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Auteur Saskia Mahieu |
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Budget des soins de santé 2024 : « d’abord le contenu » / Saskia Mahieu in Santé & société, 9 (avril 2024)
[article]
Titre : Budget des soins de santé 2024 : « d’abord le contenu » Type de document : texte imprimé Auteurs : Saskia Mahieu Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 44-55 Langues : Français (fre) Mots-clés : Budget Soins de santé Gouvernance Objectifs de soins de santé Appropriate care Réforme Analyse Initiative Résumé : C’est au travers d’une coconstruction avec l’ensemble des secteurs des soins de santé et beaucoup moins via des négociations bilatérales secteur par secteur que les travaux autour du budget des soins de santé 2024 ont été menés. Les prestataires de soins et les organismes assureurs se sont réunis pour clarifier les montants disponibles pour de nouvelles initiatives budgétaires et réfléchir collectivement à une répartition de ces moyens. Dans la pratique, les médecins, spécialistes et généralistes, les infirmièr?es, les dentistes, les sage-femmes, les représentants des hôpitaux, les kinésithérapeutes, les ergothérapeutes, les psychologues et les autres prestataires ont écouté les besoins prioritaires de chaque secteur, ainsi que ceux identifiés en termes d’accessibilité par les mutuelles. L’objectif était de répartir une enveloppe commune et de prendre en compte les besoins spécifiques des secteurs financés par l’assurance obligatoire soins de santé tout en veillant à ce que suffisamment d’accessibilité aux soins soit garantie. C’est un vrai exercice d’équilibriste au centre d’intérêts très divergents et pour lequel les travaux de la future Commission pour les objectifs de soins de santé sont attendus. Travailler avec des objectifs de soins de santé devrait, de plus en plus, donner un cadre commun et permettre d’arbitrer entre des choix budgétaires. Le cadre financier de l’année 2024 était particulièrement peu clair étant donné les nombreuses modifications apportées en cours d’année 2023 par le gouvernement (entre autres une réduction de la norme de croissance de 2,5% à 2% et des montants qui ne peuvent pas être dépensés). À ce cadre, s’ajoutait l’exercice « appropriate care », un exercice de réallocation de moyens également demandé au secteur des soins de santé pour générer plus de« health value ».Sous l’impulsion des mutualités, les prestataires de soins ont décidé, en accord avec ce qui avait été fixé l’année précédente, de redistribuer le budget commun de 100 millions d’euros afin de maintenir autant que possible le taux de conventionnement. Il a été solidairement décidé d’allouer ce budget à certains secteurs prioritaires en termes d’accessibilité, tels que les soins à domicile, l’obstétrique, les soins de maternité, la kinésithérapie, la logopédie et les soins dentaires. Bien que le Conseil général au sein de l’INAMI n’ait pas suivi la proposition du Comité de l’assurance à la lettre, les mutualités ont dans tous les cas démontré que le modèle de concertation entre les mutualités et les prestataires de soins fonctionne et que c’est précisément en période de défis majeurs pour le système de soins de santé et de pénurie budgétaire qu’il est nécessaire d’aborder l’élaboration du budget de manière intersectorielle. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/316866fed32d3c52/original/Sante-Societe-n-9.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=83658
in Santé & société > 9 (avril 2024) . - p. 44-55[article] Budget des soins de santé 2024 : « d’abord le contenu » [texte imprimé] / Saskia Mahieu . - 2024 . - p. 44-55.
Langues : Français (fre)
in Santé & société > 9 (avril 2024) . - p. 44-55
Mots-clés : Budget Soins de santé Gouvernance Objectifs de soins de santé Appropriate care Réforme Analyse Initiative Résumé : C’est au travers d’une coconstruction avec l’ensemble des secteurs des soins de santé et beaucoup moins via des négociations bilatérales secteur par secteur que les travaux autour du budget des soins de santé 2024 ont été menés. Les prestataires de soins et les organismes assureurs se sont réunis pour clarifier les montants disponibles pour de nouvelles initiatives budgétaires et réfléchir collectivement à une répartition de ces moyens. Dans la pratique, les médecins, spécialistes et généralistes, les infirmièr?es, les dentistes, les sage-femmes, les représentants des hôpitaux, les kinésithérapeutes, les ergothérapeutes, les psychologues et les autres prestataires ont écouté les besoins prioritaires de chaque secteur, ainsi que ceux identifiés en termes d’accessibilité par les mutuelles. L’objectif était de répartir une enveloppe commune et de prendre en compte les besoins spécifiques des secteurs financés par l’assurance obligatoire soins de santé tout en veillant à ce que suffisamment d’accessibilité aux soins soit garantie. C’est un vrai exercice d’équilibriste au centre d’intérêts très divergents et pour lequel les travaux de la future Commission pour les objectifs de soins de santé sont attendus. Travailler avec des objectifs de soins de santé devrait, de plus en plus, donner un cadre commun et permettre d’arbitrer entre des choix budgétaires. Le cadre financier de l’année 2024 était particulièrement peu clair étant donné les nombreuses modifications apportées en cours d’année 2023 par le gouvernement (entre autres une réduction de la norme de croissance de 2,5% à 2% et des montants qui ne peuvent pas être dépensés). À ce cadre, s’ajoutait l’exercice « appropriate care », un exercice de réallocation de moyens également demandé au secteur des soins de santé pour générer plus de« health value ».Sous l’impulsion des mutualités, les prestataires de soins ont décidé, en accord avec ce qui avait été fixé l’année précédente, de redistribuer le budget commun de 100 millions d’euros afin de maintenir autant que possible le taux de conventionnement. Il a été solidairement décidé d’allouer ce budget à certains secteurs prioritaires en termes d’accessibilité, tels que les soins à domicile, l’obstétrique, les soins de maternité, la kinésithérapie, la logopédie et les soins dentaires. Bien que le Conseil général au sein de l’INAMI n’ait pas suivi la proposition du Comité de l’assurance à la lettre, les mutualités ont dans tous les cas démontré que le modèle de concertation entre les mutualités et les prestataires de soins fonctionne et que c’est précisément en période de défis majeurs pour le système de soins de santé et de pénurie budgétaire qu’il est nécessaire d’aborder l’élaboration du budget de manière intersectorielle. En ligne : https://cm-mc.bynder.com/m/316866fed32d3c52/original/Sante-Societe-n-9.pdf Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=83658 Exemplaires (1)
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