Centre de Documentation Campus Montignies
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'maladie de Waldenström'
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Potentiométries directe et indirecte : différences précisées à travers un cas de maladie de Waldenström / Mohamed Sofiane Zelmat in Annales de Biologie Clinique, 73/3 (Mai-Juin 2015)
[article]
Titre : Potentiométries directe et indirecte : différences précisées à travers un cas de maladie de Waldenström Type de document : texte imprimé Auteurs : Mohamed Sofiane Zelmat, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : 345-352 Langues : Français (fre) Mots-clés : potentiométrie directe potentiométrie indirecte effet de l’exclusion du volume maladie de Waldenström pseudohyponatrémie pseudohypernatrémie pseudonormonatrémie Résumé : La potentiométrie directe et la potentiométrie indirecte sont deux techniques couramment utilisées dans les laboratoires de biochimie pour le dosage des électrolytes comme par exemple le sodium. En clinique, c’est la concentration du sodium dans l’eau plasmatique -mesure réalisée par la potentiométrie directe- qui est importante, car elle est responsable des mouvements d’eau entre les secteurs liquidiens. La connaissance de la différence qui existe entre les 2 méthodes de dosage est importante car il existe des cas où elles peuvent donner des résultats discordants, en particulier pour le sodium, et des décisions thérapeutiques inappropriées risquent d’être prises par le clinicien s’il ignore cette différence. Ces cas sont l’augmentation et la diminution du volume de l’eau plasmatique qui font que les résultats de la potentiométrie indirecte ne reflètent pas la concentration dans l’eau plasmatique car cette méthode, après une étape de dilution, ne tient pas compte du pourcentage réel d’eau plasmatique du patient dans la détermination des concentrations (ce qui aboutit pour le sodium et selon les cas à une pseudohyponatrémie, une pseudonormonatrémie ou une pseudohypernatrémie). La potentiométrie directe ne passe pas par une étape de dilution et donne des résultats corrects, dans les situations de modification du volume de l’eau plasmatique. Cet article précise les différences entre les deux techniques à travers un cas de maladie de Waldenström, puis propose une conduite à tenir à la fois pour le biologiste et le clinicien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=66393
in Annales de Biologie Clinique > 73/3 (Mai-Juin 2015) . - 345-352[article] Potentiométries directe et indirecte : différences précisées à travers un cas de maladie de Waldenström [texte imprimé] / Mohamed Sofiane Zelmat, Auteur . - 2015 . - 345-352.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 73/3 (Mai-Juin 2015) . - 345-352
Mots-clés : potentiométrie directe potentiométrie indirecte effet de l’exclusion du volume maladie de Waldenström pseudohyponatrémie pseudohypernatrémie pseudonormonatrémie Résumé : La potentiométrie directe et la potentiométrie indirecte sont deux techniques couramment utilisées dans les laboratoires de biochimie pour le dosage des électrolytes comme par exemple le sodium. En clinique, c’est la concentration du sodium dans l’eau plasmatique -mesure réalisée par la potentiométrie directe- qui est importante, car elle est responsable des mouvements d’eau entre les secteurs liquidiens. La connaissance de la différence qui existe entre les 2 méthodes de dosage est importante car il existe des cas où elles peuvent donner des résultats discordants, en particulier pour le sodium, et des décisions thérapeutiques inappropriées risquent d’être prises par le clinicien s’il ignore cette différence. Ces cas sont l’augmentation et la diminution du volume de l’eau plasmatique qui font que les résultats de la potentiométrie indirecte ne reflètent pas la concentration dans l’eau plasmatique car cette méthode, après une étape de dilution, ne tient pas compte du pourcentage réel d’eau plasmatique du patient dans la détermination des concentrations (ce qui aboutit pour le sodium et selon les cas à une pseudohyponatrémie, une pseudonormonatrémie ou une pseudohypernatrémie). La potentiométrie directe ne passe pas par une étape de dilution et donne des résultats corrects, dans les situations de modification du volume de l’eau plasmatique. Cet article précise les différences entre les deux techniques à travers un cas de maladie de Waldenström, puis propose une conduite à tenir à la fois pour le biologiste et le clinicien. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=66393 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de Documentation HELHa Campus Montignies Armoires à volets Disponible
DisponibleLymphome lymphoplasmocytaire ou myélome multiple : quand les immunoglobulines induisent en erreur / Jérôme Debus in Annales de Biologie Clinique, 76/4 (juillet-août 2018)
[article]
Titre : Lymphome lymphoplasmocytaire ou myélome multiple : quand les immunoglobulines induisent en erreur Type de document : texte imprimé Auteurs : Jérôme Debus ; Pierre Lemaire ; Mustafa Alani Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 451-457 Langues : Français (fre) Mots-clés : lymphome lymphoplasmocytaire maladie de Waldenström gammapathie immunoglobuline monoclonale IgA Résumé : Nous rapportons ici un cas de lymphome lymphoplasmocytaire à IgA et un cas de double-hémopathie associant une maladie de Waldenström et une gammapathie monoclonale de signification indéterminée. Ces cas rarement décrits dans la littérature illustrent le fait que l’isotype d’une immunoglobuline monoclonale ne permet pas toujours de préjuger de la pathologie sous-jacente. Les données cliniques et d’imagerie sont essentielles au diagnostic. Sur le plan biologique, les examens complémentaires (immunophénotypage, cytogénétique et biologie moléculaire) sont indissociables de la cytologie pour fournir un diagnostic différentiel précis entre hémopathie lymphoïde et pathologie plasmocytaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77190
in Annales de Biologie Clinique > 76/4 (juillet-août 2018) . - p. 451-457[article] Lymphome lymphoplasmocytaire ou myélome multiple : quand les immunoglobulines induisent en erreur [texte imprimé] / Jérôme Debus ; Pierre Lemaire ; Mustafa Alani . - 2018 . - p. 451-457.
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > 76/4 (juillet-août 2018) . - p. 451-457
Mots-clés : lymphome lymphoplasmocytaire maladie de Waldenström gammapathie immunoglobuline monoclonale IgA Résumé : Nous rapportons ici un cas de lymphome lymphoplasmocytaire à IgA et un cas de double-hémopathie associant une maladie de Waldenström et une gammapathie monoclonale de signification indéterminée. Ces cas rarement décrits dans la littérature illustrent le fait que l’isotype d’une immunoglobuline monoclonale ne permet pas toujours de préjuger de la pathologie sous-jacente. Les données cliniques et d’imagerie sont essentielles au diagnostic. Sur le plan biologique, les examens complémentaires (immunophénotypage, cytogénétique et biologie moléculaire) sont indissociables de la cytologie pour fournir un diagnostic différentiel précis entre hémopathie lymphoïde et pathologie plasmocytaire. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=77190 Réservation
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DisponibleUn train peut en cacher un autre / Clotilde Bravetti in Annales de Biologie Clinique, Vol. 78, n°5 (Septembre - Octobre 2020)
[article]
Titre : Un train peut en cacher un autre Type de document : texte imprimé Auteurs : Clotilde Bravetti ; Magali Le Garff-Tavernier ; Anne De Septenville ; et al. Année de publication : 2020 Article en page(s) : p. 527-536 Note générale : DOI : 10.1684/abc.2020.1591 Langues : Français (fre) Mots-clés : lymphome B diffus à grandes cellules maladie de Waldenström clonalité cytokines cytométrie en flux anatomopathologie Résumé : Nous rapportons ici le cas d’un patient dont le diagnostic initial était celui d’une maladie de Waldenström. Il a présenté secondairement un lymphome B diffus à grandes cellules (LBDGC) localisé dans les fosses nasales qui a rechuté au niveau oculaire. Le diagnostic de ces deux hémopathies repose sur une approche biologique multidisciplinaire en ayant recours à de nouvelles techniques sensibles et spécifiques. Le bilan biologique a permis de mettre en évidence des clones lymphocytaires B différents indiquant des origines distinctes de ces deux pathologies. Cette observation souligne l’importance des analyses biologiques adaptées pour le diagnostic de ces deux hémopathies rares. Elle montre également qu’il est possible de prouver la nature indépendante de deux clones tumoraux permettant ainsi une prise en charge thérapeutique optimisée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89506
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 78, n°5 (Septembre - Octobre 2020) . - p. 527-536[article] Un train peut en cacher un autre [texte imprimé] / Clotilde Bravetti ; Magali Le Garff-Tavernier ; Anne De Septenville ; et al. . - 2020 . - p. 527-536.
DOI : 10.1684/abc.2020.1591
Langues : Français (fre)
in Annales de Biologie Clinique > Vol. 78, n°5 (Septembre - Octobre 2020) . - p. 527-536
Mots-clés : lymphome B diffus à grandes cellules maladie de Waldenström clonalité cytokines cytométrie en flux anatomopathologie Résumé : Nous rapportons ici le cas d’un patient dont le diagnostic initial était celui d’une maladie de Waldenström. Il a présenté secondairement un lymphome B diffus à grandes cellules (LBDGC) localisé dans les fosses nasales qui a rechuté au niveau oculaire. Le diagnostic de ces deux hémopathies repose sur une approche biologique multidisciplinaire en ayant recours à de nouvelles techniques sensibles et spécifiques. Le bilan biologique a permis de mettre en évidence des clones lymphocytaires B différents indiquant des origines distinctes de ces deux pathologies. Cette observation souligne l’importance des analyses biologiques adaptées pour le diagnostic de ces deux hémopathies rares. Elle montre également qu’il est possible de prouver la nature indépendante de deux clones tumoraux permettant ainsi une prise en charge thérapeutique optimisée. Permalink : ./index.php?lvl=notice_display&id=89506 Réservation
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