Le paradoxe du genre dans le suicide : des pistes explicatives et pas mal d’incertitudes / Laurent Michaud in Revue médicale suisse, 744-2 (30 Juin 2021)

Public ISBD [article]  inRevue médicale suisse > 744-2 (30 Juin 2021) . - p. 1265-1267 Titre : Le paradoxe du genre dans le suicide : des pistes explicatives et pas mal d’incertitudes Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Michaud ; Sebastian Brovelli Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 1265-1267 Langues : Français (fre) Mots-clés : SUICIDE  HOMME  FEMME  GENRE Résumé : Le paradoxe du genre dans le suicide renvoie au fait que les hommes se suicident plus que les femmes, alors que ces dernières font plus de tentatives de suicide. Ce phénomène s’expliquerait par l’influence du genre dans ce qui détermine les idées et les conduites suicidaires. Des manifestations différentes de la souffrance psychologique pourraient d’abord conduire à un défaut de reconnaissance des dépressions masculines. Ensuite, au niveau même des comportements suicidaires, les hommes optent pour des moyens plus létaux et l’évolution de leur processus suicidaire est plus rapide, entre autres en lien avec le fait qu’ils consomment plus fréquemment des substances. Les cliniciens et les chercheurs devraient prendre ces différences en considération dans leur approche, sans réduire hommes et femmes à leur appartenance de genre. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=73777 [article] Le paradoxe du genre dans le suicide : des pistes explicatives et pas mal d’incertitudes [texte imprimé] / Laurent Michaud ; Sebastian Brovelli . - 2021 . - p. 1265-1267. Langues : Français (fre) in Revue médicale suisse > 744-2 (30 Juin 2021) . - p. 1265-1267 Mots-clés : SUICIDE  HOMME  FEMME  GENRE Résumé : Le paradoxe du genre dans le suicide renvoie au fait que les hommes se suicident plus que les femmes, alors que ces dernières font plus de tentatives de suicide. Ce phénomène s’expliquerait par l’influence du genre dans ce qui détermine les idées et les conduites suicidaires. Des manifestations différentes de la souffrance psychologique pourraient d’abord conduire à un défaut de reconnaissance des dépressions masculines. Ensuite, au niveau même des comportements suicidaires, les hommes optent pour des moyens plus létaux et l’évolution de leur processus suicidaire est plus rapide, entre autres en lien avec le fait qu’ils consomment plus fréquemment des substances. Les cliniciens et les chercheurs devraient prendre ces différences en considération dans leur approche, sans réduire hommes et femmes à leur appartenance de genre. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=73777

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