[article]
Titre : |
«Smarter medicine» dans le domaine ambulatoire : opinions et pratiques des médecins de famille et formation des futurs praticiens |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christine Cohidon ; Kevin Selby ; Jacques Cornuz ; et al. |
Année de publication : |
2017 |
Article en page(s) : |
p. 285-287 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
En écho à une initiative américaine puis internationale, la Société Suisse de Médecine Interne lançait, en 2014, la campagne « Smarter Medicine » avec cinq recommandations de pratiques à éviter concernant les douleurs lombaires, la prescription d’antibiotiques, la radiographie de thorax préopératoire, le dépistage du cancer de la prostate et le traitement par inhibiteurs de la pompe à protons. En 2016, 69 % des médecins de famille connaissaient ces recommandations et se déclaraient très en accord avec celles-ci. Cependant, leur mise en pratique, bien que fréquente (deux tiers des cas) présentait des variations selon le domaine. Une marge de progression non négligeable subsiste donc encore. Celle-ci doit passer par la mise en place d’une formation adaptée en pré, postgraduée et continue. Une sensibilisation des patients serait également utile.
IntroductionEn écho à l’initiative américaine de la campagne « Choosing Wisely » 1 comme point de départ d’un mouvement international, et suite à l’invitation de l’Académie Suisse des Sciences Médicales,2 la Société Suisse de Médecine Interne (SSMI) lançait, en 2014, la campagne « Smarter Medicine » (www.smartermedicine.ch) en proposant, après concertation de 35 experts nationaux, cinq recommandations de pratiques à éviter (cf. annexe 1*).3 Cependant, l’impact de cette campagne sur la pratique clinique quotidienne des médecins de famille demeure à ce jour encore inconnu. La mise en œuvre de telles stratégies implique, outre sa connaissance par les professionnels, l’adhésion de ces derniers aux recommandations émises, ainsi que la prise en compte d’éléments plus extérieurs, comme ceux relatifs aux patients ou aux autres professionnels de soins. La Policlinique médicale universitaire de Lausanne (PMU) a réalisé en 2015 une enquête pour décrire la connaissance et l’adhésion des médec... |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53648 |
in Revue médicale suisse > 547 (Janvier 2017) . - p. 285-287
[article] «Smarter medicine» dans le domaine ambulatoire : opinions et pratiques des médecins de famille et formation des futurs praticiens [texte imprimé] / Christine Cohidon ; Kevin Selby ; Jacques Cornuz ; et al. . - 2017 . - p. 285-287. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 547 (Janvier 2017) . - p. 285-287
Résumé : |
En écho à une initiative américaine puis internationale, la Société Suisse de Médecine Interne lançait, en 2014, la campagne « Smarter Medicine » avec cinq recommandations de pratiques à éviter concernant les douleurs lombaires, la prescription d’antibiotiques, la radiographie de thorax préopératoire, le dépistage du cancer de la prostate et le traitement par inhibiteurs de la pompe à protons. En 2016, 69 % des médecins de famille connaissaient ces recommandations et se déclaraient très en accord avec celles-ci. Cependant, leur mise en pratique, bien que fréquente (deux tiers des cas) présentait des variations selon le domaine. Une marge de progression non négligeable subsiste donc encore. Celle-ci doit passer par la mise en place d’une formation adaptée en pré, postgraduée et continue. Une sensibilisation des patients serait également utile.
IntroductionEn écho à l’initiative américaine de la campagne « Choosing Wisely » 1 comme point de départ d’un mouvement international, et suite à l’invitation de l’Académie Suisse des Sciences Médicales,2 la Société Suisse de Médecine Interne (SSMI) lançait, en 2014, la campagne « Smarter Medicine » (www.smartermedicine.ch) en proposant, après concertation de 35 experts nationaux, cinq recommandations de pratiques à éviter (cf. annexe 1*).3 Cependant, l’impact de cette campagne sur la pratique clinique quotidienne des médecins de famille demeure à ce jour encore inconnu. La mise en œuvre de telles stratégies implique, outre sa connaissance par les professionnels, l’adhésion de ces derniers aux recommandations émises, ainsi que la prise en compte d’éléments plus extérieurs, comme ceux relatifs aux patients ou aux autres professionnels de soins. La Policlinique médicale universitaire de Lausanne (PMU) a réalisé en 2015 une enquête pour décrire la connaissance et l’adhésion des médec... |
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