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[article]
Titre : |
Peut-on ne plus nourrir les personnes en état de conscience minimale ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
Année de publication : |
2014 |
Article en page(s) : |
p. 508-509 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Paris. Rémi Keller, rapporteur public pour le Conseil d’Etat français, le 13 février dernier devant l’instance suprême de la juridiction administrative réunie dans sa collégialité (treize magistrats) :
«L’affaire qui vous réunit aujourd’hui est exceptionnelle et dramatique : pour la première fois en France, le 16 janvier 2014, un tribunal s’est prononcé sur une décision médicale ayant pour conséquence d’entraîner la mort d’une personne par l’arrêt de son alimentation et de son hydratation artificielles. Vous êtes saisis en appel du jugement du 16 janvier 2014 du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne qui a suspendu l’exécution de cette décision, et vous allez devoir répondre à des questions qui se posent pour la première fois.»
Il s’agissait alors du dernier rebondissement en date d’une affaire dite affaire Vincent Lambert. M. Vincent Lambert est né en 1976. Il est marié, père d’une petite fille de cinq ans et demi. Il exerçait la profession d’infirmier en psychiatrie quand, en septembre 2008, il a été victime d’un accident de la circulation. Un traumatisme crânien l’a rendu tétraplégique et entièrement dépendant. Après avoir été dans le coma, il se trouve depuis plusieurs années dans un état «pauci-relationnel» (du latin pauci, peu) – ou «état de conscience minimale». |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44268 |
in Revue médicale suisse > 419 (Février 2014) . - p. 508-509
[article] Peut-on ne plus nourrir les personnes en état de conscience minimale ? [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2014 . - p. 508-509. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 419 (Février 2014) . - p. 508-509
Résumé : |
Paris. Rémi Keller, rapporteur public pour le Conseil d’Etat français, le 13 février dernier devant l’instance suprême de la juridiction administrative réunie dans sa collégialité (treize magistrats) :
«L’affaire qui vous réunit aujourd’hui est exceptionnelle et dramatique : pour la première fois en France, le 16 janvier 2014, un tribunal s’est prononcé sur une décision médicale ayant pour conséquence d’entraîner la mort d’une personne par l’arrêt de son alimentation et de son hydratation artificielles. Vous êtes saisis en appel du jugement du 16 janvier 2014 du tribunal administratif de Châlons-en-Champagne qui a suspendu l’exécution de cette décision, et vous allez devoir répondre à des questions qui se posent pour la première fois.»
Il s’agissait alors du dernier rebondissement en date d’une affaire dite affaire Vincent Lambert. M. Vincent Lambert est né en 1976. Il est marié, père d’une petite fille de cinq ans et demi. Il exerçait la profession d’infirmier en psychiatrie quand, en septembre 2008, il a été victime d’un accident de la circulation. Un traumatisme crânien l’a rendu tétraplégique et entièrement dépendant. Après avoir été dans le coma, il se trouve depuis plusieurs années dans un état «pauci-relationnel» (du latin pauci, peu) – ou «état de conscience minimale». |
Permalink : |
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Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Peut-on ne plus nourrir les personnes en état de conscience minimale ? (2) |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
Année de publication : |
2014 |
Article en page(s) : |
p. 940-941 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Il y a peu (Rev Med Suisse 2014;10:508-9), nous évoquions une question à la fois inédite et tragique. Elle peut être simplement résumée : nourrir et hydrater une personne dans un coma profond est-il un simple soin dû à son prochain ? Est-ce au contraire une véritable thérapeutique administrée à un grand malade ? Cette question pourrait, demain, faire les beaux jours d’un enseignement de bioéthique. Elle est aujourd’hui, en France, pleinement inscrite dans la réalité. Et la réponse est connue : dans sa sagesse, le Conseil d’Etat, juridiction administrative suprême, vient de répondre. Et son jugement est affirmatif. Nourrir et hydrater sont des thérapeutiques. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44159 |
in Revue médicale suisse > 427 (Avril 2014) . - p. 940-941
[article] Peut-on ne plus nourrir les personnes en état de conscience minimale ? (2) [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2014 . - p. 940-941. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 427 (Avril 2014) . - p. 940-941
Résumé : |
Il y a peu (Rev Med Suisse 2014;10:508-9), nous évoquions une question à la fois inédite et tragique. Elle peut être simplement résumée : nourrir et hydrater une personne dans un coma profond est-il un simple soin dû à son prochain ? Est-ce au contraire une véritable thérapeutique administrée à un grand malade ? Cette question pourrait, demain, faire les beaux jours d’un enseignement de bioéthique. Elle est aujourd’hui, en France, pleinement inscrite dans la réalité. Et la réponse est connue : dans sa sagesse, le Conseil d’Etat, juridiction administrative suprême, vient de répondre. Et son jugement est affirmatif. Nourrir et hydrater sont des thérapeutiques. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44159 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Physiothérapie à domicile et prévention secondaire des chutes de la personne âgée : démonstration d’efficacité bienvenue |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
Année de publication : |
2019 |
Article en page(s) : |
p. 1468 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Les chutes de la personne âgée sont un problème de santé publique : elles sont grevées d’une morbidité significative et sont associées à un handicap fonctionnel chronique significatif. Si l’exercice physique est efficace en prévention primaire pour diminuer le risque de chute,1 son efficacité en prévention secondaire n’est pas clairement démontrée. Dans ce but, les auteurs de cette étude monocentrique canadienne ont recruté 345 patients de plus de 70 ans à haut risque de chute, suivis par une clinique spécialisée dans la prévention secondaire des chutes. Ils les ont randomisés à suivre soit un programme d’exercices spécifiques (Otago Exercise Program) centrés sur l’équilibre, la force et la marche, délivré à domicile par un physiothérapeute, soit vers une prise en charge gériatrique standard, comprenant notamment de l’exercice physique non protocolé. Après un suivi de 12 mois, les auteurs démontrent une diminution significative de l’issue primaire (nombre de chutes : 1,4 (IC 95% :... |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65013 |
in Revue médicale suisse > 659 (21 août 2019) . - p. 1468
[article] Physiothérapie à domicile et prévention secondaire des chutes de la personne âgée : démonstration d’efficacité bienvenue [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2019 . - p. 1468. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 659 (21 août 2019) . - p. 1468
Résumé : |
Les chutes de la personne âgée sont un problème de santé publique : elles sont grevées d’une morbidité significative et sont associées à un handicap fonctionnel chronique significatif. Si l’exercice physique est efficace en prévention primaire pour diminuer le risque de chute,1 son efficacité en prévention secondaire n’est pas clairement démontrée. Dans ce but, les auteurs de cette étude monocentrique canadienne ont recruté 345 patients de plus de 70 ans à haut risque de chute, suivis par une clinique spécialisée dans la prévention secondaire des chutes. Ils les ont randomisés à suivre soit un programme d’exercices spécifiques (Otago Exercise Program) centrés sur l’équilibre, la force et la marche, délivré à domicile par un physiothérapeute, soit vers une prise en charge gériatrique standard, comprenant notamment de l’exercice physique non protocolé. Après un suivi de 12 mois, les auteurs démontrent une diminution significative de l’issue primaire (nombre de chutes : 1,4 (IC 95% :... |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65013 |
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Exemplaires (1)
|
Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Du pieux mensonge à l'émergence de la "post-vérité" |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 338-339 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
PAROLE |
Résumé : |
Nous vivons des temps perturbés, déraisonnables, insensés. Question centrale : faut-il dédoubler la vérité vraie, relativiser le concept du mensonge. Et quelles conséquences dans la réception des symptômes, la formulation du pronostic, la pratique de la médecine ?A l’aube du siècle qui nous précède, Jules Renard, dans son célèbre Journal, écrit : « Il n’est pas possible de dire la vérité, mais on peut faire des mensonges transparents : c’est à vous de voir au travers ». Malheureux, Jules Renard était aussi un presque prophète. Il y a deux siècles l’immense Balzac, en Touraine : « Elle prétendit d’abord avoir la migraine ; puis elle rougit de ce mensonge et le pallia soudain en disant qu’elle ne me voyait point partir sans regret ». Nous étions alors en des temps où l’on savait pertinemment ce que mentir voulait dire. Des temps où le mensonge existait : une affirmation contraire à la vérité, affirmation proférée dans l’intention claire de tromper. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50290 |
in Revue médicale suisse > 548 (février 2017) . - p. 338-339
[article] Du pieux mensonge à l'émergence de la "post-vérité" [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2017 . - p. 338-339. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 548 (février 2017) . - p. 338-339
Mots-clés : |
PAROLE |
Résumé : |
Nous vivons des temps perturbés, déraisonnables, insensés. Question centrale : faut-il dédoubler la vérité vraie, relativiser le concept du mensonge. Et quelles conséquences dans la réception des symptômes, la formulation du pronostic, la pratique de la médecine ?A l’aube du siècle qui nous précède, Jules Renard, dans son célèbre Journal, écrit : « Il n’est pas possible de dire la vérité, mais on peut faire des mensonges transparents : c’est à vous de voir au travers ». Malheureux, Jules Renard était aussi un presque prophète. Il y a deux siècles l’immense Balzac, en Touraine : « Elle prétendit d’abord avoir la migraine ; puis elle rougit de ce mensonge et le pallia soudain en disant qu’elle ne me voyait point partir sans regret ». Nous étions alors en des temps où l’on savait pertinemment ce que mentir voulait dire. Des temps où le mensonge existait : une affirmation contraire à la vérité, affirmation proférée dans l’intention claire de tromper. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=50290 |
| ![Du pieux mensonge à l'émergence de la "post-vérité" vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/images/vide.png) |
Exemplaires (1)
|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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