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Auteur Didier Penverne |
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Le collectif soignant et le médicament / Sébastien Hardy in Santé mentale, 291 (Octobre 2024)
[article]
Titre : Le collectif soignant et le médicament Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Hardy ; Didier Penverne Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 48-52 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ". Langues : Français (fre) Mots-clés : Circuit du médicament Bénéfice risque Cas clinique Education du patient Effet secondaire Neuroleptique Pharmacien Prescription médicale Réunion Travail en équipe Unité de soin psychiatrique Résumé : Une unité hospitalière a mis en place une démarche collective pour aller vers une prescription la plus adaptée au contexte et au projet de vie et de soin du patient. Le pharmacien reste un acteur clé de cette stratégie qui vise un usage plus mesuré et plus sobre du médicament.
Si les médicaments peuvent améliorer la santé, ils sont aussi parfois nocifs. Il est donc essentiel d’évaluer finement leurs bénéfices et leurs risques (1).
En psychiatrie, l’utilisation des neuroleptiques, appelés aussi antipsychotiques, permet de réduire les désordres de la pensée ou d’améliorer le contact avec la réalité en diminuant les idées délirantes et les hallucinations (2). Toutefois, ils exposent les patients à de nombreux effets indésirables parfois gênants, en particulier : neurologiques, de type tremblements, impatiences, mouvements anormaux parfois irréversibles (dyskinésies tardives) ; métaboliques, comme une prise de poids parfois de plusieurs dizaines de kilos ; mais aussi troubles sexuels, cardiaques, digestifs, endocriniens… Dès lors, malgré leurs bénéfices pour réduire l’intensité des symptômes, leur caractère intrusif ou leur impact émotionnel, certains patients se plaignent d’un ralentissement psychomoteur, d’un émoussement affectif, d’un manque d’envie (3). Difficile dans ce contexte de distinguer ce qui est du ressort de l’effet du médicament neuroleptique ou de l’affection psychiatrique.
L’association de plusieurs médicaments est par ailleurs susceptible de majorer la fréquence et l’intensité des effets indésirables : on observe par exemple une augmentation de la somnolence diurne et une baisse de la concentration quand plusieurs sédatifs sont utilisés en même temps. [...]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86856
in Santé mentale > 291 (Octobre 2024) . - p. 48-52[article] Le collectif soignant et le médicament [texte imprimé] / Sébastien Hardy ; Didier Penverne . - 2024 . - p. 48-52.
Cet article fait partie du dossier " Déprescrire ? ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 291 (Octobre 2024) . - p. 48-52
Mots-clés : Circuit du médicament Bénéfice risque Cas clinique Education du patient Effet secondaire Neuroleptique Pharmacien Prescription médicale Réunion Travail en équipe Unité de soin psychiatrique Résumé : Une unité hospitalière a mis en place une démarche collective pour aller vers une prescription la plus adaptée au contexte et au projet de vie et de soin du patient. Le pharmacien reste un acteur clé de cette stratégie qui vise un usage plus mesuré et plus sobre du médicament.
Si les médicaments peuvent améliorer la santé, ils sont aussi parfois nocifs. Il est donc essentiel d’évaluer finement leurs bénéfices et leurs risques (1).
En psychiatrie, l’utilisation des neuroleptiques, appelés aussi antipsychotiques, permet de réduire les désordres de la pensée ou d’améliorer le contact avec la réalité en diminuant les idées délirantes et les hallucinations (2). Toutefois, ils exposent les patients à de nombreux effets indésirables parfois gênants, en particulier : neurologiques, de type tremblements, impatiences, mouvements anormaux parfois irréversibles (dyskinésies tardives) ; métaboliques, comme une prise de poids parfois de plusieurs dizaines de kilos ; mais aussi troubles sexuels, cardiaques, digestifs, endocriniens… Dès lors, malgré leurs bénéfices pour réduire l’intensité des symptômes, leur caractère intrusif ou leur impact émotionnel, certains patients se plaignent d’un ralentissement psychomoteur, d’un émoussement affectif, d’un manque d’envie (3). Difficile dans ce contexte de distinguer ce qui est du ressort de l’effet du médicament neuroleptique ou de l’affection psychiatrique.
L’association de plusieurs médicaments est par ailleurs susceptible de majorer la fréquence et l’intensité des effets indésirables : on observe par exemple une augmentation de la somnolence diurne et une baisse de la concentration quand plusieurs sédatifs sont utilisés en même temps. [...]Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=86856 Exemplaires (1)
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