Centre de Documentation Gilly
HORAIRE
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Fermetures exceptionnelles le jeudi 18 avril après-midi, le lundi 22 avril en matinée, le mardi 23 avril et le mercredi 24 avril en début d'après-midi
Lu : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Me : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Je : 8h00 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h00
Fermetures exceptionnelles le jeudi 18 avril après-midi, le lundi 22 avril en matinée, le mardi 23 avril et le mercredi 24 avril en début d'après-midi
Bienvenue sur le catalogue du centre de documentation de Gilly
HELHa - Paramédical.
HELHa - Paramédical.
Résultat de la recherche
5 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Évolution de la maladie'
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Faire une suggestion
Autogestion en cas d’exacerbation de BPCO ? / Pierre Chevalier in minerva, Vol. 18, n° 1 (Février 2019)
[article]
Titre : Autogestion en cas d’exacerbation de BPCO ? Auteurs : Pierre Chevalier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 2-6 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD011682.pub2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Bronchopneumopathie chronique obstructive Dyspnee Hospitalisation Mortalité Qualité de vie Évolution de la maladie Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique avec méta-analyses
Sources consultées
bases de données : Cochrane Airways Group Specialised Register of trials (de 1995 à mai 2016) et listes de références des études incluses ; ce registre est alimenté par de nombreuses sources : Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL), Cochrane Register of Studies Online, MEDLINE Ovid SP, Embase Ovid SP, PsycINFO Ovid SP, CINAHL, AMED EBSCO, plus recherches manuelles dans les rapports de conférences concernant les maladies respiratoires
pas de restriction de langue
si nécessaire, contact avec les auteurs de la publication originale.
Etudes sélectionnées
critères d’inclusion : RCT évaluant une intervention d’autogestion chez des sujets présentant une BPCO, publiée à partir de 1995 ; l’intervention doit comporter au minimum un plan d’action écrit en cas d’exacerbation de BPCO et un processus itératif entre le participant et le(s) soignant(s) incluant une rétroaction (feedback)
critères d’exclusion : programme de prise en charge de la pathologie classé comme réhabilitation pulmonaire, séances d’exercices exécutés dans un hôpital, dans un centre de réhabilitation ou dans un cadre communautaire pour éviter autant que possible un chevauchement avec une réhabilitation pulmonaire ; études publiées avant 1995
inclusion finale de 22 RCTs, d’une durée de 2 à 24 mois, sur un suivi médian de 12 mois.
Populations étudiées
participants d’étude incluant des sujets présentant une BPCO sur critères définis par GOLD avec un rapport post bronchodilatation VEMS/ CVF < 0,70
exclusion des patients avec un diagnostic d’asthme primaire
total de 3854 patients inclus
seules 5 RCTs sur les 22 incluses ont recruté les patients en pratique de médecine générale ou dans des cliniques de soins de première ligne.
Mesure des résultats
durée médiane d’intervention : 9 mois
critères de jugement primaires : qualité de vie en relation avec la santé (Health-related quality of life, HRQoL) mesurée au score SGRQ et nombre d’hospitalisations liées à un problème respiratoire
critères secondaires : nombre d’hospitalisations de toutes causes, recours aux services de santé, recours à d’autres médicaments, état de santé, dyspnée au Medical Research Council Dyspnea Scale (MRCDS), nombre d’exacerbations de BPCO, mortalité globale, efficacité auto-évaluée, absentéisme au travail.
Résultats
pour les deux critères primaires choisis, un bénéfice statistiquement significatif est observé (voir tableau 1) en faveur de l’autogestion versus soins habituels ; suivi de 12 mois pour le SGRQ, suivi de 6 à 24 mois pour les hospitalisations ; pour la qualité de vie, la différence moyenne observée au score SGRQ n’atteint cependant pas la différence clinique minimale pertinente généralement admise (qui est de 4 points)
pour les critères secondaires : voir tableau 2.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2179 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67569
in minerva > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 2-6[article] Autogestion en cas d’exacerbation de BPCO ? [] / Pierre Chevalier . - 2019 . - p. 2-6.
DOI: 10.1002/14651858.CD011682.pub2
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 18, n° 1 (Février 2019) . - p. 2-6
Mots-clés : Bronchopneumopathie chronique obstructive Dyspnee Hospitalisation Mortalité Qualité de vie Évolution de la maladie Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique avec méta-analyses
Sources consultées
bases de données : Cochrane Airways Group Specialised Register of trials (de 1995 à mai 2016) et listes de références des études incluses ; ce registre est alimenté par de nombreuses sources : Cochrane Central Register of Controlled Trials (CENTRAL), Cochrane Register of Studies Online, MEDLINE Ovid SP, Embase Ovid SP, PsycINFO Ovid SP, CINAHL, AMED EBSCO, plus recherches manuelles dans les rapports de conférences concernant les maladies respiratoires
pas de restriction de langue
si nécessaire, contact avec les auteurs de la publication originale.
Etudes sélectionnées
critères d’inclusion : RCT évaluant une intervention d’autogestion chez des sujets présentant une BPCO, publiée à partir de 1995 ; l’intervention doit comporter au minimum un plan d’action écrit en cas d’exacerbation de BPCO et un processus itératif entre le participant et le(s) soignant(s) incluant une rétroaction (feedback)
critères d’exclusion : programme de prise en charge de la pathologie classé comme réhabilitation pulmonaire, séances d’exercices exécutés dans un hôpital, dans un centre de réhabilitation ou dans un cadre communautaire pour éviter autant que possible un chevauchement avec une réhabilitation pulmonaire ; études publiées avant 1995
inclusion finale de 22 RCTs, d’une durée de 2 à 24 mois, sur un suivi médian de 12 mois.
Populations étudiées
participants d’étude incluant des sujets présentant une BPCO sur critères définis par GOLD avec un rapport post bronchodilatation VEMS/ CVF < 0,70
exclusion des patients avec un diagnostic d’asthme primaire
total de 3854 patients inclus
seules 5 RCTs sur les 22 incluses ont recruté les patients en pratique de médecine générale ou dans des cliniques de soins de première ligne.
Mesure des résultats
durée médiane d’intervention : 9 mois
critères de jugement primaires : qualité de vie en relation avec la santé (Health-related quality of life, HRQoL) mesurée au score SGRQ et nombre d’hospitalisations liées à un problème respiratoire
critères secondaires : nombre d’hospitalisations de toutes causes, recours aux services de santé, recours à d’autres médicaments, état de santé, dyspnée au Medical Research Council Dyspnea Scale (MRCDS), nombre d’exacerbations de BPCO, mortalité globale, efficacité auto-évaluée, absentéisme au travail.
Résultats
pour les deux critères primaires choisis, un bénéfice statistiquement significatif est observé (voir tableau 1) en faveur de l’autogestion versus soins habituels ; suivi de 12 mois pour le SGRQ, suivi de 6 à 24 mois pour les hospitalisations ; pour la qualité de vie, la différence moyenne observée au score SGRQ n’atteint cependant pas la différence clinique minimale pertinente généralement admise (qui est de 4 points)
pour les critères secondaires : voir tableau 2.
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2179 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67569 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? / Frans De Baets in minerva, Vol. 18, n° 2 (Mars 2019)
[article]
Titre : Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? Auteurs : Frans De Baets Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 14-17 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD012393.pub2 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antagonistes des leucotriènes Bronchodilatateur Asthme Hormones corticosurrénaliennes Évolution de la maladie Hospitalisation Observance par le patient Thérapie comportementale Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Airways Group’s Trials Register (avec enregistrement hebdomadaire ou mensuel de la littérature via CENTRAL, MEDLINE Ovid, Embase Ovid, PsycINFO Ovid, CINAHL EBSCO, AMED EBSCO, rapports des congrès), ClinicalTrials.gov, la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé ; jusqu’au 1er décembre 2017
listes de références des études primaires et des revues, sites Internet des firmes Merck, Novartis et Ono Pharmaceutical
pas de restriction quant à la langue de publication.
Études sélectionnées
études randomisées contrôlées comparant la prise en charge standard et des interventions préventives visant à réduire le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne
parmi les 546 études identifiées, 5 ont finalement été sélectionnées : 3 études examinant l’effet des antagonistes des récepteurs aux leucotriènes, une étude examinant l’influence d’une lettre pour encourager l’observance, et une dernière étude examinant l’effet de l’omalizumab ou d’une augmentation de la dose de corticoïdes inhalés.
Population étudiée
au total, 14252 enfants de moins de 18 ans (1 an à 17 ans selon l’étude) atteints d’asthme ; le VEMS était en moyenne de 90% dans deux études (4,5) ; l’utilisation de corticoïdes inhalés allait de 90% dans une étude (6) à ≤ 50% dans deux autres études (4,7) ; la seule étude de première ligne incluait des patients ayant un asthme léger (8).
Mesure des résultats
critère d’évaluation primaire : nombre d’enfants avec au moins une exacerbation d’asthme pendant l’automne, définie comme une aggravation des symptômes de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes administrés par voie orale ou une hospitalisation.
critères d’évaluation secondaires : nombre d’enfants avec exacerbations d’asthme ayant nécessité une hospitalisation ou l’admission en soins intensifs pédiatriques, nombre de décès liés à l’asthme, degré de contrôle de l’asthme, qualité de vie liée à l’asthme, nombre de jours d’école manqués, effets indésirables
méta-analyse suivant le modèle à effets aléatoires.
Résultats
critère d’évaluation primaire : le nombre d’enfants avec, pendant l’automne, au moins une exacerbation de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes par voie orale ou une hospitalisation, était plus petit, et ce de manière statistiquement significative chez les enfants qui, durant 90 jours après le début de l’année scolaire, recevaient de l’omalizumab au lieu du placebo (11,3% versus 21,0% ; rapport de cotes (RC) 0,48 avec IC à 95% de 0,25 à 0,92 ; N = 1 étude (5) ; n = 513 enfants)
sur la base des critères d’évaluation primaires définis par les différentes études incluses, on a observé :
une diminution de 53% du nombre de jours avec aggravation des symptômes de l’asthme (plus sévère que d’habitude, visite imprévue chez le médecin, besoin d’un supplément de médicaments contre l’asthme, traitement avec des corticoïdes par voie orale) durant un traitement par montélukast, par rapport au placebo, pendant 45 jours (3,9% contre 8,3% ; p = 0,02 ; N = 1 étude (6) ; n = 194 enfants)
pas de différence quant à l’aggravation des symptômes de l’asthme (symptômes accrus pendant la journée et pendant la nuit, augmentation de l’utilisation de bêta2-mimétiques et de corticoïdes inhalés, traitement avec corticoïdes par voie orale, visite imprévue chez le médecin, admission aux urgences ou hospitalisation pour asthme) au cours d’un traitement par montélukast par rapport au placebo pendant 8 semaines (N = 1 étude (4) ; n = 998 enfants)
pas de différence quant au score total de l’asthme (sur la base des symptômes de l’asthme, de l’augmentation de l’utilisation des médicaments contre l’asthme, de l’utilisation de corticoïdes par voie orale, des visites imprévues chez le médecin) au cours d’un traitement par pranlukast, par rapport au placebo, pendant 60 jours (N = 1 étude (7) ; n = 121 enfants)
pas de différence quant au nombre de visites imprévues chez le médecin (pour affection des voies respiratoires) de septembre à décembre après un courrier du médecin généraliste envoyé aux parents le 29 juillet pour les encourager à prévoir suffisamment de traitement d’entretien par inhalation contre l’asthme avant la reprise de l’année scolaire, par comparaison avec le groupe témoin (N = 1 étude (8) ; n = 10481 enfants)
critères d’évaluation secondaires : pas de résultats séparés pour l’hospitalisation, l’admission en soins intensifs pédiatriques, les décès dus à l’asthme, le contrôle standard des symptômes de l’asthme, la qualité de vie, les jours d’école manqués
effets indésirables : pas de différence quant aux effets indésirables (graves) entre le groupe intervention et le groupe témoin (N = 4 études pharmacologiques).
Conclusion des auteurs
La conclusion des auteurs est qu’un traitement par omalizumab durant quatre à six semaines après le début de l’année scolaire peut limiter le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne. Mis à part de la douleur au niveau du site d’injection, il n’y a pas de preuve qu’un plus grand nombre d’effets indésirables soient associés à cette stratégie coûteuse. Il n’y a pas de données concernant l’effet de ces interventions saisonnières et d’autres interventions sur le contrôle de l’asthme, la qualité de vie et la mortalité liée à l’asthme. Les études futures devraient utiliser une unique définition des exacerbations d’asthme, et si possible une définition qui soit uniformisée. Pour pouvoir examiner les éventuelles différences entre les sous-groupes quant à l’effet, il faudra que les participants des études futures soient bien caractérisés en termes d’âge, de sexe, de sévérité de l’asthme et d’antécédents d’exacerbations d’asthme.
Financement de l’étude
Financement interne par le National Institute for Health Research (NIHR), par le biais du Comprehensive Clinical Research Network et du centre de recherche biomédicale NIHR à l’hôpital pédiatrique Great Ormond Street Hospital for Children NHS Foundation Trust et University College Londres, Royaume-Uni et un emploi (Katharine Pike). Katherine Harris a reçu un financement pour son doctorat du NIHR Collaboration for Leadership in Applied Health Research and Care (CLAHRC) North Thames au Bart’s Health NHS Trust. Les avis exprimés sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux du NHS, du NIHR ou du Département de la Santé.
Conflits d’intérêt des auteurs
Il n’y a pas de conflits d’intérêt connus.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2181 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67588
in minerva > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 14-17[article] Les interventions préventives réduisent-elles le nombre d’exacerbations d’asthme chez les enfants durant l’automne ? [] / Frans De Baets . - 2019 . - p. 14-17.
DOI: 10.1002/14651858.CD012393.pub2
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 18, n° 2 (Mars 2019) . - p. 14-17
Mots-clés : Antagonistes des leucotriènes Bronchodilatateur Asthme Hormones corticosurrénaliennes Évolution de la maladie Hospitalisation Observance par le patient Thérapie comportementale Résumé : Méthodologie
Synthèse méthodique et méta-analyse
Sources consultées
Cochrane Airways Group’s Trials Register (avec enregistrement hebdomadaire ou mensuel de la littérature via CENTRAL, MEDLINE Ovid, Embase Ovid, PsycINFO Ovid, CINAHL EBSCO, AMED EBSCO, rapports des congrès), ClinicalTrials.gov, la plate-forme internationale d’enregistrement des essais cliniques de l’Organisation mondiale de la santé ; jusqu’au 1er décembre 2017
listes de références des études primaires et des revues, sites Internet des firmes Merck, Novartis et Ono Pharmaceutical
pas de restriction quant à la langue de publication.
Études sélectionnées
études randomisées contrôlées comparant la prise en charge standard et des interventions préventives visant à réduire le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne
parmi les 546 études identifiées, 5 ont finalement été sélectionnées : 3 études examinant l’effet des antagonistes des récepteurs aux leucotriènes, une étude examinant l’influence d’une lettre pour encourager l’observance, et une dernière étude examinant l’effet de l’omalizumab ou d’une augmentation de la dose de corticoïdes inhalés.
Population étudiée
au total, 14252 enfants de moins de 18 ans (1 an à 17 ans selon l’étude) atteints d’asthme ; le VEMS était en moyenne de 90% dans deux études (4,5) ; l’utilisation de corticoïdes inhalés allait de 90% dans une étude (6) à ≤ 50% dans deux autres études (4,7) ; la seule étude de première ligne incluait des patients ayant un asthme léger (8).
Mesure des résultats
critère d’évaluation primaire : nombre d’enfants avec au moins une exacerbation d’asthme pendant l’automne, définie comme une aggravation des symptômes de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes administrés par voie orale ou une hospitalisation.
critères d’évaluation secondaires : nombre d’enfants avec exacerbations d’asthme ayant nécessité une hospitalisation ou l’admission en soins intensifs pédiatriques, nombre de décès liés à l’asthme, degré de contrôle de l’asthme, qualité de vie liée à l’asthme, nombre de jours d’école manqués, effets indésirables
méta-analyse suivant le modèle à effets aléatoires.
Résultats
critère d’évaluation primaire : le nombre d’enfants avec, pendant l’automne, au moins une exacerbation de l’asthme ayant nécessité un traitement avec des corticoïdes par voie orale ou une hospitalisation, était plus petit, et ce de manière statistiquement significative chez les enfants qui, durant 90 jours après le début de l’année scolaire, recevaient de l’omalizumab au lieu du placebo (11,3% versus 21,0% ; rapport de cotes (RC) 0,48 avec IC à 95% de 0,25 à 0,92 ; N = 1 étude (5) ; n = 513 enfants)
sur la base des critères d’évaluation primaires définis par les différentes études incluses, on a observé :
une diminution de 53% du nombre de jours avec aggravation des symptômes de l’asthme (plus sévère que d’habitude, visite imprévue chez le médecin, besoin d’un supplément de médicaments contre l’asthme, traitement avec des corticoïdes par voie orale) durant un traitement par montélukast, par rapport au placebo, pendant 45 jours (3,9% contre 8,3% ; p = 0,02 ; N = 1 étude (6) ; n = 194 enfants)
pas de différence quant à l’aggravation des symptômes de l’asthme (symptômes accrus pendant la journée et pendant la nuit, augmentation de l’utilisation de bêta2-mimétiques et de corticoïdes inhalés, traitement avec corticoïdes par voie orale, visite imprévue chez le médecin, admission aux urgences ou hospitalisation pour asthme) au cours d’un traitement par montélukast par rapport au placebo pendant 8 semaines (N = 1 étude (4) ; n = 998 enfants)
pas de différence quant au score total de l’asthme (sur la base des symptômes de l’asthme, de l’augmentation de l’utilisation des médicaments contre l’asthme, de l’utilisation de corticoïdes par voie orale, des visites imprévues chez le médecin) au cours d’un traitement par pranlukast, par rapport au placebo, pendant 60 jours (N = 1 étude (7) ; n = 121 enfants)
pas de différence quant au nombre de visites imprévues chez le médecin (pour affection des voies respiratoires) de septembre à décembre après un courrier du médecin généraliste envoyé aux parents le 29 juillet pour les encourager à prévoir suffisamment de traitement d’entretien par inhalation contre l’asthme avant la reprise de l’année scolaire, par comparaison avec le groupe témoin (N = 1 étude (8) ; n = 10481 enfants)
critères d’évaluation secondaires : pas de résultats séparés pour l’hospitalisation, l’admission en soins intensifs pédiatriques, les décès dus à l’asthme, le contrôle standard des symptômes de l’asthme, la qualité de vie, les jours d’école manqués
effets indésirables : pas de différence quant aux effets indésirables (graves) entre le groupe intervention et le groupe témoin (N = 4 études pharmacologiques).
Conclusion des auteurs
La conclusion des auteurs est qu’un traitement par omalizumab durant quatre à six semaines après le début de l’année scolaire peut limiter le nombre d’exacerbations d’asthme pendant l’automne. Mis à part de la douleur au niveau du site d’injection, il n’y a pas de preuve qu’un plus grand nombre d’effets indésirables soient associés à cette stratégie coûteuse. Il n’y a pas de données concernant l’effet de ces interventions saisonnières et d’autres interventions sur le contrôle de l’asthme, la qualité de vie et la mortalité liée à l’asthme. Les études futures devraient utiliser une unique définition des exacerbations d’asthme, et si possible une définition qui soit uniformisée. Pour pouvoir examiner les éventuelles différences entre les sous-groupes quant à l’effet, il faudra que les participants des études futures soient bien caractérisés en termes d’âge, de sexe, de sévérité de l’asthme et d’antécédents d’exacerbations d’asthme.
Financement de l’étude
Financement interne par le National Institute for Health Research (NIHR), par le biais du Comprehensive Clinical Research Network et du centre de recherche biomédicale NIHR à l’hôpital pédiatrique Great Ormond Street Hospital for Children NHS Foundation Trust et University College Londres, Royaume-Uni et un emploi (Katharine Pike). Katherine Harris a reçu un financement pour son doctorat du NIHR Collaboration for Leadership in Applied Health Research and Care (CLAHRC) North Thames au Bart’s Health NHS Trust. Les avis exprimés sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement ceux du NHS, du NIHR ou du Département de la Santé.
Conflits d’intérêt des auteurs
Il n’y a pas de conflits d’intérêt connus.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2181 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67588 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Utilité d’un dépistage cardiovasculaire triple : anévrisme de l’aorte abdominale, artérite périphérique et hypertension artérielle / P. Chevalier in minerva, Vol. 17, n° 7 (Septembre 2018)
[article]
Titre : Utilité d’un dépistage cardiovasculaire triple : anévrisme de l’aorte abdominale, artérite périphérique et hypertension artérielle Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 93-98 Langues : Français (fre) Mots-clés : Acide acétylsalicylique Anévrysme de l'aorte abdominale Antihypertenseur Chirurgie Effets secondaires indésirables des médicaments Évolution de la maladie Hospitalisation Hypertension arterielle Médicament Mortalité Prévention secondaire Qualité de vie Résumé : Population d’étude
critères d’inclusion : hommes âgés de 65 à 74 ans vivant dans la région du centre du Danemark (23% de la population totale du Danemark)
aucun critère d’exclusion
50156 patients randomisés en 2 groupes de 25078 sujets chacun
74,7% des sujets invités ont participé au dépistage, soit 18748 hommes
caractéristiques initiales des sujets inclus : âge médian de 69 ans, environ 30% sous antithrombotique, 35% sous hypolipidémiant, 22% sous antihypertenseur et bêta-bloquant, 10% sous antidiabétique.
Protocole d’étude
Viborg Vascular (VIVA) trial : RCT
randomisation 1:1 entre dépistage (non en insu ni pour les participants ni pour les équipes de dépistage) et non dépistage (sujets non informés de leur rôle dans cette étude, donc totalement en insu) ; 25078 hommes par groupe
dépistage réalisé par équipes de 2 infirmières avec formation spécifique, central dans chacune des 19 municipalités, sur invitation envoyée par courrier, invitation expliquant l’étude et les pathologies ciblées ; consentement éclairé individuel requis
dépistage sur critères diagnostiques suivants : anévrisme de l’aorte abdominale d’un diamètre d’au moins 30 mm, index cheville bras (ICB) inférieur à 0,9 ou supérieur à au moins 1,4, pression artérielle systolique (PAS) > 160 mmHg ou pression artérielle diastolique (PAD) > 100 mmHg
en cas de dépistage positif :
confirmation du diagnostic d’anévrisme abdominal ou d’artérite périphérique lors d’une deuxième séance (dans la semaine) avec, si confirmation, mesure de la cholestérolémie
conseils d’hygiène de vie : pratique d’exercices physiques, arrêt du tabagisme, alimentation pauvre en graisses
dépistage annuel de suivi (échographie ou mesure de l’ICB)
si anévrisme d’au moins 5 cm, référence immédiate à un chirurgien vasculaire
en cas d’HTA, référence au médecin traitant pour confirmation du diagnostic (ou contrôle du traitement antihypertenseur en cours)
en cas de cholestérol total > 4,0 mmol/l (154 mg/dl) prescription de simvastatine (40 mg/j) et d’aspirine (75 mg/j)
communication de tous les éléments au médecin traitant.
Mesure des résultats
sur données issues des registres administratifs nationaux, en insu des données d’étude
critère primaire : décès de toute cause (délai)
critères secondaires : décès d’origine cardiovasculaire et dû à l’anévrisme aortique (délai), hospitalisation pour pathologie cardiovasculaire (délai et nombre de jours), qualité de vie au score EuroQol (complété par le sujet dans la salle d’attente avant le dépistage initial et avant le dépistage annuel suivant en cas de premier dépistage positif ; score également évalué dans un échantillon aléatoire de 1000 hommes non dépistés), progression de l’anévrisme, effets indésirables (diabète, hémorragie intracérébrale, insuffisance rénale, cancer, décès post-opératoire).
Résultats
4 sujets (0,02%) sans données à 5 ans
22% des sujets dépistés positifs : 3,3% (n=619) avec un anévrisme de l’aorte abdominale (dont 0,3% (n=61) avec un anévrisme ≥ 5,5 cm), 10,9% avec une artérite périphérique, 10,5% avec une potentielle hypertension artérielle non connue ; tous les anévrismes ont été confirmés ; 11,1% des artérites périphériques dépistées étaient de faux positifs
la fréquence d’au moins un dépistage positif est plus importante chez les fumeurs (33,9%) que chez les non-fumeurs (22,0%)
49,6% des hommes avec un anévrisme abdominal dépisté et diagnostiqué ont été opérés dans les 5 ans
critère primaire : sur un suivi médian de 4,4 ans (IQR 3,9 à 4,8), 10,2% de décès dans le groupe dépistage et 10,8% dans le groupe sans dépistage ; HR de 0,93 (avec IC à 95% de 0,88 à 0,98, p = 0,01), RAR de 0,006 avec IC à 95% de 0,001 à 0,011 ; nombre de sujets à dépister (NSD) de 169 (avec IC à 95% de 89 à 1811)
pas de différence significative pour les décès liés à l’anévrisme abdominal, à une pathologie cardiovasculaire, à un cancer, ni pour les hospitalisations
qualité de vie : augmente à 1 an chez les sujets dépistés positifs, sans augmentation de l’anxiété (sauf chez 6% des sujets avec anévrisme de l’aorte abdominale) ni de la dépression
pas de différence pour l’incidence de diabète et d’hémorragie intracérébrale (qui pourraient être liés aux médicaments initiés), d’insuffisance rénale, de cancer, de mortalité dans les 30 jours après une intervention cardiovasculaire
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2171 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67604
in minerva > Vol. 17, n° 7 (Septembre 2018) . - p. 93-98[article] Utilité d’un dépistage cardiovasculaire triple : anévrisme de l’aorte abdominale, artérite périphérique et hypertension artérielle [] / P. Chevalier . - 2018 . - p. 93-98.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 17, n° 7 (Septembre 2018) . - p. 93-98
Mots-clés : Acide acétylsalicylique Anévrysme de l'aorte abdominale Antihypertenseur Chirurgie Effets secondaires indésirables des médicaments Évolution de la maladie Hospitalisation Hypertension arterielle Médicament Mortalité Prévention secondaire Qualité de vie Résumé : Population d’étude
critères d’inclusion : hommes âgés de 65 à 74 ans vivant dans la région du centre du Danemark (23% de la population totale du Danemark)
aucun critère d’exclusion
50156 patients randomisés en 2 groupes de 25078 sujets chacun
74,7% des sujets invités ont participé au dépistage, soit 18748 hommes
caractéristiques initiales des sujets inclus : âge médian de 69 ans, environ 30% sous antithrombotique, 35% sous hypolipidémiant, 22% sous antihypertenseur et bêta-bloquant, 10% sous antidiabétique.
Protocole d’étude
Viborg Vascular (VIVA) trial : RCT
randomisation 1:1 entre dépistage (non en insu ni pour les participants ni pour les équipes de dépistage) et non dépistage (sujets non informés de leur rôle dans cette étude, donc totalement en insu) ; 25078 hommes par groupe
dépistage réalisé par équipes de 2 infirmières avec formation spécifique, central dans chacune des 19 municipalités, sur invitation envoyée par courrier, invitation expliquant l’étude et les pathologies ciblées ; consentement éclairé individuel requis
dépistage sur critères diagnostiques suivants : anévrisme de l’aorte abdominale d’un diamètre d’au moins 30 mm, index cheville bras (ICB) inférieur à 0,9 ou supérieur à au moins 1,4, pression artérielle systolique (PAS) > 160 mmHg ou pression artérielle diastolique (PAD) > 100 mmHg
en cas de dépistage positif :
confirmation du diagnostic d’anévrisme abdominal ou d’artérite périphérique lors d’une deuxième séance (dans la semaine) avec, si confirmation, mesure de la cholestérolémie
conseils d’hygiène de vie : pratique d’exercices physiques, arrêt du tabagisme, alimentation pauvre en graisses
dépistage annuel de suivi (échographie ou mesure de l’ICB)
si anévrisme d’au moins 5 cm, référence immédiate à un chirurgien vasculaire
en cas d’HTA, référence au médecin traitant pour confirmation du diagnostic (ou contrôle du traitement antihypertenseur en cours)
en cas de cholestérol total > 4,0 mmol/l (154 mg/dl) prescription de simvastatine (40 mg/j) et d’aspirine (75 mg/j)
communication de tous les éléments au médecin traitant.
Mesure des résultats
sur données issues des registres administratifs nationaux, en insu des données d’étude
critère primaire : décès de toute cause (délai)
critères secondaires : décès d’origine cardiovasculaire et dû à l’anévrisme aortique (délai), hospitalisation pour pathologie cardiovasculaire (délai et nombre de jours), qualité de vie au score EuroQol (complété par le sujet dans la salle d’attente avant le dépistage initial et avant le dépistage annuel suivant en cas de premier dépistage positif ; score également évalué dans un échantillon aléatoire de 1000 hommes non dépistés), progression de l’anévrisme, effets indésirables (diabète, hémorragie intracérébrale, insuffisance rénale, cancer, décès post-opératoire).
Résultats
4 sujets (0,02%) sans données à 5 ans
22% des sujets dépistés positifs : 3,3% (n=619) avec un anévrisme de l’aorte abdominale (dont 0,3% (n=61) avec un anévrisme ≥ 5,5 cm), 10,9% avec une artérite périphérique, 10,5% avec une potentielle hypertension artérielle non connue ; tous les anévrismes ont été confirmés ; 11,1% des artérites périphériques dépistées étaient de faux positifs
la fréquence d’au moins un dépistage positif est plus importante chez les fumeurs (33,9%) que chez les non-fumeurs (22,0%)
49,6% des hommes avec un anévrisme abdominal dépisté et diagnostiqué ont été opérés dans les 5 ans
critère primaire : sur un suivi médian de 4,4 ans (IQR 3,9 à 4,8), 10,2% de décès dans le groupe dépistage et 10,8% dans le groupe sans dépistage ; HR de 0,93 (avec IC à 95% de 0,88 à 0,98, p = 0,01), RAR de 0,006 avec IC à 95% de 0,001 à 0,011 ; nombre de sujets à dépister (NSD) de 169 (avec IC à 95% de 89 à 1811)
pas de différence significative pour les décès liés à l’anévrisme abdominal, à une pathologie cardiovasculaire, à un cancer, ni pour les hospitalisations
qualité de vie : augmente à 1 an chez les sujets dépistés positifs, sans augmentation de l’anxiété (sauf chez 6% des sujets avec anévrisme de l’aorte abdominale) ni de la dépression
pas de différence pour l’incidence de diabète et d’hémorragie intracérébrale (qui pourraient être liés aux médicaments initiés), d’insuffisance rénale, de cancer, de mortalité dans les 30 jours après une intervention cardiovasculaire
En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2171 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67604 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
[article]
Titre : Bipolarité et troubles du sommeil Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Étain ; Pierre Alexis Geoffroy Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 44-49 Langues : Français (fre) Mots-clés : Actigraphie Évolution de la maladie Prise en charge de la maladie Sommeil Syndrome d'apnées obstructives du sommeil Trouble bipolaire Troubles cognitifs Troubles du rythme circadien du sommeil Troubles du sommeil Résumé : Les troubles du sommeil occupent une place centrale dans la physiopathologie des troubles bipolaires, qui peut être considérée comme une maladie du sommeil et des rythmes veille/sommeil. Compte-tenu des enjeux pronostiques, ils sont à rechercher systématiquement. En ligne : http://www.santementale.fr/boutique/acheter-article/bipolarite-et-troubles-du-so [...] Format de la ressource électronique : site internet Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36896
in Santé mentale > 205 (février 2016) . - p. 44-49[article] Bipolarité et troubles du sommeil [texte imprimé] / Bruno Étain ; Pierre Alexis Geoffroy . - 2016 . - p. 44-49.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 205 (février 2016) . - p. 44-49
Mots-clés : Actigraphie Évolution de la maladie Prise en charge de la maladie Sommeil Syndrome d'apnées obstructives du sommeil Trouble bipolaire Troubles cognitifs Troubles du rythme circadien du sommeil Troubles du sommeil Résumé : Les troubles du sommeil occupent une place centrale dans la physiopathologie des troubles bipolaires, qui peut être considérée comme une maladie du sommeil et des rythmes veille/sommeil. Compte-tenu des enjeux pronostiques, ils sont à rechercher systématiquement. En ligne : http://www.santementale.fr/boutique/acheter-article/bipolarite-et-troubles-du-so [...] Format de la ressource électronique : site internet Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36896 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La lévodopa a-t-elle une influence sur la progression de la maladie de Parkinson ? / D. Crosiers in minerva, Vol. 18, n° 10 (Décembre 2019)
[article]
Titre : La lévodopa a-t-elle une influence sur la progression de la maladie de Parkinson ? Auteurs : D. Crosiers Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 118-121 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antiparkinsonien Effets secondaires indésirables des médicaments Évolution de la maladie Maladie de Parkinson Résumé : Un traitement oral par lévodopa en association à la carbidopa influence-t-il la progression de la maladie de Parkinson chez les patients au stade précoce de la maladie ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67585
in minerva > Vol. 18, n° 10 (Décembre 2019) . - p. 118-121[article] La lévodopa a-t-elle une influence sur la progression de la maladie de Parkinson ? [] / D. Crosiers . - 2019 . - p. 118-121.
Langues : Français (fre)
in minerva > Vol. 18, n° 10 (Décembre 2019) . - p. 118-121
Mots-clés : Antiparkinsonien Effets secondaires indésirables des médicaments Évolution de la maladie Maladie de Parkinson Résumé : Un traitement oral par lévodopa en association à la carbidopa influence-t-il la progression de la maladie de Parkinson chez les patients au stade précoce de la maladie ? Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67585 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire