation par radiofréquence comme traitement des lombalgies chroniques Type de document : document électronique Auteurs : Rédaction Minerva Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 52-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur chronique Exercice physique Lombalgie Ondes ultrasonores Capacité fonctionnelle Dénervation Ondes hertziennes Récupération fonctionnelle Résumé : La dénervation par radiofréquence tente d’interrompre la transmission de la douleur dans les faisceaux nerveux communiquant avec les facettes articulaires, les articulations sacro-iliaques ou les disques intervertébraux au moyen d’un courant de radiofréquence. A ce jour, les preuves sont de qualité très faible à moyenne sur l’efficacité de la dénervation par radiofréquence comme traitement des lombalgies chroniques (1). Dans le cadre du remboursement, 4 études randomisées contrôlées (RCTs) ont été conçues aux Pays-Bas pour évaluer l’effet de la dénervation par radiofréquence (2). Une RCT évaluant spécifiquement l’effet de la dénervation par radiofréquence dans les pathologies des disques intervertébraux a dû être prématurément arrêtée en raison d’un trop petit nombre de participants. Les résultats des 3 autres RCTs ont été rassemblés dans une publication de 2017. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2163 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58101
in minerva > Vol. 17, n°4 (Mai 2018) . - p. 52-55[article] La dénervation par radiofréquence comme traitement des lombalgies chroniques [document électronique] / Rédaction Minerva . - 2018 . - p. 52-55.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 17, n°4 (Mai 2018) . - p. 52-55
Mots-clés : Douleur chronique Exercice physique Lombalgie Ondes ultrasonores Capacité fonctionnelle Dénervation Ondes hertziennes Récupération fonctionnelle Résumé : La dénervation par radiofréquence tente d’interrompre la transmission de la douleur dans les faisceaux nerveux communiquant avec les facettes articulaires, les articulations sacro-iliaques ou les disques intervertébraux au moyen d’un courant de radiofréquence. A ce jour, les preuves sont de qualité très faible à moyenne sur l’efficacité de la dénervation par radiofréquence comme traitement des lombalgies chroniques (1). Dans le cadre du remboursement, 4 études randomisées contrôlées (RCTs) ont été conçues aux Pays-Bas pour évaluer l’effet de la dénervation par radiofréquence (2). Une RCT évaluant spécifiquement l’effet de la dénervation par radiofréquence dans les pathologies des disques intervertébraux a dû être prématurément arrêtée en raison d’un trop petit nombre de participants. Les résultats des 3 autres RCTs ont été rassemblés dans une publication de 2017. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2163 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58101 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quel est l’effet à 10 ans des exercices cognitifs sur les fonctions cognitives et les activités de la vie quotidienne chez la personne âgée ? / B. Vermeulen in minerva, Vol. 13, n°10 (Décembre 2014)
[article]
Titre : Quel est l’effet à 10 ans des exercices cognitifs sur les fonctions cognitives et les activités de la vie quotidienne chez la personne âgée ? Type de document : document électronique Auteurs : B. Vermeulen Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 121-122 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médecine factuelle Personne âgée Exercices cognitifs Troubles de la mémoires Capacité fonctionnelle Résumé : Cette étude randomisée, contrôlée, correctement menée d’un point de vue méthodologique, montre que chez les personnes âgées en bonne santé, versus le seul suivi structuré, les exercices cognitifs de raisonnement et de rapidité de traitement des informations, contrairement aux exercices de mémoire, entraînent, après 10 ans, une plus faible dégradation de l’aptitude spécifiquement concernée, et ce de manière statistiquement significative. En outre, toute forme d’exercices cognitifs, versus suivi habituel, ralentit sur 10 ans la diminution des activités instrumentales de la vie quotidienne (IADL) rapportées par le patient, mais non celles qui sont basées sur la mesure des performances. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/1045 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58157
in minerva > Vol. 13, n°10 (Décembre 2014) . - p. 121-122[article] Quel est l’effet à 10 ans des exercices cognitifs sur les fonctions cognitives et les activités de la vie quotidienne chez la personne âgée ? [document électronique] / B. Vermeulen . - 2014 . - p. 121-122.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 13, n°10 (Décembre 2014) . - p. 121-122
Mots-clés : Médecine factuelle Personne âgée Exercices cognitifs Troubles de la mémoires Capacité fonctionnelle Résumé : Cette étude randomisée, contrôlée, correctement menée d’un point de vue méthodologique, montre que chez les personnes âgées en bonne santé, versus le seul suivi structuré, les exercices cognitifs de raisonnement et de rapidité de traitement des informations, contrairement aux exercices de mémoire, entraînent, après 10 ans, une plus faible dégradation de l’aptitude spécifiquement concernée, et ce de manière statistiquement significative. En outre, toute forme d’exercices cognitifs, versus suivi habituel, ralentit sur 10 ans la diminution des activités instrumentales de la vie quotidienne (IADL) rapportées par le patient, mais non celles qui sont basées sur la mesure des performances. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/1045 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58157 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire