Titre : |
Les maladies dans l'histoire. La peste d'Athènes |
Type de document : |
texte imprimé |
Note générale : |
Extrait de "Semper", n° 97, octobre 1985, p. 60-64. |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Médecine -- Histoire PESTE ÉPIDÉMIE DENGUE |
Index. décimale : |
10.3a - 94 Histoire de la médecine et des soins infirmiers - Histoire |
Résumé : |
Athènes se vit frappée brusquement, et ce fut d'abord au Pirée que les gens furent touchés ; ils prétendirent même que les Péloponnésiens avaient empoisonné les puits (car il n'y avait pas encore de fontaines en cet endroit). Puis il atteignit la ville haute : et, dès lors, le nombre de morts fut beaucoup plus grand...
Les gens mouraient, les uns faute de secours, les autres au milieu de tous les soins possibles : il n'y avait, peut-on dire, pas un seul remède déterminé que l'on pût employer utilement, car ce qui était bon pour l'un était justement nuisible pour un autre ; enfin, aucune constitution ne se révéla réfractaire au mal, qu'on la prît robuste ou faible ; il vous emportait sans distinction, en dépit de tous les régimes suivis. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54204 |
Les maladies dans l'histoire. La peste d'Athènes [texte imprimé] . - [s.d.]. Extrait de "Semper", n° 97, octobre 1985, p. 60-64. Langues : Français ( fre)
Mots-clés : |
Médecine -- Histoire PESTE ÉPIDÉMIE DENGUE |
Index. décimale : |
10.3a - 94 Histoire de la médecine et des soins infirmiers - Histoire |
Résumé : |
Athènes se vit frappée brusquement, et ce fut d'abord au Pirée que les gens furent touchés ; ils prétendirent même que les Péloponnésiens avaient empoisonné les puits (car il n'y avait pas encore de fontaines en cet endroit). Puis il atteignit la ville haute : et, dès lors, le nombre de morts fut beaucoup plus grand...
Les gens mouraient, les uns faute de secours, les autres au milieu de tous les soins possibles : il n'y avait, peut-on dire, pas un seul remède déterminé que l'on pût employer utilement, car ce qui était bon pour l'un était justement nuisible pour un autre ; enfin, aucune constitution ne se révéla réfractaire au mal, qu'on la prît robuste ou faible ; il vous emportait sans distinction, en dépit de tous les régimes suivis. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54204 |
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