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Cancer Radiothérapie . 23/5Mention de date : Septembre 2019Paru le : 01/09/2019 |
[n° ou bulletin]
est un bulletin de Cancer Radiothérapie : Journal de la Société Française de Radiothérapie Oncologique
[n° ou bulletin] est un bulletin de Cancer Radiothérapie : Journal de la Société Française de Radiothérapie Oncologique Langues : Français (fre)
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Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierIn mémoriam : Jean Dutreix (1922–2019) / Jean-Marc Cosset in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : In mémoriam : Jean Dutreix (1922–2019) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Cosset ; F. Eschwège Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 363-364 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : Médecine -- Histoire Dutreix, Jean (1922–2019)RADIOTHÉRAPIE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65127
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 363-364[article] In mémoriam : Jean Dutreix (1922–2019) [texte imprimé] / Jean-Marc Cosset ; F. Eschwège . - 2019 . - p. 363-364.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.08.003
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 363-364
Mots-clés : Médecine -- Histoire Dutreix, Jean (1922–2019)RADIOTHÉRAPIE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65127 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Effective delivery of palliative radiotherapy : a prospective study / Alice Clément-Zhao in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Effective delivery of palliative radiotherapy : a prospective study Titre original : Réalisation effective de la radiothérapie palliative : une étude prospective Type de document : texte imprimé Auteurs : Alice Clément-Zhao ; M. Luu ; J.-E. Bidault ; C. Daveau ; S. Kreps ; H. Jaulmes ; B. Dessard-Diana ; C. Durdux Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 365-369 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2018.09.006 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SOINS PALLIATIFS RADIOTHÉRAPIE MÉTASTASE Résumé : Objectif de l’étude
Le rôle principal de la radiothérapie palliative est de réduire l’inconfort des patients, mais parfois, les patients ne tirent aucun bénéfice de ce traitement en raison d’une altération rapide de leur état général. Cette étude prospective monocentrique a évalué la réalisation effective de la radiothérapie palliative.
Matériel et méthodes
Du 1er décembre 2015 au 29 février 2016, tous les patients consécutifs traités par irradiation palliative dans notre hôpital ont été inclus. Le critère principal d’évaluation était la réalisation effective de la radiothérapie palliative conformément à la prescription initiale (dose totale, étalement, fractionnement). Les critères secondaires étaient le nombre d’arrêts de traitement, le bénéfice clinique, le nombre de décès et le retard de prise en charge en unité de soins palliatifs.
Résultats
Cinquante-neuf patients ont été inclus et 64 traitements ont été analysés. Les localisations traitées étaient l’os (70,3 %) et l’encéphale (21,9 %). L’objectif du traitement était antalgique seul (43,8 %), décompressif seul (21,9 %), antalgique et décompressif (32,8 %), hémostatique (1, 6 %). La radiothérapie a été menée à terme dans 89 % des cas (n=57). Un arrêt transitoire a été nécessaire pour six traitements (9,4 % ; trois pour raison médicale et trois pour motif logistique). La raison principale d’arrêt définitif de traitement était l’aggravation de l’état général (sept cas). Une réponse clinique (complète ou partielle) a été obtenue dans 44 cas (68,8 %). Sept patients (11,9 %) sont décédés dans le mois suivant la radiothérapie. Pour aucun patient l’admission en unité des soins palliatifs a dû être retardée ou annulée.
Conclusion
La radiothérapie palliative a été réalisée conformément à la prescription initiale dans 51 cas (79,9 %) avec un bénéfice clinique dans 44 cas (68,8 %). La radiothérapie ne doit pas être négligée dans le traitement à visée palliative des patients en fin de vie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65129
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 365-369[article] Effective delivery of palliative radiotherapy : a prospective study = Réalisation effective de la radiothérapie palliative : une étude prospective [texte imprimé] / Alice Clément-Zhao ; M. Luu ; J.-E. Bidault ; C. Daveau ; S. Kreps ; H. Jaulmes ; B. Dessard-Diana ; C. Durdux . - 2019 . - p. 365-369.
Doi : 10.1016/j.canrad.2018.09.006
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 365-369
Mots-clés : SOINS PALLIATIFS RADIOTHÉRAPIE MÉTASTASE Résumé : Objectif de l’étude
Le rôle principal de la radiothérapie palliative est de réduire l’inconfort des patients, mais parfois, les patients ne tirent aucun bénéfice de ce traitement en raison d’une altération rapide de leur état général. Cette étude prospective monocentrique a évalué la réalisation effective de la radiothérapie palliative.
Matériel et méthodes
Du 1er décembre 2015 au 29 février 2016, tous les patients consécutifs traités par irradiation palliative dans notre hôpital ont été inclus. Le critère principal d’évaluation était la réalisation effective de la radiothérapie palliative conformément à la prescription initiale (dose totale, étalement, fractionnement). Les critères secondaires étaient le nombre d’arrêts de traitement, le bénéfice clinique, le nombre de décès et le retard de prise en charge en unité de soins palliatifs.
Résultats
Cinquante-neuf patients ont été inclus et 64 traitements ont été analysés. Les localisations traitées étaient l’os (70,3 %) et l’encéphale (21,9 %). L’objectif du traitement était antalgique seul (43,8 %), décompressif seul (21,9 %), antalgique et décompressif (32,8 %), hémostatique (1, 6 %). La radiothérapie a été menée à terme dans 89 % des cas (n=57). Un arrêt transitoire a été nécessaire pour six traitements (9,4 % ; trois pour raison médicale et trois pour motif logistique). La raison principale d’arrêt définitif de traitement était l’aggravation de l’état général (sept cas). Une réponse clinique (complète ou partielle) a été obtenue dans 44 cas (68,8 %). Sept patients (11,9 %) sont décédés dans le mois suivant la radiothérapie. Pour aucun patient l’admission en unité des soins palliatifs a dû être retardée ou annulée.
Conclusion
La radiothérapie palliative a été réalisée conformément à la prescription initiale dans 51 cas (79,9 %) avec un bénéfice clinique dans 44 cas (68,8 %). La radiothérapie ne doit pas être négligée dans le traitement à visée palliative des patients en fin de vie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65129 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Medulloblastoma in childhood : what effects on neurocognitive functions ? / Jihane Khalil in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Medulloblastoma in childhood : what effects on neurocognitive functions ? Titre original : Medulloblastome de l'enfant : quel effet sur les fonctions neurocognitives ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jihane Khalil ; S. Chaabi ; O. Oberlin ; S. Sialiti ; L. Hessissen ; N. Benjaafar Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 370-377 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2018.11.004 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : Médulloblastome RADIOTHÉRAPIE COGNITION Résumé : Objectif de l’étude
Le médulloblastome est la tumeur maligne du système nerveux central la plus fréquente de l’enfance, représentant 16 à 25 % des cas. Les nouvelles approches thérapeutiques ont permis d’améliorer les taux de survie au prix d’une toxicité accrue.
Patients et méthodes
Les enfants ont été choisis parmi ceux ont été traités par irradiation craniospinale pour médulloblastome. Sur 62 enfants atteints d’un médulloblatome entre janvier 2008 et décembre 2012, à l’institut national d’oncologie Rabat, 16 ont été inclus dans l’étude. L’âge moyen des patients au moment de l’étude était de 9,6 ans. Tous les enfants ont été pris en charge par radiothérapie et chimiothérapie, selon des protocoles standard. Le suivi médian était de 4 ans.
Méthodes
Tous les enfants ont été évalués avec la Wechsler Intelligence Scale for Children - Quatrième édition (WISC-IV) trois à cinq ans après la fin de la radiothérapie. Le test a été prescrit par deux psychologues et dans un environnement adapté. Le score a été examiné par la suite par un psychologue de Brooklyn College.
Résultats
Le quotient moyen de l’intelligence, était très faible (moyenne=63, déviation standard (DS)=12,6, rang de 43 à 78), ce qui a été le cas pour toutes les échelles évaluées ; compréhension verbale (moyenne, 67,7, DS, 13,1, rang de 49 à 91), raisonnement perceptif (moyenne, 63,5, DS, 13,8, rang de 37 à 78), mémoire de travail (moyenne, 75,5 ; DS, 10,8 ; rang de 52 à 83) et la vitesse de traitement (moyenne, 62,7, DS, 15,5, rang, 41–81). Pour identifier les facteurs influençant ces résultats, nous avons effectué une analyse à la fois unifactorielle et multifactorielle. L’âge au moment de la radiothérapie, le stade clinique initial, la dose totale de radiothérapie crânienne, le statut socioéconomique et le moment d’évaluation ont été identifiés comme ayant un impact significatif sur les scores neurocognitifs dans l’analyse unifactorielle. Dans l’analyse multifactorielle, seuls l’âge au moment de la radiothérapie et le stade clinique initial ont été retrouvés comme facteurs influençant significativement les résultats avec des valeurs p de 0,001 et <0,001 respectivement.
Conclusion
Notre étude est la preuve que d’énormes efforts sont encore à faire dans les pays à faible revenu pour évaluer correctement le dysfonctionnement neurocognitif chez les survivants d’un médullobalstome, mais aussi pour préparer ces patients à une vie normale après la fin du traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65130
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 370-377[article] Medulloblastoma in childhood : what effects on neurocognitive functions ? = Medulloblastome de l'enfant : quel effet sur les fonctions neurocognitives ? [texte imprimé] / Jihane Khalil ; S. Chaabi ; O. Oberlin ; S. Sialiti ; L. Hessissen ; N. Benjaafar . - 2019 . - p. 370-377.
Doi : 10.1016/j.canrad.2018.11.004
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 370-377
Mots-clés : Médulloblastome RADIOTHÉRAPIE COGNITION Résumé : Objectif de l’étude
Le médulloblastome est la tumeur maligne du système nerveux central la plus fréquente de l’enfance, représentant 16 à 25 % des cas. Les nouvelles approches thérapeutiques ont permis d’améliorer les taux de survie au prix d’une toxicité accrue.
Patients et méthodes
Les enfants ont été choisis parmi ceux ont été traités par irradiation craniospinale pour médulloblastome. Sur 62 enfants atteints d’un médulloblatome entre janvier 2008 et décembre 2012, à l’institut national d’oncologie Rabat, 16 ont été inclus dans l’étude. L’âge moyen des patients au moment de l’étude était de 9,6 ans. Tous les enfants ont été pris en charge par radiothérapie et chimiothérapie, selon des protocoles standard. Le suivi médian était de 4 ans.
Méthodes
Tous les enfants ont été évalués avec la Wechsler Intelligence Scale for Children - Quatrième édition (WISC-IV) trois à cinq ans après la fin de la radiothérapie. Le test a été prescrit par deux psychologues et dans un environnement adapté. Le score a été examiné par la suite par un psychologue de Brooklyn College.
Résultats
Le quotient moyen de l’intelligence, était très faible (moyenne=63, déviation standard (DS)=12,6, rang de 43 à 78), ce qui a été le cas pour toutes les échelles évaluées ; compréhension verbale (moyenne, 67,7, DS, 13,1, rang de 49 à 91), raisonnement perceptif (moyenne, 63,5, DS, 13,8, rang de 37 à 78), mémoire de travail (moyenne, 75,5 ; DS, 10,8 ; rang de 52 à 83) et la vitesse de traitement (moyenne, 62,7, DS, 15,5, rang, 41–81). Pour identifier les facteurs influençant ces résultats, nous avons effectué une analyse à la fois unifactorielle et multifactorielle. L’âge au moment de la radiothérapie, le stade clinique initial, la dose totale de radiothérapie crânienne, le statut socioéconomique et le moment d’évaluation ont été identifiés comme ayant un impact significatif sur les scores neurocognitifs dans l’analyse unifactorielle. Dans l’analyse multifactorielle, seuls l’âge au moment de la radiothérapie et le stade clinique initial ont été retrouvés comme facteurs influençant significativement les résultats avec des valeurs p de 0,001 et <0,001 respectivement.
Conclusion
Notre étude est la preuve que d’énormes efforts sont encore à faire dans les pays à faible revenu pour évaluer correctement le dysfonctionnement neurocognitif chez les survivants d’un médullobalstome, mais aussi pour préparer ces patients à une vie normale après la fin du traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65130 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt The German Hodgkin Study Group risk model is useful for Hodgkin lymphoma patients receiving radiotherapy after autologous stem cell transplant / Carlo Furlan in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : The German Hodgkin Study Group risk model is useful for Hodgkin lymphoma patients receiving radiotherapy after autologous stem cell transplant Titre original : Le modèle de risque du German Hodgkin Study Group est utile pour les patients atteints de lymphome de Hodgkin traités par irradiation après greffe autologue Type de document : texte imprimé Auteurs : Carlo Furlan ; F. Matrone ; M. Rupolo ; R. Ciancia ; E. Zanet ; B. Montante ; E. Palazzari ; M. Michieli Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 378-384 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.002 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : GREFFE RADIOTHÉRAPIE HODGKIN MALADIE LYMPHOME Résumé : Objectif de l’étude
L'objectif de notre étude était d'appliquer le modèle de risque du German Hodgkin Study Group (GHSG) chez les patients atteints d’un lymphome de Hodgkin récidivant ou réfractaire traité par une irradiation de type « involved field » après une greffe autologue.
Matériel et méthodes
Il s'agissait d'une analyse rétrospective des dossiers de 30 patients consécutifs atteints de lymphome de Hodgkin récidivant ou réfractaire traité après une irradiation de type « involved field » après une greffe autologue. Notre politique consistait à ajouter la radiothérapie de type « involved field » en cas de positivité de la TEP avant la greffe autologue (23/30 patients, 77%) et/ou de maladie volumineuse au moment de la rechute (11/30 patients, 37%). Les patients ont été stratifiés en quatre groupes à risque en fonction de la présence des cinq facteurs de risque clinique identifiés par le GHSG: (1) maladie de stade IV, (2) délai de rechute ≤3 mois, (3) indice de performance selon l’Eastern Cooperative Oncology Group≥1, (4) volume≥5cm en diamètre et (5) une réponse insuffisante à la chimiothérapie de sauvetage.
Résultats
L’intervalle médian entre la greffe autologue et la radiothérapie était de 3 mois (extrêmes: 1–7 mois) et la dose médiane d’irradiation était de 35Gy (12–40Gy). Après un suivi médian de 35 mois (1–132 mois), la probabilité de survie sans progression à 2 ans de l’ensemble de la série était de 60%. Lors de l’examen des quatre groupes de risque, elle était à 2 ans était de 86%, 83%, 50% et 36% pour les patients respectivement avec score de 0, 1, 2 et 3 à 5, (p=0,01). Parmi les 12 patients qui avaientau moins trois facteurs de risque et qui ont reçu une radiothérapie thoracique, trois (25%) ont souffert d’une pneumopathie.
Conclusion
Le modèle de risque du GHSG au moment de la récidive/progression est un outil pronostique utile pour sélectionner les patients atteints de lymphome de Hodgkin pour une radiothérapie de type « involved field » de consolidation après une greffe autologue.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65131
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 378-384[article] The German Hodgkin Study Group risk model is useful for Hodgkin lymphoma patients receiving radiotherapy after autologous stem cell transplant = Le modèle de risque du German Hodgkin Study Group est utile pour les patients atteints de lymphome de Hodgkin traités par irradiation après greffe autologue [texte imprimé] / Carlo Furlan ; F. Matrone ; M. Rupolo ; R. Ciancia ; E. Zanet ; B. Montante ; E. Palazzari ; M. Michieli . - 2019 . - p. 378-384.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.002
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 378-384
Mots-clés : GREFFE RADIOTHÉRAPIE HODGKIN MALADIE LYMPHOME Résumé : Objectif de l’étude
L'objectif de notre étude était d'appliquer le modèle de risque du German Hodgkin Study Group (GHSG) chez les patients atteints d’un lymphome de Hodgkin récidivant ou réfractaire traité par une irradiation de type « involved field » après une greffe autologue.
Matériel et méthodes
Il s'agissait d'une analyse rétrospective des dossiers de 30 patients consécutifs atteints de lymphome de Hodgkin récidivant ou réfractaire traité après une irradiation de type « involved field » après une greffe autologue. Notre politique consistait à ajouter la radiothérapie de type « involved field » en cas de positivité de la TEP avant la greffe autologue (23/30 patients, 77%) et/ou de maladie volumineuse au moment de la rechute (11/30 patients, 37%). Les patients ont été stratifiés en quatre groupes à risque en fonction de la présence des cinq facteurs de risque clinique identifiés par le GHSG: (1) maladie de stade IV, (2) délai de rechute ≤3 mois, (3) indice de performance selon l’Eastern Cooperative Oncology Group≥1, (4) volume≥5cm en diamètre et (5) une réponse insuffisante à la chimiothérapie de sauvetage.
Résultats
L’intervalle médian entre la greffe autologue et la radiothérapie était de 3 mois (extrêmes: 1–7 mois) et la dose médiane d’irradiation était de 35Gy (12–40Gy). Après un suivi médian de 35 mois (1–132 mois), la probabilité de survie sans progression à 2 ans de l’ensemble de la série était de 60%. Lors de l’examen des quatre groupes de risque, elle était à 2 ans était de 86%, 83%, 50% et 36% pour les patients respectivement avec score de 0, 1, 2 et 3 à 5, (p=0,01). Parmi les 12 patients qui avaientau moins trois facteurs de risque et qui ont reçu une radiothérapie thoracique, trois (25%) ont souffert d’une pneumopathie.
Conclusion
Le modèle de risque du GHSG au moment de la récidive/progression est un outil pronostique utile pour sélectionner les patients atteints de lymphome de Hodgkin pour une radiothérapie de type « involved field » de consolidation après une greffe autologue.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65131 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Tolérance de l'irradiation stéréotaxique hypofractionnée des tumeurs hépatiques / Marielle Le Bon in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Tolérance de l'irradiation stéréotaxique hypofractionnée des tumeurs hépatiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Marielle Le Bon ; M. Lapeyre ; J. Moreau ; A. Bellière-Calandry ; D. Pezet ; A. Abergel ; R. Bellini ; C. Benoît Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 385-394 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : Radiochirurgie FOIE TUMEUR TOXICITÉ HÉMORRAGIE ARTÈRE HÉPATIQUE Résumé : Objectif de l’étude
Il s’agissait d’un étude monocentrique rétrospective de la tolérance de la radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée hépatique.
Matériels et méthode
De décembre 2013 à juin 2016, les dossiers de 25 patients ont été évalués après radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée sur accélérateur Novalis TX® de 42 à 60Gy en trois à cinq fractions. Les critères modified Response Evaluation Criteria in Solid Tumours (mRECIST) et RECIST ont été utilisés pour l’évaluation du contrôle local et la classification Common Terminology Criteria for Adverse Events, version 4.0 pour l’évaluation de la toxicité.
Résultats
Le suivi médian était de 15,3 mois. La tolérance au traitement a été satisfaisante avec aucun évènement indésirable aigu de grade 3 ou plus et un seul tardif de grade 3 ou plus. Il a été mis en évidence un risque d’hémorragie tardive de l’artère hépatique plus élevé chez les deux patients porteurs d’une prothèse biliaire au contact de l’artère (p=0,006) et dans le volume irradié, sans corrélation avec la dose délivrée aux gros vaisseaux.
Conclusion
La radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée hépatique est un traitement efficace en termes de contrôle local avec peu d’effets secondaires à court et à long termes. Il convient d’être prudent chez les patients porteurs de prothèse biliaire se trouvant à proximité du volume cible car il peut exister un risque d’hémorragie de l’artère hépatique au contact de la prothèse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65132
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 385-394[article] Tolérance de l'irradiation stéréotaxique hypofractionnée des tumeurs hépatiques [texte imprimé] / Marielle Le Bon ; M. Lapeyre ; J. Moreau ; A. Bellière-Calandry ; D. Pezet ; A. Abergel ; R. Bellini ; C. Benoît . - 2019 . - p. 385-394.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.004
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 385-394
Mots-clés : Radiochirurgie FOIE TUMEUR TOXICITÉ HÉMORRAGIE ARTÈRE HÉPATIQUE Résumé : Objectif de l’étude
Il s’agissait d’un étude monocentrique rétrospective de la tolérance de la radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée hépatique.
Matériels et méthode
De décembre 2013 à juin 2016, les dossiers de 25 patients ont été évalués après radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée sur accélérateur Novalis TX® de 42 à 60Gy en trois à cinq fractions. Les critères modified Response Evaluation Criteria in Solid Tumours (mRECIST) et RECIST ont été utilisés pour l’évaluation du contrôle local et la classification Common Terminology Criteria for Adverse Events, version 4.0 pour l’évaluation de la toxicité.
Résultats
Le suivi médian était de 15,3 mois. La tolérance au traitement a été satisfaisante avec aucun évènement indésirable aigu de grade 3 ou plus et un seul tardif de grade 3 ou plus. Il a été mis en évidence un risque d’hémorragie tardive de l’artère hépatique plus élevé chez les deux patients porteurs d’une prothèse biliaire au contact de l’artère (p=0,006) et dans le volume irradié, sans corrélation avec la dose délivrée aux gros vaisseaux.
Conclusion
La radiothérapie stéréotaxique hypofractionnée hépatique est un traitement efficace en termes de contrôle local avec peu d’effets secondaires à court et à long termes. Il convient d’être prudent chez les patients porteurs de prothèse biliaire se trouvant à proximité du volume cible car il peut exister un risque d’hémorragie de l’artère hépatique au contact de la prothèse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65132 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey / S. De Oliveira Duarte in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey Titre original : Utilisation de la scanographie quadridimentionnelle pour la planification de la radiothérapie et réalité en France : données issues d'une enquête nationale Type de document : texte imprimé Auteurs : S. De Oliveira Duarte ; C. Rancoule ; M.Y. He ; M. Baury ; S. Sotton ; A. Vallard ; S. Espenel ; A. Rehailia-Blanchard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 395-400 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.006 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : FRANCE POUMON CANCER STÉRÉOTAXIE ENQUÊTE MOUVEMENT SCANOGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude
Les tumeurs pulmonaires et certains cancers de la sphère digestive changent de position au cours d’un cycle respiratoire. Cette incertitude de positionnement peut être prise en compte lors des phases de planification avec le recours à une simulation par scannographie quadridimensionnelle. Bien que de nombreux centres de radiothérapie français soient désormais équipés d’un scanographe quadridimensionnel, il n’existe à ce jour aucune recommandation nationale et internationale à ce sujet. Nous avons donc voulu dresser un état des lieux précis de l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle en France.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une enquête téléphonique auprès de tous les centres de radiothérapies français entre le mois de mars et d’avril 2017.
Résultats
En tout 172 centres ont été sollicités. Le taux de participation à l’enquête a atteint le taux de 88,37 %. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle semblent se développer considérablement avec des taux d’utilisation de 15,28 % pour les cancers du rein et des surrénales, 19,72 % pour les cancers du pancréas, 27,78 % pour les cancers de l’œsophage et de 73,24 % pour les cancers du poumon en cas de traitement normofractionné. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle apparaît également très important en cas d’irradiation stéréotaxique avec des taux d’utilisation de 61,11 % en cas d’irradiation pulmonaire et de 34,72 % en cas d’irradiation hépatique. De nombreux centres ont déclaré réalisé plusieurs scannographies quadridimensionnelles de simulation (29,55 % en cas de stéréotaxie pulmonaire et 20 % en cas de stéréotaxie hépatique). Cette tendance à la répétition était également plus prononcée dans les centres privés.
Conclusion
Bien que l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle semble se généraliser, son utilisation reste très hétérogène entre les centres. À ce jour, la répétition des scanographies quadridimensionnelles a été très peu été analysée et pourrait faire l’objet d’études cliniques permettant de définir dans quelles indications et pour quelles populations il existe un réel bénéfice.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65133
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 395-400[article] Use of 4D-CT or radiotherapy planning and reality in France : Data from a national survey = Utilisation de la scanographie quadridimentionnelle pour la planification de la radiothérapie et réalité en France : données issues d'une enquête nationale [texte imprimé] / S. De Oliveira Duarte ; C. Rancoule ; M.Y. He ; M. Baury ; S. Sotton ; A. Vallard ; S. Espenel ; A. Rehailia-Blanchard . - 2019 . - p. 395-400.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.02.006
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 395-400
Mots-clés : FRANCE POUMON CANCER STÉRÉOTAXIE ENQUÊTE MOUVEMENT SCANOGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude
Les tumeurs pulmonaires et certains cancers de la sphère digestive changent de position au cours d’un cycle respiratoire. Cette incertitude de positionnement peut être prise en compte lors des phases de planification avec le recours à une simulation par scannographie quadridimensionnelle. Bien que de nombreux centres de radiothérapie français soient désormais équipés d’un scanographe quadridimensionnel, il n’existe à ce jour aucune recommandation nationale et internationale à ce sujet. Nous avons donc voulu dresser un état des lieux précis de l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle en France.
Matériels et méthodes
Nous avons mené une enquête téléphonique auprès de tous les centres de radiothérapies français entre le mois de mars et d’avril 2017.
Résultats
En tout 172 centres ont été sollicités. Le taux de participation à l’enquête a atteint le taux de 88,37 %. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle semblent se développer considérablement avec des taux d’utilisation de 15,28 % pour les cancers du rein et des surrénales, 19,72 % pour les cancers du pancréas, 27,78 % pour les cancers de l’œsophage et de 73,24 % pour les cancers du poumon en cas de traitement normofractionné. Le recours à la scannographie quadridimensionnelle apparaît également très important en cas d’irradiation stéréotaxique avec des taux d’utilisation de 61,11 % en cas d’irradiation pulmonaire et de 34,72 % en cas d’irradiation hépatique. De nombreux centres ont déclaré réalisé plusieurs scannographies quadridimensionnelles de simulation (29,55 % en cas de stéréotaxie pulmonaire et 20 % en cas de stéréotaxie hépatique). Cette tendance à la répétition était également plus prononcée dans les centres privés.
Conclusion
Bien que l’utilisation de la scanographie dosimétrique quadridimensionnelle semble se généraliser, son utilisation reste très hétérogène entre les centres. À ce jour, la répétition des scanographies quadridimensionnelles a été très peu été analysée et pourrait faire l’objet d’études cliniques permettant de définir dans quelles indications et pour quelles populations il existe un réel bénéfice.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65133 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Adjuvant management of operated uterine sarcomas : a single institution experience / A. Cordoba in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Adjuvant management of operated uterine sarcomas : a single institution experience Titre original : Étude monocentrique de la prise en charge adjuvante des sarcomes utérins opérés Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Cordoba ; J. Prades ; É. Leblanc ; L. Basson ; Y.M. Robin ; S. Taïeb ; F. Narducci ; D. Hudry Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 401-407 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.04.001 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : SARCOME UTÉRUS RADIOTHÉRAPIE CHIMIOTHÉRAPIE Récidive Chimioradiothérapie adjuvante Résumé : Objectif de l’étude
Décrire la prise en charge adjuvante du sarcome utérin de haut grade et mettre en évidence les facteurs pronostiques de survie globale et de survie sans progression.
Matériel et méthodes
Entre janvier 2000 et janvier 2015, les dossiers de 50 patientes opérées ont été présentés à la réunion de l’équipe multidisciplinaire de notre établissement. Le type de chirurgie, les caractéristiques anatomopathologiques, les traitements adjuvants, les dates et les sites de récidive ont été recueillis. La valeur pronostique des divers facteurs a été évaluée à l’aide du modèle de Cox multifactoriel.
Résultats
Un total de 50 femmes ont été identifiées, dont 43 atteintes de léiomyosarcome (soit 86 %) et sept de sarcome de haut grade (soit 14 %). Dix-huit patientes ont reçu une radiothérapie pelvienne adjuvante (soit 36 %) et six une chimiothérapie adjuvante (soit 12 %). La durée médiane du suivi était de 63 mois. Trente-neuf patientes ont été atteintes d’une récidive (soit 78 %): 22 d’une récidive métastatique (soit 58 %), deux d’une récidive pelvienne isolée (soit 5 %) et 15 d’une récidive pelvienne et métastatique (soit 38 %). La radiothérapie adjuvante était associée à la survie sans récidive pelvienne dans l’analyse unifactorielle (p=0,005, hazard ratio [HR]=0,15). L’âge de plus de 55 ans et la radiothérapie adjuvante étaient associés à la survie sans métastase dans l’analyse multifactorielle (p=0,015, HR=2,37 et p=0,013, HR=0,41, respectivement).
Conclusion
Selon les résultats de notre série, il y a un bénéfice de la radiothérapie adjuvante après chirurgie en termes de contrôle local des sarcomes utérins de haut grade. Il est nécessaire d’identifier le sous-groupe de patients qui bénéficieront d’une radiothérapie adjuvante afin de leur fournir des soins plus optimaux.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65134
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 401-407[article] Adjuvant management of operated uterine sarcomas : a single institution experience = Étude monocentrique de la prise en charge adjuvante des sarcomes utérins opérés [texte imprimé] / A. Cordoba ; J. Prades ; É. Leblanc ; L. Basson ; Y.M. Robin ; S. Taïeb ; F. Narducci ; D. Hudry . - 2019 . - p. 401-407.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.04.001
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 401-407
Mots-clés : SARCOME UTÉRUS RADIOTHÉRAPIE CHIMIOTHÉRAPIE Récidive Chimioradiothérapie adjuvante Résumé : Objectif de l’étude
Décrire la prise en charge adjuvante du sarcome utérin de haut grade et mettre en évidence les facteurs pronostiques de survie globale et de survie sans progression.
Matériel et méthodes
Entre janvier 2000 et janvier 2015, les dossiers de 50 patientes opérées ont été présentés à la réunion de l’équipe multidisciplinaire de notre établissement. Le type de chirurgie, les caractéristiques anatomopathologiques, les traitements adjuvants, les dates et les sites de récidive ont été recueillis. La valeur pronostique des divers facteurs a été évaluée à l’aide du modèle de Cox multifactoriel.
Résultats
Un total de 50 femmes ont été identifiées, dont 43 atteintes de léiomyosarcome (soit 86 %) et sept de sarcome de haut grade (soit 14 %). Dix-huit patientes ont reçu une radiothérapie pelvienne adjuvante (soit 36 %) et six une chimiothérapie adjuvante (soit 12 %). La durée médiane du suivi était de 63 mois. Trente-neuf patientes ont été atteintes d’une récidive (soit 78 %): 22 d’une récidive métastatique (soit 58 %), deux d’une récidive pelvienne isolée (soit 5 %) et 15 d’une récidive pelvienne et métastatique (soit 38 %). La radiothérapie adjuvante était associée à la survie sans récidive pelvienne dans l’analyse unifactorielle (p=0,005, hazard ratio [HR]=0,15). L’âge de plus de 55 ans et la radiothérapie adjuvante étaient associés à la survie sans métastase dans l’analyse multifactorielle (p=0,015, HR=2,37 et p=0,013, HR=0,41, respectivement).
Conclusion
Selon les résultats de notre série, il y a un bénéfice de la radiothérapie adjuvante après chirurgie en termes de contrôle local des sarcomes utérins de haut grade. Il est nécessaire d’identifier le sous-groupe de patients qui bénéficieront d’une radiothérapie adjuvante afin de leur fournir des soins plus optimaux.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65134 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Investigation of differences of sacral and vertebral bone mineral densities before and after radiotherapy in patients with locally advanced rectal cancer / M. Hayar in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Investigation of differences of sacral and vertebral bone mineral densities before and after radiotherapy in patients with locally advanced rectal cancer Titre original : Différences de densité minérale du sacrum et des os vertébraux avant et après la radiothérapie chez des patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Hayar ; N.K. Durankus ; G.D. Altun ; Z. Koçak ; M.C. Uzal ; M. Saynak Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 408-415 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.014 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : RECTUM CANCER RADIOTHÉRAPIE PELVIS Intensité osseuse Résumé : Objectif
La radiothérapie est une méthode de traitement réalisée à l’aide de rayonnements ionisants chez des patients atteints de cancer, soit utilisée seule, soit dans le cadre d’une prise en charge par chirurgie ou par chimiothérapie. Bien que les techniques modernes de radiothérapie soient un avantage important pour la protection des tissus sains, il est inévitable que les tissus normaux soient également situés dans les zones visées par la radiothérapie. Dans cette étude, nous avons examiné les modifications de la densité minérale dans les structures osseuses communément incluses dans le volume de la radiothérapie pelvienne, telles que la vertèbre L5, le sacrum et les têtes de fémur et la relation entre ces changements avec la dose de rayonnement.
Matériel et méthodes
Les patients inclus dans l’étude étaient atteints d’un cancer du rectum, opéré ou non. Une radiothérapie pelvienne préopératoire ou postopératoire a été planifiée pour tous les patients. Les analyses tomodensitométriques ont été réalisées avec les mêmes appareils. Quinze patients ont été inclus dans l’étude. Afin de déterminer la dose délivrée de rayonnement, les régions du sacrum, de la vertèbre L5, de la tête fémorale bilatérale et de la vertèbre L1 ont été délinéées. Des images en coupes sagittales ont été exploitées pour cela.
Résultats
L’intensité minérale osseuse a été évaluée par tomodensitométrie et dual-energy X-ray absorptiometry avant et après le traitement. Les régions exposées à l’irradiation comme la vertèbre L5, le sacrum, les fémurs gauche et droit, ont montré une différence significative en termes de densité osseuse. Selon l’évaluation par tomodensitométrie, il y avait diminution significative de la densité de l’os jusqu’à la vertèbre L5, le sacrum, les fémurs gauche et droit. L’évaluation par dual-energy X-ray absorptiometry a révélé que l’ensemble de la tête fémorale gauche, du col du fémur gauche et de la région de Ward étaient significativement affectés par la radiothérapie. Cependant, pour le sacrum et la vertèbre L5, il n’y avait pas de différence significative avant et après la radiothérapie.
Conclusion
Des résultats plus précis pourraient être obtenus si la même étude était menée dans une population de patients plus importante, avec une période de suivi plus longue. Lorsque la réduction de la densité osseuse est maximale ou qu’il y a une probabilité de guérison à long terme, elle peut être déterminée par des mesures de densité effectuées à intervalles réguliers.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65135
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 408-415[article] Investigation of differences of sacral and vertebral bone mineral densities before and after radiotherapy in patients with locally advanced rectal cancer = Différences de densité minérale du sacrum et des os vertébraux avant et après la radiothérapie chez des patients atteints d’un cancer du rectum localement évolué [texte imprimé] / M. Hayar ; N.K. Durankus ; G.D. Altun ; Z. Koçak ; M.C. Uzal ; M. Saynak . - 2019 . - p. 408-415.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.014
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 408-415
Mots-clés : RECTUM CANCER RADIOTHÉRAPIE PELVIS Intensité osseuse Résumé : Objectif
La radiothérapie est une méthode de traitement réalisée à l’aide de rayonnements ionisants chez des patients atteints de cancer, soit utilisée seule, soit dans le cadre d’une prise en charge par chirurgie ou par chimiothérapie. Bien que les techniques modernes de radiothérapie soient un avantage important pour la protection des tissus sains, il est inévitable que les tissus normaux soient également situés dans les zones visées par la radiothérapie. Dans cette étude, nous avons examiné les modifications de la densité minérale dans les structures osseuses communément incluses dans le volume de la radiothérapie pelvienne, telles que la vertèbre L5, le sacrum et les têtes de fémur et la relation entre ces changements avec la dose de rayonnement.
Matériel et méthodes
Les patients inclus dans l’étude étaient atteints d’un cancer du rectum, opéré ou non. Une radiothérapie pelvienne préopératoire ou postopératoire a été planifiée pour tous les patients. Les analyses tomodensitométriques ont été réalisées avec les mêmes appareils. Quinze patients ont été inclus dans l’étude. Afin de déterminer la dose délivrée de rayonnement, les régions du sacrum, de la vertèbre L5, de la tête fémorale bilatérale et de la vertèbre L1 ont été délinéées. Des images en coupes sagittales ont été exploitées pour cela.
Résultats
L’intensité minérale osseuse a été évaluée par tomodensitométrie et dual-energy X-ray absorptiometry avant et après le traitement. Les régions exposées à l’irradiation comme la vertèbre L5, le sacrum, les fémurs gauche et droit, ont montré une différence significative en termes de densité osseuse. Selon l’évaluation par tomodensitométrie, il y avait diminution significative de la densité de l’os jusqu’à la vertèbre L5, le sacrum, les fémurs gauche et droit. L’évaluation par dual-energy X-ray absorptiometry a révélé que l’ensemble de la tête fémorale gauche, du col du fémur gauche et de la région de Ward étaient significativement affectés par la radiothérapie. Cependant, pour le sacrum et la vertèbre L5, il n’y avait pas de différence significative avant et après la radiothérapie.
Conclusion
Des résultats plus précis pourraient être obtenus si la même étude était menée dans une population de patients plus importante, avec une période de suivi plus longue. Lorsque la réduction de la densité osseuse est maximale ou qu’il y a une probabilité de guérison à long terme, elle peut être déterminée par des mesures de densité effectuées à intervalles réguliers.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65135 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Proposition de sélection et délinéation des volumes cibles anatomocliniques tumoraux et ganglionnaire pour la radiothérapie des cancers de la glande sous-mandibulaire / T. Frédéric-Moreau in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Proposition de sélection et délinéation des volumes cibles anatomocliniques tumoraux et ganglionnaire pour la radiothérapie des cancers de la glande sous-mandibulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Frédéric-Moreau ; L. Piram ; R. Bellini ; F. Martin ; J. Miroir ; N. Saroul ; N. Pham Dang ; M. Lapeyre Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 416-422 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.013 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER RADIOTHÉRAPIE GLANDE SALIVAIRE Glande submandibulaire Résumé : Cet article propose le concept de la sélectivité des zones péritumorales microscopiques à traiter de principe par irradiation pour les tumeurs de la glande sous-mandibulaire en se basant sur le mode d’extension des cancers. Il présente les différentes délimitations des volumes cibles anatomocliniques tumoraux à haut risque et à faible risque, pour la réalisation d’une radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité. Il ne traite pas des indications de radiothérapie externe mais précise les volumes à traiter si une radiothérapie est retenue. Les volumes cibles anatomocliniques tumoraux à haut risque et à faible risque sont illustrés sur des planches scanographiques. Une sélection des aires ganglionnaires est proposée à partir des données de la littérature. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65136
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 416-422[article] Proposition de sélection et délinéation des volumes cibles anatomocliniques tumoraux et ganglionnaire pour la radiothérapie des cancers de la glande sous-mandibulaire [texte imprimé] / T. Frédéric-Moreau ; L. Piram ; R. Bellini ; F. Martin ; J. Miroir ; N. Saroul ; N. Pham Dang ; M. Lapeyre . - 2019 . - p. 416-422.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.013
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 416-422
Mots-clés : CANCER RADIOTHÉRAPIE GLANDE SALIVAIRE Glande submandibulaire Résumé : Cet article propose le concept de la sélectivité des zones péritumorales microscopiques à traiter de principe par irradiation pour les tumeurs de la glande sous-mandibulaire en se basant sur le mode d’extension des cancers. Il présente les différentes délimitations des volumes cibles anatomocliniques tumoraux à haut risque et à faible risque, pour la réalisation d’une radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité. Il ne traite pas des indications de radiothérapie externe mais précise les volumes à traiter si une radiothérapie est retenue. Les volumes cibles anatomocliniques tumoraux à haut risque et à faible risque sont illustrés sur des planches scanographiques. Une sélection des aires ganglionnaires est proposée à partir des données de la littérature. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65136 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Radiation recall syndrome in a patient with breast cancer, after introduction of everolimus / Aude Visy in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Radiation recall syndrome in a patient with breast cancer, after introduction of everolimus Titre original : Radiation recall syndrome chez une patiente atteinte d’un cancer du sein après l’introduction d’évérolimus Type de document : texte imprimé Auteurs : Aude Visy ; T. Bachelot ; S. Racadot Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 423-425 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.01.005 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE Évérolimus radiation recall syndrome Résumé : L’évérolimus (inhibiteur de mTOR) est indiqué dans le traitement du cancer du sein évolué exprimant des récepteurs hormonaux, précédemment traité par un inhibiteur non stéroïdien de l’aromatase, en association avec l’exémestane, dès la récidive ou la progression de la maladie. Nous rapportons un cas de radiation recall syndrome après introduction d’évérolimus. Une patiente de 58 ans a été prise en charge pour un cancer du sein droit par chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie puis hormonothérapie. Dans le cadre d’un essai de phase III (protocole UNIRAD), elle a reçu un traitement par évérolimus, 5 mois après la fin de la radiothérapie. Sept jours après l’introduction, elle a été atteinte d’une exacerbation des réactions d’épithéliite. La physiopathologie du radiation recall syndrome est inconnue. L’association radiothérapie et inhibiteur de mTOR, même séquentiellement, doit être réalisée avec prudence car plusieurs cas d’exacerbation de toxicité liée à la radiothérapie ont déjà été rapportés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65137
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 423-425[article] Radiation recall syndrome in a patient with breast cancer, after introduction of everolimus = Radiation recall syndrome chez une patiente atteinte d’un cancer du sein après l’introduction d’évérolimus [texte imprimé] / Aude Visy ; T. Bachelot ; S. Racadot . - 2019 . - p. 423-425.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.01.005
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 423-425
Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE Évérolimus radiation recall syndrome Résumé : L’évérolimus (inhibiteur de mTOR) est indiqué dans le traitement du cancer du sein évolué exprimant des récepteurs hormonaux, précédemment traité par un inhibiteur non stéroïdien de l’aromatase, en association avec l’exémestane, dès la récidive ou la progression de la maladie. Nous rapportons un cas de radiation recall syndrome après introduction d’évérolimus. Une patiente de 58 ans a été prise en charge pour un cancer du sein droit par chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie puis hormonothérapie. Dans le cadre d’un essai de phase III (protocole UNIRAD), elle a reçu un traitement par évérolimus, 5 mois après la fin de la radiothérapie. Sept jours après l’introduction, elle a été atteinte d’une exacerbation des réactions d’épithéliite. La physiopathologie du radiation recall syndrome est inconnue. L’association radiothérapie et inhibiteur de mTOR, même séquentiellement, doit être réalisée avec prudence car plusieurs cas d’exacerbation de toxicité liée à la radiothérapie ont déjà été rapportés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65137 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Image-guided high-dose-rate interstitial brachytherapy boost in the radical radiotherapy for a huge metastatic carcinoma of cervical lymph nodes from an unknown primary site / Minjie Wang in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Image-guided high-dose-rate interstitial brachytherapy boost in the radical radiotherapy for a huge metastatic carcinoma of cervical lymph nodes from an unknown primary site Titre original : Curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par l’image en complément de la radiothérapie radicale pour des adénopathies cervicales métastatiques d’un cancer primitif non retrouvé Type de document : texte imprimé Auteurs : Minjie Wang ; Ning Wu ; Dongmei Han ; Hongfu Zhao ; Guanghui Cheng Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 426-431 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.01.006 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : CARCINOME MÉTASTASE CURIETHÉRAPIE Résumé : L’objectif de cette étude était d’analyser l’effet d’une curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par image en complément d’une radiothérapie radicale pour les adénopathies cervicales métastatiques d’un carcinome non retrouvé. Le patient était un homme de 75 ans. La biopsie diagnostique a montré un carcinome épidermoïde métastatique, le volume était de 7,5×6,5×11,5cm3, le stade N3 selon la septième édition de la classification de l’American Joint Committee on Cancer. Après une irradiation externe de 60Gy en 30 fractions, la tumeur résiduelle (6,2×4,7×6,0cm3) a fait l’objet d’une curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par échographie, de 16Gy en quatre fractions de 4Gy. Le contrôle tumoral a été obtenu avec 24 mois de suivi. La curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par l’image pourrait constituer une stratégie après une radiothérapie radicale pour les adénopathies cervicales métastatiques d’un carcinome non retrouvé, en particulier de grand volume. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65138
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 426-431[article] Image-guided high-dose-rate interstitial brachytherapy boost in the radical radiotherapy for a huge metastatic carcinoma of cervical lymph nodes from an unknown primary site = Curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par l’image en complément de la radiothérapie radicale pour des adénopathies cervicales métastatiques d’un cancer primitif non retrouvé [texte imprimé] / Minjie Wang ; Ning Wu ; Dongmei Han ; Hongfu Zhao ; Guanghui Cheng . - 2019 . - p. 426-431.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.01.006
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 426-431
Mots-clés : CARCINOME MÉTASTASE CURIETHÉRAPIE Résumé : L’objectif de cette étude était d’analyser l’effet d’une curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par image en complément d’une radiothérapie radicale pour les adénopathies cervicales métastatiques d’un carcinome non retrouvé. Le patient était un homme de 75 ans. La biopsie diagnostique a montré un carcinome épidermoïde métastatique, le volume était de 7,5×6,5×11,5cm3, le stade N3 selon la septième édition de la classification de l’American Joint Committee on Cancer. Après une irradiation externe de 60Gy en 30 fractions, la tumeur résiduelle (6,2×4,7×6,0cm3) a fait l’objet d’une curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par échographie, de 16Gy en quatre fractions de 4Gy. Le contrôle tumoral a été obtenu avec 24 mois de suivi. La curiethérapie interstitielle de haut débit de dose guidée par l’image pourrait constituer une stratégie après une radiothérapie radicale pour les adénopathies cervicales métastatiques d’un carcinome non retrouvé, en particulier de grand volume. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65138 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Management of CNS disease in ALK-positive non-small cell lung cancer: Is whole brain radiotherapy still needed? / Anna Wrona in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Management of CNS disease in ALK-positive non-small cell lung cancer: Is whole brain radiotherapy still needed? Titre original : Prise en charge des métastases cérébrales dans les cancers bronchiques non à petites cellules exprimant ALK: la radiothérapie panencéphalique est-elle toujours nécessaire? Type de document : texte imprimé Auteurs : Anna Wrona Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 432-438 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.03.009 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : POUMON CANCER MÉTASTASE CERVEAU radiothérapie stéréotaxique Résumé : Le cancer bronchique non à petites cellules exprimant l’anaplastic lymphoma kinase (ALK) – soit 3 à 5 % de tous les cancers bronchiques non à petites cellules – comporte un risque particulièrement élevé de dissémination dans le système nerveux central (60 % à 90 %). Alors que l’utilisation d’inhibiteurs d’ALK améliore les résultats du traitement par rapport à la chimiothérapie, les métastases du système nerveux central sont devenues un dilemme thérapeutique de plus en plus important, compte tenu du jeune âge et d’une survie globale prolongée possible. Le but de la prise en charge des métastases cérébrales est d’optimiser à la fois la survie globale et la qualité de vie, en accordant une haute priorité à la préservation de la fonction neurocognitive. Malheureusement, au cours de la première année de traitement par le crizotinib, le pionnier des inhibiteur d’ALK, pour environ un tiers de ces cancers le traitement échoue, ce qui s’explique par une pénétration insuffisante du médicament dans le système nerveux central à travers la barrière hématoencéphalique. La radiothérapie centrée sur le système nerveux central représente la stratégie la plus importante pour contrôler la maladie intracrânienne et prolonger les bénéfices de survie avec le crizotinib. Le rôle de l’irradiation encéphalique totale pour le traitement des métastases cérébrales diminue, cette technique étant associée au risque de déclin neurocognitif. La radiothérapie stéréotaxique représente une technique alternative qui administre des doses ablatives de rayonnement ionisant dans le volume limité de lésions cérébrales oligométastatiques, en épargnant le parenchyme cérébral adjacent et en réduisant la neurotoxicité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65139
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 432-438[article] Management of CNS disease in ALK-positive non-small cell lung cancer: Is whole brain radiotherapy still needed? = Prise en charge des métastases cérébrales dans les cancers bronchiques non à petites cellules exprimant ALK: la radiothérapie panencéphalique est-elle toujours nécessaire? [texte imprimé] / Anna Wrona . - 2019 . - p. 432-438.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.03.009
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 432-438
Mots-clés : POUMON CANCER MÉTASTASE CERVEAU radiothérapie stéréotaxique Résumé : Le cancer bronchique non à petites cellules exprimant l’anaplastic lymphoma kinase (ALK) – soit 3 à 5 % de tous les cancers bronchiques non à petites cellules – comporte un risque particulièrement élevé de dissémination dans le système nerveux central (60 % à 90 %). Alors que l’utilisation d’inhibiteurs d’ALK améliore les résultats du traitement par rapport à la chimiothérapie, les métastases du système nerveux central sont devenues un dilemme thérapeutique de plus en plus important, compte tenu du jeune âge et d’une survie globale prolongée possible. Le but de la prise en charge des métastases cérébrales est d’optimiser à la fois la survie globale et la qualité de vie, en accordant une haute priorité à la préservation de la fonction neurocognitive. Malheureusement, au cours de la première année de traitement par le crizotinib, le pionnier des inhibiteur d’ALK, pour environ un tiers de ces cancers le traitement échoue, ce qui s’explique par une pénétration insuffisante du médicament dans le système nerveux central à travers la barrière hématoencéphalique. La radiothérapie centrée sur le système nerveux central représente la stratégie la plus importante pour contrôler la maladie intracrânienne et prolonger les bénéfices de survie avec le crizotinib. Le rôle de l’irradiation encéphalique totale pour le traitement des métastases cérébrales diminue, cette technique étant associée au risque de déclin neurocognitif. La radiothérapie stéréotaxique représente une technique alternative qui administre des doses ablatives de rayonnement ionisant dans le volume limité de lésions cérébrales oligométastatiques, en épargnant le parenchyme cérébral adjacent et en réduisant la neurotoxicité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65139 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Protonthérapie des carcinomes épidermiques des voies aérodigestives supérieures : de la physique à la clinique / A. Beddok in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
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Titre : Protonthérapie des carcinomes épidermiques des voies aérodigestives supérieures : de la physique à la clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Beddok ; A. Vela ; V. Calugaru ; T. Tessonnier ; J. Kubes ; P. Dutheil ; A. Gérard ; J. Thariat Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 439-448 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.015 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROTONTHÉRAPIE TÊTE CANCER COU CANCER RADIOTHÉRAPIE IMAGERIE MÉDICALE Résumé : La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité est la technique recommandée pour le traitement des cancers des voies aérodigestives supérieures. La protonthérapie permettrait de diminuer le volume de tissu normal irradié et ainsi de réduire le risque de dysphagie et de dysgueusie. Une recherche bibliographique exhaustive a été réalisée à l’aide du moteur de recherche PubMed en se focalisant sur les articles traitant des difficultés physiques de la protonthérapie pour les cancers des voies aérodigestives supérieures. Le contrôle des incertitudes liées à la pénombre distale est important en ORL, notamment en présence de matériel implanté ayant une composition stœchiométrique incertaine (tels que les implants dentaires métalliques) et en présence de milieux hétérogènes (succession de tissu et d’air dans les cavités sinusiennes). La mise en état buccodentaire est donc particulière en protonthérapie. Certaines incertitudes peuvent être minimisées au moment de la planification du traitement (optimisation robuste pour les variations inter et intra fractions de la composition du milieu et pour la calibration entre unités de Hounsfield et pouvoir d’arrêt des protons). En revanche, comme en RCMI, les variations morphologiques du patient nécessitent, une adaptation du plan de traitement sur un nouveau scanographe. Les études dosimétriques et les quelques études cliniques comparant photon- et protonthérapie ont bien montré l’intérêt des protons dans cette localisation. La protonthérapie dans les cancers des voies aérodigestives supérieures est donc prometteuse mais nécessite la mise au point de procédures permettant un contrôle robuste des incertitudes, pour rendre le traitement optimal et utilisable en pratique clinique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65140
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 439-448[article] Protonthérapie des carcinomes épidermiques des voies aérodigestives supérieures : de la physique à la clinique [texte imprimé] / A. Beddok ; A. Vela ; V. Calugaru ; T. Tessonnier ; J. Kubes ; P. Dutheil ; A. Gérard ; J. Thariat . - 2019 . - p. 439-448.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.05.015
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 439-448
Mots-clés : PROTONTHÉRAPIE TÊTE CANCER COU CANCER RADIOTHÉRAPIE IMAGERIE MÉDICALE Résumé : La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité est la technique recommandée pour le traitement des cancers des voies aérodigestives supérieures. La protonthérapie permettrait de diminuer le volume de tissu normal irradié et ainsi de réduire le risque de dysphagie et de dysgueusie. Une recherche bibliographique exhaustive a été réalisée à l’aide du moteur de recherche PubMed en se focalisant sur les articles traitant des difficultés physiques de la protonthérapie pour les cancers des voies aérodigestives supérieures. Le contrôle des incertitudes liées à la pénombre distale est important en ORL, notamment en présence de matériel implanté ayant une composition stœchiométrique incertaine (tels que les implants dentaires métalliques) et en présence de milieux hétérogènes (succession de tissu et d’air dans les cavités sinusiennes). La mise en état buccodentaire est donc particulière en protonthérapie. Certaines incertitudes peuvent être minimisées au moment de la planification du traitement (optimisation robuste pour les variations inter et intra fractions de la composition du milieu et pour la calibration entre unités de Hounsfield et pouvoir d’arrêt des protons). En revanche, comme en RCMI, les variations morphologiques du patient nécessitent, une adaptation du plan de traitement sur un nouveau scanographe. Les études dosimétriques et les quelques études cliniques comparant photon- et protonthérapie ont bien montré l’intérêt des protons dans cette localisation. La protonthérapie dans les cancers des voies aérodigestives supérieures est donc prometteuse mais nécessite la mise au point de procédures permettant un contrôle robuste des incertitudes, pour rendre le traitement optimal et utilisable en pratique clinique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65140 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Gene therapy and cell therapy for the management of radiation damages to healthy tissues : rationale and early results / J. Khalifa in Cancer Radiothérapie, 23/5 (Septembre 2019)
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Titre : Gene therapy and cell therapy for the management of radiation damages to healthy tissues : rationale and early results Titre original : Thérapie génique et thérapie cellulaire pour la gestion des dommages radio-induits aux tissus sains : rationnel et résultats préliminaires Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Khalifa ; S. François ; C. Rancoule ; D. Riccobono ; N. Magné ; M. Drouet ; C. Chargari Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 449-465 Note générale : Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.001 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : RADIOTHÉRAPIE RADIOPROTECTION radiomitigation thérapie génique thérapie cellulaire CELLULE SOUCHE GREFFE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65141
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 449-465[article] Gene therapy and cell therapy for the management of radiation damages to healthy tissues : rationale and early results = Thérapie génique et thérapie cellulaire pour la gestion des dommages radio-induits aux tissus sains : rationnel et résultats préliminaires [texte imprimé] / J. Khalifa ; S. François ; C. Rancoule ; D. Riccobono ; N. Magné ; M. Drouet ; C. Chargari . - 2019 . - p. 449-465.
Doi : 10.1016/j.canrad.2019.07.001
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > 23/5 (Septembre 2019) . - p. 449-465Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt