Centre de Documentation Gilly
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Fermetures exceptionnelles le jeudi 18 avril après-midi, le lundi 22 avril en matinée, le mardi 23 avril et le mercredi 24 avril en début d'après-midi
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3 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'interprétation psychanalytique'
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Ce que serait l'humour pour un psychanalyste / Olivier Douville in Santé mentale, 206 (mars 2016)
[article]
Titre : Ce que serait l'humour pour un psychanalyste Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Douville Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 34-39 Langues : Français (fre) Mots-clés : Esprit et humour comme sujet Interprétation psychanalytique Langage Langage oral Psychanalyse Relations professionnel de santé-patient Résumé : A partir du surgissement d'une parole emplie de significations sur les découpes du corps et qui, bien qu'involontaire, peut ressembler à un trait d'esprit tant il s'ensuivit un soulagement pour un patient en morcellement, l'auteur tente une analyse de ce qu'est l'humour pour un psychanalyste, prenant comme fil cet aphorisme de Lacan qui voit en l'humour un des critères de distinction entre des sujets normaux et des malades mentaux. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36883
in Santé mentale > 206 (mars 2016) . - p. 34-39[article] Ce que serait l'humour pour un psychanalyste [texte imprimé] / Olivier Douville . - 2016 . - p. 34-39.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 206 (mars 2016) . - p. 34-39
Mots-clés : Esprit et humour comme sujet Interprétation psychanalytique Langage Langage oral Psychanalyse Relations professionnel de santé-patient Résumé : A partir du surgissement d'une parole emplie de significations sur les découpes du corps et qui, bien qu'involontaire, peut ressembler à un trait d'esprit tant il s'ensuivit un soulagement pour un patient en morcellement, l'auteur tente une analyse de ce qu'est l'humour pour un psychanalyste, prenant comme fil cet aphorisme de Lacan qui voit en l'humour un des critères de distinction entre des sujets normaux et des malades mentaux. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36883 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Alcool : abstinence et/ou réduction ? : Dossier in Santé mentale, 192 (Novembre 2014)
[article]
Titre : Alcool : abstinence et/ou réduction ? : Dossier Type de document : texte imprimé Année de publication : 2014 Article en page(s) : p. 21-87 Langues : Français (fre) Mots-clés : accompagnement accompagnement thérapeutique addictologie addiction ajustement psychique alcool alcoolisme alcoolodépendant alcoologie alcover abstinence alliance thérapeutique baclofène Benjamin Rush carnet de bord cadre thérapeutique cas clinique changement contrôle corps craving demande de soins déni DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux) écoute éducation pour la santé efficacité empathie entretien entretien motivationnel épidémiologie expression de l'émotion hôpital de jour incorporation interprétation psychanalytique langage médiation thérapeutique méditation mésusage nalmefène négation objectif oralité perception sensorielle pratique professionnelle prise en charge processus projet de soins projet thérapeutique psychothérapie de groupe pudeur pulsion recherche pharmaceutique rechute recommandation temporaire d'utilisation réduction de consommation réduction des risques relation d'aide relation soignant soigné relation thérapeutique rémission représentation sociale rôle propre sevrage thérapeutique soin soin infirmier théorie thérapeutique médicamenteuse thérapie basée sur la pleine conscience usage Résumé : L'abstinence a longtemps été le seul objectif de soin pour les personnes alcoolodépendantes. Plus en phase avec les modes de consommation et les profils des patients, le modèle de la réduction des dommages et des risques permet un changement de paradigme. Des médicaments de l'alcoolodépendance qu Mindfulness, en passant par l'entretien motivationnel, l'offre de soin doit cependant rester centrée sur le patient, ses besoins et son rythme.
- Actualités de l'alcoolodépendance
- Réduction des risques en alcoologie
- Les médicaments de l'alcoolodépendance
- Éclairage psychanalytique sur l'alcoolisme
- B. Rush, pionnier d'une alcoologie pragmatique
- Pour une alcoologie humaniste
- Mindfulness et alcoolodépendance
- L'entretien motivationnel : "Il y a l'alcool bien sûr..."
- Le carnet de bord, un outil d'aide au sevrage
- Alcool : déni et "discours pudique" du buveur
- "Être esclave de l'alcool, c'est très angoissant..."
- BibliographiePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=32343
in Santé mentale > 192 (Novembre 2014) . - p. 21-87[article] Alcool : abstinence et/ou réduction ? : Dossier [texte imprimé] . - 2014 . - p. 21-87.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 192 (Novembre 2014) . - p. 21-87Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La neutralité affective du soignant n'existe pas / Karl-Leo Schwering in Santé mentale, 280 (Septembre 2023)
[article]
Titre : La neutralité affective du soignant n'existe pas Type de document : texte imprimé Auteurs : Karl-Leo Schwering Année de publication : 2023 Article en page(s) : p. 52-56 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Pourquoi la tendresse ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Distance thérapeutique Interprétation psychanalytique Neutralité bienveillante Affect Attitude du professionnel Contre transfert Processus psychothérapeutique Psychanalyste Relation soignant soigné Tendresse Résumé : De nombreux affects peuvent émerger dans la relation de soin, plus ou moins « tolérés », mais la méfiance envers la tendresse, en particulier celle du thérapeute, reste tenace. Repères pour accéder au partage puis au départage d’affects dans la thérapie.
La neutralité bienveillante du thérapeute et par extension, la « bonne distance » du clinicien au contact des patients, sont des principes techniques qui ont une validité universelle. Dès les origines de la psychanalyse, cette neutralité concerne aussi les affects du thérapeute, au point que S. Freud propose à ses collègues « de prendre pour modèle pendant le traitement psychanalytique le chirurgien qui met de côté tous ses affects et même sa compassion humaine… », ce qui le conduit, quelques lignes plus loin, à parler d’une « froideur de sentiment exigible de l’analyste » lui permettant une « préservation souhaitable de sa propre vie d’affect ». Cette position radicale a ensuite été relativisée par Freud lui-même et n’est plus de mise depuis longtemps dans la plupart des cénacles psychanalytiques . Mais il faut tout de même attendre les années 1950 pour qu’émerge une théorisation du contre-transfert, absente chez Freud, en particulier comme véritable instrument de la pratique, et avec elle un retour en grâce des affects du clinicien.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79530
in Santé mentale > 280 (Septembre 2023) . - p. 52-56[article] La neutralité affective du soignant n'existe pas [texte imprimé] / Karl-Leo Schwering . - 2023 . - p. 52-56.
Cet article fait partie du dossier " Pourquoi la tendresse ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 280 (Septembre 2023) . - p. 52-56
Mots-clés : Distance thérapeutique Interprétation psychanalytique Neutralité bienveillante Affect Attitude du professionnel Contre transfert Processus psychothérapeutique Psychanalyste Relation soignant soigné Tendresse Résumé : De nombreux affects peuvent émerger dans la relation de soin, plus ou moins « tolérés », mais la méfiance envers la tendresse, en particulier celle du thérapeute, reste tenace. Repères pour accéder au partage puis au départage d’affects dans la thérapie.
La neutralité bienveillante du thérapeute et par extension, la « bonne distance » du clinicien au contact des patients, sont des principes techniques qui ont une validité universelle. Dès les origines de la psychanalyse, cette neutralité concerne aussi les affects du thérapeute, au point que S. Freud propose à ses collègues « de prendre pour modèle pendant le traitement psychanalytique le chirurgien qui met de côté tous ses affects et même sa compassion humaine… », ce qui le conduit, quelques lignes plus loin, à parler d’une « froideur de sentiment exigible de l’analyste » lui permettant une « préservation souhaitable de sa propre vie d’affect ». Cette position radicale a ensuite été relativisée par Freud lui-même et n’est plus de mise depuis longtemps dans la plupart des cénacles psychanalytiques . Mais il faut tout de même attendre les années 1950 pour qu’émerge une théorisation du contre-transfert, absente chez Freud, en particulier comme véritable instrument de la pratique, et avec elle un retour en grâce des affects du clinicien.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=79530 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt