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Auteur Vanessa Maby-Mottet |
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Amiodarone et thyroïde / Vanessa Maby-Mottet in Revue médicale suisse, 362 (Novembre 2012)
[article]
Titre : Amiodarone et thyroïde Type de document : texte imprimé Auteurs : Vanessa Maby-Mottet ; Diana Ollo ; Patrick Meyer Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 2175-2180 Langues : Français (fre) Résumé : L’amiodarone, molécule riche en iode, entraîne une perturbation discrète du bilan thyroïdien chez la majorité des patients et une dysthyroïdie chez près de 20% d’entre eux. L’hypothyroïdie, plus souvent rencontrée dans les pays sans carence iodée, se substitue par lévothyroxine et ne nécessite pas l’arrêt de l’amiodarone. L’hyperthyroïdie, plus fréquente dans les zones de carence iodée, est de prise en charge plus complexe et motive généralement l’arrêt de l’amiodarone. On distingue l’hyperthyroïdie de type 1, induite par la surcharge iodée et traitée en premier lieu par antithyroïdiens de synthèse, et celle de type 2 résultant de l’effet cytotoxique de l’amiodarone et traitée par glucocorticoïde. Compte tenu du risque de dysthyroïdie, il est recommandé de contrôler régulièrement la thyréostimuline chez les patients traités par amiodarone. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46618
in Revue médicale suisse > 362 (Novembre 2012) . - p. 2175-2180[article] Amiodarone et thyroïde [texte imprimé] / Vanessa Maby-Mottet ; Diana Ollo ; Patrick Meyer . - 2012 . - p. 2175-2180.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 362 (Novembre 2012) . - p. 2175-2180
Résumé : L’amiodarone, molécule riche en iode, entraîne une perturbation discrète du bilan thyroïdien chez la majorité des patients et une dysthyroïdie chez près de 20% d’entre eux. L’hypothyroïdie, plus souvent rencontrée dans les pays sans carence iodée, se substitue par lévothyroxine et ne nécessite pas l’arrêt de l’amiodarone. L’hyperthyroïdie, plus fréquente dans les zones de carence iodée, est de prise en charge plus complexe et motive généralement l’arrêt de l’amiodarone. On distingue l’hyperthyroïdie de type 1, induite par la surcharge iodée et traitée en premier lieu par antithyroïdiens de synthèse, et celle de type 2 résultant de l’effet cytotoxique de l’amiodarone et traitée par glucocorticoïde. Compte tenu du risque de dysthyroïdie, il est recommandé de contrôler régulièrement la thyréostimuline chez les patients traités par amiodarone. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46618 Exemplaires (1)
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