Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Minerva
. Vol. 16, n°6
Bulletin N°Vol. 16, n°6 Mention de date : Juillet 2017
Paru le : 01/07/2017
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[article]
Titre : |
Comment déterminer le risque de pré-éclampsie ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
I. Dehaene ; K. Roelens ; T. Poelman |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 138-141 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Anticorps Diabete gestationnel Facteurs de risque Grossesse Hypertension arterielle Prééclampsie Techniques de reproduction assistée |
Résumé : |
Différentes méta-analyses ont montré que le risque relatif de prééclampsie diminue de 20 à 40% lorsque les patientes qui présentent un risque modéré à élevé prennent de l’aspirine (1-3). La méta-analyse la plus récente sur le sujet a montré que l’avantage est plus important lorsque la prise d’aspirine débute avant la 16e semaine de grossesse (3). L’estimation du risque de pré-éclampsie varie fortement entre les différentes études randomisées contrôlées. Certaines études ont utilisé l’échographie en plus des paramètres cliniques (4,5). Selon le guide de pratique clinique (GPC) le plus récent (6), une faible dose d’aspirine est recommandée en présence d’au moins un des facteurs de risque suivants : antécédents de pré-éclampsie, grossesse multiple, hypertension artérielle chronique (≥ 140/90 mmHg), diabète sucré de type I ou II, néphropathie et maladies auto-immunes (telles que le lupus érythémateux disséminé et le syndrome des antiphospholipides). Mais aucune étude n’a encore examiné l’importance absolue et relative de ces différents facteurs (ainsi que d’autres). |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2118 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58042 |
in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 138-141
[article] Comment déterminer le risque de pré-éclampsie ? [document électronique] / I. Dehaene ; K. Roelens ; T. Poelman . - 2017 . - p. 138-141. Langues : Français ( fre) in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 138-141
Mots-clés : |
Anticorps Diabete gestationnel Facteurs de risque Grossesse Hypertension arterielle Prééclampsie Techniques de reproduction assistée |
Résumé : |
Différentes méta-analyses ont montré que le risque relatif de prééclampsie diminue de 20 à 40% lorsque les patientes qui présentent un risque modéré à élevé prennent de l’aspirine (1-3). La méta-analyse la plus récente sur le sujet a montré que l’avantage est plus important lorsque la prise d’aspirine débute avant la 16e semaine de grossesse (3). L’estimation du risque de pré-éclampsie varie fortement entre les différentes études randomisées contrôlées. Certaines études ont utilisé l’échographie en plus des paramètres cliniques (4,5). Selon le guide de pratique clinique (GPC) le plus récent (6), une faible dose d’aspirine est recommandée en présence d’au moins un des facteurs de risque suivants : antécédents de pré-éclampsie, grossesse multiple, hypertension artérielle chronique (≥ 140/90 mmHg), diabète sucré de type I ou II, néphropathie et maladies auto-immunes (telles que le lupus érythémateux disséminé et le syndrome des antiphospholipides). Mais aucune étude n’a encore examiné l’importance absolue et relative de ces différents facteurs (ainsi que d’autres). |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2118 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58042 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Comment les médecins généralistes gèrent-ils l’incapacité de travail chez les patients ayant des symptômes de dépression ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
M. Heyerick ; M. Lemiengre |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 150-153 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Absentéisme Dépression Santé mentale Absentéisme au travail Congé maladie Relation médecin-patient Reprise du travail |
Résumé : |
Les symptômes de la dépression sont une cause importante d’incapacité de travail. Une étude néerlandaise (1) a montré que, parmi les personnes souffrant d’un trouble de l’humeur, la proportion de celles qui sont toujours incapables de travailler est de 56% après 6 mois et de 30% après un an. Une récente méta-analyse (2) montre qu’un des principaux éléments, auxquels les patients souffrant de problèmes psychiques sont confrontés durant la remise au travail, est le manque de concertation et de coordination entre les acteurs clés. Le médecin généraliste endosse le rôle social de prescrire l’incapacité de travail et d’accompagner le retour au travail. Malgré ce rôle central, peu d’études ont porté sur les pratiques et l’attitude du médecin généraliste en matière de délivrance de certificat d’incapacité de travail et sur son rôle dans la reprise du travail. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2121 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58044 |
in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 150-153
[article] Comment les médecins généralistes gèrent-ils l’incapacité de travail chez les patients ayant des symptômes de dépression ? [document électronique] / M. Heyerick ; M. Lemiengre . - 2017 . - p. 150-153. Langues : Français ( fre) in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 150-153
Mots-clés : |
Absentéisme Dépression Santé mentale Absentéisme au travail Congé maladie Relation médecin-patient Reprise du travail |
Résumé : |
Les symptômes de la dépression sont une cause importante d’incapacité de travail. Une étude néerlandaise (1) a montré que, parmi les personnes souffrant d’un trouble de l’humeur, la proportion de celles qui sont toujours incapables de travailler est de 56% après 6 mois et de 30% après un an. Une récente méta-analyse (2) montre qu’un des principaux éléments, auxquels les patients souffrant de problèmes psychiques sont confrontés durant la remise au travail, est le manque de concertation et de coordination entre les acteurs clés. Le médecin généraliste endosse le rôle social de prescrire l’incapacité de travail et d’accompagner le retour au travail. Malgré ce rôle central, peu d’études ont porté sur les pratiques et l’attitude du médecin généraliste en matière de délivrance de certificat d’incapacité de travail et sur son rôle dans la reprise du travail. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2121 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58044 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Écouter de la musique pour vaincre l’insomnie ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
T. Declercq ; T. Poelman |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 146-149 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Efficacité Musicotherapie Musique Sommeil Troubles du sommeil |
Résumé : |
D’après l’enquête réalisée auprès de la population belge, environ 30% des personnes de plus de 15 ans ont des problèmes de sommeil (1). Malgré leur effet avéré, on ne profite pas assez des traitements non pharmacologiques comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) (2-6) et la thérapie par restriction de sommeil (7,8). L’effort demandé au patient et la nécessité d’intervenants formés pourraient être des freins. On recherche donc des alternatives plus simples et moins onéreuses, comme celle d’écouter de la musique. La musicothérapie est déjà utilisée comme antalgique (9), en neuro-revalidation (10) pour la prise en charge de certaines affections psychiatriques (11,12) ainsi que pour l’amélioration du bien-être psychique général dans les affections chroniques telles que le cancer et les cardiopathies (13,14). Au cours des 20 dernières années, plusieurs études ont examiné l’impact de différentes méthodes d’écoute musicale sur la qualité du sommeil. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2120 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58067 |
in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 146-149
[article] Écouter de la musique pour vaincre l’insomnie ? [document électronique] / T. Declercq ; T. Poelman . - 2017 . - p. 146-149. Langues : Français ( fre) in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 146-149
Mots-clés : |
Efficacité Musicotherapie Musique Sommeil Troubles du sommeil |
Résumé : |
D’après l’enquête réalisée auprès de la population belge, environ 30% des personnes de plus de 15 ans ont des problèmes de sommeil (1). Malgré leur effet avéré, on ne profite pas assez des traitements non pharmacologiques comme la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) (2-6) et la thérapie par restriction de sommeil (7,8). L’effort demandé au patient et la nécessité d’intervenants formés pourraient être des freins. On recherche donc des alternatives plus simples et moins onéreuses, comme celle d’écouter de la musique. La musicothérapie est déjà utilisée comme antalgique (9), en neuro-revalidation (10) pour la prise en charge de certaines affections psychiatriques (11,12) ainsi que pour l’amélioration du bien-être psychique général dans les affections chroniques telles que le cancer et les cardiopathies (13,14). Au cours des 20 dernières années, plusieurs études ont examiné l’impact de différentes méthodes d’écoute musicale sur la qualité du sommeil. |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2120 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58067 |
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Exemplaires
[article]
Titre : |
Logopédie et kinésithérapie en cas de toux chronique idiopathique chez l’adulte ? |
Type de document : |
document électronique |
Auteurs : |
E. Van Kerckhove ; T. Poelman |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 142-145 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Adulte Affectivité Indicateurs d'état de santé Kinésithérapie (spécialité) Logopedie Maladie chronique Qualité de vie Toux Toux chronique |
Résumé : |
Une toux qui dure plus de 8 semaines est dite chronique (1,2). Sa prévalence dans la population générale est estimée à 12% (3). La toux chronique a un impact important sur la qualité de vie (1,2). Les trois principales causes de toux chronique chez le non-fumeur avec une radiographie de thorax normale sont l’asthme, le reflux gastro-intestinal et la rhinosinusite (1). Mais chez un nombre considérable de patients, on ne retrouve aucune cause ; on parle dans ce cas de toux chronique idiopathique (1,2). Les différentes tentatives thérapeutiques portent souvent sur la gabapentine, l’amitriptyline, la morphine (2) et la prégabaline (4), dont l’effet et l’innocuité varient. Plusieurs études évaluant un traitement logopédique/orthophonique ont montré des résultats prometteurs, mais elles n’utilisaient pas de groupe contrôle (5) ou leurs critères d’évaluation étaient subjectifs. (6) |
En ligne : |
http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2119 |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58127 |
in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 142-145
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Exemplaires
[article] Un supplément de vitamine D permet-il de prévenir les infections aiguës des voies respiratoires ? [document électronique] / Gert Laekeman . - 2017 . - p. 154-157. Langues : Français ( fre) in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 154-157 |
Exemplaires
[article] Une ombre sur le dépistage du risque cardiovasculaire global en prévention primaire ? [document électronique] / P. De Cort . - 2017 . - p. 136-137. Langues : Français ( fre) in Minerva > Vol. 16, n°6 (Juillet 2017) . - p. 136-137 |
Exemplaires