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Revue médicale suisse . 538GérontologieMention de date : Novembre 2016 Paru le : 09/11/2016 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLe siècle des comorbidités / Gabriel Gold in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Le siècle des comorbidités Type de document : texte imprimé Auteurs : Gabriel Gold ; Christophe Büla Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1891 Langues : Français (fre) Mots-clés : GERIATRIE PERSONNE AGEE Résumé : Le XXe siècle a connu des progrès sans précédent en matière de santé, liés à l’amélioration des conditions de vie et aux avancées de la médecine. Le XXIe siècle doit maintenant vivre avec la rançon de ce succès : une augmentation de la population âgée, porteuse de multiples pathologies chroniques. Aux Etats-Unis, 65 % des dépenses de santé sont liés à la prise en charge des 25 % de la population qui présente une polypathologie.1 Parmi les personnes âgées (dans le système d’assurance Medicare), plus des deux tiers souffrent d’au moins deux pathologies chroniques et 14 % d’au moins six.2
Des structures hospitalières suffisamment flexibles pour s’adapter aux multiples besoins des personnes âgées ont vu le jourPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44087
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1891[article] Le siècle des comorbidités [texte imprimé] / Gabriel Gold ; Christophe Büla . - 2016 . - p. 1891.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1891
Mots-clés : GERIATRIE PERSONNE AGEE Résumé : Le XXe siècle a connu des progrès sans précédent en matière de santé, liés à l’amélioration des conditions de vie et aux avancées de la médecine. Le XXIe siècle doit maintenant vivre avec la rançon de ce succès : une augmentation de la population âgée, porteuse de multiples pathologies chroniques. Aux Etats-Unis, 65 % des dépenses de santé sont liés à la prise en charge des 25 % de la population qui présente une polypathologie.1 Parmi les personnes âgées (dans le système d’assurance Medicare), plus des deux tiers souffrent d’au moins deux pathologies chroniques et 14 % d’au moins six.2
Des structures hospitalières suffisamment flexibles pour s’adapter aux multiples besoins des personnes âgées ont vu le jourPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44087 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge des vertiges chez la personne âgée / Cécilia Ferrer Soler in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Prise en charge des vertiges chez la personne âgée Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécilia Ferrer Soler ; Valentine Margot ; S. Papa ; Jean-Philippe Guyot Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1893-1897 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE GERIATRIE VERTIGE CHUTE EQUILIBRE Résumé : L’objectif de cet article est de faire le point sur la prise en charge des vertiges chez la personne âgée, en se basant sur une synthèse de la littérature récente. Il s’agit en effet d’un motif de consultation fréquent en médecine générale, avec une clinique peu spécifique et qui reste difficile à traiter. Le vertige périphérique, bien que pathologie bénigne, peut avoir des répercussions fonctionnelles invalidantes, tant sur le plan physique que psychique. Grâce à une anamnèse précise et des outils relativement simples d’examen clinique, le médecin de premier recours pourra le plus souvent aboutir à un diagnostic adéquat et une prise en charge précoce multidisciplinaire permettra d’améliorer grandement la qualité de vie des patients âgés souffrant de vertiges.
IntroductionEn 1871, le Dr Amanieu avait, dans son ouvrage « Vertiges : Sièges et Causes »,1 défini les vertiges comme une sensation particulière qui fait croire aux individus qui l’éprouvent que les objets tournent autour d’eux ou qu’ils sont eux-mêmes entraînés dans un mouvement de rotation. Il y mentionnait également l’illustre Dr Trousseau qui lui s’exprimait ainsi : aux uns il semble qu’ils tournent de droite à gauche, aux autres en sens inverse. La giration peut encore s’effectuer de la tête aux pieds ou réciproquement. Selon le dictionnaire Larousse médical 2015, le vertige se définit par une sensation erronée de déplacement du corps par rapport à l’espace environnant, ou de l’espace par rapport au corps, liée à un déséquilibre entre les deux appareils vestibulaires.En fait, le terme de vertiges englobe une variété de symptômes qui comprend les troubles de l’orientation spatiale et de la perception du mouvement, tels que le sentiment d’instabilité et l’impression de mouveme...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44088
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1893-1897[article] Prise en charge des vertiges chez la personne âgée [texte imprimé] / Cécilia Ferrer Soler ; Valentine Margot ; S. Papa ; Jean-Philippe Guyot . - 2016 . - p. 1893-1897.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1893-1897
Mots-clés : PERSONNE AGEE GERIATRIE VERTIGE CHUTE EQUILIBRE Résumé : L’objectif de cet article est de faire le point sur la prise en charge des vertiges chez la personne âgée, en se basant sur une synthèse de la littérature récente. Il s’agit en effet d’un motif de consultation fréquent en médecine générale, avec une clinique peu spécifique et qui reste difficile à traiter. Le vertige périphérique, bien que pathologie bénigne, peut avoir des répercussions fonctionnelles invalidantes, tant sur le plan physique que psychique. Grâce à une anamnèse précise et des outils relativement simples d’examen clinique, le médecin de premier recours pourra le plus souvent aboutir à un diagnostic adéquat et une prise en charge précoce multidisciplinaire permettra d’améliorer grandement la qualité de vie des patients âgés souffrant de vertiges.
IntroductionEn 1871, le Dr Amanieu avait, dans son ouvrage « Vertiges : Sièges et Causes »,1 défini les vertiges comme une sensation particulière qui fait croire aux individus qui l’éprouvent que les objets tournent autour d’eux ou qu’ils sont eux-mêmes entraînés dans un mouvement de rotation. Il y mentionnait également l’illustre Dr Trousseau qui lui s’exprimait ainsi : aux uns il semble qu’ils tournent de droite à gauche, aux autres en sens inverse. La giration peut encore s’effectuer de la tête aux pieds ou réciproquement. Selon le dictionnaire Larousse médical 2015, le vertige se définit par une sensation erronée de déplacement du corps par rapport à l’espace environnant, ou de l’espace par rapport au corps, liée à un déséquilibre entre les deux appareils vestibulaires.En fait, le terme de vertiges englobe une variété de symptômes qui comprend les troubles de l’orientation spatiale et de la perception du mouvement, tels que le sentiment d’instabilité et l’impression de mouveme...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44088 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Sarcopénie du sujet âgé : connaissances et bénéfices de l’exercice physique / André Laszlo in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Sarcopénie du sujet âgé : connaissances et bénéfices de l’exercice physique Type de document : texte imprimé Auteurs : André Laszlo Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1898-1900 Langues : Français (fre) Mots-clés : GERIATRIE PERSONNE AGEE sarcopénie MUSCLE Résumé : A partir de la cinquantaine, une perte musculaire progressive est observée, elle débouche souvent sur une sarcopénie avérée. Un mode de vie sédentaire et une alimentation mal équilibrée représentent des facteurs de risque majeur. La diminution de la force musculaire se solde par une perte fonctionnelle et une altération de la qualité de vie, sans parler des lourdes conséquences socio-économiques. Les mécanismes moléculaires de la sarcopénie sont complexes mais de mieux en mieux compris. Il n’y a aucun traitement pharmacologique utilisable en pratique courante. La réalisation pluri-hebdomadaire d’une combinaison d’exercices de musculation et d’endurance, adaptés aux possibilités individuelles, associés à un apport protéique et calorique a montré son efficacité. Ces exercices sont à poursuivre sur le long terme.
IntroductionUn vieillissement réussi est en partie déterminé par un bon degré de mobilité et d’autonomie.1 Pour parvenir à cet objectif, il est indispensable de maintenir une force musculaire suffisante, la prévention de la perte de la masse musculaire est donc essentielle chez la personne vieillissante. Quand elle est déjà présente, des mesures comprenant des exercices physiques associées à une alimentation équilibrée permettront d’améliorer la force musculaire et la qualité de vie. Des avancées importantes ont été réalisées dans la connaissance des mécanismes du vieillissement et de la sarcopénie, ce qui a permis une approche plus systématique de la prévention et de la prise en charge.2 En 2014, la FNIHS (Foundation for the National Institut of Health Sarcopenia project) a défini la sarcopénie comme une diminution de la masse et de la force musculaires, associée à un ralentissement moteur. La sarcopénie est vectrice d’une morbi-mortalité accrue et d’une prolongation de la durée...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44089
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1898-1900[article] Sarcopénie du sujet âgé : connaissances et bénéfices de l’exercice physique [texte imprimé] / André Laszlo . - 2016 . - p. 1898-1900.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1898-1900
Mots-clés : GERIATRIE PERSONNE AGEE sarcopénie MUSCLE Résumé : A partir de la cinquantaine, une perte musculaire progressive est observée, elle débouche souvent sur une sarcopénie avérée. Un mode de vie sédentaire et une alimentation mal équilibrée représentent des facteurs de risque majeur. La diminution de la force musculaire se solde par une perte fonctionnelle et une altération de la qualité de vie, sans parler des lourdes conséquences socio-économiques. Les mécanismes moléculaires de la sarcopénie sont complexes mais de mieux en mieux compris. Il n’y a aucun traitement pharmacologique utilisable en pratique courante. La réalisation pluri-hebdomadaire d’une combinaison d’exercices de musculation et d’endurance, adaptés aux possibilités individuelles, associés à un apport protéique et calorique a montré son efficacité. Ces exercices sont à poursuivre sur le long terme.
IntroductionUn vieillissement réussi est en partie déterminé par un bon degré de mobilité et d’autonomie.1 Pour parvenir à cet objectif, il est indispensable de maintenir une force musculaire suffisante, la prévention de la perte de la masse musculaire est donc essentielle chez la personne vieillissante. Quand elle est déjà présente, des mesures comprenant des exercices physiques associées à une alimentation équilibrée permettront d’améliorer la force musculaire et la qualité de vie. Des avancées importantes ont été réalisées dans la connaissance des mécanismes du vieillissement et de la sarcopénie, ce qui a permis une approche plus systématique de la prévention et de la prise en charge.2 En 2014, la FNIHS (Foundation for the National Institut of Health Sarcopenia project) a défini la sarcopénie comme une diminution de la masse et de la force musculaires, associée à un ralentissement moteur. La sarcopénie est vectrice d’une morbi-mortalité accrue et d’une prolongation de la durée...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44089 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge des comorbidités chez les patients déments / Dina Zekry in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Prise en charge des comorbidités chez les patients déments Type de document : texte imprimé Auteurs : Dina Zekry ; Aline Mendes Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1904-1906 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE DEMENCE COMPLICATION DEPRESSION HANCHE FRACTURE Résumé : L’interaction entre les comorbidités et la démence est complexe. L’identification des comorbidités chez la personne âgée peut être difficile par une symptomatologie fruste et souvent atypique mais d’autant plus chez les patients atteints de démence. Comment devrait-on alors détecter et mesurer le fardeau d’une comorbidité ? Quelle est l’approche la plus éthiquement correcte dans le processus décisionnel ? Cet article discute des principes de base qui peuvent être appliqués pour assurer la prise en charge optimale des comorbidités chez les personnes atteintes de démence en donnant quelques exemples pratiques.
Comorbidités chez une personne âgée avec ou sans démenceLa comorbidité est importante en gériatrie car sa prévalence augmente avec l’âge. Bien qu’il existe plus de 30 méthodes de mesure de comorbidité, aucun des instruments disponibles n’a été spécifiquement développé pour les patients âgés.1 De plus, jusqu’à maintenant, il existe une controverse et presque un mythe qui postule que les patients âgés déments ont moins de comorbidités que les non-déments. Les études existantes ont toujours rapporté que les patients déments sont plus « sains » que d’autres personnes âgées. Ce constat était probablement dû au fait que les patients présentant une démence ne rapportent que peu ou pas leurs symptômes, d’ailleurs souvent imprécis. De plus, parce qu’ils présentent une démence, les stratégies diagnostiques chez ces patients ne sont pas les mêmes ; ou lorsque les patients sont encore capables de s’exprimer, le fait d’avoir une démence retarde le diagnostic d’une autre comorbidité.Deux études...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44090
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1904-1906[article] Prise en charge des comorbidités chez les patients déments [texte imprimé] / Dina Zekry ; Aline Mendes . - 2016 . - p. 1904-1906.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1904-1906
Mots-clés : PERSONNE AGEE DEMENCE COMPLICATION DEPRESSION HANCHE FRACTURE Résumé : L’interaction entre les comorbidités et la démence est complexe. L’identification des comorbidités chez la personne âgée peut être difficile par une symptomatologie fruste et souvent atypique mais d’autant plus chez les patients atteints de démence. Comment devrait-on alors détecter et mesurer le fardeau d’une comorbidité ? Quelle est l’approche la plus éthiquement correcte dans le processus décisionnel ? Cet article discute des principes de base qui peuvent être appliqués pour assurer la prise en charge optimale des comorbidités chez les personnes atteintes de démence en donnant quelques exemples pratiques.
Comorbidités chez une personne âgée avec ou sans démenceLa comorbidité est importante en gériatrie car sa prévalence augmente avec l’âge. Bien qu’il existe plus de 30 méthodes de mesure de comorbidité, aucun des instruments disponibles n’a été spécifiquement développé pour les patients âgés.1 De plus, jusqu’à maintenant, il existe une controverse et presque un mythe qui postule que les patients âgés déments ont moins de comorbidités que les non-déments. Les études existantes ont toujours rapporté que les patients déments sont plus « sains » que d’autres personnes âgées. Ce constat était probablement dû au fait que les patients présentant une démence ne rapportent que peu ou pas leurs symptômes, d’ailleurs souvent imprécis. De plus, parce qu’ils présentent une démence, les stratégies diagnostiques chez ces patients ne sont pas les mêmes ; ou lorsque les patients sont encore capables de s’exprimer, le fait d’avoir une démence retarde le diagnostic d’une autre comorbidité.Deux études...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44090 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge de la pneumonie au stade avancé d’une démence / Emmanouil Glampedakis in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Prise en charge de la pneumonie au stade avancé d’une démence Type de document : texte imprimé Auteurs : Emmanouil Glampedakis ; Michèle Jean ; Cécile Amateis ; Christophe Büla Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1907-1911 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE GERIATRIE PNEUMONIE DEMENCE Résumé : La maladie d’Alzheimer est une cause importante de morbidité et de mortalité avec des conséquences importantes pour l’individu affecté et sa famille. Les pneumonies sont des complications fréquentes au stade avancé de la maladie et souvent la cause directe du décès. Malgré l’évolution progressive et non réversible de la démence d’Alzheimer, les patients déments reçoivent des traitements à visée curative durant les derniers mois de leur vie et le recours à une approche palliative est souvent tardif. Cet article propose une approche de ces situations et discute les options thérapeutiques en cas de pneumonie au stade avancé de la maladie.
IntroductionLa démence de la maladie d’Alzheimer constitue actuellement une cause très importante de morbidité et de mortalité. Selon l’OMS (données 2012), elle figure parmi les dix causes de décès les plus fréquentes dans les pays occidentaux. En Suisse, on estime qu’environ 120 000 personnes souffrent de démence (principalement de type Alzheimer) et qu’environ 28 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Près de la moitié des patients déments vivent à la maison en Suisse, et environ la moitié des résidents d’EMS souffrent également d’une démence.1 Les projections évaluent à 300 000 le nombre de personnes atteintes de démence en Suisse à l’horizon 2050.La survie médiane d’une maladie d’Alzheimer varie entre 3 et 12 ans2 selon le stade auquel le diagnostic est fait, la majorité des patients passant plusieurs années au stade le plus invalidant.3 Ce stade se caractérise par une atteinte cognitive globale majeure et une grabatisation avec incontinence urinaire et / ou fécale....Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44091
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1907-1911[article] Prise en charge de la pneumonie au stade avancé d’une démence [texte imprimé] / Emmanouil Glampedakis ; Michèle Jean ; Cécile Amateis ; Christophe Büla . - 2016 . - p. 1907-1911.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1907-1911
Mots-clés : PERSONNE AGEE GERIATRIE PNEUMONIE DEMENCE Résumé : La maladie d’Alzheimer est une cause importante de morbidité et de mortalité avec des conséquences importantes pour l’individu affecté et sa famille. Les pneumonies sont des complications fréquentes au stade avancé de la maladie et souvent la cause directe du décès. Malgré l’évolution progressive et non réversible de la démence d’Alzheimer, les patients déments reçoivent des traitements à visée curative durant les derniers mois de leur vie et le recours à une approche palliative est souvent tardif. Cet article propose une approche de ces situations et discute les options thérapeutiques en cas de pneumonie au stade avancé de la maladie.
IntroductionLa démence de la maladie d’Alzheimer constitue actuellement une cause très importante de morbidité et de mortalité. Selon l’OMS (données 2012), elle figure parmi les dix causes de décès les plus fréquentes dans les pays occidentaux. En Suisse, on estime qu’environ 120 000 personnes souffrent de démence (principalement de type Alzheimer) et qu’environ 28 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Près de la moitié des patients déments vivent à la maison en Suisse, et environ la moitié des résidents d’EMS souffrent également d’une démence.1 Les projections évaluent à 300 000 le nombre de personnes atteintes de démence en Suisse à l’horizon 2050.La survie médiane d’une maladie d’Alzheimer varie entre 3 et 12 ans2 selon le stade auquel le diagnostic est fait, la majorité des patients passant plusieurs années au stade le plus invalidant.3 Ce stade se caractérise par une atteinte cognitive globale majeure et une grabatisation avec incontinence urinaire et / ou fécale....Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44091 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les chuteurs âgés traités par anticoagulants: un challenge quotidien / Philippe Chassagne in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Les chuteurs âgés traités par anticoagulants: un challenge quotidien Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Chassagne ; Marc Humbert ; Sylvain Nguyen ; Christophe Büla Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1912-1916 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE GERIATRIE CHUTE ANTICOAGULANT Résumé : Les anticoagulants peuvent être prescrits au long cours, par exemple en prévention primaire pour diminuer le risque thromboembolique artériel, associé à une fibrillation atriale (FA). Ces médicaments sont souvent utilisés chez des personnes âgées chez qui le potentiel iatrogène hémorragique est redouté. Ce risque est d’autant plus marqué que les chutes affectent au moins un tiers de ces personnes au cours d’une année. Néanmoins, le bénéfice, pour réduire l’incidence et les conséquences d’un AVC (dépendance, surmortalité, qualité de vie altérée, atteinte cognitive) de ces médicaments, est supérieur à leur risque intrinsèque.
ContexteL’âge est un facteur de risque majeur de chutes récidivantes, un tiers des patients ayant chuté rechutent dans les douze mois qui suivent ce premier accident.1 On estime la prévalence annuelle des chutes dans la population communautaire des personnes âgées de plus de 65 ans à 30 %2 et de 50 % après 80 ans.3 Cette fréquence est supérieure dans les établissements médico-sociaux.Les chutes sont à l’origine de complications telles que fractures (dans près de 5 % des cas4), déconditionnement physique, isolement social, institutionnalisation5 et événements hémorragiques.Quels que soient les types de prise en charge multifactorielle ou ciblée sur un domaine spécifique (par exemple, anti-cipa-tion d’une chirurgie de cataracte6), le risque de récidive de chute est tout au plus réduit mais jamais nul. Si l’âge est unfacteur de risque majeur de chute, il est aussi associé à une morbi-mortalité accrue en cas de recours aux antithrombotiques au premier rang desquels figurent les antico...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44092
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1912-1916[article] Les chuteurs âgés traités par anticoagulants: un challenge quotidien [texte imprimé] / Philippe Chassagne ; Marc Humbert ; Sylvain Nguyen ; Christophe Büla . - 2016 . - p. 1912-1916.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1912-1916
Mots-clés : PERSONNE AGEE GERIATRIE CHUTE ANTICOAGULANT Résumé : Les anticoagulants peuvent être prescrits au long cours, par exemple en prévention primaire pour diminuer le risque thromboembolique artériel, associé à une fibrillation atriale (FA). Ces médicaments sont souvent utilisés chez des personnes âgées chez qui le potentiel iatrogène hémorragique est redouté. Ce risque est d’autant plus marqué que les chutes affectent au moins un tiers de ces personnes au cours d’une année. Néanmoins, le bénéfice, pour réduire l’incidence et les conséquences d’un AVC (dépendance, surmortalité, qualité de vie altérée, atteinte cognitive) de ces médicaments, est supérieur à leur risque intrinsèque.
ContexteL’âge est un facteur de risque majeur de chutes récidivantes, un tiers des patients ayant chuté rechutent dans les douze mois qui suivent ce premier accident.1 On estime la prévalence annuelle des chutes dans la population communautaire des personnes âgées de plus de 65 ans à 30 %2 et de 50 % après 80 ans.3 Cette fréquence est supérieure dans les établissements médico-sociaux.Les chutes sont à l’origine de complications telles que fractures (dans près de 5 % des cas4), déconditionnement physique, isolement social, institutionnalisation5 et événements hémorragiques.Quels que soient les types de prise en charge multifactorielle ou ciblée sur un domaine spécifique (par exemple, anti-cipa-tion d’une chirurgie de cataracte6), le risque de récidive de chute est tout au plus réduit mais jamais nul. Si l’âge est unfacteur de risque majeur de chute, il est aussi associé à une morbi-mortalité accrue en cas de recours aux antithrombotiques au premier rang desquels figurent les antico...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44092 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Sepsis chez le sujet âgé : quelles spécificités? / Xavier Roux in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Sepsis chez le sujet âgé : quelles spécificités? Type de document : texte imprimé Auteurs : Xavier Roux ; Benedikt Huttner ; Jérôme Pugin ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1917-1921 Langues : Français (fre) Mots-clés : GERIATRIE PERSONNE AGEE SEPSIS INFECTION CHOC SEPTIQUE Résumé : Le sepsis est une pathologie fréquente, caractérisée par une réponse inflammatoire systémique inappropriée, consécutive à une infection, à l’origine de dysfonctions d’organes mettant en jeu le pronostic vital. Chez le sujet âgé, le sepsis est souvent de diagnostic difficile. De nouvelles définitions, aidées par des scores clinico-biologiques, permettent une reconnaissance plus précoce des états septiques à risque de mauvaise évolution. La précocité de la prise en charge, chez des sujets âgés aux défenses immunitaires et réserves physiologiques diminuées, est un élément essentiel du pronostic. Les principes de prise en charge du sepsis chez le sujet âgé diffèrent peu du sujet plus jeune avec néanmoins la problématique de l’admission ou non en milieu de soins intensifs en fonction du niveau de soins préalablement défini, des comorbidités du patient et des objectifs de soins.
IntroductionLe sepsis constitue une des principales causes de mortalité d’origine infectieuse tant en médecine ambulatoire qu’en milieu hospitalier chez le patient d’âge gériatrique. Sa mortalité varie de manière importante selon les séries, de 17 à près de 40 % pour les sepsis avec état de choc. Il semble néanmoins que la mortalité soit à la baisse en raison des progrès de la réanimation et d’une meilleure reconnaissance des états septiques graves.1 Chez le sujet âgé, la fréquence du sepsis est élevée et le pronostic généralement plus sévère. A la baisse des défenses immunitaires liées à l’âge s’ajoutent bien souvent le retard diagnostique, le caractère pauci-symptomatique des états septiques graves, masqué par les médicaments et comorbidités associées, ainsi que le manque de réserves physiologiques à l’origine de la dégradation rapide des fonctions vitales, notamment hémodynamique. L’enjeu de la prise en charge chez le sujet âgé est donc multiple : diagnostiquer le plus précocem...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44093
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1917-1921[article] Sepsis chez le sujet âgé : quelles spécificités? [texte imprimé] / Xavier Roux ; Benedikt Huttner ; Jérôme Pugin ; et al. . - 2016 . - p. 1917-1921.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1917-1921
Mots-clés : GERIATRIE PERSONNE AGEE SEPSIS INFECTION CHOC SEPTIQUE Résumé : Le sepsis est une pathologie fréquente, caractérisée par une réponse inflammatoire systémique inappropriée, consécutive à une infection, à l’origine de dysfonctions d’organes mettant en jeu le pronostic vital. Chez le sujet âgé, le sepsis est souvent de diagnostic difficile. De nouvelles définitions, aidées par des scores clinico-biologiques, permettent une reconnaissance plus précoce des états septiques à risque de mauvaise évolution. La précocité de la prise en charge, chez des sujets âgés aux défenses immunitaires et réserves physiologiques diminuées, est un élément essentiel du pronostic. Les principes de prise en charge du sepsis chez le sujet âgé diffèrent peu du sujet plus jeune avec néanmoins la problématique de l’admission ou non en milieu de soins intensifs en fonction du niveau de soins préalablement défini, des comorbidités du patient et des objectifs de soins.
IntroductionLe sepsis constitue une des principales causes de mortalité d’origine infectieuse tant en médecine ambulatoire qu’en milieu hospitalier chez le patient d’âge gériatrique. Sa mortalité varie de manière importante selon les séries, de 17 à près de 40 % pour les sepsis avec état de choc. Il semble néanmoins que la mortalité soit à la baisse en raison des progrès de la réanimation et d’une meilleure reconnaissance des états septiques graves.1 Chez le sujet âgé, la fréquence du sepsis est élevée et le pronostic généralement plus sévère. A la baisse des défenses immunitaires liées à l’âge s’ajoutent bien souvent le retard diagnostique, le caractère pauci-symptomatique des états septiques graves, masqué par les médicaments et comorbidités associées, ainsi que le manque de réserves physiologiques à l’origine de la dégradation rapide des fonctions vitales, notamment hémodynamique. L’enjeu de la prise en charge chez le sujet âgé est donc multiple : diagnostiquer le plus précocem...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44093 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Patients avec variation du développement sexuel : un exemple de prise en charge interdisciplinaire / Franziska Phan-Hug in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Patients avec variation du développement sexuel : un exemple de prise en charge interdisciplinaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Franziska Phan-Hug ; Cynthia Kraus ; Ariane Paoloni-Giacobino ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1923-1929 Langues : Français (fre) Mots-clés : dysphorie de genre identité sexuelle Résumé : La prise en charge des personnes avec une variation du développement sexuel (VDS) (disorder of sex development, DSD) est un défi tant sur le plan médical, psychologique que social. L’amélioration des connaissances étiologiques et génétiques, les nouvelles approches chirurgicales et l’influence tant des groupes de patients que de la Commission d’éthique suisse ont considérablement modifié la vision de la prise en charge de ces personnes durant ces dernières décennies. Une approche pluridisciplinaire et spécialisée est cruciale pour appréhender ces situations rares et souvent complexes. Le point de vue des différents spécialistes impliqués au long de la vie dans la prise en charge d’une VDS est abordé dans cet article.
IntroductionPréambuleLa prise en charge d’un nouveau-né dont les organes génitaux ne l’identifient pas clairement comme une fille ou un garçon a considérablement varié durant les dernières décennies, passant de l’indication à « normaliser » rapidement, et dans le plus grand secret, l’anatomie par la chirurgie génitale, à des prati-ques moins expéditives et plus transparentes qui laissent à l’enfant le temps de participer à la décision d’être opéré ou non.1-4Parce que la naissance d’un enfant ni fille ni garçon trouble profondément, sidère parfois, les médecins, les parents et autres adultes sur leur identité d’homme ou de femme, sur leur corps et leur sexualité, en somme sur leur rapport à eux-mêmes et à la société, les questions médicales posées par la prise en charge de telles situations sont toujours aussi des questions sociales.5Buts de la consultation interdisciplinaireUne consultation interdisciplinaire permet la réflexion et l’interaction entre divers spécialistes et, centr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44094
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1923-1929[article] Patients avec variation du développement sexuel : un exemple de prise en charge interdisciplinaire [texte imprimé] / Franziska Phan-Hug ; Cynthia Kraus ; Ariane Paoloni-Giacobino ; et al. . - 2016 . - p. 1923-1929.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : dysphorie de genre identité sexuelle Résumé : La prise en charge des personnes avec une variation du développement sexuel (VDS) (disorder of sex development, DSD) est un défi tant sur le plan médical, psychologique que social. L’amélioration des connaissances étiologiques et génétiques, les nouvelles approches chirurgicales et l’influence tant des groupes de patients que de la Commission d’éthique suisse ont considérablement modifié la vision de la prise en charge de ces personnes durant ces dernières décennies. Une approche pluridisciplinaire et spécialisée est cruciale pour appréhender ces situations rares et souvent complexes. Le point de vue des différents spécialistes impliqués au long de la vie dans la prise en charge d’une VDS est abordé dans cet article.
IntroductionPréambuleLa prise en charge d’un nouveau-né dont les organes génitaux ne l’identifient pas clairement comme une fille ou un garçon a considérablement varié durant les dernières décennies, passant de l’indication à « normaliser » rapidement, et dans le plus grand secret, l’anatomie par la chirurgie génitale, à des prati-ques moins expéditives et plus transparentes qui laissent à l’enfant le temps de participer à la décision d’être opéré ou non.1-4Parce que la naissance d’un enfant ni fille ni garçon trouble profondément, sidère parfois, les médecins, les parents et autres adultes sur leur identité d’homme ou de femme, sur leur corps et leur sexualité, en somme sur leur rapport à eux-mêmes et à la société, les questions médicales posées par la prise en charge de telles situations sont toujours aussi des questions sociales.5Buts de la consultation interdisciplinaireUne consultation interdisciplinaire permet la réflexion et l’interaction entre divers spécialistes et, centr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44094 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Sida: le mythe du «patient zéro» s’est (enfin) effondré / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
[article]
Titre : Sida: le mythe du «patient zéro» s’est (enfin) effondré Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1930-1931 Langues : Français (fre) Mots-clés : HISTOIRE SIDA Résumé : « Ah, la légende du “patient zéro”… ! Combien de fois avons-nous colporté cette croyance, à nos externes ou internes, en conférence ou à nos proches… Je crois même me souvenir que Mirko Grmek, dans son “Histoire du sida” (1989) l’avalisa… La légende s’écroule…? Tant mieux… C’est bien pour la mémoire du steward… c’est bien pour Air Canada… et c’est essentiel pour l’Histoire du sida… ».C’est un ancien interniste de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris qui nous parle. Le Dr William Lowenstein résume à merveille la leçon qui nous reste collectivement à tirer d’une remarquable publication de Nature, datée du 26 octobre 2016. Un travail de génétique posthume, mené par une équipe de l’Université de l’Arizona et des chercheurs de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni). Les auteurs ont travaillé à partir du matériel génétique dégradé du VIH de huit échantillons sanguins, vieux de près de 40 ans (1978-1979).Il faut ici remonter dans notre temps. Le début des années 1980, une nouvelle ma... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44095
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1930-1931[article] Sida: le mythe du «patient zéro» s’est (enfin) effondré [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1930-1931.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : HISTOIRE SIDA Résumé : « Ah, la légende du “patient zéro”… ! Combien de fois avons-nous colporté cette croyance, à nos externes ou internes, en conférence ou à nos proches… Je crois même me souvenir que Mirko Grmek, dans son “Histoire du sida” (1989) l’avalisa… La légende s’écroule…? Tant mieux… C’est bien pour la mémoire du steward… c’est bien pour Air Canada… et c’est essentiel pour l’Histoire du sida… ».C’est un ancien interniste de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris qui nous parle. Le Dr William Lowenstein résume à merveille la leçon qui nous reste collectivement à tirer d’une remarquable publication de Nature, datée du 26 octobre 2016. Un travail de génétique posthume, mené par une équipe de l’Université de l’Arizona et des chercheurs de l’Université de Cambridge (Royaume-Uni). Les auteurs ont travaillé à partir du matériel génétique dégradé du VIH de huit échantillons sanguins, vieux de près de 40 ans (1978-1979).Il faut ici remonter dans notre temps. Le début des années 1980, une nouvelle ma... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44095 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Hypertension artérielle de l’adulte: dépister tôt – traiter au mieux / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
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Titre : Hypertension artérielle de l’adulte: dépister tôt – traiter au mieux Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1932-1933 Langues : Français (fre) Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE PREVENTION Résumé : A échéance soutenue, les institutions sanitaires françaises assurent une forme de formation médicale continue et régulièrement actualisée. C’est notamment le cas de la Haute Autorité de Santé (HAS) qui vient, avec la Société Française d’HTA (SFHTA), de faire un point éclairant sur l’hypertension artérielle – une HTA qui touche près d’un adulte sur trois en France.1 Une HTA dont on sait que, sans traitement adapté, elle peut induire des maladies cardiovasculaires graves pouvant aller jusqu’au décès. Or l’hypertension artérielle reste encore trop souvent sous-diagnostiquée tandis que (pour beaucoup de patients pris en charge) la pression artérielle reste bien souvent mal contrôlée. D’où l’initiative conjointe de la HAS et de la SFHTA qui viennent de publier une mise au point « destinée aux professionnels de santé en vue de favoriser le diagnostic précoce et une prise en charge adaptée et efficace des patients hypertendus ».En France, ce sont environ quatorze millions de personnes qu... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44096
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1932-1933[article] Hypertension artérielle de l’adulte: dépister tôt – traiter au mieux [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1932-1933.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1932-1933
Mots-clés : HYPERTENSION ARTERIELLE PREVENTION Résumé : A échéance soutenue, les institutions sanitaires françaises assurent une forme de formation médicale continue et régulièrement actualisée. C’est notamment le cas de la Haute Autorité de Santé (HAS) qui vient, avec la Société Française d’HTA (SFHTA), de faire un point éclairant sur l’hypertension artérielle – une HTA qui touche près d’un adulte sur trois en France.1 Une HTA dont on sait que, sans traitement adapté, elle peut induire des maladies cardiovasculaires graves pouvant aller jusqu’au décès. Or l’hypertension artérielle reste encore trop souvent sous-diagnostiquée tandis que (pour beaucoup de patients pris en charge) la pression artérielle reste bien souvent mal contrôlée. D’où l’initiative conjointe de la HAS et de la SFHTA qui viennent de publier une mise au point « destinée aux professionnels de santé en vue de favoriser le diagnostic précoce et une prise en charge adaptée et efficace des patients hypertendus ».En France, ce sont environ quatorze millions de personnes qu... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44096 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Exit : nouvelles pratiques, nouvelles questions / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 538 (Novembre 2016)
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Titre : Exit : nouvelles pratiques, nouvelles questions Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Kiefer Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1936 Langues : Français (fre) Mots-clés : EUTHANASIE ETHIQUE Résumé : Lorsqu’une personne ni proche de la mort ni gravement malade demande une assistance au suicide, évaluer sa capacité de discernement ne suffit pas. Impossible de faire comme si n’existait pas une exigence de prendre en soin, de dépasser l’indifférence ou la passivité. Impossible de ne pas considérer la maladie psychique, si elle est présente, mais surtout la souffrance et le désespoir comme des appels d’humain à humain. Il s’agit donc de faire droit au conflit de valeurs, à l’insoluble qu’ouvre la tension entre le devoir d’assistance et celui de respecter l’autodétermination de la personne.
Et l’on ne peut pas non plus faire l’économie de s’intéresser à la demande de suicide elle-même. Elle n’est jamais univoque, d’autant moins lorsqu’elle est transmise à l’entourage. Le but de celui qui la pose est-il vraiment de mourir ? Ou de tester les réactions, d’appeler à l’aide, de susciter des réponses compassionnelles ? Aucune parole n’a de signification simple, littérale seulement, sauf à considérer que les humains parlent comme des automates. La demande : « je veux que vous m’aidiez à me suicider » exprime donc son sens obvie en même temps qu’une multitude d’autres. Elle peut signifier : « je veux mourir, mais qu’en pensez-vous ? Cela vous laisse-t-il indifférent ? » Et lorsque la personne qui demande l’aide au suicide le fait savoir à ses proches, il ne s’agit jamais d’une simple information. Là encore, la question est – ou du moins peut être – aussi : « m’aimez-vous ? Allez-vous résister ? ».Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44097
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1936[article] Exit : nouvelles pratiques, nouvelles questions [texte imprimé] / Bertrand Kiefer . - 2016 . - p. 1936.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 538 (Novembre 2016) . - p. 1936
Mots-clés : EUTHANASIE ETHIQUE Résumé : Lorsqu’une personne ni proche de la mort ni gravement malade demande une assistance au suicide, évaluer sa capacité de discernement ne suffit pas. Impossible de faire comme si n’existait pas une exigence de prendre en soin, de dépasser l’indifférence ou la passivité. Impossible de ne pas considérer la maladie psychique, si elle est présente, mais surtout la souffrance et le désespoir comme des appels d’humain à humain. Il s’agit donc de faire droit au conflit de valeurs, à l’insoluble qu’ouvre la tension entre le devoir d’assistance et celui de respecter l’autodétermination de la personne.
Et l’on ne peut pas non plus faire l’économie de s’intéresser à la demande de suicide elle-même. Elle n’est jamais univoque, d’autant moins lorsqu’elle est transmise à l’entourage. Le but de celui qui la pose est-il vraiment de mourir ? Ou de tester les réactions, d’appeler à l’aide, de susciter des réponses compassionnelles ? Aucune parole n’a de signification simple, littérale seulement, sauf à considérer que les humains parlent comme des automates. La demande : « je veux que vous m’aidiez à me suicider » exprime donc son sens obvie en même temps qu’une multitude d’autres. Elle peut signifier : « je veux mourir, mais qu’en pensez-vous ? Cela vous laisse-t-il indifférent ? » Et lorsque la personne qui demande l’aide au suicide le fait savoir à ses proches, il ne s’agit jamais d’une simple information. Là encore, la question est – ou du moins peut être – aussi : « m’aimez-vous ? Allez-vous résister ? ».Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44097 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt