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Cancer Radiothérapie . 23/8Mention de date : Décembre 2019Paru le : 01/12/2019 |
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cancer Radiothérapie : Journal de la Société Française de Radiothérapie Oncologique
[n° ou bulletin] est un bulletin de Cancer Radiothérapie : Journal de la Société Française de Radiothérapie Oncologique Langues : Français (fre)
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Ajouter le résultat dans votre panierBrachytherapy boost for prostate cancer: A national survey from Groupe curiethérapie – Société française de radiothérapie oncologique / D. Lam Cham Kee in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Brachytherapy boost for prostate cancer: A national survey from Groupe curiethérapie – Société française de radiothérapie oncologique Titre original : Curiethérapie en complément d’irradiation pour le cancer de prostate : une enquête nationale du Groupe curiethérapie — Société française de radiothérapie oncologique Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Lam Cham Kee ; D. Peiffert ; Jean-Michel Hannoun-Lévi Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 847-852 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.003 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : CURIETHÉRAPIE PROSTATE CANCER ENQUÊTE Résumé : Objectif de l’étude
Actuellement, la curiethérapie de prostate peut être utilisée pour tous lcancers localisés de la prostate, notamment en complément d’irradiation pour ceux de pronostics intermédiaire ou défavorable. Son taux d’incidence augmentant significativement dans les prochaines décennies et l’utilisation de la curiethérapie se développant, nous avons réalisé une enquête nationale afin d’estimer l’offre de soin nécessaire pour subvenir aux besoins.
Matériel et méthodes
Tous les centres ayant déclaré utiliser la curiethérapie à l’institut national du cancer ont été sollicités pour répondre à un questionnaire en ligne (avril 2018).
Résultats
Cinquante-deux des 54 centres (96 %) qui déclaraient délivrer de la curiethérapie ont répondu au questionnaire et 34 centres délivraient de la curiethérapie de prostate. Parmi ces centres, 32 utilisaient la curiethérapie de prostate de bas débit de dose par implants d’iode 125 en exclusivité, et 19 utilisaient la curiethérapie de prostate en complément d’irradiation (bas débit : huit centres, haut débit : centres, les deux : quatre). Pour ce qui concerne les centres qui ne délivraient pas de curiethérapie de prostate en complément, 18 souhaitaient l’utiliser, huit ne voulaient pas et neuf n’ont pas répondu. Les raisons évoquées pour ne pas en délivrer étaient : des contraintes organisationnelles (trois centres), la possibilité de référer les patients à un centre de proximité (un centre), des problèmes techniques (deux centres) et l’absence de niveau de preuve scientifique (deux centres). En termes de ressources humaines, il y avait en moyenne deux médecins (minimum–maximum : 1–6) et trois physiciens (minimum–maximum : 1–5) formés par centre.
Conclusion
En France, l’état actuel de la curiethérapie de prostate ne permet pas de répondre aux futures demandes. La formation ainsi que l’organisation des services et la prise en charge incluant un remboursement adéquat de la curiethérapie de complément d’irradiation du cancer de la prostate doivent être organisés pour obtenir une offre de soin optimale.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66724
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 847-852[article] Brachytherapy boost for prostate cancer: A national survey from Groupe curiethérapie – Société française de radiothérapie oncologique = Curiethérapie en complément d’irradiation pour le cancer de prostate : une enquête nationale du Groupe curiethérapie — Société française de radiothérapie oncologique [texte imprimé] / D. Lam Cham Kee ; D. Peiffert ; Jean-Michel Hannoun-Lévi . - 2019 . - p. 847-852.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.003
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 847-852
Mots-clés : CURIETHÉRAPIE PROSTATE CANCER ENQUÊTE Résumé : Objectif de l’étude
Actuellement, la curiethérapie de prostate peut être utilisée pour tous lcancers localisés de la prostate, notamment en complément d’irradiation pour ceux de pronostics intermédiaire ou défavorable. Son taux d’incidence augmentant significativement dans les prochaines décennies et l’utilisation de la curiethérapie se développant, nous avons réalisé une enquête nationale afin d’estimer l’offre de soin nécessaire pour subvenir aux besoins.
Matériel et méthodes
Tous les centres ayant déclaré utiliser la curiethérapie à l’institut national du cancer ont été sollicités pour répondre à un questionnaire en ligne (avril 2018).
Résultats
Cinquante-deux des 54 centres (96 %) qui déclaraient délivrer de la curiethérapie ont répondu au questionnaire et 34 centres délivraient de la curiethérapie de prostate. Parmi ces centres, 32 utilisaient la curiethérapie de prostate de bas débit de dose par implants d’iode 125 en exclusivité, et 19 utilisaient la curiethérapie de prostate en complément d’irradiation (bas débit : huit centres, haut débit : centres, les deux : quatre). Pour ce qui concerne les centres qui ne délivraient pas de curiethérapie de prostate en complément, 18 souhaitaient l’utiliser, huit ne voulaient pas et neuf n’ont pas répondu. Les raisons évoquées pour ne pas en délivrer étaient : des contraintes organisationnelles (trois centres), la possibilité de référer les patients à un centre de proximité (un centre), des problèmes techniques (deux centres) et l’absence de niveau de preuve scientifique (deux centres). En termes de ressources humaines, il y avait en moyenne deux médecins (minimum–maximum : 1–6) et trois physiciens (minimum–maximum : 1–5) formés par centre.
Conclusion
En France, l’état actuel de la curiethérapie de prostate ne permet pas de répondre aux futures demandes. La formation ainsi que l’organisation des services et la prise en charge incluant un remboursement adéquat de la curiethérapie de complément d’irradiation du cancer de la prostate doivent être organisés pour obtenir une offre de soin optimale.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hypofractionated radiotherapy for non-metastatic bone and soft tissue sarcomas / Sezin Yuce Sari in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Hypofractionated radiotherapy for non-metastatic bone and soft tissue sarcomas Titre original : Radiothérapie hypofractionnée pour les sarcomes non métastatiques des os et des tissus mous Type de document : texte imprimé Auteurs : Sezin Yuce Sari ; M. Cengiz ; A. Dauletkazin ; G. Yazici ; M. Gultekin ; P. Hurmuz ; F. Yildiz ; G. Ozyigit Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 853-859 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.011 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SARCOME THÉRAPEUTIQUE RADIOTHÉRAPIE HYPOFRACTIONNEMENT STÉRÉOTAXIE Résumé :
Objectif de l’étude
Il s’agissait d’évaluer l’efficacité et la toxicité de la radiothérapie hypofractionnée des sarcomes non métastatiques des tissus mous et des os.
Patients et méthodes
Trente patients ont bénéficié d’une radiothérapie hypofractionnée entre 2007 et 2015. Dans l’ensemble, 17 patients ont reçu une radiothérapie primaire hypofractionnée, neuf une réirradiation hypofractionnée et quatre ont reçu une dose de boost de radiothérapie hypofractionnée suite à la radiothérapie externe. Les sites tumoraux les plus courants étaient la tête, le cou et le rétropéritoine. La radiothérapie hypofractionnée a été administrée avec une intention définitive, adjuvante ou néoadjuvante.
Résultats
L’âge médian était de 37 ans (extrêmes : 11–82 ans). La dose médiane de radiothérapie hypofractionnée était de 35Gy (extrêmes : 20–50Gy) en trois à cinq fractions. La durée de suivi médiane était de 21 mois (extrêmes : 1–108 mois). Les taux de survie globale à un, deux et cinq ans étaient respectivement de 75 %, 52 % et 28 %. Les taux de survie sans récidive locale à un, deux et cinq ans étaient respectivement de 59 %, 48 % et 21 %. L’analyse unifactorielle a révélé la taille de la tumeur (p=0,04), l’intention de radiothérapie hypofractionnée (p=0,016) et la réirradiation (p=0,001) comme facteurs pronostiques de la survie sans récidive locale. Une toxicité tardive grave a été observée chez un patient sous forme d’un trismus de grade 3.
Conclusion
Il a été démontré que la radiothérapie hypofractionnée, utilisée comme traitement principal ou pour la réirradiation, est sans danger pour le traitement des sarcomes des os et des tissus mous. Elle peut fournir un bon taux de contrôle local et des hauts taux de survie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66725
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 853-859[article] Hypofractionated radiotherapy for non-metastatic bone and soft tissue sarcomas = Radiothérapie hypofractionnée pour les sarcomes non métastatiques des os et des tissus mous [texte imprimé] / Sezin Yuce Sari ; M. Cengiz ; A. Dauletkazin ; G. Yazici ; M. Gultekin ; P. Hurmuz ; F. Yildiz ; G. Ozyigit . - 2019 . - p. 853-859.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.011
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 853-859
Mots-clés : SARCOME THÉRAPEUTIQUE RADIOTHÉRAPIE HYPOFRACTIONNEMENT STÉRÉOTAXIE Résumé :
Objectif de l’étude
Il s’agissait d’évaluer l’efficacité et la toxicité de la radiothérapie hypofractionnée des sarcomes non métastatiques des tissus mous et des os.
Patients et méthodes
Trente patients ont bénéficié d’une radiothérapie hypofractionnée entre 2007 et 2015. Dans l’ensemble, 17 patients ont reçu une radiothérapie primaire hypofractionnée, neuf une réirradiation hypofractionnée et quatre ont reçu une dose de boost de radiothérapie hypofractionnée suite à la radiothérapie externe. Les sites tumoraux les plus courants étaient la tête, le cou et le rétropéritoine. La radiothérapie hypofractionnée a été administrée avec une intention définitive, adjuvante ou néoadjuvante.
Résultats
L’âge médian était de 37 ans (extrêmes : 11–82 ans). La dose médiane de radiothérapie hypofractionnée était de 35Gy (extrêmes : 20–50Gy) en trois à cinq fractions. La durée de suivi médiane était de 21 mois (extrêmes : 1–108 mois). Les taux de survie globale à un, deux et cinq ans étaient respectivement de 75 %, 52 % et 28 %. Les taux de survie sans récidive locale à un, deux et cinq ans étaient respectivement de 59 %, 48 % et 21 %. L’analyse unifactorielle a révélé la taille de la tumeur (p=0,04), l’intention de radiothérapie hypofractionnée (p=0,016) et la réirradiation (p=0,001) comme facteurs pronostiques de la survie sans récidive locale. Une toxicité tardive grave a été observée chez un patient sous forme d’un trismus de grade 3.
Conclusion
Il a été démontré que la radiothérapie hypofractionnée, utilisée comme traitement principal ou pour la réirradiation, est sans danger pour le traitement des sarcomes des os et des tissus mous. Elle peut fournir un bon taux de contrôle local et des hauts taux de survie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66725 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hypofractionated stereotactic radiotherapy for challenging brain metastases using 36 Gy in six fractions / Delphine Dumont Lecomte in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Hypofractionated stereotactic radiotherapy for challenging brain metastases using 36 Gy in six fractions Titre original : Radiothérapie en conditions stéréotaxiques hypofractionnée adaptée : 36 Gy en six fractions pour les métastases cérébrales critiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Delphine Dumont Lecomte ; J. Lequesne ; J. Geffrelot ; P. Lesueur ; V. Barraux ; C. Loiseau ; J. Lacroix ; D. Stefan Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 860-866 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.012 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : HÉMORRAGIE MÉTASTASE CERVEAU HYPOFRACTIONNEMENT RADIOTHÉRAPIE STÉRÉOTAXIE RADIOCHIRURGIE Résumé :
Objectif de l’étude
La radiochirurgie et la radiothérapie stéréotaxique sont le standard de traitement des métastases cérébrales lorsqu’elles sont peu nombreuses, de petite taille, chez les patients en bon état général et à la maladie extracérébrale contrôlée. Les métastases plus volumineuses sont souvent acceptées en stéréotaxie, tandis que les métastases hémorragiques restent plutôt contre-indiquées pour ce type de traitement. L’objectif de cette étude rétrospective était de rapporter les résultats obtenus par un schéma de fractionnement 6×6Gy utilisé dans notre centre pour les métastases hémorragiques, de plus de 15cm3 ou situées proches de structures à risque.
Matériel et méthodes
Les patients traités par ce schéma dans notre centre de 2012 à 2016 ont été inclus. Le caractère hémorragique était défini sur l’imagerie scanographique et IRM. L’efficacité et la tolérance ont été évaluées.
Résultats
Soixante-deux patients atteints de 92 métastases (32 hémorragiques) ont été inclus. Le suivi médian était de 10,1 mois. Le taux de contrôle local à 1 an pour les métastases hémorragiques, les grosses métastases, et les métastases proches de structure à risque étaient respectivement de 90,7 %, 73 % et 86,7 %. Les taux correspondants de survie globale étaient de 61,2 %, 32 % et 37,8 %. Des complications hémorragiques ont été observées chez 5,3 % des patients (deux lésions hémorragiques avant le traitement). Un seul cas de toxicité aiguë de grade 3 a été observé, résolutif après traitement symptomatique.
Conclusion
Le Schéma 6×6Gy semble réalisable et plutôt efficace en traitement des métastases hémorragiques, ce qui reste à confirmer en prospectif.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66726
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 860-866[article] Hypofractionated stereotactic radiotherapy for challenging brain metastases using 36 Gy in six fractions = Radiothérapie en conditions stéréotaxiques hypofractionnée adaptée : 36 Gy en six fractions pour les métastases cérébrales critiques [texte imprimé] / Delphine Dumont Lecomte ; J. Lequesne ; J. Geffrelot ; P. Lesueur ; V. Barraux ; C. Loiseau ; J. Lacroix ; D. Stefan . - 2019 . - p. 860-866.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.012
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 860-866
Mots-clés : HÉMORRAGIE MÉTASTASE CERVEAU HYPOFRACTIONNEMENT RADIOTHÉRAPIE STÉRÉOTAXIE RADIOCHIRURGIE Résumé :
Objectif de l’étude
La radiochirurgie et la radiothérapie stéréotaxique sont le standard de traitement des métastases cérébrales lorsqu’elles sont peu nombreuses, de petite taille, chez les patients en bon état général et à la maladie extracérébrale contrôlée. Les métastases plus volumineuses sont souvent acceptées en stéréotaxie, tandis que les métastases hémorragiques restent plutôt contre-indiquées pour ce type de traitement. L’objectif de cette étude rétrospective était de rapporter les résultats obtenus par un schéma de fractionnement 6×6Gy utilisé dans notre centre pour les métastases hémorragiques, de plus de 15cm3 ou situées proches de structures à risque.
Matériel et méthodes
Les patients traités par ce schéma dans notre centre de 2012 à 2016 ont été inclus. Le caractère hémorragique était défini sur l’imagerie scanographique et IRM. L’efficacité et la tolérance ont été évaluées.
Résultats
Soixante-deux patients atteints de 92 métastases (32 hémorragiques) ont été inclus. Le suivi médian était de 10,1 mois. Le taux de contrôle local à 1 an pour les métastases hémorragiques, les grosses métastases, et les métastases proches de structure à risque étaient respectivement de 90,7 %, 73 % et 86,7 %. Les taux correspondants de survie globale étaient de 61,2 %, 32 % et 37,8 %. Des complications hémorragiques ont été observées chez 5,3 % des patients (deux lésions hémorragiques avant le traitement). Un seul cas de toxicité aiguë de grade 3 a été observé, résolutif après traitement symptomatique.
Conclusion
Le Schéma 6×6Gy semble réalisable et plutôt efficace en traitement des métastases hémorragiques, ce qui reste à confirmer en prospectif.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66726 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Plasmocytome solitaire osseux : expérience du service de radiothérapie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed-V de Rabat (Maroc) / Khalid Hadadi in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Plasmocytome solitaire osseux : expérience du service de radiothérapie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed-V de Rabat (Maroc) Type de document : texte imprimé Auteurs : Khalid Hadadi ; M. Hommadi ; Marao Belemlih ; Noha Zaghba ; Abdelhak Maghous ; Al-Amin Marnouch ; K.A. Saghir ; Hamid Mansouri Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 867-873 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.013 Langues : Français (fre) Mots-clés : plasmocytome solitaire OS TUMEUR MYÉLOME RADIOTHÉRAPIE Myélome multiple Résumé :
Objectif de l’étude
L’objectif principal de cette étude était de déterminer dans notre département le taux de survie sans progression du plasmocytome solitaire osseux et secondairement d’évaluer ses aspects diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs.
Patients et méthodes
Il s’agit d’une revue rétrospective portant sur 12 patients suivis et pris en charge dans le service de radiothérapie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed-V de Rabat pour un plasmocytome solitaire osseux entre janvier 2012 et décembre 2018. L’âge moyen de nos patients était de 53,8 ans (extrêmes : 31–72 ans). La douleur était le signe révélateur le plus fréquent. Le siège des lésions était rachidien dans quatre cas, iliaque dans quatre, mandibulaire, costal, humérale et au niveau de l’astragale dans un cas respectivement. Tous les malades ont reçu une radiothérapie. Cette irradiation a été délivrée seule dans 60 % des cas ou associée à la chirurgie dans 40 % des cas. La dose moyenne de la radiothérapie était de 47,3Gy (extrêmes : 45 à 50,4Gy) et celle-ci a été délivrée par une technique de type arcthérapie volumétrique modulée chez dix malades et de radiothérapie conformationelle tridimensionnelle chez deux.
Résultats
Le contrôle local, défini par une stabilité ou une régression radiologique, a été obtenu chez dix malades et quatre patients ont vu évoluer leur maladie vers un myélome multiple, dont deux sont décédés. La durée moyenne de suivi était 51 mois.
Conclusion
La radiothérapie constitue le traitement de référence du plasmocytome osseux solitaire. Elle permet d’assurer le contrôle local dans 90 % des cas. Le pronostic est affecté par l’évolution vers le myélome multiple, ce qui justifie une surveillance rigoureuse après traitement et suggère une réflexion sur la place exacte de la chimiothérapie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66727
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 867-873[article] Plasmocytome solitaire osseux : expérience du service de radiothérapie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed-V de Rabat (Maroc) [texte imprimé] / Khalid Hadadi ; M. Hommadi ; Marao Belemlih ; Noha Zaghba ; Abdelhak Maghous ; Al-Amin Marnouch ; K.A. Saghir ; Hamid Mansouri . - 2019 . - p. 867-873.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.06.013
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 867-873
Mots-clés : plasmocytome solitaire OS TUMEUR MYÉLOME RADIOTHÉRAPIE Myélome multiple Résumé :
Objectif de l’étude
L’objectif principal de cette étude était de déterminer dans notre département le taux de survie sans progression du plasmocytome solitaire osseux et secondairement d’évaluer ses aspects diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs.
Patients et méthodes
Il s’agit d’une revue rétrospective portant sur 12 patients suivis et pris en charge dans le service de radiothérapie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed-V de Rabat pour un plasmocytome solitaire osseux entre janvier 2012 et décembre 2018. L’âge moyen de nos patients était de 53,8 ans (extrêmes : 31–72 ans). La douleur était le signe révélateur le plus fréquent. Le siège des lésions était rachidien dans quatre cas, iliaque dans quatre, mandibulaire, costal, humérale et au niveau de l’astragale dans un cas respectivement. Tous les malades ont reçu une radiothérapie. Cette irradiation a été délivrée seule dans 60 % des cas ou associée à la chirurgie dans 40 % des cas. La dose moyenne de la radiothérapie était de 47,3Gy (extrêmes : 45 à 50,4Gy) et celle-ci a été délivrée par une technique de type arcthérapie volumétrique modulée chez dix malades et de radiothérapie conformationelle tridimensionnelle chez deux.
Résultats
Le contrôle local, défini par une stabilité ou une régression radiologique, a été obtenu chez dix malades et quatre patients ont vu évoluer leur maladie vers un myélome multiple, dont deux sont décédés. La durée moyenne de suivi était 51 mois.
Conclusion
La radiothérapie constitue le traitement de référence du plasmocytome osseux solitaire. Elle permet d’assurer le contrôle local dans 90 % des cas. Le pronostic est affecté par l’évolution vers le myélome multiple, ce qui justifie une surveillance rigoureuse après traitement et suggère une réflexion sur la place exacte de la chimiothérapie.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66727 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols / S. Rivera in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols Titre original : Radiothérapie hypofractionnée des cancers invasifs du sein : du modéré à l'extrême Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Rivera ; J.-M. Hannoun-Lévi Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 874-882 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.002 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SEIN CANCER Radiothérapie hypofractionnée IRRADIATION Résumé : La radiothérapie est le traitement standard après chirurgie conservatrice pour un cancer du sein. L’irradiation normofractionnée est considérée comme un facteur limitant d’adhésion au traitement du fait de son étalement sur cinq à six semaines. Pour réduire cette contrainte des protocoles d’irradiation hypofractionnée modérée, voir extrêmes ont été développés. Cet article a pour objectif d’en faire la synthèse. Après avoir défini l’irradiation hypofractionnée modérée et l’irradiation hypofractionnée extrême sur la base du temps total de traitement (étalement), les critères de sélection des essais ont été listés. Les résultats ont été analysés selon leur niveau de preuve. L’irradiation hypofractionnée modérée s’étale sur trois à quatre semaines alors que l’irradiation hypofractionnée extrême s’étale sur une semaine ou moins. Les volumes traités dans les essais d’irradiation hypofractionnée modérée comportent le sein ou la paroi et/ou les aires ganglionnaires. Il est démontré (niveau de preuve IA) que l’irradiation hypofractionnée modérée est aussi efficace et peu toxique que l’irradiation normofractionnée pour le sein seul. Une étude de phase III randomisée a confirmé que l’irradiation partielle accélérée (par curiethérapie multicathéters) n’est pas inférieure à l’irradiation normofractionnée (par radiothérapie externe) pour le contrôle local avec des effets secondaires aigus et tardifs similaires. L’irradiation partielle accélérée peropératoire reste débattue, mais l’irradiation partielle accélérée sur deux jours ou moins a été évaluée avec des résultats préliminaires prometteurs. L’irradiation partielle accélérée se justifie pour les schémas d’irradiation hypofractionnée extrême et est indiquée chez des patientes sélectionnées atteintes de cancer à faible risque. Les techniques d’irradiation hypofractionnée modérée et extrême sont validées dans les cancers du sein et doivent être proposées aux patientes correspondant aux critères de sélection. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66728
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 874-882[article] Hypofractionated radiation therapy for invasive breast cancer: From moderate to extreme protocols = Radiothérapie hypofractionnée des cancers invasifs du sein : du modéré à l'extrême [texte imprimé] / S. Rivera ; J.-M. Hannoun-Lévi . - 2019 . - p. 874-882.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.002
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 874-882
Mots-clés : SEIN CANCER Radiothérapie hypofractionnée IRRADIATION Résumé : La radiothérapie est le traitement standard après chirurgie conservatrice pour un cancer du sein. L’irradiation normofractionnée est considérée comme un facteur limitant d’adhésion au traitement du fait de son étalement sur cinq à six semaines. Pour réduire cette contrainte des protocoles d’irradiation hypofractionnée modérée, voir extrêmes ont été développés. Cet article a pour objectif d’en faire la synthèse. Après avoir défini l’irradiation hypofractionnée modérée et l’irradiation hypofractionnée extrême sur la base du temps total de traitement (étalement), les critères de sélection des essais ont été listés. Les résultats ont été analysés selon leur niveau de preuve. L’irradiation hypofractionnée modérée s’étale sur trois à quatre semaines alors que l’irradiation hypofractionnée extrême s’étale sur une semaine ou moins. Les volumes traités dans les essais d’irradiation hypofractionnée modérée comportent le sein ou la paroi et/ou les aires ganglionnaires. Il est démontré (niveau de preuve IA) que l’irradiation hypofractionnée modérée est aussi efficace et peu toxique que l’irradiation normofractionnée pour le sein seul. Une étude de phase III randomisée a confirmé que l’irradiation partielle accélérée (par curiethérapie multicathéters) n’est pas inférieure à l’irradiation normofractionnée (par radiothérapie externe) pour le contrôle local avec des effets secondaires aigus et tardifs similaires. L’irradiation partielle accélérée peropératoire reste débattue, mais l’irradiation partielle accélérée sur deux jours ou moins a été évaluée avec des résultats préliminaires prometteurs. L’irradiation partielle accélérée se justifie pour les schémas d’irradiation hypofractionnée extrême et est indiquée chez des patientes sélectionnées atteintes de cancer à faible risque. Les techniques d’irradiation hypofractionnée modérée et extrême sont validées dans les cancers du sein et doivent être proposées aux patientes correspondant aux critères de sélection. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66728 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt DNA repair inhibitors to enhance radiotherapy: Progresses and limitations / S. Ferreira in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : DNA repair inhibitors to enhance radiotherapy: Progresses and limitations Titre original : Les inhibiteurs de la réparation de l'ADN au secours de la radiothérapie : progrès et limites Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Ferreira ; Marie Dutreix Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 883-890 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.008 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE radiosensibilité ACIDE DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE radiorésistance Chimioradiothérapie Résumé : La radiothérapie est l’une des formes de traitement la plus couramment utilisée dans la prise en charge des cancers. En effet, la radiothérapie s’est révélée très efficace dans le traitement d’un large éventail de tumeurs malignes. Néanmoins, certaines tumeurs sont intrinsèquement radiorésistantes ou peuvent évoluer pour le devenir. La résistance à la radiothérapie est souvent associée à une dérégulation de la réponse aux dommages de l’ADN et de leur réparation. Récemment, plusieurs stratégies ont été développées pour améliorer l’efficacité de la radiothérapie en ciblant ces voies. Les essais cliniques en cours ont démontré le potentiel de certaines de ces approches pour améliorer les résultats de la radiothérapie, mais ont également mis en évidence les limites possibles. Nous décrirons ici (i) les principaux mécanismes impliqués dans la réparation des ruptures double-brin; (ii) les stratégies disponibles qui ciblent les processus de réparation de l’ADN afin d’améliorer la radiothérapie et (iii) les résultats cliniques et les défis qui ont émergé jusqu’à présent. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66729
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 883-890[article] DNA repair inhibitors to enhance radiotherapy: Progresses and limitations = Les inhibiteurs de la réparation de l'ADN au secours de la radiothérapie : progrès et limites [texte imprimé] / S. Ferreira ; Marie Dutreix . - 2019 . - p. 883-890.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.008
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 883-890
Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE radiosensibilité ACIDE DÉSOXYRIBONUCLÉIQUE radiorésistance Chimioradiothérapie Résumé : La radiothérapie est l’une des formes de traitement la plus couramment utilisée dans la prise en charge des cancers. En effet, la radiothérapie s’est révélée très efficace dans le traitement d’un large éventail de tumeurs malignes. Néanmoins, certaines tumeurs sont intrinsèquement radiorésistantes ou peuvent évoluer pour le devenir. La résistance à la radiothérapie est souvent associée à une dérégulation de la réponse aux dommages de l’ADN et de leur réparation. Récemment, plusieurs stratégies ont été développées pour améliorer l’efficacité de la radiothérapie en ciblant ces voies. Les essais cliniques en cours ont démontré le potentiel de certaines de ces approches pour améliorer les résultats de la radiothérapie, mais ont également mis en évidence les limites possibles. Nous décrirons ici (i) les principaux mécanismes impliqués dans la réparation des ruptures double-brin; (ii) les stratégies disponibles qui ciblent les processus de réparation de l’ADN afin d’améliorer la radiothérapie et (iii) les résultats cliniques et les défis qui ont émergé jusqu’à présent. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66729 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Imagerie inter- et intrafractions en radiothérapie stéréotaxique extracrânienne : quelles solutions pour quelles tumeurs ? / David Gensanne in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Imagerie inter- et intrafractions en radiothérapie stéréotaxique extracrânienne : quelles solutions pour quelles tumeurs ? Type de document : texte imprimé Auteurs : David Gensanne ; A. Hadj Henni ; Y. Lauzin ; P. Clarisse ; S. Thureau Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 891-895 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : STÉRÉOTAXIE IRRADIATION Interfraction Intrafraction IMAGERIE MÉDICALE Résumé : Un contrôle rigoureux de la position de la tumeur est une étape indispensable lors de traitements de stéréotaxie extracrânienne. La présence de forts gradients de dose implique un haut niveau de précision faute de quoi les conséquences sur le traitement et sur les organes à risque peuvent être lourdes. Pour limiter ces incertitudes, l’utilisation d’une imagerie entre et pendant les fraction est fortement recommandée. Les différents dispositifs d’imagerie disponibles sur les appareils de traitements sont présentés et leurs performances respectives sont discutées. Des propositions en termes de systèmes d’imagerie sont données en fonction du type de localisation prises en charge par radiothérapie stéréotaxique extracrânienne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66730
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 891-895[article] Imagerie inter- et intrafractions en radiothérapie stéréotaxique extracrânienne : quelles solutions pour quelles tumeurs ? [texte imprimé] / David Gensanne ; A. Hadj Henni ; Y. Lauzin ; P. Clarisse ; S. Thureau . - 2019 . - p. 891-895.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.09.001
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 891-895
Mots-clés : STÉRÉOTAXIE IRRADIATION Interfraction Intrafraction IMAGERIE MÉDICALE Résumé : Un contrôle rigoureux de la position de la tumeur est une étape indispensable lors de traitements de stéréotaxie extracrânienne. La présence de forts gradients de dose implique un haut niveau de précision faute de quoi les conséquences sur le traitement et sur les organes à risque peuvent être lourdes. Pour limiter ces incertitudes, l’utilisation d’une imagerie entre et pendant les fraction est fortement recommandée. Les différents dispositifs d’imagerie disponibles sur les appareils de traitements sont présentés et leurs performances respectives sont discutées. Des propositions en termes de systèmes d’imagerie sont données en fonction du type de localisation prises en charge par radiothérapie stéréotaxique extracrânienne. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66730 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiothérapie des oligométastases : interactions/séquences avec thérapies systémiques, exemple du cancer du rein / M. Wespiser in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Radiothérapie des oligométastases : interactions/séquences avec thérapies systémiques, exemple du cancer du rein Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Wespiser ; M. Goujon ; T. Nguyen Tan Hon ; T. Maurina ; F. Kleinclauss ; G. Créhange ; A. Thiery-Vuillemin Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 896-903 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.007 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHÉRAPIE STÉRÉOTAXIE Métastasectomie Cancer oligométastatique Résumé : Cet article est une revue de la littérature qui a pour objectif de clarifier la place des traitements systémiques et des traitements locorégionaux, en particulier la radiothérapie et la chirurgie, dans la prise en charge des patients atteints de cancer du rein oligométastatiques. Nous avons sélectionné des articles d’intérêts publiés dans des revues référencées dans la base de données Medline. Nous avons aussi analysé les recommandations en lien, du National Comprehensive Cancer Network (NCCN) 2019, de l’European Association of Urology (EAU) de 2019, de l’European Society of Medical Oncology (ESMO) de 2019, de l’Association française d’urologie (Afu) de 2018, ainsi que certains résumés de congrès internationaux. Les principaux traitements évalués étaient la chirurgie et la radiothérapie. Nous avons défini les différents scénarii classiquement rencontrés en pratique clinique. L’évolution des thérapies systémiques (augmentation de la survie globale et du taux de réponse) accroîtra probablement le nombre de patients potentiellement accessibles à des traitements locorégionaux. L’analyse complète de la littérature souligne la place des traitements locorégionaux quels que soient les scenarii évoqués. Les données concernant la radiothérapie stéréotaxique retrouvaient un taux de contrôle local systématiquement au-delà de 70 % dans l’ensemble des études, avec une réponse qui se maintenait à distance avec un impact positif sur la survie globale et la survie sans progression. L’amélioration de la survie globale par l’enchaînement séquentiel des diverses classes thérapeutiques, confirme la nécessité d’une optimisation des traitements locorégionaux dans le modèle du cancer du rein oligométastatique. Le dogme de radiorésistance doit définitivement être mis de côté avec les techniques d’irradiation actuelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66731
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 896-903[article] Radiothérapie des oligométastases : interactions/séquences avec thérapies systémiques, exemple du cancer du rein [texte imprimé] / M. Wespiser ; M. Goujon ; T. Nguyen Tan Hon ; T. Maurina ; F. Kleinclauss ; G. Créhange ; A. Thiery-Vuillemin . - 2019 . - p. 896-903.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.007
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 896-903
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHÉRAPIE STÉRÉOTAXIE Métastasectomie Cancer oligométastatique Résumé : Cet article est une revue de la littérature qui a pour objectif de clarifier la place des traitements systémiques et des traitements locorégionaux, en particulier la radiothérapie et la chirurgie, dans la prise en charge des patients atteints de cancer du rein oligométastatiques. Nous avons sélectionné des articles d’intérêts publiés dans des revues référencées dans la base de données Medline. Nous avons aussi analysé les recommandations en lien, du National Comprehensive Cancer Network (NCCN) 2019, de l’European Association of Urology (EAU) de 2019, de l’European Society of Medical Oncology (ESMO) de 2019, de l’Association française d’urologie (Afu) de 2018, ainsi que certains résumés de congrès internationaux. Les principaux traitements évalués étaient la chirurgie et la radiothérapie. Nous avons défini les différents scénarii classiquement rencontrés en pratique clinique. L’évolution des thérapies systémiques (augmentation de la survie globale et du taux de réponse) accroîtra probablement le nombre de patients potentiellement accessibles à des traitements locorégionaux. L’analyse complète de la littérature souligne la place des traitements locorégionaux quels que soient les scenarii évoqués. Les données concernant la radiothérapie stéréotaxique retrouvaient un taux de contrôle local systématiquement au-delà de 70 % dans l’ensemble des études, avec une réponse qui se maintenait à distance avec un impact positif sur la survie globale et la survie sans progression. L’amélioration de la survie globale par l’enchaînement séquentiel des diverses classes thérapeutiques, confirme la nécessité d’une optimisation des traitements locorégionaux dans le modèle du cancer du rein oligométastatique. Le dogme de radiorésistance doit définitivement être mis de côté avec les techniques d’irradiation actuelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66731 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Irradiation des aires ganglionnaires prophylactiques pour le cancer du sein / Maximilien Rogé in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Irradiation des aires ganglionnaires prophylactiques pour le cancer du sein Type de document : texte imprimé Auteurs : Maximilien Rogé ; S. Thureau ; J. Dampierre ; B. Dubray ; S. Rivera Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 904-912 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.006 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE PROPHYLAXIE GANGLION SEIN CANCER Résumé : La radiothérapie adjuvante est un élément central de la prise en charge des cancers du sein localisés. Les méta-analyses de l’Early Breast Cancer Trialist's Collaborative Group (EBCTCG) ont démontré une diminution du risque de rechute locorégionale et de décès après une radiothérapie mammaire. Le traitement des aires ganglionnaires en prophylactique dans le cancer du sein a également montré un bénéfice dans plusieurs grands essais randomisés. À l’heure de la radiothérapie tridimensionnelle et avec modulation d’intensité, la question des volumes est essentielle et il est nécessaire d’harmoniser les pratiques pour pouvoir évaluer et comparer les résultats de la radiothérapie tant en termes d’efficacité que de toxicité. Par ailleurs, le choix de l’irradiation des aires ganglionnaires reste difficile et nécessite d’évaluer la balance bénéfice/risque pour chaque patient car, en augmentant le volume irradié, le risque de toxicité radio-induite augmente. La sélection des patientes qui relèvent de ce traitement est primordiale. L’objectif de cet article est de présenter la définition des volumes des aires ganglionnaires, les indications de leur irradiation, les bénéfices attendus et les effets secondaires potentiels au décours de celle-ci. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66732
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 904-912[article] Irradiation des aires ganglionnaires prophylactiques pour le cancer du sein [texte imprimé] / Maximilien Rogé ; S. Thureau ; J. Dampierre ; B. Dubray ; S. Rivera . - 2019 . - p. 904-912.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.006
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 904-912
Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE PROPHYLAXIE GANGLION SEIN CANCER Résumé : La radiothérapie adjuvante est un élément central de la prise en charge des cancers du sein localisés. Les méta-analyses de l’Early Breast Cancer Trialist's Collaborative Group (EBCTCG) ont démontré une diminution du risque de rechute locorégionale et de décès après une radiothérapie mammaire. Le traitement des aires ganglionnaires en prophylactique dans le cancer du sein a également montré un bénéfice dans plusieurs grands essais randomisés. À l’heure de la radiothérapie tridimensionnelle et avec modulation d’intensité, la question des volumes est essentielle et il est nécessaire d’harmoniser les pratiques pour pouvoir évaluer et comparer les résultats de la radiothérapie tant en termes d’efficacité que de toxicité. Par ailleurs, le choix de l’irradiation des aires ganglionnaires reste difficile et nécessite d’évaluer la balance bénéfice/risque pour chaque patient car, en augmentant le volume irradié, le risque de toxicité radio-induite augmente. La sélection des patientes qui relèvent de ce traitement est primordiale. L’objectif de cet article est de présenter la définition des volumes des aires ganglionnaires, les indications de leur irradiation, les bénéfices attendus et les effets secondaires potentiels au décours de celle-ci. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66732 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Intelligence artificielle et radiothérapie : quelles bases et quelles perspectives ? / Anita Burgun in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Intelligence artificielle et radiothérapie : quelles bases et quelles perspectives ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Anita Burgun Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 913-916 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ONCOLOGIE RADIOTHÉRAPIE Médecine de précision Algorithme Résumé : L’intelligence artificielle est une notion hautement polysémique. Pour réaliser un raisonnement complexe dans la vie réelle, et s’adapter à des connaissances et des situations nouvelles, deux grandes approches sont développées en informatique : les réseaux de neurones basés sur le modèle connexionniste (deep learning) pour l’apprentissage, et les méthodes symboliques et logiques capables de travailler à un niveau abstrait de description et de raisonnement. Les algorithmes d’intelligence artificielle reproduisant les processus de déduction, induction et abduction ont des applications en radiothérapie. Combinés à la radiomique, les réseaux de neurones ont obtenu de bons résultats en classification d’images, traitement du langage naturel, phénotypage à partir des dossiers patients, adaptation des traitements. Les approches logiques ont produit des ontologies formelles, des algorithmes déterministes pour la décision et des méthodes de vérification de cohérence des systèmes complexes. Une intelligence artificielle hybride conjuguant apprentissage et logique est nécessaire pour réaliser des tâches complexes allant au delà de l’intelligence artificielle qui réalise des tâches restreintes et spécialisées. Combinée à des modèles formalisant les connaissances physicobiologiques, l’intelligence artificielle est au cœur de nouveaux outils comme les jumeaux numériques (digital twins) nécessaires à la médecine de précision en oncologie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66733
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 913-916[article] Intelligence artificielle et radiothérapie : quelles bases et quelles perspectives ? [texte imprimé] / Anita Burgun . - 2019 . - p. 913-916.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.005
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 913-916
Mots-clés : INTELLIGENCE ARTIFICIELLE ONCOLOGIE RADIOTHÉRAPIE Médecine de précision Algorithme Résumé : L’intelligence artificielle est une notion hautement polysémique. Pour réaliser un raisonnement complexe dans la vie réelle, et s’adapter à des connaissances et des situations nouvelles, deux grandes approches sont développées en informatique : les réseaux de neurones basés sur le modèle connexionniste (deep learning) pour l’apprentissage, et les méthodes symboliques et logiques capables de travailler à un niveau abstrait de description et de raisonnement. Les algorithmes d’intelligence artificielle reproduisant les processus de déduction, induction et abduction ont des applications en radiothérapie. Combinés à la radiomique, les réseaux de neurones ont obtenu de bons résultats en classification d’images, traitement du langage naturel, phénotypage à partir des dossiers patients, adaptation des traitements. Les approches logiques ont produit des ontologies formelles, des algorithmes déterministes pour la décision et des méthodes de vérification de cohérence des systèmes complexes. Une intelligence artificielle hybride conjuguant apprentissage et logique est nécessaire pour réaliser des tâches complexes allant au delà de l’intelligence artificielle qui réalise des tâches restreintes et spécialisées. Combinée à des modèles formalisant les connaissances physicobiologiques, l’intelligence artificielle est au cœur de nouveaux outils comme les jumeaux numériques (digital twins) nécessaires à la médecine de précision en oncologie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66733 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Utilisation de nanoparticules comme agent radiosensibilisant en radiothérapie : où en est-on ? / C. Verry in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Utilisation de nanoparticules comme agent radiosensibilisant en radiothérapie : où en est-on ? Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Verry ; Erika Porcel ; Cyrus Chargari ; C. Rodriguez-Lafrasse ; J. Balasso Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 917-921 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.134 Langues : Français (fre) Mots-clés : nanoparticule radiosensibilité Résumé : La nanomédecine a connu un développement important depuis les années 2000 et ce n’est que très récemment que deux nanoparticules métalliques ont fait leur apparition dans des essais cliniques chez l’homme. Le mécanisme d’action de ces agents radiosensibilisants repose sur la présence d’atomes avec un numéro atomique (Z) élevé permettant un dépôt de dose plus important dans la tumeur lors de l’irradiation. La première nanoparticule qui a été utilisée chez l’homme est NBTXR3, composée d’hafnium (Z=79), en injection intratumorale dans le traitement des sarcomes. Une autre nanoparticule à base de gadolinium (Z=64), l’AGuIX, a été utilisée en injection intraveineuse dans le traitement des métastases cérébrales. Les premiers résultats cliniques sont prometteurs en termes de faisabilité, de tolérance et d’efficacité en témoigne le nombre importants d’essais cliniques en cours. Les enjeux actuels pour le développement des nanoparticules résident dans : leur capacité de ciblage des cellules cancéreuses, leur biodistribution dans l’organisme, leur toxicité éventuelle et leur production industrielle. Dans les années à venir, les schémas d’administration et les meilleures combinaisons possibles avec la radiothérapie devront être définies en lien avec la recherche fondamentale. Note de contenu : Plan
Introduction
Mécanisme d’action
- Internalisation et vectorisation cellulaire
- Effets physiques
- Effets physico-chimiques
- Effets biologiques
Toxicité des nanoparticules
Développements actuels des nanoparticules radiosensibilisantes
- Nanoparticules d’or
- Nanoparticule d’Hafnium NBTXR3
- Nanoparticule de gadolinium AGuIX
Discussion et perspectives
Conclusion
Contribution des auteurs
Déclaration de liens d’intérêtsPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66734
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 917-921[article] Utilisation de nanoparticules comme agent radiosensibilisant en radiothérapie : où en est-on ? [texte imprimé] / C. Verry ; Erika Porcel ; Cyrus Chargari ; C. Rodriguez-Lafrasse ; J. Balasso . - 2019 . - p. 917-921.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.134
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 917-921
Mots-clés : nanoparticule radiosensibilité Résumé : La nanomédecine a connu un développement important depuis les années 2000 et ce n’est que très récemment que deux nanoparticules métalliques ont fait leur apparition dans des essais cliniques chez l’homme. Le mécanisme d’action de ces agents radiosensibilisants repose sur la présence d’atomes avec un numéro atomique (Z) élevé permettant un dépôt de dose plus important dans la tumeur lors de l’irradiation. La première nanoparticule qui a été utilisée chez l’homme est NBTXR3, composée d’hafnium (Z=79), en injection intratumorale dans le traitement des sarcomes. Une autre nanoparticule à base de gadolinium (Z=64), l’AGuIX, a été utilisée en injection intraveineuse dans le traitement des métastases cérébrales. Les premiers résultats cliniques sont prometteurs en termes de faisabilité, de tolérance et d’efficacité en témoigne le nombre importants d’essais cliniques en cours. Les enjeux actuels pour le développement des nanoparticules résident dans : leur capacité de ciblage des cellules cancéreuses, leur biodistribution dans l’organisme, leur toxicité éventuelle et leur production industrielle. Dans les années à venir, les schémas d’administration et les meilleures combinaisons possibles avec la radiothérapie devront être définies en lien avec la recherche fondamentale. Note de contenu : Plan
Introduction
Mécanisme d’action
- Internalisation et vectorisation cellulaire
- Effets physiques
- Effets physico-chimiques
- Effets biologiques
Toxicité des nanoparticules
Développements actuels des nanoparticules radiosensibilisantes
- Nanoparticules d’or
- Nanoparticule d’Hafnium NBTXR3
- Nanoparticule de gadolinium AGuIX
Discussion et perspectives
Conclusion
Contribution des auteurs
Déclaration de liens d’intérêtsPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66734 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Protontherapy versus best photon for mediastinal Hodgkin lymphoma : dosimetry comparison and treatment using ILROG / L.M. Abbassi in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Protontherapy versus best photon for mediastinal Hodgkin lymphoma : dosimetry comparison and treatment using ILROG Titre original : Protonthérapie ou photonthérapie pour les lymphomes de Hodgkin médiastinaux : comparaison dosimétrique et traitement à l’aide des recommandations de l’ILROG Type de document : texte imprimé Auteurs : L.M. Abbassi ; F. Goudjil ; A. Arsène-Henry ; R. Dendale ; Y.M. Kirova Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 922-925 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.005 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : HODGKIN MALADIE PROTONTHÉRAPIE tomothérapie Résumé : L’objectif de ce travail était de diminuer la toxicité tardive liée aux traitements des lymphomes de Hodgkin médiastinaux grâce à la protonthérapie et présenter le cas de la première patiente irradiée par protons en France en s’appuyant sur les recommandations de l’International Lymphoma Radiation Oncology Group (ILROG). Notre patiente de 24 ans devait recevoir une radiothérapie de type involved-site après une polychimiothérapie ayant permis une rémission complète métabolique. Des doses importantes au cœur, aux poumons et aux seins ne permettaient pas de retenir une radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par photons. Nous avons réalisé un scanographie quadridimensionnelle pour évaluer les mouvements du volume cible et une seconde scanographie utilisant la technique d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. La délinéation a été réalisée sur les deux scanographies après fusion des images de la tomographie par émission de positrons-tomodensotométrie réalisée avant le traitement. Une dosimétrie d’irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle hélicoïdale par Tomotherapy© sur la première scanographie a été comparée à une dosimétrie de radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par protons sur la seconde. Quatre-vingt-quinze pour cent du volume cible prévisionnel étaient couverts par 98 et 99 % de la dose prescrite respectivement avec la protonthérapie et la tomothérapie. La protonthérapie permettait la meilleure épargne des organes à risque, notamment des poumons avec une dose moyenne de 3,7Gy contre 8,4Gy et médiane de 0,002Gy contre 6,9Gy, et du cœur avec une dose moyenne de 2,6Gy contre 3,7Gy. La protection des seins était également meilleure avec la protonthérapie, la dose moyenne à droite étant de 2,4Gy contre 4,4Gy, et 1,9 contre 4,6Gy à gauche. La différence la plus importante était notée sur la distribution des faibles doses avec un volume pulmonaire recevant 5Gy de 17,5 % avec la protonthérapie contre 54,2 % avec la tomothérapie. À la lumière de ces résultats, nous avons décidé de traiter notre patiente par protons. Nous avons délivré 30Gy en 15 fractions en utilisant une dosimétrie des protons avec un champ direct antérieur, avec les techniques de pencil beam scanning et d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. Nous n’avons observé qu’une toxicité cutanée de grade 1 durant le traitement et aucune toxicité lors de la surveillance précoce. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66735
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 922-925[article] Protontherapy versus best photon for mediastinal Hodgkin lymphoma : dosimetry comparison and treatment using ILROG = Protonthérapie ou photonthérapie pour les lymphomes de Hodgkin médiastinaux : comparaison dosimétrique et traitement à l’aide des recommandations de l’ILROG [texte imprimé] / L.M. Abbassi ; F. Goudjil ; A. Arsène-Henry ; R. Dendale ; Y.M. Kirova . - 2019 . - p. 922-925.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.005
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 922-925
Mots-clés : HODGKIN MALADIE PROTONTHÉRAPIE tomothérapie Résumé : L’objectif de ce travail était de diminuer la toxicité tardive liée aux traitements des lymphomes de Hodgkin médiastinaux grâce à la protonthérapie et présenter le cas de la première patiente irradiée par protons en France en s’appuyant sur les recommandations de l’International Lymphoma Radiation Oncology Group (ILROG). Notre patiente de 24 ans devait recevoir une radiothérapie de type involved-site après une polychimiothérapie ayant permis une rémission complète métabolique. Des doses importantes au cœur, aux poumons et aux seins ne permettaient pas de retenir une radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par photons. Nous avons réalisé un scanographie quadridimensionnelle pour évaluer les mouvements du volume cible et une seconde scanographie utilisant la technique d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. La délinéation a été réalisée sur les deux scanographies après fusion des images de la tomographie par émission de positrons-tomodensotométrie réalisée avant le traitement. Une dosimétrie d’irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité rotationnelle hélicoïdale par Tomotherapy© sur la première scanographie a été comparée à une dosimétrie de radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle par protons sur la seconde. Quatre-vingt-quinze pour cent du volume cible prévisionnel étaient couverts par 98 et 99 % de la dose prescrite respectivement avec la protonthérapie et la tomothérapie. La protonthérapie permettait la meilleure épargne des organes à risque, notamment des poumons avec une dose moyenne de 3,7Gy contre 8,4Gy et médiane de 0,002Gy contre 6,9Gy, et du cœur avec une dose moyenne de 2,6Gy contre 3,7Gy. La protection des seins était également meilleure avec la protonthérapie, la dose moyenne à droite étant de 2,4Gy contre 4,4Gy, et 1,9 contre 4,6Gy à gauche. La différence la plus importante était notée sur la distribution des faibles doses avec un volume pulmonaire recevant 5Gy de 17,5 % avec la protonthérapie contre 54,2 % avec la tomothérapie. À la lumière de ces résultats, nous avons décidé de traiter notre patiente par protons. Nous avons délivré 30Gy en 15 fractions en utilisant une dosimétrie des protons avec un champ direct antérieur, avec les techniques de pencil beam scanning et d’asservissement respiratoire avec inspiration bloquée. Nous n’avons observé qu’une toxicité cutanée de grade 1 durant le traitement et aucune toxicité lors de la surveillance précoce. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66735 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Illustration of a fatal radiation-induced lung aneurysm: Is central lung stereotactic radiotherapy to be banned? / Benjamin Ledoux in Cancer Radiothérapie, 23/8 (Décembre 2019)
[article]
Titre : Illustration of a fatal radiation-induced lung aneurysm: Is central lung stereotactic radiotherapy to be banned? Titre original : Illustration d'un anévrysme pulmonaire radio-induit fatal : faut-il bannir la stéréotaxie pulmonaire centrale ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Benjamin Ledoux ; M. Dupont ; F. Duplaquet ; L. Pirard ; S. Ocak ; M. Wanet ; V. Remouchamps Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 926-929 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.016 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : STÉRÉOTAXIE LÉSION POUMON Tumeur centrale TOXICITÉ ANÉVRISME hémoptysie Résumé : La radiothérapie stéréotaxique pulmonaire reste actuellement une technique controversée chez les patients inopérables atteints d’une lésion pulmonaire centrale. Nous rapportons le cas d’une femme de 59 ans ayant un antécédent de carcinome épidermoïde ORL qui a été prise en charge par radiothérapie stéréotaxique pulmonaire pour un ganglion lymphatique inopérable en station 10R. Un an plus tard, une fibroscopie a révélé une nécrose de la muqueuse de la bronche principale droite et la scanographie a révélé un anévrisme radio-induit faisant protrusion dans la bronche lobulaire inférieure droite. La patiente est finalement décédée quelques heures plus tard d’une hémoptysie massive. Ce cas met en évidence la toxicité potentielle de la radiothérapie stéréotaxique pulmonaire centrale et soulève la question de sa légitimité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66736
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 926-929[article] Illustration of a fatal radiation-induced lung aneurysm: Is central lung stereotactic radiotherapy to be banned? = Illustration d'un anévrysme pulmonaire radio-induit fatal : faut-il bannir la stéréotaxie pulmonaire centrale ? [texte imprimé] / Benjamin Ledoux ; M. Dupont ; F. Duplaquet ; L. Pirard ; S. Ocak ; M. Wanet ; V. Remouchamps . - 2019 . - p. 926-929.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.016
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/8 (Décembre 2019) . - p. 926-929
Mots-clés : STÉRÉOTAXIE LÉSION POUMON Tumeur centrale TOXICITÉ ANÉVRISME hémoptysie Résumé : La radiothérapie stéréotaxique pulmonaire reste actuellement une technique controversée chez les patients inopérables atteints d’une lésion pulmonaire centrale. Nous rapportons le cas d’une femme de 59 ans ayant un antécédent de carcinome épidermoïde ORL qui a été prise en charge par radiothérapie stéréotaxique pulmonaire pour un ganglion lymphatique inopérable en station 10R. Un an plus tard, une fibroscopie a révélé une nécrose de la muqueuse de la bronche principale droite et la scanographie a révélé un anévrisme radio-induit faisant protrusion dans la bronche lobulaire inférieure droite. La patiente est finalement décédée quelques heures plus tard d’une hémoptysie massive. Ce cas met en évidence la toxicité potentielle de la radiothérapie stéréotaxique pulmonaire centrale et soulève la question de sa légitimité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66736 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt