Centre de Documentation Campus Montignies
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40 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'traumatismes sportifs'
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Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote / R. Rousseau in Journal de traumatologie du sport, Vol. 34, n°3 (Septembre 2017)
[article]
Titre : Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Rousseau ; A. Frey ; L. Chiquet Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 161-167 Langues : Français (fre) Mots-clés : Judo Épidémiologie Traumatismes sportifs Vidéo Résumé : Le judo est un sport de combat présentant des risques inhérents de blessures. Bien que ce sport soit pratiqué à l’échelle mondiale, peu d’études permettent de recenser précisément les blessures en compétition de haut niveau. Le but de cette étude était de recenser et d’analyser par vidéo les traumatismes survenus lors des compétitions élite nationales sur 2 saisons. Il s’agissait d’une étude prospective observationnelle. Un bilan diagnostique précis était réalisé et chacune des blessures étaient analysées par un groupe de travail regroupant médecins traumatologues, chirurgiens orthopédistes, responsables techniques nationaux et techniciens vidéo. Les données démographiques usuelles étaient recueillies ainsi que la catégorie de poids, le stade de la compétition, la nécessité ou non d’évacuation ainsi que le diagnostic lésionnel précis par examen systématique de l’athlète à 6 semaines. La durée d’arrêt d’activité était évaluée. L’analyse vidéo déterminait le temps de combat écoulé, la position du judoka en attaque ou en défense, le type de technique réalisé, le mécanisme lésionnel et, s’il existait, une faute technique ou une mauvaise appréciation d’arbitrage ayant conduit à la blessure. Trois mille trente quatre combats ont été analysés impliquant 2458 combattants (1189 femmes et 1269 hommes) ; 66 traumatismes ont été identifiés (2,2 % des combats). Il n’existait pas de différence statistiquement significative en termes d’âge, de sexe, de catégories de poids, de nombre de combats et du temps écoulé avant la survenue d’un traumatisme. Une évacuation a été nécessaire dans 10,6 % des cas. Les principaux traumatismes retrouvés ont été les ruptures du ligament croisé antérieur (19,7 %), les contusions articulaires (13,6 %) et les disjonctions acromioclaviculaires (10,6 %). L’arrêt d’activité a été de plus de 6 semaines dans 40,9 % des cas. Dans 83,3 % des cas, la blessure est survenue sur un combattant en défense. Une erreur technique était à l’origine du traumatisme dans 18,2 % des cas et s’est toujours produite en 2e partie de combat. La rupture du ligament croisé antérieur a toujours eu lieu chez un combattant en situation de défense. Dans 85 % des cas, il n’existait pas de fautes techniques. Le mécanisme lésionnel le plus fréquent était en valgus-flexion-rotation latérale (77 %) sur des techniques de projection sur l’arrière, pied bloqué au sol. L’arrêt d’activité a toujours dépassé les 6 semaines. La disjonction acromioclaviculaire est, elle aussi, survenue majoritairement chez un combattant en défense. Le mécanisme lésionnel était une chute sur le moignon de l’épaule ou sur le coude lors d’une projection vers l’avant. Dans tous les cas, il existait une erreur technique lors de la chute. L’arrêt d’activité a été de 3 et 6 semaines dans 57 % des cas et de plus de 6 semaines dans 43 % des cas. L’analyse de la vidéo a permis d’obtenir des données précises sur le mécanisme et les situations à risque de traumatisme. La rupture du ligament croisé antérieur semble être la pathologie la plus problématique en termes de fréquence, de durée d’arrêt d’activité et de gravité. Ces résultats préliminaires nécessitent d’être développés à plus grande échelle en ciblant les pathologies recensées pour proposer des mesures de prévention efficaces permettant de diminuer les situations à risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50146
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 161-167[article] Analyse vidéo et traumatismes en compétition de judo de haut niveau : étude pilote [texte imprimé] / R. Rousseau ; A. Frey ; L. Chiquet . - 2017 . - pp. 161-167.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol. 34, n°3 (Septembre 2017) . - pp. 161-167
Mots-clés : Judo Épidémiologie Traumatismes sportifs Vidéo Résumé : Le judo est un sport de combat présentant des risques inhérents de blessures. Bien que ce sport soit pratiqué à l’échelle mondiale, peu d’études permettent de recenser précisément les blessures en compétition de haut niveau. Le but de cette étude était de recenser et d’analyser par vidéo les traumatismes survenus lors des compétitions élite nationales sur 2 saisons. Il s’agissait d’une étude prospective observationnelle. Un bilan diagnostique précis était réalisé et chacune des blessures étaient analysées par un groupe de travail regroupant médecins traumatologues, chirurgiens orthopédistes, responsables techniques nationaux et techniciens vidéo. Les données démographiques usuelles étaient recueillies ainsi que la catégorie de poids, le stade de la compétition, la nécessité ou non d’évacuation ainsi que le diagnostic lésionnel précis par examen systématique de l’athlète à 6 semaines. La durée d’arrêt d’activité était évaluée. L’analyse vidéo déterminait le temps de combat écoulé, la position du judoka en attaque ou en défense, le type de technique réalisé, le mécanisme lésionnel et, s’il existait, une faute technique ou une mauvaise appréciation d’arbitrage ayant conduit à la blessure. Trois mille trente quatre combats ont été analysés impliquant 2458 combattants (1189 femmes et 1269 hommes) ; 66 traumatismes ont été identifiés (2,2 % des combats). Il n’existait pas de différence statistiquement significative en termes d’âge, de sexe, de catégories de poids, de nombre de combats et du temps écoulé avant la survenue d’un traumatisme. Une évacuation a été nécessaire dans 10,6 % des cas. Les principaux traumatismes retrouvés ont été les ruptures du ligament croisé antérieur (19,7 %), les contusions articulaires (13,6 %) et les disjonctions acromioclaviculaires (10,6 %). L’arrêt d’activité a été de plus de 6 semaines dans 40,9 % des cas. Dans 83,3 % des cas, la blessure est survenue sur un combattant en défense. Une erreur technique était à l’origine du traumatisme dans 18,2 % des cas et s’est toujours produite en 2e partie de combat. La rupture du ligament croisé antérieur a toujours eu lieu chez un combattant en situation de défense. Dans 85 % des cas, il n’existait pas de fautes techniques. Le mécanisme lésionnel le plus fréquent était en valgus-flexion-rotation latérale (77 %) sur des techniques de projection sur l’arrière, pied bloqué au sol. L’arrêt d’activité a toujours dépassé les 6 semaines. La disjonction acromioclaviculaire est, elle aussi, survenue majoritairement chez un combattant en défense. Le mécanisme lésionnel était une chute sur le moignon de l’épaule ou sur le coude lors d’une projection vers l’avant. Dans tous les cas, il existait une erreur technique lors de la chute. L’arrêt d’activité a été de 3 et 6 semaines dans 57 % des cas et de plus de 6 semaines dans 43 % des cas. L’analyse de la vidéo a permis d’obtenir des données précises sur le mécanisme et les situations à risque de traumatisme. La rupture du ligament croisé antérieur semble être la pathologie la plus problématique en termes de fréquence, de durée d’arrêt d’activité et de gravité. Ces résultats préliminaires nécessitent d’être développés à plus grande échelle en ciblant les pathologies recensées pour proposer des mesures de prévention efficaces permettant de diminuer les situations à risque. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=50146 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉtude sur la perception des blessures par les athlètes et leurs influences sur la réalisation de mesures de prévention des blessures en athlétisme / M. Sorg in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)
[article]
Titre : Étude sur la perception des blessures par les athlètes et leurs influences sur la réalisation de mesures de prévention des blessures en athlétisme Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Sorg ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 193-200 Langues : Français (fre) Mots-clés : Athlétisme Traumatismes sportifs Résumé : Introduction
Mieux comprendre les conséquences psychologiques d’une blessure et l’influence de celle-ci sur les modifications de comportement et la réalisation d’un programme de prévention semble pertinent pour la prise en charge thérapeutique et dans une optique de prévention. Ainsi, l’objectif de cette présente étude a donc été (1) d’analyser la perception des blessures par les athlètes, et (2) d’analyser l’influence de celles-ci sur la réalisation de mesures de prévention.
Méthodes
Nous avons conduit une étude observationnelle quantitative rétrospective nationale de recueil du ressenti des athlètes de compétition licenciés à la Fédération française d’athlétisme vis-à-vis de leurs antécédents de blessures, leur perception de la blessure et les programmes de prévention des blessures, par un questionnaire informatique envoyé aux athlètes au printemps 2020.
Résultats
Au total, 7712 réponses d’athlètes ont été incluses dans cette analyse, incluant 37 % de femmes et 63 % d’hommes, âgés de 37,9±14,8 ans (de 18 à 87 ans), allant de niveau international à départemental, couvrant toutes les disciplines de l’athlétisme. Soixante-dix pour cent des athlètes n’avaient jamais réalisé de programme de prévention des blessures durant leur carrière, alors que 30 % estimaient en avoir suivi un de manière partielle ou totale. Quatre-vingt dix pour cent des athlètes avaient eu au moins une blessure depuis le début de leur pratique. Les sportifs rapportaient qu’une blessure engendrait une tristesse, une frustration, un dégoût et une préoccupation de se refaire mal au même endroit. Ils étaient conscients qu’une mauvaise prise en charge pouvait entraîner une récidive ou une nouvelle blessure. Les athlètes avec antécédent de blessure réalisaient significativement plus un programme de prévention des lésions que ceux ne s’étant jamais blessés. Ceux s’étant déjà blessés croyaient en l’efficacité des programmes de prévention, davantage que ceux sans antécédent de blessure. En revanche, il n’y avait pas de différence de perception de l’intérêt de mesures préventives telles que l’hygiène de vie, l’écoute de son corps, de ses douleurs et de sa fatigue entre les athlètes avec et sans antécédent de blessures.
Conclusion
Une blessure peut entraîner des conséquences psychologiques non négligeables pour l’athlète. Ses répercussions sont importantes à prendre en compte dans la prise en charge globale des lésions.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90058
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 193-200[article] Étude sur la perception des blessures par les athlètes et leurs influences sur la réalisation de mesures de prévention des blessures en athlétisme [texte imprimé] / M. Sorg ; et al. . - 2020 . - p. 193-200.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°4 (Décembre 2020) . - p. 193-200
Mots-clés : Athlétisme Traumatismes sportifs Résumé : Introduction
Mieux comprendre les conséquences psychologiques d’une blessure et l’influence de celle-ci sur les modifications de comportement et la réalisation d’un programme de prévention semble pertinent pour la prise en charge thérapeutique et dans une optique de prévention. Ainsi, l’objectif de cette présente étude a donc été (1) d’analyser la perception des blessures par les athlètes, et (2) d’analyser l’influence de celles-ci sur la réalisation de mesures de prévention.
Méthodes
Nous avons conduit une étude observationnelle quantitative rétrospective nationale de recueil du ressenti des athlètes de compétition licenciés à la Fédération française d’athlétisme vis-à-vis de leurs antécédents de blessures, leur perception de la blessure et les programmes de prévention des blessures, par un questionnaire informatique envoyé aux athlètes au printemps 2020.
Résultats
Au total, 7712 réponses d’athlètes ont été incluses dans cette analyse, incluant 37 % de femmes et 63 % d’hommes, âgés de 37,9±14,8 ans (de 18 à 87 ans), allant de niveau international à départemental, couvrant toutes les disciplines de l’athlétisme. Soixante-dix pour cent des athlètes n’avaient jamais réalisé de programme de prévention des blessures durant leur carrière, alors que 30 % estimaient en avoir suivi un de manière partielle ou totale. Quatre-vingt dix pour cent des athlètes avaient eu au moins une blessure depuis le début de leur pratique. Les sportifs rapportaient qu’une blessure engendrait une tristesse, une frustration, un dégoût et une préoccupation de se refaire mal au même endroit. Ils étaient conscients qu’une mauvaise prise en charge pouvait entraîner une récidive ou une nouvelle blessure. Les athlètes avec antécédent de blessure réalisaient significativement plus un programme de prévention des lésions que ceux ne s’étant jamais blessés. Ceux s’étant déjà blessés croyaient en l’efficacité des programmes de prévention, davantage que ceux sans antécédent de blessure. En revanche, il n’y avait pas de différence de perception de l’intérêt de mesures préventives telles que l’hygiène de vie, l’écoute de son corps, de ses douleurs et de sa fatigue entre les athlètes avec et sans antécédent de blessures.
Conclusion
Une blessure peut entraîner des conséquences psychologiques non négligeables pour l’athlète. Ses répercussions sont importantes à prendre en compte dans la prise en charge globale des lésions.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=90058 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation des risques et des bénéfices à la pratique de la pole dance : enquête par auto-questionnaire auprès des danseuses du Sud-ouest de la France / S. Istoczak in Journal de traumatologie du sport, vol. 39, 2 (juin 2022)
[article]
Titre : Évaluation des risques et des bénéfices à la pratique de la pole dance : enquête par auto-questionnaire auprès des danseuses du Sud-ouest de la France Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Istoczak ; J.-M. Vital ; M. De-Seze Année de publication : 2022 Article en page(s) : p.68-77 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes sportifs Danse Pôle dance Résumé : Les publications concernant l’analyse des risques et des bénéfices à la pratique de la pole dance sont rares et mal connues. Il s’agit pourtant d’un sport susceptible de devenir une discipline olympique. Comme pour toute activité physique, il est intéressant de connaître l’apport de celle-ci dans les recommandations du Sport Santé.
Objectifs
Le but de cette étude était de déterminer les risques, puis secondairement les bénéfices à la pratique de la pole dance.
Méthodes
Une étude rétrospective a été réalisée par auto-questionnaire standardisé auprès des danseuses du Sud-ouest de la France de mars à juin 2019.
Résultats
Nous avons analysé 133 questionnaires. Il a été relevé 54,9 % d’événements marquants faits de traumatismes et de pathologies de surutilisation (50,0 % chacun). L’épaule (20,5 %), la cuisse (20,5 %) et le rachis (20,5 %) sont les zones les plus vulnérables. Les tendinopathies des épaules (11,4 %) et les atteintes des ischiojambiers (11,4 %) étaient prépondérantes. Les chutes et mauvaises réceptions représentaient 12,0 % des lésions. Les blessures ont provoqué un arrêt sportif dans 74,2 % des cas avec une médiane de 6 semaines et un arrêt de travail dans 9,8 % des cas avec une médiane de 1 mois. Les bénéfices ont été évalués comme importants à très importants pour le système musculo-squelettique et l’intérêt psychosocial. L’intensité de ce sport a été estimée entre modérée à intense.
Conclusion
Les risques à la pratique de la pole dance sont nombreux. Ils sont à mettre en balance avec les bénéfices importants induits. Ce sport peut être conseillé dans le Sport Santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104819
in Journal de traumatologie du sport > vol. 39, 2 (juin 2022) . - p.68-77[article] Évaluation des risques et des bénéfices à la pratique de la pole dance : enquête par auto-questionnaire auprès des danseuses du Sud-ouest de la France [texte imprimé] / S. Istoczak ; J.-M. Vital ; M. De-Seze . - 2022 . - p.68-77.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > vol. 39, 2 (juin 2022) . - p.68-77
Mots-clés : Traumatismes sportifs Danse Pôle dance Résumé : Les publications concernant l’analyse des risques et des bénéfices à la pratique de la pole dance sont rares et mal connues. Il s’agit pourtant d’un sport susceptible de devenir une discipline olympique. Comme pour toute activité physique, il est intéressant de connaître l’apport de celle-ci dans les recommandations du Sport Santé.
Objectifs
Le but de cette étude était de déterminer les risques, puis secondairement les bénéfices à la pratique de la pole dance.
Méthodes
Une étude rétrospective a été réalisée par auto-questionnaire standardisé auprès des danseuses du Sud-ouest de la France de mars à juin 2019.
Résultats
Nous avons analysé 133 questionnaires. Il a été relevé 54,9 % d’événements marquants faits de traumatismes et de pathologies de surutilisation (50,0 % chacun). L’épaule (20,5 %), la cuisse (20,5 %) et le rachis (20,5 %) sont les zones les plus vulnérables. Les tendinopathies des épaules (11,4 %) et les atteintes des ischiojambiers (11,4 %) étaient prépondérantes. Les chutes et mauvaises réceptions représentaient 12,0 % des lésions. Les blessures ont provoqué un arrêt sportif dans 74,2 % des cas avec une médiane de 6 semaines et un arrêt de travail dans 9,8 % des cas avec une médiane de 1 mois. Les bénéfices ont été évalués comme importants à très importants pour le système musculo-squelettique et l’intérêt psychosocial. L’intensité de ce sport a été estimée entre modérée à intense.
Conclusion
Les risques à la pratique de la pole dance sont nombreux. Ils sont à mettre en balance avec les bénéfices importants induits. Ce sport peut être conseillé dans le Sport Santé.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=104819 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtÉvaluation du taux de blessures chez les pratiquants de CrossFit en France / M. Gile in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°1 (Mars 2020)
[article]
Titre : Évaluation du taux de blessures chez les pratiquants de CrossFit en France Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Gile ; J. Petit ; V. Germeaux Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 2-9 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traumatismes sportifs Paramédical Cross-fit Résumé : Le CrossFit est une discipline sportive de développement récent en France et dans le monde. C’est un sport à part entière visant à optimiser toutes les composantes de la condition physique, mais est aussi utilisé comme méthode de préparation physique pour d’autres sports. Malgré l’engouement croissant de la population, il a la réputation d’être pourvoyeur de traumatismes. Le but de cette étude était donc de déterminer objectivement le taux de blessures pour 1000heures d’entraînement en France et de le comparer à ceux d’autres sports.
Méthode
Toutes les salles affiliées CrossFit de France métropolitaine ouvertes depuis au moins un mois au 1er octobre 2015 ont été contactées. Parmi celles qui ont accepté de participer, un tirage au sort de 25 % des adhérents a été effectué. Ceux-ci devaient répondre à un questionnaire visant à évaluer : leur pratique du CrossFit, les blessures lors de la pratique du CrossFit et plus anciennes, leur mode de vie et les modifications de leurs caractéristiques physiques.
Résultats
Au total, 21 salles affiliées réparties en France ont participé, 664 questionnaires ont été remplis et analysés (taux de participation=87,6 %) : 167 participants ont déclaré au moins une blessure au cours de la pratique du CrossFit lors des 12 mois précédents. Le taux de blessures était en moyenne de 2,3/1000h d’entraînement. Les traumatismes étaient significativement plus fréquents chez les hommes (p<0,05) et les consommateurs d’alcool (p<0,05). Le risque de blessure augmentait avec le nombre d’heures d’entraînement par semaine (p<0,001), la pratique de la compétition (p<0,05), en cas de modification de l’alimentation (p<0,05), avec l’ancienneté de pratique (p<0,001) et/ou un antécédent de blessure (p<0,001).
Conclusion
À notre connaissance, cette étude est la première à s’intéresser à l’épidémiologie des blessures lors de la pratique du CrossFit en France. Du fait de sa méthodologie et de son bon taux de participation, elle constitue une base solide pour évaluer le taux de blessures de ce sport qui apparaît faible comparativement à d’autres sports répandus. La majorité des pratiquants ont déclaré ressentir une amélioration de leur condition physique. Il apparaît ainsi possible de conseiller ce sport sans craindre à court terme de « sur-risque » de blessure chez les sujets souhaitant améliorer leur condition physique, dans un objectif de performance ou de santé, sous réserve d’une pratique adaptée et progressive.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86092
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 2-9[article] Évaluation du taux de blessures chez les pratiquants de CrossFit en France [texte imprimé] / M. Gile ; J. Petit ; V. Germeaux . - 2020 . - p. 2-9.
Langues : Français (fre)
in Journal de traumatologie du sport > Vol.37, n°1 (Mars 2020) . - p. 2-9
Mots-clés : Traumatismes sportifs Paramédical Cross-fit Résumé : Le CrossFit est une discipline sportive de développement récent en France et dans le monde. C’est un sport à part entière visant à optimiser toutes les composantes de la condition physique, mais est aussi utilisé comme méthode de préparation physique pour d’autres sports. Malgré l’engouement croissant de la population, il a la réputation d’être pourvoyeur de traumatismes. Le but de cette étude était donc de déterminer objectivement le taux de blessures pour 1000heures d’entraînement en France et de le comparer à ceux d’autres sports.
Méthode
Toutes les salles affiliées CrossFit de France métropolitaine ouvertes depuis au moins un mois au 1er octobre 2015 ont été contactées. Parmi celles qui ont accepté de participer, un tirage au sort de 25 % des adhérents a été effectué. Ceux-ci devaient répondre à un questionnaire visant à évaluer : leur pratique du CrossFit, les blessures lors de la pratique du CrossFit et plus anciennes, leur mode de vie et les modifications de leurs caractéristiques physiques.
Résultats
Au total, 21 salles affiliées réparties en France ont participé, 664 questionnaires ont été remplis et analysés (taux de participation=87,6 %) : 167 participants ont déclaré au moins une blessure au cours de la pratique du CrossFit lors des 12 mois précédents. Le taux de blessures était en moyenne de 2,3/1000h d’entraînement. Les traumatismes étaient significativement plus fréquents chez les hommes (p<0,05) et les consommateurs d’alcool (p<0,05). Le risque de blessure augmentait avec le nombre d’heures d’entraînement par semaine (p<0,001), la pratique de la compétition (p<0,05), en cas de modification de l’alimentation (p<0,05), avec l’ancienneté de pratique (p<0,001) et/ou un antécédent de blessure (p<0,001).
Conclusion
À notre connaissance, cette étude est la première à s’intéresser à l’épidémiologie des blessures lors de la pratique du CrossFit en France. Du fait de sa méthodologie et de son bon taux de participation, elle constitue une base solide pour évaluer le taux de blessures de ce sport qui apparaît faible comparativement à d’autres sports répandus. La majorité des pratiquants ont déclaré ressentir une amélioration de leur condition physique. Il apparaît ainsi possible de conseiller ce sport sans craindre à court terme de « sur-risque » de blessure chez les sujets souhaitant améliorer leur condition physique, dans un objectif de performance ou de santé, sous réserve d’une pratique adaptée et progressive.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=86092 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtExercices optimaux de lutte contre la neuro-inhibition musculaire après lésion de la longue portion du Biceps fémoral : revue de littérature / Damien Rahn in Kinésithérapie, la revue, 258 (juin 2023)
[article]
Titre : Exercices optimaux de lutte contre la neuro-inhibition musculaire après lésion de la longue portion du Biceps fémoral : revue de littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : Damien Rahn Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 26-37 Langues : Français (fre) Mots-clés : Revue de la littérature biceps lésions Traumatismes sportifs biceps fémoral Résumé : Contexte
Suite à une lésion musculaire de la longue portion du Biceps fémoral, une neuro-inhibition s’installe de façon aiguë pour protéger la zone lésée. Si une rééducation non spécifique n’est pas effectuée, ce phénomène peut persister de manière chronique et accroître la vulnérabilité à la récidive.
L’objectif était de rechercher parmi les exercices rééducatifs, ceux qui activent fortement et spécifiquement la longue portion du Biceps fémoral.
Méthodes
Cette revue de littérature a inclus des études expérimentales menées sur des sportifs adultes de tous niveaux, sains au moment de l’étude. Les bases de données PubMed, Science Direct, Embase, Cochrane Library, SportDiscus et PeDRO ont été consultées suivant un même protocole.
Résultats
Trente-six études ont été incluses, 33 exercices différents ont été étudiés. Apporter certaines variations aux exercices standards permet d’être plus spécifique et, dans certains cas, d’augmenter l’activité musculaire et la dominance de la longue portion du Biceps fémoral.
Conclusion
Ce travail met en évidence que le choix des exercices et de certaines variantes permettent d’activer fortement et spécifiquement la longue portion du Biceps fémoral.
Niveau de preuve:
2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111752
in Kinésithérapie, la revue > 258 (juin 2023) . - p. 26-37[article] Exercices optimaux de lutte contre la neuro-inhibition musculaire après lésion de la longue portion du Biceps fémoral : revue de littérature [texte imprimé] / Damien Rahn . - 2023 . - p. 26-37.
Langues : Français (fre)
in Kinésithérapie, la revue > 258 (juin 2023) . - p. 26-37
Mots-clés : Revue de la littérature biceps lésions Traumatismes sportifs biceps fémoral Résumé : Contexte
Suite à une lésion musculaire de la longue portion du Biceps fémoral, une neuro-inhibition s’installe de façon aiguë pour protéger la zone lésée. Si une rééducation non spécifique n’est pas effectuée, ce phénomène peut persister de manière chronique et accroître la vulnérabilité à la récidive.
L’objectif était de rechercher parmi les exercices rééducatifs, ceux qui activent fortement et spécifiquement la longue portion du Biceps fémoral.
Méthodes
Cette revue de littérature a inclus des études expérimentales menées sur des sportifs adultes de tous niveaux, sains au moment de l’étude. Les bases de données PubMed, Science Direct, Embase, Cochrane Library, SportDiscus et PeDRO ont été consultées suivant un même protocole.
Résultats
Trente-six études ont été incluses, 33 exercices différents ont été étudiés. Apporter certaines variations aux exercices standards permet d’être plus spécifique et, dans certains cas, d’augmenter l’activité musculaire et la dominance de la longue portion du Biceps fémoral.
Conclusion
Ce travail met en évidence que le choix des exercices et de certaines variantes permettent d’activer fortement et spécifiquement la longue portion du Biceps fémoral.
Niveau de preuve:
2.Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=111752 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Document exclu du prêt - à consulter sur place
Exclu du prêtLes facteurs de risque d’entorses de genoux au sein des troupes de montagne en activité hivernale / M. Sanchez in Journal de traumatologie du sport, vol. 40, N°04 (decembre 2023)
PermalinkGravité du traumatisme et souffrance psychosociale chez le sportif aux urgences in Science & sports, Volume 24 numéro 5 (01/11/2009)
PermalinkLa première luxation antérieure de l’épaule : quelles lésions anatomiques ? / Jacques Rodineau in Journal de traumatologie du sport, Vol.37, n°4 (Décembre 2020)
PermalinkReconstruction du ligament croisé antérieur au didt et facteurs de risques des troubles de la marche associés : une étude multicentrique contrôlée / Marine Gaignion in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
PermalinkSyndrome du conflit fémoro-acétabulaire / Patrick Dorie in Kinésithérapie scientifique, 628 (Février 2021)
Permalink