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Auteur Anna Auguste |
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Parcours de soins des enfants brûlés guyanais. Développer l'offre locale, une nécessité ! / Adeline Mallard in La revue du praticien médecine générale, 1086 (Avril 2024)
[article]
Titre : Parcours de soins des enfants brûlés guyanais. Développer l'offre locale, une nécessité ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Adeline Mallard ; Mélanie Gacek ; Camille Daviau ; Virginie Albonico ; Mostefa Boulenoir ; Cyril Rousseau ; Chloé Pansart ; Béatrice Fontalis ; Anna Auguste ; Lisa Romain Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 196-199 Note générale : Les brûlures de l’enfant en Guyane peuvent nécessiter un transfert en métropole pour le recours à des soins de réanimation si le pronostic initial vital et/ou fonctionnel est mis en jeu. La rééducation qui s’ensuit est souvent longue, ce qui induit, entre autres, une rupture de l’enfant avec son environnement familial. Les défis sont multiples : prévention, formation des professionnels de santé en Guyane pour permettre un retour plus précoce des enfants, prise en charge des brûlures peu sévères mais, du fait de leur localisation, à haut risque de séquelles fonctionnelles.
Une étude a été réalisée concernant tous les enfants hospitalisés pour brûlures au centre hospitalier Andrée-Rosemon de Cayenne entre janvier 2010 et décembre 2022. Elle a permis d’inclure 358 patients, dont 9,5 % ont dû être transférés en métropole. Ces patients avaient un âge moyen de 3,8 ans et 70 % d’entre eux avaient moins de 5 ans.Langues : Français (fre) Mots-clés : Guyane Précarité Brûlure Enfant Accès aux soins Relation parent enfant Réanimation pédiatrique Formation Dépistage Médiation culturelle Plaie Parcours de soin Résumé : Les enfants brûlés en Guyane dont le pronostic vital et/ou fonctionnel est en jeu sont transférés en métropole (environ 10 % des patients).
Les soins de cicatrisation sont longs, complexes (prémédication) et réalisés par une équipe pluriprofessionnelle.
La possibilité d’une rééducation pluridisciplinaire n’existe pas, à ce jour, en Guyane.
Une formation des équipes guyanaises est en cours de mise en place afin de permettre un retour plus précoce des patients transférés.
Il est nécessaire d’organiser un parcours de soins pour les enfants brûlés ne nécessitant pas de transfert initial en métropole.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82916
in La revue du praticien médecine générale > 1086 (Avril 2024) . - p. 196-199[article] Parcours de soins des enfants brûlés guyanais. Développer l'offre locale, une nécessité ! [texte imprimé] / Adeline Mallard ; Mélanie Gacek ; Camille Daviau ; Virginie Albonico ; Mostefa Boulenoir ; Cyril Rousseau ; Chloé Pansart ; Béatrice Fontalis ; Anna Auguste ; Lisa Romain . - 2024 . - p. 196-199.
Les brûlures de l’enfant en Guyane peuvent nécessiter un transfert en métropole pour le recours à des soins de réanimation si le pronostic initial vital et/ou fonctionnel est mis en jeu. La rééducation qui s’ensuit est souvent longue, ce qui induit, entre autres, une rupture de l’enfant avec son environnement familial. Les défis sont multiples : prévention, formation des professionnels de santé en Guyane pour permettre un retour plus précoce des enfants, prise en charge des brûlures peu sévères mais, du fait de leur localisation, à haut risque de séquelles fonctionnelles.
Une étude a été réalisée concernant tous les enfants hospitalisés pour brûlures au centre hospitalier Andrée-Rosemon de Cayenne entre janvier 2010 et décembre 2022. Elle a permis d’inclure 358 patients, dont 9,5 % ont dû être transférés en métropole. Ces patients avaient un âge moyen de 3,8 ans et 70 % d’entre eux avaient moins de 5 ans.
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien médecine générale > 1086 (Avril 2024) . - p. 196-199
Mots-clés : Guyane Précarité Brûlure Enfant Accès aux soins Relation parent enfant Réanimation pédiatrique Formation Dépistage Médiation culturelle Plaie Parcours de soin Résumé : Les enfants brûlés en Guyane dont le pronostic vital et/ou fonctionnel est en jeu sont transférés en métropole (environ 10 % des patients).
Les soins de cicatrisation sont longs, complexes (prémédication) et réalisés par une équipe pluriprofessionnelle.
La possibilité d’une rééducation pluridisciplinaire n’existe pas, à ce jour, en Guyane.
Une formation des équipes guyanaises est en cours de mise en place afin de permettre un retour plus précoce des patients transférés.
Il est nécessaire d’organiser un parcours de soins pour les enfants brûlés ne nécessitant pas de transfert initial en métropole.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=82916 Exemplaires (1)
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