Centre de Documentation Gilly
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Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant / I. Claudet in Journal de pédiatrie et de puériculture, vol.29 - n°5 (octobre 2016)
[article]
Titre : Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Claudet Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 244-271 Langues : Français (fre) Mots-clés : Accidents domestiques Antidotes Diagnostic Intoxication Pédiatrie Pharmacologie Préparations pharmaceutiques Services des urgences médicales Tabagisme Thérapeutique Toxicité des médicaments Usagers de drogues Résumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inapproprié et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution des symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont : tout symptôme neurologique isolé non fébrile inexpliqué (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide de e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44434
in Journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 - n°5 (octobre 2016) . - p. 244-271[article] Intoxications domestiques accidentelles de l’enfant [texte imprimé] / I. Claudet . - 2016 . - p. 244-271.
Langues : Français (fre)
in Journal de pédiatrie et de puériculture > vol.29 - n°5 (octobre 2016) . - p. 244-271
Mots-clés : Accidents domestiques Antidotes Diagnostic Intoxication Pédiatrie Pharmacologie Préparations pharmaceutiques Services des urgences médicales Tabagisme Thérapeutique Toxicité des médicaments Usagers de drogues Résumé : Les expositions domestiques accidentelles à des toxiques sont très fréquentes chez le jeune enfant avant l’âge de 6 ans avec un pic autour de l’âge de 2–3 ans. Les intoxications sont faibles en proportion mais vont augmenter avec l’âge et la nature de certaines molécules ou produits. La représentation des différents toxiques impliqués (médicaments, produits ménagers, produits phytosanitaires, plantes) varie selon la catégorie d’âge concernée. Les décès d’origine toxique sont rares, la mortalité s’élève avec l’âge et avec certaines molécules (opiacés notamment). L’orientation diagnostique, thérapeutique et la surveillance sont plus aisées quand l’intoxication est connue (présence d’un témoin). À l’inverse, savoir évoquer une cause toxique devant des symptômes ne trouvant pas d’autres causes évidentes suppose de connaître les principaux toxidromes pour demander des analyses toxicologiques ciblées et non pas un screening large souvent inapproprié et dont la négativité n’écarte pas forcément l’hypothèse toxique. Évoquer une origine toxique suffisamment tôt dans l’évolution des symptômes est une réelle gageure dans la mesure où tout retard à l’utilisation d’un antidote, lorsqu’il existe, est une perte de chance. Les principaux tableaux cliniques au cours desquels une cause toxique devrait être évoquée sont : tout symptôme neurologique isolé non fébrile inexpliqué (coma, convulsions, ataxie, hypotonie, etc.), des malaises répétés inexpliqués, des perturbations métaboliques sans cause évidente (hypoglycémie, acidose, hypokaliémie, etc.), des troubles du rythme, un décès inattendu (prélèvements conservatoires, analyse capillaire). La vigilance est de mise car de nouvelles molécules, produits (capsules de lessive) ou substances (liquide de e-cigarette, cannabinoïdes de synthèse) sont à l’origine d’intoxication. De nombreuses intoxications pourraient être évitées, notamment par un rangement hors de portée (en hauteur dans un endroit doté d’un système de fermeture) et sans déconditionnement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44434 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La prise en charge du saignement peropératoire selon la classe d’anticoagulants / Cécile Rodriguez in Oxymag, 146 (janvier-février 2016)
[article]
Titre : La prise en charge du saignement peropératoire selon la classe d’anticoagulants Type de document : texte imprimé Auteurs : Cécile Rodriguez ; Pierre Albaladejo Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 16-20 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anticoagulants Antidotes Antivitamines K Hémorragie Héparine Risque Soins périopératoires Thrombose Résumé : De nombreux anticoagulants sont actuellement disponibles.
Les héparines et les antivitamines K sont connues depuis longtemps, et leur gestion est assez bien maîtrisée par tous.
Les anticoagulants oraux directs sont apparus sur le marché en 2008 et représentent plus de 30 % des prescriptions d’anticoagulants en France.
Néanmoins, ces médicaments n’ont pas encore d’antidote, et pour le moment leur dosage plasmatique (seul test spécifique) n’est pas disponible dans tous les centres.
Une réflexion sur les risques hémorragique et thrombotique est nécessaire en cas de chirurgie et dans l’urgence.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36396
in Oxymag > 146 (janvier-février 2016) . - p. 16-20[article] La prise en charge du saignement peropératoire selon la classe d’anticoagulants [texte imprimé] / Cécile Rodriguez ; Pierre Albaladejo . - 2016 . - p. 16-20.
Langues : Français (fre)
in Oxymag > 146 (janvier-février 2016) . - p. 16-20
Mots-clés : Anticoagulants Antidotes Antivitamines K Hémorragie Héparine Risque Soins périopératoires Thrombose Résumé : De nombreux anticoagulants sont actuellement disponibles.
Les héparines et les antivitamines K sont connues depuis longtemps, et leur gestion est assez bien maîtrisée par tous.
Les anticoagulants oraux directs sont apparus sur le marché en 2008 et représentent plus de 30 % des prescriptions d’anticoagulants en France.
Néanmoins, ces médicaments n’ont pas encore d’antidote, et pour le moment leur dosage plasmatique (seul test spécifique) n’est pas disponible dans tous les centres.
Une réflexion sur les risques hémorragique et thrombotique est nécessaire en cas de chirurgie et dans l’urgence.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36396 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt