Centre de Documentation Gilly
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16 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'SOINS PEROPÉRATOIRES'
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Contrôle périopératoire de la pression artérielle / Maxime Nguyen in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019)
[article]
Titre : Contrôle périopératoire de la pression artérielle Type de document : texte imprimé Auteurs : Maxime Nguyen ; Nicolas Nowolbiski ; Audrey Martin ; Loïc Bartamian ; Pierre-Grégoire Guinot Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 485-491 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2019.09.010 Langues : Français (fre) Mots-clés : HYPOTENSION ARTÉRIELLE Monitorage VASOPRESSEUR Débit cardiaque COMPLICATION CHIRURGICALE SOINS PEROPÉRATOIRES SOINS POSTOPÉRATOIRES Résumé : L’hypotension artérielle périopératoire est fréquente. Elle est associée à la survenue de décès, de lésions rénales, myocardiques et cérébralesBien qu'il n’existe pas de définition consensuellel’effet de l’hypotension artérielle est connu comme étant la résultante d’un effet seuil et temps (plus de 10min en dessous de 80mmHg de pression artérielle moyenne (PAM)). Il convient d’individualiser les objectifs en fonction du terrain du patient et du risque opératoire. Chez le sujet sain, une PAM de 60–65mmHg semblerait suffisante, alors que chez le sujet avec un risque opératoire plus élevé, une PAM supérieure à 75–80mmHg et/ou des variations inférieures à 10–20 % de la valeur de base semble plus pertinente. En présence d’une hypotension artérielle périopératoire, le surdosage en hypnotique est à proscrire. Par la suite, il convient de corriger un bas débit cardiaque par expansion volémique, et/ou de corriger une baisse des résistances vasculaires par vasopresseur. Le débit cardiaque doit être monitoré chez les patients à risque, afin d’adapter le traitement à ces différentes composantes hémodynamiques. Les deux vasopresseurs de choix sont l’éphédrine et la noradrénaline, du fait de leur actions α et β combinées; une administration en débit continu est à privilégier (sauf pour l’éphédrine). Les vasopresseurs peuvent être administrés par voie veineuse périphérique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66060
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019) . - p. 485-491[article] Contrôle périopératoire de la pression artérielle [texte imprimé] / Maxime Nguyen ; Nicolas Nowolbiski ; Audrey Martin ; Loïc Bartamian ; Pierre-Grégoire Guinot . - 2019 . - p. 485-491.
Doi : 10.1016/j.anrea.2019.09.010
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019) . - p. 485-491
Mots-clés : HYPOTENSION ARTÉRIELLE Monitorage VASOPRESSEUR Débit cardiaque COMPLICATION CHIRURGICALE SOINS PEROPÉRATOIRES SOINS POSTOPÉRATOIRES Résumé : L’hypotension artérielle périopératoire est fréquente. Elle est associée à la survenue de décès, de lésions rénales, myocardiques et cérébralesBien qu'il n’existe pas de définition consensuellel’effet de l’hypotension artérielle est connu comme étant la résultante d’un effet seuil et temps (plus de 10min en dessous de 80mmHg de pression artérielle moyenne (PAM)). Il convient d’individualiser les objectifs en fonction du terrain du patient et du risque opératoire. Chez le sujet sain, une PAM de 60–65mmHg semblerait suffisante, alors que chez le sujet avec un risque opératoire plus élevé, une PAM supérieure à 75–80mmHg et/ou des variations inférieures à 10–20 % de la valeur de base semble plus pertinente. En présence d’une hypotension artérielle périopératoire, le surdosage en hypnotique est à proscrire. Par la suite, il convient de corriger un bas débit cardiaque par expansion volémique, et/ou de corriger une baisse des résistances vasculaires par vasopresseur. Le débit cardiaque doit être monitoré chez les patients à risque, afin d’adapter le traitement à ces différentes composantes hémodynamiques. Les deux vasopresseurs de choix sont l’éphédrine et la noradrénaline, du fait de leur actions α et β combinées; une administration en débit continu est à privilégier (sauf pour l’éphédrine). Les vasopresseurs peuvent être administrés par voie veineuse périphérique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66060 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt L'étude EPOCH [Enhanced Peri-Operative Care for High-risk patient] : un dilemme non résolu entre ambition et pragmatisme ? / Serge Molliex in Anesthésie & Réanimation, Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019)
[article]
Titre : L'étude EPOCH [Enhanced Peri-Operative Care for High-risk patient] : un dilemme non résolu entre ambition et pragmatisme ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge Molliex ; Julien Lanoiselée ; Vincent Bruckert Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 455-457 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2019.09.009 Langues : Français (fre) Mots-clés : SOINS PEROPÉRATOIRES SOINS POSTOPÉRATOIRES Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66056
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019) . - p. 455-457[article] L'étude EPOCH [Enhanced Peri-Operative Care for High-risk patient] : un dilemme non résolu entre ambition et pragmatisme ? [texte imprimé] / Serge Molliex ; Julien Lanoiselée ; Vincent Bruckert . - 2019 . - p. 455-457.
Doi : 10.1016/j.anrea.2019.09.009
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 5, n° 6 (Novembre 2019) . - p. 455-457
Mots-clés : SOINS PEROPÉRATOIRES SOINS POSTOPÉRATOIRES Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66056 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Gestion du patient diabétique en péri-opératoire. Fiches pratiques / Gaëlle Cheisson in Anesthésie & Réanimation, vol. 3, n° 3 (Mai 2017)
Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien / Anne Godier in Anesthésie & Réanimation, Vol. 3, n° 4 (Juillet 2017)
[article]
Titre : Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Godier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 343-348 Langues : Français (fre) Mots-clés : SOINS PEROPÉRATOIRES CORONAROPATHIE CHIRURGIE HÉMORRAGIE INFARCTUS STENTS Résumé : La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53934
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 4 (Juillet 2017) . - p. 343-348[article] Gestion périopératoire des agents antiplaquettaires chez le patient coronarien [texte imprimé] / Anne Godier . - 2017 . - p. 343-348.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 3, n° 4 (Juillet 2017) . - p. 343-348
Mots-clés : SOINS PEROPÉRATOIRES CORONAROPATHIE CHIRURGIE HÉMORRAGIE INFARCTUS STENTS Résumé : La gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive chez un patient coronarien dépend de la balance des risques thrombotiques et hémorragiques et de la possibilité d’un éventuel report la procédure. Le risque hémorragique de la procédure se classe en risque faible, intermédiaire ou élevé selon que la procédure peut être réalisée sous bithérapie antiplaquettaire, sous aspirine ou qu’elle doit être réalisée sans AAP. Si l’arrêt des AAP est indispensable, ils sont arrêtés avec une dernière prise d’aspirine à j–3 pour l’aspirine (j0=jour de la procédure), à j–5 pour le clopidogrel et le ticagrelor et à j–7 pour le prasugrel. La gestion des AAP dépend aussi du risque thrombotique du patient coronarien, d’autant plus élevé que la procédure s’envisage précocement après une pose de stent ou un infarctus du myocarde. Dans ces situations, la procédure doit être différée, au mieux à la fin de la bithérapie, au minimum après le premier mois ; l’aspirine doit être poursuivie ; et l’approche périopératoire doit être multidisciplinaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53934 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l'enfant : que faire sans le B66 ? / Christophe Dadure in Anesthésie & Réanimation, vol. 2, n° 5 (octobre 2016)
[article]
Titre : Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l'enfant : que faire sans le B66 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Dadure ; Chrystelle Sola ; Caroline Couchepin ; Anne-Charlotte Saour Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 362-367 Langues : Français (fre) Mots-clés : SOINS PEROPÉRATOIRES PERFUSION ENFANT NOURRISSON Résumé : La perfusion peropératoire a pour but de suppléer aux besoins hydroélectrolytiques. Le but essentiel de cette prise en charge est de maintenir un équilibre entre les pertes et les apports d’eau, d’électrolytes et de glucose. Le développement fonctionnel et structurel spécifique de l’enfant a pour conséquence un métabolisme plus important que celui de l’adulte, consommant de manière relative plus d’oxygène et de calories. De plus, le compartiment hydrique du corps est d’autant plus important que l’enfant est jeune. Chez l’enfant, des règles spécifiques de perfusions intraveineuses ont été établies prenant en compte le contexte chirurgical et le jeûne préopératoire. Le choix du soluté de perfusion périopératoire est essentiel et peut conduire à des complications dramatiques en cas de choix inadapté à la situation clinique (hyponatrémie sévère, hypo- ou hyperglycémie). En France, un soluté polyionique largement utilisé, contenant 0,9 % de dextrose dénommé « B66 », a connu un arrêt de sa commercialisation en 2015. Quelques pays d’Europe ont commercialisé des solutés isotoniques balancés avec électrolytes et une faible concentration de glucose, mais ces produits ne sont actuellement pas disponibles pour les anesthésiste français. En accord avec la pratique réalisée dans des nombreux centres français, l’Association des anesthésistes réanimateurs d’expression française (Adarpef) a proposé une solution de remplacement au « soluté B66 » comprenant du Ringer Lactate et du sérum glucosé à 30 %, en attendant la commercialisation de solutions adaptées. Pour rappel, un consensus d’anesthésistes pédiatriques européens a déterminé qu’une solution appropriée pour la perfusion chez les enfants devait avoir une teneur en osmolarité et de sodium proche du plasma physiologique, une addition de 1 à 2,5 % de glucose, et inclure des anions métaboliques comme précurseurs des bicarbonates afin d’éviter les perturbations importantes de l’équilibre acido-basique. Une surveillance peropératoire attentive et l’adaptation de la vitesse de perfusion en fonction des besoins restent des mesures cruciales dans la prise en charge des enfants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46368
in Anesthésie & Réanimation > vol. 2, n° 5 (octobre 2016) . - p. 362-367[article] Perfusion intraveineuse périanesthésique chez le nourrisson et l'enfant : que faire sans le B66 ? [texte imprimé] / Christophe Dadure ; Chrystelle Sola ; Caroline Couchepin ; Anne-Charlotte Saour . - 2016 . - p. 362-367.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > vol. 2, n° 5 (octobre 2016) . - p. 362-367
Mots-clés : SOINS PEROPÉRATOIRES PERFUSION ENFANT NOURRISSON Résumé : La perfusion peropératoire a pour but de suppléer aux besoins hydroélectrolytiques. Le but essentiel de cette prise en charge est de maintenir un équilibre entre les pertes et les apports d’eau, d’électrolytes et de glucose. Le développement fonctionnel et structurel spécifique de l’enfant a pour conséquence un métabolisme plus important que celui de l’adulte, consommant de manière relative plus d’oxygène et de calories. De plus, le compartiment hydrique du corps est d’autant plus important que l’enfant est jeune. Chez l’enfant, des règles spécifiques de perfusions intraveineuses ont été établies prenant en compte le contexte chirurgical et le jeûne préopératoire. Le choix du soluté de perfusion périopératoire est essentiel et peut conduire à des complications dramatiques en cas de choix inadapté à la situation clinique (hyponatrémie sévère, hypo- ou hyperglycémie). En France, un soluté polyionique largement utilisé, contenant 0,9 % de dextrose dénommé « B66 », a connu un arrêt de sa commercialisation en 2015. Quelques pays d’Europe ont commercialisé des solutés isotoniques balancés avec électrolytes et une faible concentration de glucose, mais ces produits ne sont actuellement pas disponibles pour les anesthésiste français. En accord avec la pratique réalisée dans des nombreux centres français, l’Association des anesthésistes réanimateurs d’expression française (Adarpef) a proposé une solution de remplacement au « soluté B66 » comprenant du Ringer Lactate et du sérum glucosé à 30 %, en attendant la commercialisation de solutions adaptées. Pour rappel, un consensus d’anesthésistes pédiatriques européens a déterminé qu’une solution appropriée pour la perfusion chez les enfants devait avoir une teneur en osmolarité et de sodium proche du plasma physiologique, une addition de 1 à 2,5 % de glucose, et inclure des anions métaboliques comme précurseurs des bicarbonates afin d’éviter les perturbations importantes de l’équilibre acido-basique. Une surveillance peropératoire attentive et l’adaptation de la vitesse de perfusion en fonction des besoins restent des mesures cruciales dans la prise en charge des enfants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46368 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Péri opératoire : où en est la préhabilitation et comment prévenir la confusion post-opératoire ? / Bastien Genet in Repères en gériatrie, Vol. 24, n° 203 (Mars 2022)
PermalinkLa POP ventilation [dossier] / Jean-Étienne Bazin in Oxymag, 144 (septembre-octobre 2015)
PermalinkPrise en charge du patient diabétique en périopératoire / Dan Benhamou in Anesthésie & Réanimation, vol. 3, n° 3 (Mai 2017)
PermalinkTexte 1 : rappels sur l'hyperglycémie / Gaëlle Cheisson in Anesthésie & Réanimation, vol. 3, n° 3 (Mai 2017)
PermalinkTexte 3 : période peropératoire / Gaëlle Cheisson in Anesthésie & Réanimation, vol. 3, n° 3 (Mai 2017)
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