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Journal de pédiatrie et de puériculture . Vol. 32, n° 5Mention de date : Octobre 2019Paru le : 01/10/2019 |
[n° ou bulletin]
[n° ou bulletin]
Vol. 32, n° 5 - Octobre 2019 [texte imprimé] . - 2019. Langues : Français (fre)
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REVUES | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierDiagnostic et prise en charge des accidents anaphylactiques chez le nourrisson, l'enfant et l'adolescent / Alex Beltramini in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Diagnostic et prise en charge des accidents anaphylactiques chez le nourrisson, l'enfant et l'adolescent Type de document : texte imprimé Auteurs : Alex Beltramini Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 217-231 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANAPHYLAXIE PÉDIATRIE Épinéphrine NOURRISSON ENFANT ADOLESCENT Résumé : Les réactions anaphylactiques connaissent une augmentation inquiétante, notamment chez l’enfant. L’anaphylaxie est une réaction allergique brutale, sévère, potentiellement létale, pouvant toucher les systèmes cutanéomuqueux, gastro-intestinal, respiratoire et cardiovasculaire. Des critères diagnostiques précis ont été définis. Bien que les symptômes d’une anaphylaxie soient variables en fonction de l’âge de l’enfant et de l’allergène déclencheur, ces critères diagnostiques sont fiables chez le nourrisson, l’enfant et l’adolescent. Les allergènes responsables les plus fréquents sont les aliments, suivis du venin d’insectes puis des médicaments. Le traitement de première intention est l’adrénaline. Elle doit être injectée par voie intramusculaire le plus tôt possible. Même en cas d’évolution favorable, une surveillance prolongée de 24h est recommandée en raison de l’existence de réactions biphasiques retardées. En cas d’évolution défavorable, l’administration d’adrénaline doit être renouvelée. À distance de l’anaphylaxie l’enquête et le suivi allergologiques sont indispensables. Ils guident la mise en place des mesures préventives et thérapeutiques, notamment la prescription d’adrénaline auto-injectable et/ou d’un plan d’accueil individualisé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65629
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 217-231[article] Diagnostic et prise en charge des accidents anaphylactiques chez le nourrisson, l'enfant et l'adolescent [texte imprimé] / Alex Beltramini . - 2019 . - p. 217-231.
Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.004
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 217-231
Mots-clés : ANAPHYLAXIE PÉDIATRIE Épinéphrine NOURRISSON ENFANT ADOLESCENT Résumé : Les réactions anaphylactiques connaissent une augmentation inquiétante, notamment chez l’enfant. L’anaphylaxie est une réaction allergique brutale, sévère, potentiellement létale, pouvant toucher les systèmes cutanéomuqueux, gastro-intestinal, respiratoire et cardiovasculaire. Des critères diagnostiques précis ont été définis. Bien que les symptômes d’une anaphylaxie soient variables en fonction de l’âge de l’enfant et de l’allergène déclencheur, ces critères diagnostiques sont fiables chez le nourrisson, l’enfant et l’adolescent. Les allergènes responsables les plus fréquents sont les aliments, suivis du venin d’insectes puis des médicaments. Le traitement de première intention est l’adrénaline. Elle doit être injectée par voie intramusculaire le plus tôt possible. Même en cas d’évolution favorable, une surveillance prolongée de 24h est recommandée en raison de l’existence de réactions biphasiques retardées. En cas d’évolution défavorable, l’administration d’adrénaline doit être renouvelée. À distance de l’anaphylaxie l’enquête et le suivi allergologiques sont indispensables. Ils guident la mise en place des mesures préventives et thérapeutiques, notamment la prescription d’adrénaline auto-injectable et/ou d’un plan d’accueil individualisé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65629 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Infections invasives à méningocoque chez l'enfant / Étienne Javouhey in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Infections invasives à méningocoque chez l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : Étienne Javouhey ; F. Baudin ; L. Hees ; Y. Gillet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 232-251 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : MÉNINGOCOCCIE MÉNINGITE CHOC SEPTIQUE SEPTICÉMIE PURPURA Résumé : Les infections invasives à méningocoque (IIM) regroupent les méningites, septicémies et chocs septiques liés à Neisseiria meningitidis. En France, le sérogroupe B domine, suivi des sérogroupes C, Y et W. Leur létalité est de 10 %, voire 25 % si choc septique. Le diagnostic est évoqué devant une fièvre associée à des signes méningés (céphalée, fontanelle bombée, vomissements, raideur méningée) et/ou des signes de mauvaise perfusion périphérique (marbrures, temps de recoloration cutanée allongé, extrémités froides) et/ou des douleurs des membres, et secondairement une éruption (érythème morbilliforme ou purpura). L’évolution vers un choc septique (purpura fulminans) ou une méningite comateuse est à craindre si le traitement n’est pas instauré suffisamment tôt. Le traitement est urgent et repose sur une antibiothérapie par céphalosporine de troisième génération intraveineuse (dans l’heure qui suit le diagnostic présomptif, après hémoculture à l’hôpital) et sur un remplissage vasculaire rapide (20 ml/kg en 10 minutes), éventuellement renouvelé en fonction des objectifs thérapeutiques (diminution de la fréquence cardiaque, disparition des signes de choc, diminution du lactate). Si les objectifs ne sont pas atteints malgré deux remplissages, l’enfant doit être transféré dans un service de réanimation pédiatrique, les amines vasopressives débutées et l’intubation discutée. Le diagnostic positif d’IIM et du sérogroupe repose sur l’isolement du germe dans une hémoculture, dans le liquide céphalorachidien (la ponction lombaire étant contre-indiquée en cas de choc), ou par une polymerase chain reaction méningocoque positive dans le sang, le liquide céphalorachidien ou sur une biopsie d’un purpura nécrotique. Il s’agit d’une infection à déclaration obligatoire auprès de l’agence régionale de santé. Les mesures de prévention secondaires reposent sur une antibioprophylaxie des personnes en contact proche dans les dix jours précédant le diagnostic et une vaccination s’il s’agit d’un sérogroupe vaccinal (A, C, W, Y). La vaccination de tous les enfants de plus de 1 an et des jeunes adultes est recommandée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65630
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 232-251[article] Infections invasives à méningocoque chez l'enfant [texte imprimé] / Étienne Javouhey ; F. Baudin ; L. Hees ; Y. Gillet . - 2019 . - p. 232-251.
Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.002
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 232-251
Mots-clés : MÉNINGOCOCCIE MÉNINGITE CHOC SEPTIQUE SEPTICÉMIE PURPURA Résumé : Les infections invasives à méningocoque (IIM) regroupent les méningites, septicémies et chocs septiques liés à Neisseiria meningitidis. En France, le sérogroupe B domine, suivi des sérogroupes C, Y et W. Leur létalité est de 10 %, voire 25 % si choc septique. Le diagnostic est évoqué devant une fièvre associée à des signes méningés (céphalée, fontanelle bombée, vomissements, raideur méningée) et/ou des signes de mauvaise perfusion périphérique (marbrures, temps de recoloration cutanée allongé, extrémités froides) et/ou des douleurs des membres, et secondairement une éruption (érythème morbilliforme ou purpura). L’évolution vers un choc septique (purpura fulminans) ou une méningite comateuse est à craindre si le traitement n’est pas instauré suffisamment tôt. Le traitement est urgent et repose sur une antibiothérapie par céphalosporine de troisième génération intraveineuse (dans l’heure qui suit le diagnostic présomptif, après hémoculture à l’hôpital) et sur un remplissage vasculaire rapide (20 ml/kg en 10 minutes), éventuellement renouvelé en fonction des objectifs thérapeutiques (diminution de la fréquence cardiaque, disparition des signes de choc, diminution du lactate). Si les objectifs ne sont pas atteints malgré deux remplissages, l’enfant doit être transféré dans un service de réanimation pédiatrique, les amines vasopressives débutées et l’intubation discutée. Le diagnostic positif d’IIM et du sérogroupe repose sur l’isolement du germe dans une hémoculture, dans le liquide céphalorachidien (la ponction lombaire étant contre-indiquée en cas de choc), ou par une polymerase chain reaction méningocoque positive dans le sang, le liquide céphalorachidien ou sur une biopsie d’un purpura nécrotique. Il s’agit d’une infection à déclaration obligatoire auprès de l’agence régionale de santé. Les mesures de prévention secondaires reposent sur une antibioprophylaxie des personnes en contact proche dans les dix jours précédant le diagnostic et une vaccination s’il s’agit d’un sérogroupe vaccinal (A, C, W, Y). La vaccination de tous les enfants de plus de 1 an et des jeunes adultes est recommandée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65630 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Attitude obstétricale devant une rupture prématurée des membranes en contexte de prématurité tardive (34–36 + 6SA) et devenir des nouveau-nés : étude rétrospective monocentrique en 2017 au CHU de Bicêtre / F.L.F. Diakité in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Attitude obstétricale devant une rupture prématurée des membranes en contexte de prématurité tardive (34–36 + 6SA) et devenir des nouveau-nés : étude rétrospective monocentrique en 2017 au CHU de Bicêtre Type de document : texte imprimé Auteurs : F.L.F. Diakité ; L. Julé ; L. Morin ; C. Boithias ; M. Mokhtari Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 252-258 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : RUPTURE PRÉMATURÉE DES MEMBRANES NOUVEAU NÉ Résumé : La rupture prématurée des membranes se produit dans 20 % des cas entre 34 et 37 semaine d’aménorrhée (SA). L’objectif de notre étude était de déterminer l’attitude obstétricale et la morbidité néonatale liée à cette RPM.
Méthodologie
Étude descriptive, rétrospective et monocentrique réalisée sur 12 mois. Les femmes enceintes entre 34 et 36+6SA sans malformation fœtale présentant une RPM ont été incluses.
Résultats
En 2017, nous avons relevé 3604 naissances et 46 femmes ont été hospitalisées pour RPM. Parmi celles-ci, 33 parturientes ont accouché spontanément et 13 autres ont été déclenchées pour prélèvement bactériologique positif (n=8), anomalies du rythme cardiaque fœtal (n=3) et rupture prolongée des membranes (n=2). Près de 80 % des accouchements sont survenues avant la 48e heure d’ouverture de l’œuf. Quatorze enfants ont nécessité des gestes de réanimation en salle de naissance. Seize nouveau-nés ont présenté une détresse respiratoire transitoire et un seul a nécessité l’administration du surfactant pour maladie des membranes hyalines. Sur les 41 naissances en contexte de rupture prolongée, 26,8 % nouveau-nés ont nécessité une réanimation et 34 % ont présenté une détresse respiratoire. Une infection néonatale bactérienne précoce a été suspectée chez 28 nouveau-nés avec un seul cas probable devant la présence des signes cliniques et un facteur de risque (Escherichia coli dans le liquide gastrique).
Conclusion
La détresse respiratoire était très fréquente et l’attitude obstétricale étaient conformes aux recommandations du CNGOF.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65631
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 252-258[article] Attitude obstétricale devant une rupture prématurée des membranes en contexte de prématurité tardive (34–36 + 6SA) et devenir des nouveau-nés : étude rétrospective monocentrique en 2017 au CHU de Bicêtre [texte imprimé] / F.L.F. Diakité ; L. Julé ; L. Morin ; C. Boithias ; M. Mokhtari . - 2019 . - p. 252-258.
Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.005
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 252-258
Mots-clés : RUPTURE PRÉMATURÉE DES MEMBRANES NOUVEAU NÉ Résumé : La rupture prématurée des membranes se produit dans 20 % des cas entre 34 et 37 semaine d’aménorrhée (SA). L’objectif de notre étude était de déterminer l’attitude obstétricale et la morbidité néonatale liée à cette RPM.
Méthodologie
Étude descriptive, rétrospective et monocentrique réalisée sur 12 mois. Les femmes enceintes entre 34 et 36+6SA sans malformation fœtale présentant une RPM ont été incluses.
Résultats
En 2017, nous avons relevé 3604 naissances et 46 femmes ont été hospitalisées pour RPM. Parmi celles-ci, 33 parturientes ont accouché spontanément et 13 autres ont été déclenchées pour prélèvement bactériologique positif (n=8), anomalies du rythme cardiaque fœtal (n=3) et rupture prolongée des membranes (n=2). Près de 80 % des accouchements sont survenues avant la 48e heure d’ouverture de l’œuf. Quatorze enfants ont nécessité des gestes de réanimation en salle de naissance. Seize nouveau-nés ont présenté une détresse respiratoire transitoire et un seul a nécessité l’administration du surfactant pour maladie des membranes hyalines. Sur les 41 naissances en contexte de rupture prolongée, 26,8 % nouveau-nés ont nécessité une réanimation et 34 % ont présenté une détresse respiratoire. Une infection néonatale bactérienne précoce a été suspectée chez 28 nouveau-nés avec un seul cas probable devant la présence des signes cliniques et un facteur de risque (Escherichia coli dans le liquide gastrique).
Conclusion
La détresse respiratoire était très fréquente et l’attitude obstétricale étaient conformes aux recommandations du CNGOF.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65631 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Convulsions néonatales (à propos de 96 cas) / W. Kojmane in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Convulsions néonatales (à propos de 96 cas) Type de document : texte imprimé Auteurs : W. Kojmane ; F. Hmami ; S. Atmani Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 259-261 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2019.06.008 Langues : Français (fre) Mots-clés : NOUVEAU NÉ CONVULSION Résumé : Les convulsions néonatales sont le marqueur le plus fréquent et le plus spécifique de souffrance cérébrale. Elles sont d’étiologies diverses dominées essentiellement par l’asphyxie périnatale. Le pronostic dépend de la pathologie causale et de la sévérité des crises. Nous avons mené une étude prospective portant sur 96 cas de nouveau-nés présentant des convulsions néonatales, hospitalisés au service de néonatologie et réanimation néonatale du CHU Hassan II de Fès, durant la période s’étalant de janvier 2017 à janvier 2019. L’objectif de notre travail est de décrire le profil épidémiologique, clinique, étiologique et évolutif des convulsions néonatales et d’insister sur l’intérêt d’avoir une démarche diagnostique et thérapeutique adéquate afin d’éviter des séquelles graves sur un cerveau en plein développement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65632
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 259-261[article] Convulsions néonatales (à propos de 96 cas) [texte imprimé] / W. Kojmane ; F. Hmami ; S. Atmani . - 2019 . - p. 259-261.
Doi : 10.1016/j.jpp.2019.06.008
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 259-261
Mots-clés : NOUVEAU NÉ CONVULSION Résumé : Les convulsions néonatales sont le marqueur le plus fréquent et le plus spécifique de souffrance cérébrale. Elles sont d’étiologies diverses dominées essentiellement par l’asphyxie périnatale. Le pronostic dépend de la pathologie causale et de la sévérité des crises. Nous avons mené une étude prospective portant sur 96 cas de nouveau-nés présentant des convulsions néonatales, hospitalisés au service de néonatologie et réanimation néonatale du CHU Hassan II de Fès, durant la période s’étalant de janvier 2017 à janvier 2019. L’objectif de notre travail est de décrire le profil épidémiologique, clinique, étiologique et évolutif des convulsions néonatales et d’insister sur l’intérêt d’avoir une démarche diagnostique et thérapeutique adéquate afin d’éviter des séquelles graves sur un cerveau en plein développement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65632 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Proctocolite néonatale survenant sous allaitement maternel : penser à l'allergie aux protéines du lait de vache / K. Aissa in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Proctocolite néonatale survenant sous allaitement maternel : penser à l'allergie aux protéines du lait de vache Type de document : texte imprimé Auteurs : K. Aissa ; E.H. Rakotojoelimaria ; A. Chrigua ; M. Boulyana ; S. Coopman Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 262-265 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : NOUVEAU NÉ ALLAITEMENT MATERNEL COMPLICATION ALLERGIE RECTORRAGIE Résumé : Nous avons rapporté un cas de proctocolite allergique survenant chez un ancien prématuré de 32 semaines d’aménorrhée ayant présenté une détresse respiratoire néonatale sévère. Il était allaité au sein depuis le troisième jour de vie. À l’âge de 27jours, il avait commencé à présenter des rectorragies contrastant avec un état clinique conservé. Une éviction des protéines du lait de vache du régime maternel était associée à la régression des rectorragies au bout de 7jours. La récidive de la symptomatologie sous lait maternel comportant des protéines du lait de vache a permis de confirmer le diagnostic d’allergie aux protéines du lait de vache et de rattacher l’infiltrat d’éosinophiles objectivé à l’étude histologique à l’origine allergique. Les pédiatres doivent être attentifs au diagnostic différentiel chez les nouveau-nés présentant un saignement rectal. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65633
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 262-265[article] Proctocolite néonatale survenant sous allaitement maternel : penser à l'allergie aux protéines du lait de vache [texte imprimé] / K. Aissa ; E.H. Rakotojoelimaria ; A. Chrigua ; M. Boulyana ; S. Coopman . - 2019 . - p. 262-265.
Doi : 10.1016/j.jpp.2019.07.003
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 262-265
Mots-clés : NOUVEAU NÉ ALLAITEMENT MATERNEL COMPLICATION ALLERGIE RECTORRAGIE Résumé : Nous avons rapporté un cas de proctocolite allergique survenant chez un ancien prématuré de 32 semaines d’aménorrhée ayant présenté une détresse respiratoire néonatale sévère. Il était allaité au sein depuis le troisième jour de vie. À l’âge de 27jours, il avait commencé à présenter des rectorragies contrastant avec un état clinique conservé. Une éviction des protéines du lait de vache du régime maternel était associée à la régression des rectorragies au bout de 7jours. La récidive de la symptomatologie sous lait maternel comportant des protéines du lait de vache a permis de confirmer le diagnostic d’allergie aux protéines du lait de vache et de rattacher l’infiltrat d’éosinophiles objectivé à l’étude histologique à l’origine allergique. Les pédiatres doivent être attentifs au diagnostic différentiel chez les nouveau-nés présentant un saignement rectal. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65633 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Questions les plus fréquentes concernant les vaccins contre la grippe : les réponses IntoVac / R. Cohen in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Questions les plus fréquentes concernant les vaccins contre la grippe : les réponses IntoVac Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Cohen ; C. Weil-Olivier ; G. Thiebault ; J. Gaudelus Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 266-271 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2019.08.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : GRIPPE VACCINATION Note de contenu : Sommaire :
- Les virus de la grippe
- La maladie
- Les vaccins contre la grippe
- Questions-réponses les plus fréquentes et les plus instructives
-- À quel moment faut-il vacciner ?
-- Les vaccins contre la grippe saisonnière contiennent-ils un adjuvant ?
-- Pourquoi se faire vacciner chaque année ?
-- Faut-il utiliser les vaccins tétravalents ou trivalents ?
-- Les médicaments homéopathiques préviennent-ils la grippe ?
-- Y a-t-il des intervalles à respecter entre les vaccins contre la grippe et les autres vaccins ?
-- Combien d’administrations de vaccin antigrippal doivent recevoir les enfants ?
-- Pouvez-vous me rappeler qui devrait avoir 2 doses ou 2 demi-doses de vaccin grippe ?
-- Un enfant de 30 mois, asthmatique, a reçu l’année dernière pour sa première année de vaccination antigrippale une seule dose de vaccin inactivé injectable. Que lui proposer cette année alors que son état justifie toujours un traitement de fond ?
-- La vaccination contre la grippe est-elle vraiment recommandée pendant la grossesse ?
-- Une mère qui allaite peut-elle être vaccinée contre la grippe si son enfant est âgé de moins de 6 mois ?
-- Peut-on toujours faire les vaccins contre la grippe en sous-cutanée chez les patients sous traitement anticoagulant ?
-- Y a-t-il un vaccin contre la grippe à préférer pour les femmes enceintes ou qui allaitent ?
-- Peut-on vacciner contre la grippe les patients allergiques à l’œuf ?
-- Pourquoi ne pas vacciner avant 6 mois les enfants à risque ?
-- Faut-il vacciner contre la grippe les anciens prématurés sans pathologie pulmonaire ou cardiaque associée ?
-- Un patient adulte sous prednisone depuis 1 semaine, peut-il être vacciné contre grippe et pneumocoques ?
-- J’ai un patient de 4 mois avec une mucoviscidose, que les parents souhaitent vacciner contre la grippe. Quel est votre conseil ?
-- J’ai entendu dire que le vaccin vivant nasal n’a plus été recommandé aux États-Unis chez l’enfant certaines années. Est-ce vrai ?
-- Quelle efficacité peut-on escompter quand un patient est vacciné contre la grippe ?
-- Qui peut vacciner ?
-- Pourquoi ne pas proposer une vaccination contre la grippe à tous les enfants ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65634
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 266-271[article] Questions les plus fréquentes concernant les vaccins contre la grippe : les réponses IntoVac [texte imprimé] / R. Cohen ; C. Weil-Olivier ; G. Thiebault ; J. Gaudelus . - 2019 . - p. 266-271.
Doi : 10.1016/j.jpp.2019.08.002
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 266-271
Mots-clés : GRIPPE VACCINATION Note de contenu : Sommaire :
- Les virus de la grippe
- La maladie
- Les vaccins contre la grippe
- Questions-réponses les plus fréquentes et les plus instructives
-- À quel moment faut-il vacciner ?
-- Les vaccins contre la grippe saisonnière contiennent-ils un adjuvant ?
-- Pourquoi se faire vacciner chaque année ?
-- Faut-il utiliser les vaccins tétravalents ou trivalents ?
-- Les médicaments homéopathiques préviennent-ils la grippe ?
-- Y a-t-il des intervalles à respecter entre les vaccins contre la grippe et les autres vaccins ?
-- Combien d’administrations de vaccin antigrippal doivent recevoir les enfants ?
-- Pouvez-vous me rappeler qui devrait avoir 2 doses ou 2 demi-doses de vaccin grippe ?
-- Un enfant de 30 mois, asthmatique, a reçu l’année dernière pour sa première année de vaccination antigrippale une seule dose de vaccin inactivé injectable. Que lui proposer cette année alors que son état justifie toujours un traitement de fond ?
-- La vaccination contre la grippe est-elle vraiment recommandée pendant la grossesse ?
-- Une mère qui allaite peut-elle être vaccinée contre la grippe si son enfant est âgé de moins de 6 mois ?
-- Peut-on toujours faire les vaccins contre la grippe en sous-cutanée chez les patients sous traitement anticoagulant ?
-- Y a-t-il un vaccin contre la grippe à préférer pour les femmes enceintes ou qui allaitent ?
-- Peut-on vacciner contre la grippe les patients allergiques à l’œuf ?
-- Pourquoi ne pas vacciner avant 6 mois les enfants à risque ?
-- Faut-il vacciner contre la grippe les anciens prématurés sans pathologie pulmonaire ou cardiaque associée ?
-- Un patient adulte sous prednisone depuis 1 semaine, peut-il être vacciné contre grippe et pneumocoques ?
-- J’ai un patient de 4 mois avec une mucoviscidose, que les parents souhaitent vacciner contre la grippe. Quel est votre conseil ?
-- J’ai entendu dire que le vaccin vivant nasal n’a plus été recommandé aux États-Unis chez l’enfant certaines années. Est-ce vrai ?
-- Quelle efficacité peut-on escompter quand un patient est vacciné contre la grippe ?
-- Qui peut vacciner ?
-- Pourquoi ne pas proposer une vaccination contre la grippe à tous les enfants ?Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65634 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Actualisation des repères alimentaires du PNNS [Programme national nutrition santé] pour les enfants de 0 à 3 ans : avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail / Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail - Anses in Journal de pédiatrie et de puériculture, Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Actualisation des repères alimentaires du PNNS [Programme national nutrition santé] pour les enfants de 0 à 3 ans : avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail - Anses Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 272-288 Note générale : Doi : 10.1016/j.jpp.2019.08.001 Langues : Français (fre) Mots-clés : ALIMENTATION NUTRITION NOURRISSON BÉBÉ ALLAITEMENT MATERNEL ALLAITEMENT ARTIFICIEL Note de contenu : Sommaire :
- Contexte et objet de la saisine
-- Contexte
-- Objet de la saisine
-- Organisation de l’expertise
- Analyse et conclusions du CES
-- Base scientifique pour l’actualisation des repères alimentaires
- Apports nutritionnels et pratiques alimentaires actuels
-- Apports en nutriments
-- Pratiques de diversification alimentaire
-- Conclusion sur les apports nutritionnels et les pratiques alimentaires actuelles
- Conclusion et recommandations du CES « Nutrition Humaine »
-- Alimentation lactée
-- Diversification alimentaire
- Conclusions et recommandations de l’agencePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65635
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 272-288[article] Actualisation des repères alimentaires du PNNS [Programme national nutrition santé] pour les enfants de 0 à 3 ans : avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail [texte imprimé] / Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail - Anses . - 2019 . - p. 272-288.
Doi : 10.1016/j.jpp.2019.08.001
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > Vol. 32, n° 5 (Octobre 2019) . - p. 272-288
Mots-clés : ALIMENTATION NUTRITION NOURRISSON BÉBÉ ALLAITEMENT MATERNEL ALLAITEMENT ARTIFICIEL Note de contenu : Sommaire :
- Contexte et objet de la saisine
-- Contexte
-- Objet de la saisine
-- Organisation de l’expertise
- Analyse et conclusions du CES
-- Base scientifique pour l’actualisation des repères alimentaires
- Apports nutritionnels et pratiques alimentaires actuels
-- Apports en nutriments
-- Pratiques de diversification alimentaire
-- Conclusion sur les apports nutritionnels et les pratiques alimentaires actuelles
- Conclusion et recommandations du CES « Nutrition Humaine »
-- Alimentation lactée
-- Diversification alimentaire
- Conclusions et recommandations de l’agencePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65635 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt