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Sténoses bénignes de l’œsophage : quelle approche thérapeutique? / M. Drepper in Revue médicale suisse, 528 (Août 2016)
[article]
Titre : Sténoses bénignes de l’œsophage : quelle approche thérapeutique? Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Drepper ; Philippe Bichard ; Jean-Louis Frossard Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1410-1414 Langues : Français (fre) Mots-clés : SSTENOSE OESOPHAGE ENDOSCOPIE PROTHESE Résumé : Les sténoses œsophagiennes bénignes sont une pathologie fréquemment rencontrée en endoscopie. La distinction entre sténoses simples et complexes est importante en raison de leur réponse différente au traitement de première intention, à savoir la dilatation, qu’elle soit par bougies de Savary-Gilliard ou au ballon. En cas d’échec après trois dilatations, l’injection de corticoïdes peut être associée dans les sténoses à composante inflammatoire. La persistance d’une sténose malgré ce traitement définit une sténose réfractaire ; pour les sténoses courtes, l’incision endoscopique est une option thérapeutique et pour celles plus complexes, la pose d’une prothèse œsophagienne est à envisager. Des prothèses métalliques, plastiques et biodégradables temporaires sont utilisables avec des différences en termes de taux de migration et d’envahissement.
IntroductionLes sténoses œsophagiennes bénignes sont fréquemment diagnostiquées en endoscopie. La majorité d’entre elles (60‑80 %) sont d’origine peptique, dues à une exposition chronique à l’acidité gastrique. Les autres étiologies sont les anneaux de Schatzki, les diaphragmes œsophagiens et les sténoses liées à l’œsophagite à éosinophiles et à l’ingestion de produits caustiques.1,2 Finalement, s’y ajoutent les sténoses iatrogènes, secondaires à une radiothérapie, à une thérapie photodynamique ou à une résection endoscopique (EMR : endoscopic mucosal resection et ESD : endoscopic submucosal dissection) ou chirurgicale de néoplasies œsophagiennes ; 3 à 40 % des chimio-radiothérapies curatives, 6 à 18 % des EMR, jusqu’à 60 % des ESD et 5 à 46 % des œsophagectomies se compliquent de sténoses.3,4 Toute nouvelle sténose œsophagienne nécessite une évaluation endoscopique détaillée à la recherche de signes de malignité ainsi que la réalisation de biopsies pour analyse histologique. Une...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42704
in Revue médicale suisse > 528 (Août 2016) . - p. 1410-1414[article] Sténoses bénignes de l’œsophage : quelle approche thérapeutique? [texte imprimé] / M. Drepper ; Philippe Bichard ; Jean-Louis Frossard . - 2016 . - p. 1410-1414.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 528 (Août 2016) . - p. 1410-1414
Mots-clés : SSTENOSE OESOPHAGE ENDOSCOPIE PROTHESE Résumé : Les sténoses œsophagiennes bénignes sont une pathologie fréquemment rencontrée en endoscopie. La distinction entre sténoses simples et complexes est importante en raison de leur réponse différente au traitement de première intention, à savoir la dilatation, qu’elle soit par bougies de Savary-Gilliard ou au ballon. En cas d’échec après trois dilatations, l’injection de corticoïdes peut être associée dans les sténoses à composante inflammatoire. La persistance d’une sténose malgré ce traitement définit une sténose réfractaire ; pour les sténoses courtes, l’incision endoscopique est une option thérapeutique et pour celles plus complexes, la pose d’une prothèse œsophagienne est à envisager. Des prothèses métalliques, plastiques et biodégradables temporaires sont utilisables avec des différences en termes de taux de migration et d’envahissement.
IntroductionLes sténoses œsophagiennes bénignes sont fréquemment diagnostiquées en endoscopie. La majorité d’entre elles (60‑80 %) sont d’origine peptique, dues à une exposition chronique à l’acidité gastrique. Les autres étiologies sont les anneaux de Schatzki, les diaphragmes œsophagiens et les sténoses liées à l’œsophagite à éosinophiles et à l’ingestion de produits caustiques.1,2 Finalement, s’y ajoutent les sténoses iatrogènes, secondaires à une radiothérapie, à une thérapie photodynamique ou à une résection endoscopique (EMR : endoscopic mucosal resection et ESD : endoscopic submucosal dissection) ou chirurgicale de néoplasies œsophagiennes ; 3 à 40 % des chimio-radiothérapies curatives, 6 à 18 % des EMR, jusqu’à 60 % des ESD et 5 à 46 % des œsophagectomies se compliquent de sténoses.3,4 Toute nouvelle sténose œsophagienne nécessite une évaluation endoscopique détaillée à la recherche de signes de malignité ainsi que la réalisation de biopsies pour analyse histologique. Une...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42704 Exemplaires (1)
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